Coup d’œil

OA - Liste

Climat : Gulf stream


2024

Sous l'effet des rejets de gaz à effet de serre de l'humanité, les records de températures mondiales continuent de tomber depuis plus d'un an: juin 2024 est devenu le mois de juin le plus chaud jamais mesuré, effaçant le record déjà battu en 2023.
Selon une étude publiée ce mardi et qui a reconstitué les températures du passé pour les mois de juin à août, l'été 2023 a été le plus chaud en 2000 ans.
L'été 2023 a battu tous les records en devenant l'été le plus chaud depuis deux millénaires dans les zones tempérées de l'hémisphère nord.
L'année 2023, la plus chaude jamais enregistrée dans le monde, a encore battu un nouveau record: les scientifiques ont pu établir que l'été dans l'hémisphère nord a été le plus chaud en 2.000 ans, selon une étude publiée mardi.
En observant les cernes des arbres, une équipe de chercheurs a pu définir que l’été 2023 était plus chaud, d’au moins un demi-degré, que l’été le plus chaud avant l’ère industrielle dans les zones tempérées de l’hémisphère Nord.
Le phénomène d'El Nino et le changement climatique causé par l'homme ont provoqué un nombre record de désastres environnementaux en Amérique latine en 2023, a indiqué mercredi l'Organisation météorologique mondiale, une agence de l'ONU.
2023 enregistre une mortalité catastrophique chez les manchots empereurs en raison de la fonte record de la banquise. Si les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter, l’espèce pourrait être quasi éradiquée d’ici 2100.
L'Asie en première ligne des effets du réchauffement climatique. Le Continent a été "la région du monde la plus touchée par les catastrophes" liées à la météo en 2023, a indiqué l'ONU, mardi 23 avril, précisant que les inondations et tempêtes y ont fait le plus de victimes et de pertes économiques.
L'Asie a été "la région du monde la plus touchée par les catastrophes" liées à la météo en 2023, inondations et tempêtes ayant fait le plus de victimes et de pertes économiques, indique l'ONU mardi.
Les scientifiques ont constaté “un véritable saut en termes d’anomalies de température mondiale entre 2022 et 2023”. Au-delà des concentrations de gaz à effet de serre records dans l’atmosphère et divers facteurs liés à la variabilité du climat, une petite partie de cet excès de chaleur n’est toujours pas expliquée. À quoi s’attendre alors pour 2024 ?
Le Vieux Continent a subi de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes en 2023. Conséquence directe, le nombre de jours de "stress thermique extrême", où la température ressentie a dépassé l'équivalent de 46° C, a augmenté, selon un rapport de Copernicus et de l'ONU publié lundi.
Chaleur tourne. Les impacts du changement climatique se sont particulièrement fait ressentir en Europe lors de l’année la plus chaude jamais mesurée sur Terre, dévoilent l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et Copernicus, le service européen de surveillance de la planète.
Un rapport publié par l’institut Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale dévoile qu’au plus fort de la canicule, le 23 juillet 2023, 13 % du continent a connu une situation délétère pour les organismes.
