Greenwashing

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juin 2024

Le secrétaire-général de l’ONU appelle à une action immédiate pour le climat. Selon lui, la décennie actuelle est décisive. Le GIEC a publié leurs calculs détaillés concernant l’année 2023. Cette s…
Jancovici enterre l'accord de Paris par une simple démonstration
With current policies the Earth is on track to a warming of around 3 °C above preindustrial temperatures, a level of heat our planet has not seen for millions of years. Ecosystems, human society and infrastructure are not adapted to these temperatures. Due to non-linear effects, the impacts will be much more severe than just three times as bad as after 1 °C of warming. Land areas will continue to warm much more than the global average, many regions twice as much or even more. Extreme heat will become far more frequent and a major cause of human mortality, making large parts of the tropical land area essentially too hot to live. In addition, extreme rainfall and flooding, droughts, wildfires and harvest failures will increase in frequency and severity. The destructive power of tropical cyclones will also increase. Sea-level rise will accelerate further, and the destabilization of ice sheets will commit our descendants to loss of coastal cities and island nations. The risk of crossing devastating and irreversib
Au terme des douze mois les plus chauds jamais mesurés, Antonio Guterres réclame d’interdire la publicité pour le pétrole, le gaz et le charbon
Un rapport publié ce mercredi 5 juin dans la revue «Earth System Science Data» par une soixantaine de scientifiques de renom alerte sur une hausse des températures de «0,26°C en 2014-2023».
Le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint un "rythme sans précédent" et la fenêtre pour limiter à 1,5°C la hausse des températures est déjà presque fermée, mettent en garde des dizaines de chercheurs renommés, dans une étude parue mercredi."Le réchauffement causé par l'homme a augmenté à un rythme sans précédent dans les mesures instrumentales, atteignant 0,26°C par décennie en 2014-2023", indiquent ces scientifiques.
Le hausse de la température a déjà atteint 1,19°C ces dix dernières années et pourrait dépasser le seuil des 1,5°C d'ici cinq ans seulement.
La fenêtre pour limiter à 1,5 °C la hausse des températures est déjà presque fermée, mettent en garde des dizaines de chercheurs dans une étude parue mercredi. Mais leur travail montre aussi que le rythme d’augmentation des émissions de CO2 a ralenti cette décennie comparé aux années 2000.
Le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint un "rythme sans précédent" et la fenêtre pour limiter à 1,5°C la hausse des températures est déjà presque fermée, mettent en garde des dizaines de chercheurs renommés, dans une étude parue mercredi."Le réchauffement causé par l'homme a augmenté à un rythme sans précédent dans les mesures instrumentales, atteignant 0,26°C par décennie en 2014-2023", indiquent ces scientifiques.
Le réchauffement climatique causé par l'humain a augmenté à un "rythme sans précédent", selon le travail d'une soixantaine de chercheurs publié mercredi. "C'est une décennie critique", avertissent-ils.
Un rapport publié ce mercredi 5 juin dans la revue «Earth System Science Data» par une soixantaine de scientifiques de renom alerte sur une hausse des températures de «0,26°C en 2014-2023».
If currently implemented policies are continued with no increase in ambition, there is a 90% chance that the Earth will warm between 2.3°C and 4.5°C, with a best estimate of 3.5°C.

