Intempéries

OA - Liste

Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

Résultats pour:
COP

juillet 2024

Si le thermomètre était proche ou inférieur aux normales de saison en Europe de l’Ouest, notamment en France, une grande partie du monde a subi des températures supérieures aux normes, voire exceptionnelles.
Monthly global surface air temperature anomalies (°C) relative to 1850–1900 from January 1940 to June 2024, plotted as time series for all 12-month periods spanning July to June of the following year. The 12 months from July 2023 to June 2024 are shown with a thick red line, while all other 12-month periods are shown with thin lines shaded according to the decade, from blue (1940s) to brick red (2020s).
Depuis ce lundi 1er juillet, l’ouragan Béryl balaie le sud-est des Antilles avec une force maximale. Il a fait au moins quatre morts, et d’importants dégâts matériels pour les habitants sur place.

juin 2024

Les associations mettent la pression sur la Chine, alors que la plupart des acteurs occidentaux se sont engagés à ne pas financer le projet.
Dans un contexte où l’urgence climatique se fait de plus en plus pressante, les méthodes traditionnelles de diplomatie semblent en décalage avec les besoins immédiats des pays en développement comme le Gabon. Dans le podcast écologique LIMIT, Laurent Testot, lauréat du prix de l’Académie française pour la promotion du respect de l’environnement, a souligné cette dissonance en déclarant : «Le temps long de la diplomatie n’est pas en phase avec le temps de l’urgence climatique». Adrien N’Koghe-Mba*revient, dans cette chronique, sur les conclusions décevantes de la réunion préparatoire de la COP29 à Bonn, en Allemagne, et appelle à des actions plus rapides et concertées pour affronter cette crise globale.
Le marché multiplie les controverses, mais constitue aussi l'une des rares sources de financement pour les pays du Sud.
Alors que le crise climatique atteint un niveau inégalé, les pays riches ont refusé d'avancer sur le sujet majeur des financements.
Les résultats des élections européennes ont eu des conséquences inattendues : la France se retrouve plongée dans une campagne électorale express après qu’Emmanuel Macron a décidé de dissoudre l’Assemblée nationale. Mais cette agitation ne doit pas faire oublier que la planète se réchauffe et que le climat se dérègle.
La COP16 Biodiversité devra faire le bilan de l'ambition collective. Mais à ce jour, très peu de pays ont mis à jour leurs plans biodiversité.
L’institut Copernicus annonce, ce mercredi 5 juin, que le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. Il s’agit du douzième mois consécutif pour lequel les records de températures mondiales sont battus.
Le futur président de la 29e conférence climatique des Nations unies en Azerbaïdjan a déclaré vendredi à l'AFP que son pays continuerait à augmenter sa production de gaz, "une énergie de transition", pour répondre à la demande internationale, "en parallèle" de ses investissements dans les énergies renouvelables.
Jancovici enterre l'accord de Paris par une simple démonstration
Le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, avec une température moyenne de l'air en surface de 0,65°C au-dessus de la moyenne 1991-2020, a rapporté mercredi le Service Copernicus sur le changement climatique (C3S) dans un communiqué. Il s'agit, en l'occurrence, du 12e mois consécutif pour lequel la température moyenne mondiale a atteint une valeur record.
Abstract. Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) assessments are the trusted source of scientific evidence for climate negotiations taking place under the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC). Evidence-based decision-making needs to be informed by up-to-date and timely information on key indicators of the state of the climate system and of the human influence on the global climate system. However, successive IPCC reports are published at intervals of 5–10 years, creating potential for an information gap between report cycles. We follow methods as close as possible to those used in the IPCC Sixth Assessment Report (AR6) Working Group One (WGI) report. We compile monitoring datasets to produce estimates for key climate indicators related to forcing of the climate system: emissions of greenhouse gases and short-lived climate forcers, greenhouse gas concentrations, radiative forcing, the Earth's energy imbalance, surface temperature changes, warming attributed to human activit
En l’état, les engagements des pays ne remplissent qu’à 70 % l’objectif qui vise à tripler les capacités d’énergie renouvelable dans le monde, un seuil fixé lors de la COP 28 de Dubaï, révèle un rapport de l’AIE ce mardi 4 juin.
L'humanité a fait de grands progrès dans la lutte contre le réchauffement de la planète, mais reste sur une trajectoire "désastreusement élevée" de hausse des températures, a déclaré le chef de l'ONU Climat en ouverture lundi à Bonn (Allemagne) de négociations préalables à la COP29. Sans les négociations menées sous l'égide de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CNUCC) depuis 1992, "nous serions condamnés à un scénario de réchauffement mondial allant jusqu'à 5 degrés, auquel la majorité de l'humanité ne survivrait sans doute pas", a affirmé Simon Stiell en lançant deux semaines de négociations techniques destinées à préparer la 29e COP, à Bakou (Azerbaïdjan), en novembre.
L'humanité a fait de grands progrès dans la lutte contre le réchauffement de la planète, mais reste sur une trajectoire "désastreusement élevée" de hausse des températures, a déclaré le chef de l'ONU Climat en ouverture lundi à Bonn (Allemagne) de négociations préalables à la COP29.
D'intenses pluies ont provoqué des inondations en Bavière, dans le sud de l'Allemagne. L'état d'urgence a été déclaré et plusieurs personnes ont dû être évacuées de leur habitation à l'aide de bateaux et d'un hélicoptère. L'état d'urgence a été déclaré samedi dans les arrondissements de Guntzbourg, Augsbourg, Aichach-Friedberg et Neu-Ulm. A Ausbourg, une digue et un barrage ont lâché. La situation est particulièrement tendue sur les cours d'eau Roth, Osterbach et Biber. Selon les autorités d'Ausbourg, le niveau d'eau pourrait encore fort augmenter au cours des prochaines heures. Elles s'attendent à un niveau d'inondation qui n'est censé être atteint qu'une fois par siècle.
Fabrice NICOLINO est journaliste d'investigation. Il est le créateur du mouvement « Nous voulons des coquelicots », et l'auteur de « Le grand sabotage climatique, révélations sur un système corrompu : ONU, multinationale, gouvernements » (Les liens qui libèrent) dans lequel il raconte une histoire de la pseudo-lutte contre le réchauffement climatique, bien différente du récit officiel. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Fabrice Nicolino lève le voile sur l'hypocrisie des institutions qui prétendent agir pour climat, mais qui en réalité ne font qu'agiter de belles paroles, une novlangue qui rassure sans jamais ne permettre de prendre le problème à la racine. Ce système est en partie conduit par des individus complices des grands groupes industriels polluants. Aucun changement ne pourra advenir tant que ceux qui sont au pouvoir refuseront de remettre en cause l'ordre du monde.