Voor het eerst sinds het pre-industriële tijdperk (1850-1900) is de beroemde drempel van +1,5°C bereikt of bijna bereikt (+1,48°C gerapporteerd door Copernicus (*) op wereldschaal, waardoor het vorige record (2017) van +0,17°C is verbrijzeld. Sinds juli 2023 breken de temperaturen bijna elke dag vorige dagrecords, met anomalieën op wereldschaal die in de afgelopen maanden soms +2°C bereikten. Tot slot heeft de stijging van de zeespiegel in 2023 een ‘sprong voorwaarts’ gemaakt, met een stijging van bijna een factor twee ten opzichte van voorgaande jaren. Deze versnelling van de zeespiegelstijging is niet te wijten aan het plotselinge smelten van de poolkappen, maar aan de thermische uitzetting van de oceanen, die in 2023 ‘plotseling’ opwarmden. In de Noord-Atlantische Oceaan steeg de oppervlaktetemperatuur bijvoorbeeld met +0,4°C ten opzichte van 2022, terwijl die in de periode 2020-2022 nauwelijks was veranderd. Maar waarom is de temperatuur van de oceanen zo sterk gestegen, meer bepaald in de noordelijke Atl
Pour la première fois depuis l’aire préindustrielle (1850-1900), le fameux seuil de +1.5°C a été atteint ou presque (+1.48°C signalé par Copernicus (*) à l’échelle globale pulvérisant le précédent record (2017) de +0.17°C. Depuis juillet 2023, c’est en fait tous les jours ou presque que la température bat les précédents records journaliers avec des anomalies à l’échelle globale atteignant parfois les +2°C ces derniers mois. Enfin, la hausse du niveau des mers a fait un « bon » en 2023 en augmentant de presque un facteur deux par rapport aux précédentes années. Si une telle accélération de la hausse du niveau marin a été observée, ce n’est pas à cause d’une fonte subite des calottes polaires mais, à cause de l’expansion thermique des océans qui se sont « subitement » réchauffés en 2023. En Atlantique Nord par exemple, la température de surface a augmenté de +0.4°C par rapport à 2022 alors qu’elle n’avait quasiment plus évolué sur la période 2020-2022. Mais pourquoi un tel emballement des températures des océan
Professeure émérite de physique de l'atmosphère et du climat à la Sorbonne, Katia Laval a contribué au développement du premier modèle climatique français. Invitée lundi dans La Matinale, elle souligne l'urgence de comprendre les variations brutales et les événements climatiques récents, inexpliqués par les modèles actuels.
Taking into account all known factors, the planet warmed 0.2 °C more last year than climate scientists expected. More and better data are urgently needed. Taking into account all known factors, the planet warmed 0.2 °C more last year than climate scientists expected. More and better data are urgently needed.
Ce 19 mars, l’organisme dépendant des Nations unies publie son panorama annuel sur l’état du climat. Des données inédites révèlent que la température moyenne de la Terre s’est hissée 1,45°C au-dessus de celle de l’ère préindustrielle.
La décennie qui vient de s'écouler est la plus chaude jamais enregistrée, provoquant en 2023 une fonte sans précédent des glaciers, a alerté l'ONU mardi.
Le réchauffement climatique est une réalité qui se fait de plus en plus sentir dans notre quotidien et son impact devrait augmenter en puissance au fil des décennies si l’objectif de limiter la hausse des températures à +1,5 °C est dépassé. À quelques mois des élections, le climat est un des enjeux principaux de la campagne électorale, la thématique est d’ailleurs déclinée toute la semaine sur les plateformes de la RTBF. Ce lundi, Xavier Fettweis, climatologue à l’ULiège, était invité dans l’émission spéciale de Matin Première sur le thème de l’environnement.
Températures extrêmes, hausse du niveau de la mer, sécheresses, catastrophes naturelles… 2023 aura été l’année de tous les dépassements. Et 2024 pourrait encore voir les choses s’aggraver alerte l’Organisation météorologique mondiale. Seule lueur d’espoir : le recours aux énergies renouvelables n’aura jamais été aussi important.
Les émission mondiales de méthane de l'industrie fossile, essentiellement dues aux fuites de ce puissant gaz à effet de serre, sont restées à des niveaux record en 2023, "sans raison" puisque les solutions existent et sont rentables, selon une analyse publiée mercredi par l'Agence internationale de l'énergie.
L’année 2023 a été classée comme la plus chaude enregistrée depuis 1850, avec 14,98 °C de moyenne sur l’ensemble du globe. La tendance continue en 2024. Le principal coupable : le réchauffement lié aux gaz à effet de serre d’origine humaine.
Les émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie ont progressé de 1,1% l’an passé pour atteindre un niveau record de 37,4 milliards de tonnes, annonce ce vendredi 1er mars l’Agence internationale de l’énergie.