mai 2024

Dans leur course au profit à tout prix, les entreprises du CAC 40 nous mènent droit vers un réchauffement climatique à +2,7°C. C’est que révèle le nouveau rapport d’Oxfam France « Une France à CAC 40 degrés : les investissements verts loin derrière les actionnaires ». Loin de respecter l’Accord de Paris, les grandes entreprises françaises continuent de privilégier la rémunération des actionnaires au détriment des investissements dans la transition.
Le pourtour de la Méditerranée est la région qui se réchauffe le plus vite au monde, subissant une sécheresse critique. De la Sicile à la Tunisie, en passant par l’Andalousie, le manque d’eau devient une triste habitude. Sicile (Italie), Andalousie (Espagne), Sousse (Tunisie), reportage C’est l’une des zones les plus touchées par le changement climatique sur notre planète. Le bassin méditerranéen subit des « conditions critiques » de sécheresse, ont alerté dès le mois de février les scientifiques du (...)
Une augmentation et une intensification probables des vagues de chaleur
Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
The Guardian a mené un sondage pour connaître le ressenti de centaines de chercheurs en lien avec le GIEC sur le réchauffement climatique.
La majorité des plus grands climatologues estiment que le réchauffement dépassera la barre des 2,5°C d'ici la fin du siècle.
Nous avons demandé à 380 climatologues de renom ce qu’ils pensaient de l’avenir… Ils sont terrifiés, mais déterminés à continuer à se battre. Exclusif : Une enquête menée auprès de centaines d’experts révèle une image terrifiante de l’avenir, mais ils préviennent que la lutte contre le changement climatique ne doit pas être abandonnée.
Climate scientists have told the Guardian they expect catastrophic levels of global heating. Here’s what that would mean for the planet
Le journal britannique « The Guardian » a interrogé 380 des plus grands scientifiques du climat. Selon la majorité d’entre eux, la température moyenne sur la planète va augmenter d’au moins 2,5 °C, avec des conséquences désastreuses. « Désespérée et brisée », « Nous vivons à l’ère des fous ! », « Je suis soulagé de ne pas avoir d’enfants, sachant ce que l’avenir nous réserve »… La plupart des scientifiques du climat interrogés par The Guardian ont une vision très pessimiste du futur. Dans cette enquête alarmante (en (...)
94% des experts du GIEC estiment que l'objectif de +1,5°C au-dessus des niveaux de l'ère préindustrielle sera dépassé d'ici 2100.
Près de 80% des scientifiques du Giec interrogés par le «Guardian» pensent que la température sur Terre aura augmenté d’au moins 2,5°C au cours de ce siècle par rapport à la fin du XIXe.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’
Exclusive: Survey of hundreds of experts reveals harrowing picture of future, but they warn climate fight must not be abandoned
Editorial: Top experts believe global temperatures will rise by at least 2.5C above pre-industrial levels by 2100. That frightening prediction must spur us to action
Exclusive: Planet is headed for at least 2.5C of heating with disastrous results for humanity, poll of hundreds of scientists finds

avril 2024

À cause du réchauffement climatique, certaines régions seront devenues totalement hostiles pour l'être humain d'ici 2050. Découvrez la liste établie par la NASA.
Le Vieux Continent a subi de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes en 2023. Conséquence directe, le nombre de jours de "stress thermique extrême", où la température ressentie a dépassé l'équivalent de 46° C, a augmenté, selon un rapport de Copernicus et de l'ONU publié lundi.
Cost of environmental damage will be six times higher than price of limiting global heating to 2C, study finds
Pour la première fois depuis l’aire préindustrielle (1850-1900), le fameux seuil de +1.5°C a été atteint ou presque (+1.48°C signalé par Copernicus (*) à l’échelle globale pulvérisant le précédent record (2017) de +0.17°C. Depuis juillet 2023, c’est en fait tous les jours ou presque que la température bat les précédents records journaliers avec des anomalies à l’échelle globale atteignant parfois les +2°C ces derniers mois. Enfin, la hausse du niveau des mers a fait un « bon » en 2023 en augmentant de presque un facteur deux par rapport aux précédentes années. Si une telle accélération de la hausse du niveau marin a été observée, ce n’est pas à cause d’une fonte subite des calottes polaires mais, à cause de l’expansion thermique des océans qui se sont « subitement » réchauffés en 2023. En Atlantique Nord par exemple, la température de surface a augmenté de +0.4°C par rapport à 2022 alors qu’elle n’avait quasiment plus évolué sur la période 2020-2022. Mais pourquoi un tel emballement des températures des océan
La surchauffe des océans, qui ne cesse mois après mois de s’aggraver depuis un an, menace la vie marine et entraîne une humidité plus importante dans l’atmosphère, synonyme de conditions météorologiques plus instables, comme des vents violents et des pluies torrentielles.
Un mois de plus, un nouveau record de chaleur à l’échelle mondiale qui laisse les climatologues perplexes, espérant qu’il s’agit d’un phénomène lié à El Niño et non d’un symptôme d’une santé planétaire plus mauvaise que prévu. Les températures à la surface du globe en mars étaient supérieures de 0,1 °C au précédent record pour ce mois, établi en 2016, et de 1,68 °C à la moyenne préindustrielle, selon les données publiées mardi par le Copernicus Climate Change Service.
Professeure émérite de physique de l'atmosphère et du climat à la Sorbonne, Katia Laval a contribué au développement du premier modèle climatique français. Invitée lundi dans La Matinale, elle souligne l'urgence de comprendre les variations brutales et les événements climatiques récents, inexpliqués par les modèles actuels.
Over the past year, there has been a vigorous debate among scientists – and more broadly – about whether global warming is “accelerating”.