mai 2024

Le géant pétrolier américain ConocoPhillips a annoncé mercredi vouloir racheter son concurrent Marathon Oil, valorisé à 22,5 milliards de dollars dont 5,4 milliards de dette nette, au moment où le secteur fait face à des pressions sur la sortie des énergies fossiles face au changement climatique.
La Cour européenne des droits de l’homme a estimé que « la radicalité de ses convictions politiques ne [suffisait] pas à matérialiser » un risque de débordement.
Le mois d’avril 2024 a été le onzième mois consécutif le plus chaud jamais enregistré, révèle le programme européen Copernicus. Il bat le précédent record établi en avril 2016.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’
Sur les douze derniers mois, la température du globe a été en moyenne 1,61 degré plus élevée qu’à l’ère préindustrielle, dépassant la limite de 1,5 degré fixée par l’accord de Paris en 2015.
April was de elfde maand op rij met de warmste temperaturen die ooit zijn gemeten voor de tijd van het jaar. Dat meldt de Europese klimaatdienst Copernicus.

avril 2024

VN-klimaatbaas Simon Stiell hoopt dat de volgende klimaattoppen het met veel minder bezoekers kunnen stellen. De laatste top in Dubai was een recordeditie met bijna 84.000 deelnemers.
Le président azerbaïdjanais de la COP29 veut que le déblocage des milliards de dollars requis contre le réchauffement de la planète soit un "pilier" des négociations climatiques annuelles de l'ONU en novembre, a-t-il dit jeudi sans présenter encore de pistes concrètes d'avancées.
Le président azerbaïdjanais de la COP29 veut que le déblocage des milliards de dollars requis contre le réchauffement de la planète soit un "pilier" des négociations climatiques annuelles de l'ONU en novembre, a-t-il dit jeudi sans présenter encore de pistes concrètes.
Le Vieux Continent a subi de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes en 2023. Conséquence directe, le nombre de jours de "stress thermique extrême", où la température ressentie a dépassé l'équivalent de 46° C, a augmenté, selon un rapport de Copernicus et de l'ONU publié lundi.
Inondations, chaleurs, incendies... De nombreux records climatiques ont été battus en 2023 en Europe, selon un bilan de Copernicus et de l’Organisation météorologique mondiale. L’inventaire, dévoilé par le climatologue Carlo Buontempo, est glaçant : « En 2023, l’Europe a affronté le plus grand incendie de forêt jamais enregistré, l’une des années les plus humides, des canicules marines extrêmes et des inondations dévastatrices généralisées. » Le 22 avril, une grande photographie de l’état du climat en (...)
Chaleur tourne. Les impacts du changement climatique se sont particulièrement fait ressentir en Europe lors de l’année la plus chaude jamais mesurée sur Terre, dévoilent l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et Copernicus, le service européen de surveillance de la planète.
Dès ce mardi 16 avril, des pluies diluviennes ont provoqué d’importantes inondations aux Emirats arabes unis et dans d’autres pays du Golfe.
La COP28 a eu lieu à Dubaï (Émirats arabes unis) du 30 novembre au 13 décembre 2023, se terminant avec un jour de retard sur le calendrier initial. Cette conférence de la Convention Cadre des Nations unies sur les Changements Climatiques a fait l’objet d’une attention particulière en raison notamment :
La Cour européenne des droits de l’homme vient de condamner l’État Suisse pour son inaction climatique. Elle donne raison à un groupe de dames âgées inquiètes de mourir lors de canicules de plus en plus nombreuses. "Une décision historique qui fait avancer les choses" nous explique Nadia Cornéjo, porte-parole de Greenpeace Belgique: "cela va résonner dans toutes les juridictions nationales et régionales d’Europe pour tous les contentieux climatiques où l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme sur le respect de la vie privée sera invoqué. Cela va pousser les juges à donner raison aux citoyens et aux ONG qui porteront plainte face à l’inaction de leur gouvernement en matière de climat".
Maart 2024 was de warmste maart-maand sinds het begin van de metingen. Daarmee houdt de golf van maandrecords aan. Sinds juni vorig jaar was elke maand warmer dan ooit gemeten, goed voor intussen 10 maandrecords op rij.
L’ONG Surfrider Foudation alerte lundi 8 avril sur la mauvaise qualité de l’eau du fleuve parisien, où doivent se tenir plusieurs courses olympiques. La mairie de Paris et la préfecture d’Ile-de-France affichent leur confiance.
Le ministère de la Transition écologique a dévoilé ce vendredi 5 avril plusieurs cartes des zones concernées par l’érosion du littoral, avec des projections à horizon 2028, 2050 et 2100.
Des élèves de plusieurs écoles situées dans le Tarn et de Haute-Garonne sont en grève ce jeudi 4 avril. Ils protestent contre l’implantation d’une usine d’enrobés à proximité de leurs villages destinée à l'A69.
Op donderdag 21 maart organiseerde het Internationaal Atoomenergieagentschap (IAEA) een conferentie bij het Atomium, symbool van de gouden jaren '50 van het atoom, ter versteviging van hun succesvolle lobbying op de klimaatconferentie COP28 in Dubai. Aviel Verbruggen herleidt hun discours tot zijn ware dimensie van platte leugens en fletse sprookjes en legt uit waarom het nog altijd over atoomenergie gaat, niet over kernenergie.