Les émissions mondiales de CO2 liées à l'énergie ont progressé de 1,1% en 2023 pour atteindre un niveau record, en raison notamment de la faible production hydroélectrique causée par les sécheresses et de la croissance chinoise, a indiqué vendredi l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Ces émissions énergétiques, qui représentent de l'ordre de 90% du gaz carbonique émis par les humains, ont ainsi augmenté de 410 millions de tonnes pour atteindre 37,4 milliards de tonnes l'an dernier, selon ce bilan de référence de l'AIE, basée à Paris.
Conclu par un mois de février exceptionnellement doux, l’hiver météorologique devrait se classer juste derrière ceux de 2020 et 2016 en termes de température, note Météo-France ce jeudi 29 février.
Excepté de courtes séquences hivernales, les températures sont dignes du printemps. L’hiver 2023-2024 termine au troisième rang des hivers les plus doux jamais mesurés en France, derrière 2020 (+2,3 °C) et 2016 (+2,1 °C), a annoncé Météo-France le 29 février. Selon ses prévisionnistes, le mercure devrait ainsi dépasser « d’environ 2 °C » les normales de saison.
L’accumulation de jours particulièrement doux se poursuit en ce mois de février. Résultat : la saison est en train de se hisser au niveau de l’hiver 2019-2020, où la barre des 20 degrés avait été franchie 88 fois, un record en France.
Les fortes températures ont engendré la mort de 5 167 personnes, annonce ce jeudi 8 février Santé publique France. L’un des niveaux les plus élevés des dernières années.
Les émissions de gaz à effet de serre du secteur énergétique européen ont chuté de 19% l'an dernier, sur fond de dégringolade du recours au charbon et au gaz, constate le groupe de réflexion Ember pour qui "le secteur énergétique de l'Union européenne est au milieu d'un changement monumental".
Alors que la température moyenne annuelle de la planète s'approche rapidement du seuil critique de 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels, l'année dernière a officiellement battu le record mondial de température, a confirmé vendredi l'agence météorologique des Nations Unies (OMM).
2024 pourrait bien battre le record de chaleur établi l'année dernière, a d'ores et déjà mis en garde l'ONU vendredi, appelant à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre pour combattre le changement climatique.
Le phénomène météorologique El Nino devrait pousser les températures mondiales vers de nouveaux sommets, surpassant l’année 2023 déjà record, annonce l’Organisation météorologique mondiale ce vendredi 12 janvier.
2024 pourrait bien battre le record de chaleur établi l'année dernière, a d'ores et déjà mis en garde l'ONU vendredi, appelant à réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre pour combattre le changement climatique.Sous l'impulsion du phénomène météorologique El Nino, la tendance au réchauffement -qui a vu chaque mois entre juin et décembre 2023 battre son record de chaleur- devrait se poursuivre cette année, explique l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
Dans son bilan annuel publié mardi, l'observatoire européen Copernicus a indiqué que l'année écoulée a été 1,48°C plus chaude que le climat de l'ère pré-industrielle, confirmant que 2023 est bien l'année la plus chaude de l'histoire pour la planète.
Les températures records de 2023 obligent les «warming stripes», ces rayures colorées utilisées pour représenter les températures moyennes enregistrées sur une année, à être révisées.
L'année 2023 a été 1,48 degré plus chaude dans le monde que le climat de l'ère pré-industrielle, a annoncé mardi le service européen Copernicus, confirmant qu'il s'agit de l'année la plus chaude de l'histoire pour la planète.
2023 a bien été l’année la plus chaude au niveau mondial. 'Une année exceptionnelle où les records climatiques sont...
L'année "2023 est l'année la plus chaude jamais enregistrée", confirme le programme Copernicus dans une étude publiée ce mardi.
Il n’a jamais fait aussi chaud qu’en 2023. En tout cas, depuis 1850 et les premiers enregistrements des températures mondiales. C’est le bilan du programme européen d’observation du climat Copernicus, dévoilé le 9 janvier. « Les températures mondiales en 2023 ont atteint des niveaux exceptionnellement élevés », relève l’organisme.
