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2024
Alors que la COP29 s'ouvre dans quelques jours, le service européen Copernicus estime, jeudi, qu'"il est désormais quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais enregistrée et la première année avec plus d'1,5° C au-dessus des niveaux préindustriels".
Cette année sera quasi certainement la première avec une hausse de la température moyenne mondiale de plus d’1,5°C, annonce ce jeudi 7 novembre l'observatoire européen Copernicus. Octobre est le 15e mois (sur 16) où ce seuil a été franchi.
Dans son huitième rapport annuel consacré aux conséquences du changement climatique sur la santé, la revue scientifique «The Lancet» révèle, ce mercredi 30 octobre, que le bien-être et la survie des personnes se dégradent.
Selon la neuvième édition du rapport britannique “The Lancet Countdown”, qui fait référence, la chaleur, les sécheresses et les inondations impactent de plus en plus fortement la santé des humains, dans le monde entier.
Ça sent le sapin. Les arbres sont en première ligne face au réchauffement climatique. Illustration dans les montagnes jurassiennes, où les événements extrêmes affaiblissent les épicéas communs et les rendent plus vulnérables aux attaques d’insectes.
Il s'agit du 25 octobre le plus chaud en Belgique depuis le début des mesures en 1892, a indiqué vendredi le météorologue David Dehenauw sur X, anciennement Twitter.
Selon une étude de l'UNICEF, 466 millions d'enfants vivent actuellement dans une région où le nombre de journées extrêmement chaudes est au moins deux fois supérieur à ce qu'il était il y a seulement soixante ans.
Au cours de l'histoire, l'espèce humaine a toujours pu s'adapter, mais les défis climatiques actuels sont peut être trop importants.
Le phénomène lié au changement climatique, qui menace la survie de récifs riches en biodiversité, touche désormais plus des deux tiers des coraux, dans l'Atlantique, le Pacifique et l'océan Indien.
Il est "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" après le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire Copernicus. Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles. L'observatoire européen note également dans son bulletin de septembre des "précipitations extrêmes" sur une partie de l'Europe ainsi que des conditions plus humides que la normale sur certaines régions d'Amérique du Nord, d'Asie et d'Afrique:
Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles qui rend "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" devant le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire européen Copernicus.
L’installation permet d’expérimenter la vie sous un climat extrême. Une expérience, créée par l’explorateur et chercheur Christian Clot, qui entend ainsi pousser chacun à l’action.
Une Flandre « chaleureuse » Il a fallu du temps. Des nuits blanches, une crisette et une réunion marathon, mais nous y voilà : un accord de gouvernement flamand a vu le jour, débordant de projets ambitieux pour une « Flandre chaleureuse et prospère ». Avec toutefois un sujet bien peu abordé. Et le climat, dans tout ça ? Pour l’heure, l’ambition se limite à une réduction de 40 % des émissions d’ici 2030 par rapport à 2005. Inquiétant... Pour ceux qui se soucient du climat, certes. Mais aussi pour ceux qui ont à cœur la défense de l’État de droit.
Un rapport de l’observatoire européen, publié lundi, rapporte que plus d’un cinquième de la surface océanique mondiale a connu une vague de chaleur sévère en 2023. Ce réchauffement s’explique par le fait que les océans ont absorbé depuis 1970 « plus de 90 % de l’excès de chaleur du système climatique ».
L'augmentation de la température des océans entraîne une élévation du niveau de l'eau, qui menace certaines îles et leur population.
Dans une étude publiée mercredi, des chercheurs français estiment que la capitale pourrait franchir cette barre avant le mitan du siècle, dans le pire des scénarios climatiques. Une perspective qui peut encore être évitée.
Cet été a été le plus chaud jamais enregistré sur le continent européen, rapporte jeudi l'observatoire européen Copernicus.
Conséquence directe du dérèglement climatique, ces chaleurs nocturnes se banalisent dans le Sud et remontent de plus en plus vers le nord du pays.
Nicolas Ghilain est climatologue à l’université de Liège et à l’IRM, où il crée et améliore des outils de modélisation du climat régional, afin de répondre à la question cruciale : à quoi ressemblera le climat belge dans le futur ? En particulier, il essaie de déterminer si nous devrons faire face plus fréquemment à des événements extrêmes (pluies intenses, vagues de chaleur et sécheresses), et de quelle intensité. Il étudie également l’influence de l’aménagement du territoire et de la végétation sur le climat, un sujet d’étude encore récent.
Sans aides publiques, Su Balasubramanian n'aurait jamais pu payer les 27.000 dollars nécessaires à la rénovation énergétique de sa maison avec son salaire de travailleuse sociale aux Etats-Unis, où le gouvernement mise sur les pompes à chaleur pour réduire les émissions de CO2.Cette habitante du sud-est de la ville de Washington, sensible aux questions environnementales, a commencé à se renseigner après avoir installé des panneaux solaires et découvert des programmes d'aide, qui se sont multipliés à l'échelle fédérale mais aussi des Etats ces dernières années.
L’été 2024 poursuit une interminable série de records de températures mondiales, avec son cortège de canicules, de sécheresses ou d’inondations meurtrières alimentées par un réchauffement climatique sans répit. De juin à août, les trois mois de l’été de l’hémisphère nord ont connu la température moyenne mondiale la plus élevée jamais mesurée, battant déjà le record de 2023, a annoncé vendredi l’observatoire européen Copernicus.
Les températures moyennes mondiales en juin, juillet et août ont été les plus élevées jamais mesurées, a annoncé ce vendredi 6 septembre l’observatoire européen Copernicus. Le précédent record datait seulement de l’an dernier.
L'observatoire européen Copernicus a annoncé vendredi que l'été 2024 avait été le plus chaud jamais enregistré sur la planète. De quoi augmenter la probabilité que l'année 2024 batte elle aussi un record de température.
Phoenix, la capitale de l’Arizona, a enregistré, mardi, son centième jour d’affilée à plus de 37,8 °C. Du jamais-vu.
Les records de chaleur en août sont synonymes d'" alerte rouge", a déclaré mercredi à Singapour la directrice de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) affirmant" Nous sommes inquiets mais pas paralysés".
L’Espagne vient de connaître son mois d’août "le plus chaud" jamais enregistré avec une température moyenne de 25 degrés, a annoncé l’agence météorologique nationale Aemet.
C’est le troisième été consécutif où les normales de saison ont été nettement dépassées en France. « L’été 2024 affiche une anomalie chaude de +0,7 °C par rapport à la normale 1991-2020 », dévoile un bilan de Météo-France publié le 2 septembre. Si le mois de juin a été conforme à la normale, le mois de juillet a été légèrement plus chaud (+0,6 °C), et le mois d’août a été nettement plus chaud (+1,5 °C).
Une période de sécheresse qui semble ne plus vouloir en finir et des vagues de chaleur extrême à répétition. Et voilà l’Amazonie menacée comme jamais. La forêt brûle et les populations souffrent.
Dans un rapport publié ce lundi 2 septembre, l’agence onusienne de l’Organisation météorologique mondiale tire la sonnette d’alarme sur les effets extrêmes du réchauffement climatique qui s’abattent sur le continent africain.
L’été 2024 affiche une anomalie de +0,7°C par rapport à la normale 1991-2020, ce qui en fait le troisième consécutif au-dessus des normales, malgré une sensation de fraîcheur au Nord, selon Météo France publié ce lundi 2 septembre.