mars 2024

Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Claire Nouvian, militante écologiste française, ancienne journaliste, productrice, réalisatrice de documentaires animaliers et scientifiques. En 2004, elle fonde l'association BLOOM @AssociationBloom dont elle est la présidente. Claire a aussi obtenu le prix Goldman pour l'environnement en 2018, une des plus hautes distinctions dans le domaine environnemental. Aujourd'hui nous allons aborder l'Ocean en long et en large. Que s'y passe-t-il au niveau de la biodiversité, du changement climatique quels sont les réactions en chaîne comme son acidification ? Tout comme l'impact de la pêche industrielle, est-ce que les zones marines protégées le sont vraiment ? Ce Talk s'annonce être passionnant mais surtout criant de vérité, préparez-vous et bienvenue sur LIMIT.
La chaleur spectaculaire atteinte en 2023 dans l’atmosphère et les océans a surpris et inquiète une partie des chercheurs, qui ne parviennent pas à l’expliquer totalement, faisant redouter à certains l’entrée du climat dans un « territoire inconnu ».
L'expert en climat Jean-Marc Jancovici revient sur les fortes chaleurs ressenties au Brésil cette semaine.
Des inondations en Nouvelle-Zélande. Des mégafeux de forêt au Canada. Des sécheresses de l’Amazonie au Moyen-Orient. Les effets du réchauffement climatique anthropique se font de plus en plus ressentir. Partout dans le monde. Et à l’allure où vont les choses, les mesures d’adaptation ne suffiront pas à nous préserver du pire, rapportent aujourd’hui des scientifiques.
En 2023, la moyenne des températures mondiales a dépassé celle de l’ère pré-industrielle (période comprise entre 1850 et 1900) d’environ 1,5°C. Et à l’avenir ? À l’horizon 2050, nous aurons atteint les +2°C en moyenne mondiale. Cet article (qui ne prétend pas prédire le futur et qui s'inspire librement d'événements récents) imagine, à la lumière des connaissances scientifiques actuelles, à quoi pourrait ressembler notre quotidien estival en Belgique dans un quart de siècle.
Le réchauffement climatique est une réalité qui se fait de plus en plus sentir dans notre quotidien et son impact devrait augmenter en puissance au fil des décennies si l’objectif de limiter la hausse des températures à +1,5 °C est dépassé. À quelques mois des élections, le climat est un des enjeux principaux de la campagne électorale, la thématique est d’ailleurs déclinée toute la semaine sur les plateformes de la RTBF. Ce lundi, Xavier Fettweis, climatologue à l’ULiège, était invité dans l’émission spéciale de Matin Première sur le thème de l’environnement.
Températures extrêmes, hausse du niveau de la mer, sécheresses, catastrophes naturelles… 2023 aura été l’année de tous les dépassements. Et 2024 pourrait encore voir les choses s’aggraver alerte l’Organisation météorologique mondiale. Seule lueur d’espoir : le recours aux énergies renouvelables n’aura jamais été aussi important.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Traduction - Une hausse surprenante des températures à la surface de la mer suggère que nous ne comprenons peut-être pas à quelle vitesse le climat change.
On parle beaucoup de lutte contre les changements du climat, moins d’adaptation. Pourtant, chaque année qui passe nous éloigne du scénario d’un monde à +1.5° prévu dans les accords de Paris.
En 2023, El Niño a fait son grand retour. Ce phénomène climatique récurrent, généré par l’océan Pacifique, réchauffe brutalement l’atmosphère dont les effets se font ressentir partout sur la planète. Inscrit dans l’histoire de nos civilisations, il va avoir un impact violent.

février 2024

La température mondiale a été de 1,52 °C supérieure à la période 1850-1900 entre février 2023 et janvier 2024, pour la première fois. La hausse des températures doit cependant être mesurée sur une période plus longue pour être pertinente.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré, avec une température moyenne mondiale 1,7 °C au-dessus des niveaux préindustriels.
La planète a dépassé sur 12 mois consécutifs la barre de 1,5°C de réchauffement selon les données de l’observatoire Copernicus, un «avertissement brutal sur l’urgence des mesures à prendre pour limiter le changement climatique».
Pour la première fois, la planète a connu au cours des douze derniers mois un réchauffement de plus de 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle, selon l'agence européenne Copernicus.