Climate records tumbled "like dominoes" in 2023, with temperatures far above any recorded level.
Avec une température moyenne de 14,4°C à la surface, l’année écoulée se classe juste derrière 2022 parmi les années les plus chaudes depuis le début du XXe siècle, annonce Météo France vendredi 5 janvier.

2023

Le Danemark va enregistrer en 2023 les plus fortes précipitations annuelles que le pays ait jamais connu, a annoncé mercredi l'institut météorologique national DMI.
Le Danemark va enregistrer en 2023 les plus fortes précipitations annuelles que le pays ait jamais connu, a annoncé mercredi l’institut météorologique national DMI. "Plus d’une semaine avant la fin de l’année, 2023 a établi un nouveau record de précipitations, avec plus de 907 mm mesurés cette année, selon le relevé du 20 décembre au matin", a indiqué dans un communiqué DMI, alors que ces mesures sont réalisées depuis 1874.
Alors que 2023 touche à sa fin, elle devrait être la troisième année la plus chaude depuis le début des relevés en Belgique, annonce l'Institut royal météorologique (IRM) mardi, à l'occasion de la publication de son bilan annuel. Les années record restent 2022 et 2020.
L'été 2023 a été le plus chaud jamais enregistré dans l'Arctique, selon un rapport américain de référence, qui dresse un tableau alarmant de cette région du monde, particulièrement soumise aux effets du réchauffement climatique.
Après un mois de novembre "extraordinaire", 2023 sera l’année la plus chaude jamais enregistrée dans l’histoire, a annoncé mercredi le service européen Copernicus.
Novembre, avec une moyenne de 14,22 °C à la surface du globe, dépasse de 0,32 °C le record précédent de novembre 2020. L’automne boréal (septembre à novembre dans l’hémisphère nord) est ainsi le plus chaud de l’histoire, avec 15,30 °C.
L’année 2023 sera la plus chaude de l’histoire après un mois de novembre “extraordinaire” qui est devenu le sixième mois consécutif à battre des records, a déclaré mercredi le service européen Copernicus en pleines négociations climatiques à la COP28.
A l'issue de chaque mois, le service européen sur le changement climatique Copernicus fournit les données sur les températures moyennes globales. Une référence pour les observateurs scientifiques du réchauffement de la planète. Pour ces mesures, Copernicus utilise notamment des données générées par les satellites. Depuis l’été 2023, l’analyse se répète : les mois les plus chauds jamais observés se succèdent. Novembre 2023 n’échappe pas à cette série. Encore une fois un record, celui du mois de novembre le plus chaud (globalement). 1,75° de plus en novembre 2023 qu'entre 1850 et 1900
Alors que la Cop28 bat son plein, de tristes records ont été annoncés ce mercredi.
L’étude annuelle 2023 référence du Global Carbon Project (GCP) vient d’être publiée et elle n’apporte pas que des bonnes nouvelles.
Avec +1.092°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de novembre 2023 poursuit la série des records de chaleur. Le précédent record de 2020 (+0.775°C) est dépassé de 0.32°C. L’année 2023 sera la plus chaude jamais observée et le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle devrait être atteint sur la moyenne annuelle.
Les quantités de CO₂ que nous pouvons encore émettre tout en respectant l’objectif de l’accord de Paris se réduisent à une peau de chagrin : au rythme de 2023, nous aurons épuisé ce budget carbone dans sept ans.
The critical annual update revealing the latest trends in global carbon emissions
Après une vague de chaleur tardive en août et un automne de tous les records, l’année 2023 devrait être la deuxième plus chaude mesurée en France, juste derrière 2022, annonce Météo France ce jeudi 30 novembre.
L'année 2023 devrait être la plus chaude jamais enregistrée et elle a été marquée par une litanie de statistiques records qui soulignent toutes l'urgence d'agir contre le dérèglement climatique, a martelé l'ONU jeudi.
Depuis janvier, la température moyenne sur Terre est la plus chaude jamais mesurée les dix premiers mois de l’année et chaque mois depuis juin a battu un record mensuel, ce qui fait dire aux experts que « l’année 2023 sera l’année la plus chaude dans les annales ».
Ce mercredi 8 novembre, le service européen sur le changement climatique Copernicus fait le bilan d’un mois d’octobre marqué par de fortes anomalies de température, dans la lignée des mois précédents.
Avec +1.09°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’octobre 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.69°C) est dépassé de 0.4°C. L’année 2023 sera sans aucun doute la plus chaude jamais observée.
C’est un nouveau record absolu : les émissions mondiales de CO2 devraient encore augmenter en 2023, avec 0,5 à 1,5 % de rejets dans l’atmosphère supplémentaires par rapport à 2022. C’est ce qui ressort d’une étude préliminaire, dont les résultats ont été rendus publics le 17 octobre par le Centre norvégien Cicero pour la recherche internationale sur le climat, affilié à l’université d’Oslo.
Les émissions mondiales de dioxyde de carbone, essentiellement dues à la combustion des énergies fossiles et à l'origine du réchauffement de la planète, devraient augmenter d'environ 1% pour atteindre un nouveau record en 2023, ont annoncé mardi des scientifiques dans une étude préliminaire.
Après un mois de septembre aux températures record, l'année 2023 sera avec quasi-certitude la plus chaude jamais enregistrée, selon un rapport publié vendredi par l'agence américaine de référence.
Le mois de septembre 2023 a été plus chaud de 1,75 °C par rapport à un mois de septembre préindustriel, révèle l’observatoire européen Copernicus ce jeudi 5 septembre. L’année 2023 est en passe d’être la plus chaude jamais enregistrée.
2023, année la plus chaude jamais enregistrée ? C’est l’alarme que sonne le service météorologique européen Copernicus. D’après ses calculs, la température mondiale sur les neuf premiers mois de l’année a été supérieure de 1,4 °C à la moyenne préindustrielle (1850-1900), devançant le précédent record de 2016.
"L'effondrement climatique a commencé", a déploré le chef de l'ONU António Guterres, dans un communiqué.
L'été (juin-juillet-août) a connu les températures mondiales moyennes les plus élevées jamais mesurées, annonce mercredi l'observatoire européen Copernicus, pour qui 2023 sera probablement l'année la plus chaude de l'Histoire. "L'effondrement climatique a commencé", a déploré le secrétaire général de l'ONU António Guterres, dans un communiqué.
Canicules, sécheresses, inondations ou incendies ont frappé l'Asie, l'Europe et l'Amérique du Nord sur cette période, dans des proportions dramatiques et souvent inédites, avec leur prix en vies humaines et en dégâts sur les économies et l'environnement.
"L'effondrement climatique a commencé", a déploré le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, dans un communiqué en réaction à l'annonce du record mondial de températures pendant l'été de l'hémisphère nord par l'observatoire européen Copernicus.
Il va encore faire très chaud cette semaine en France. Un nouvel épisode de chaleur tardive s'abat sur le pays, battant déjà plusieurs records. Il pourrait aussi être inédit par sa durée et son intensité. Il vient clôturer - on l'espère - une saison estivale marquée une nouvelle fois par le changement climatique.
In March and April 2023, some Earth scientists began to point out that average sea surface temperatures had surpassed the highest levels seen in a key data record maintained by NOAA. Months later, they remain at record levels, with global sea surface temperatures 0.99°C (1.78°F) above average in July. That was the fourth consecutive month they were at record levels.
Les huit jours de chaleur survenus en France après la mi-août ont battu des records de la température moyenne pour cette période de l’année.
Un alignement rare de phénomènes aussi divers que l'activité solaire, les gaz à effet de serre et El Niño, pourrait donner des températures records et mettre en péril l'équilibre climatique de notre planète.
Juillet 2023 est le mois le plus chaud jamais enregistré confirment la NASA et la NOAA, soulignant l'impact humain sur le réchauffement climatique et appelant à l'action urgente.
Les scientifiques américains s’attendent à une année 2024 encore plus chaude, en partie à cause du phénomène cyclique El Niño, qui réchauffe la surface des océans et qui accentue le réchauffement climatique dû aux activités humaines.
Si le mois de juillet 2023 a battu des records en termes de températures «enregistrées», notre planète a déjà connu des périodes très chaudes par le passé. Mais il faut probablement remonter… 125 000 ans en arrière pour en trouver trace.
L’année 2023 n’a peut-être pas fini de battre des records. « On s’attend à une fin d’année relativement chaude pour 2023 en raison du développement du phénomène El Niño », rappelle le service européen Copernicus.
Avec +0.892°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.563°C) est dépassé de 0.33°C. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Elles sont produites par assimilation de données, un processus qui repose à la fois sur des observations et des modèles utilisant les lois de la physique et les observations passées. Les données sont actualisées de manière journalière, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol.
Après trois semaines de canicules qui ont frappé un grand nombre de régions du monde, l'Autorité météorologique des Nations unies a indiqué, jeudi, que le mois de juillet de 2023 sera "très clairement le mois le plus chaud jamais mesuré" sur la planète.
Juillet 2023 est le mois le plus chaud jamais enregistré, soulignant l'urgence climatique et appelant à une action immédiate pour atténuer le réchauffement global.
Global coal consumption climbed to a new all-time high in 2022 and will stay near that record level this year as strong growth in Asia for both power generation and industrial applications outpaces declines in the United States and Europe, according to the IEA’s latest market update.
Les feux depuis le début de l’année en France, Espagne, Grèce et Italie font exploser la surface totale de terres brûlées par rapport aux moyennes habituelles.
According to ERA5 data from the EU-funded Copernicus Climate Change Service (C3S), the first three weeks of July have been the warmest three-week period on record and the month is on track to be the hottest July and the hottest month on record. These temperatures have been related to heatwaves in large parts of North America, Asia and Europe, which along with wildfires in countries including Canada and Greece, have had major impacts on people’s health, the environment and economies.
Following a record hot June, large areas of the US and Mexico, Southern Europe and China experienced extreme heat in July 2023, breaking many local high temperature records.
Juillet 2023 sera probablement le mois le plus chaud jamais enregistré, a annoncé jeudi la Nasa, l'agence aéronautique américaine. De nombreux records de chaleur ont déjà été battus ce mois-ci.
Avec +0.706°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juin 2023 est le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.542°C) est largement battu alors qu’El Niño émerge à…
La planète a connu lundi le jour le plus chaud jamais enregistré, tous mois confondus, la température moyenne du globe dépassant pour la première fois la barre des 17°C.
Le mois de juin qui se termine vendredi sera le mois de juin le plus chaud jamais enregistré à Uccle depuis 1833, a indiqué mercredi David Dehenauw, météorologue à l'IRM, sur Twitter.
Depuis trois mois, la température de la surface de l’océan, ce régulateur du climat, s’envole. En France, le golfe de Gascogne et la Méditerranée voient le thermomètre grimper de 3°C à 5°C au-dessus des normales.
El Niño pourrait être de retour pour nous jouer de mauvais tours. C’est en tout cas ce qu’a prévu l’Organisation météorologique mondiale (OMM), mercredi 3 mai. Selon l’agence onusienne, la probabilité que ce phénomène météorologique se développe d’ici fin juillet est de 60 %, et même de 80 % d’ici fin septembre.
Ce 4 janvier 2023, les températures ont été un peu plus proches des températures de saison. Pourtant, ce début...

2021

Les plans de relance post-Covid – d’un total de 2 300 milliards de dollars – donnent une part trop faible aux initiatives propres pour réduire les émissions de CO2, pointe l’Agence internationale de l’énergie.