mars 2024

Connue pour sa résilience, cette fleur symbolise aussi la volonté de tout un pays de surmonter des années de conflit et d’inégalités, dans une région à la biodiversité particulièrement riche, lors de l’événement qui se tiendra à Cali en octobre 2024.
La revue scientifique «Nature» a publié ce mardi 26 mars une synthèse concernant les évolutions des régions viticoles à la lumière du changement climatique.
Il faut débloquer les moyens financiers nécessaires aux pays en développement pour qu'ils atteignent leurs objectifs de décarbonation avant de rehausser ces objectifs, a dit jeudi le président désigné de la COP29, l'Azerbaïdjanais Mukhtar Babayev."Le financement est un catalyseur essentiel de l'action climatique", a souligné M. Babayev, ministre de l'Ecologie et des Ressources naturelles de l'Azerbaïdjan qui accueillera la COP29 à Bakou fin 2024.
Il faut débloquer les moyens financiers nécessaires aux pays en développement pour qu'ils atteignent leurs objectifs de décarbonation avant de rehausser ces cibles, a dit jeudi le président désigné de la COP29, l'Azerbaïdjanais Mukhtar Babayev.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Le président de la COP28, Sultan Al Jaber, a reçu mardi lors de la conférence sur l'énergie CERAWeek un prix célébrant son rôle dans l'accord qui appelle à "transitionner hors des énergies fossiles".Ministre de l'Industrie des Emirats arabes unis et directeur général de la compagnie énergétique nationale Adnoc, Sultan Al Jaber a été le premier patron à présider une COP, la conférence des Nations unies sur le climat.
Un père et ses deux enfants restent introuvables dans le Gard, tandis qu’un homme a disparu en Ardèche voisine. Ce lundi 11 mars, les secours se mobilisent pour les retrouver en même temps que la décrue se poursuit.
Un père et ses deux enfants restent introuvables dans le Gard, tandis qu’un homme a disparu en Ardèche voisine. Ce lundi 11 mars, les secours se mobilisent pour les retrouver en même temps que la décrue se poursuit.
Near-real time updates of key global climate variables from the the Copernicus Climate Change Service (C3S)
Jusqu’à présent, le site global-climat.com publiait les données journalières de température qui n’étaient pas facilement accessibles, à moins d’utiliser des logiciels dédiés pour extraire les données. Il fallait en outre coder en Python, un langage informatique, pour extraire des données plus détaillées sur l’historique. Mais bonne nouvelle, Copernicus a lancé un nouvel outil, et il est remarquable. Une page dédiée, « Climate Pulse », permet de visualiser les données journalières (anomalies, valeurs absolues) sous forme de graphique, de fichier CSV et de carte d’anomalies. Le lien vers cette page est le suivant : https://pulse.climate.copernicus.eu.

février 2024

L’année 2023 s'est terminée avec la COP28 à Dubaï, la conférence annuelle des Nations Unies sur le climat. L’un des enjeux clés de cette COP était la décision de sortir ou non de l’exploitation des énergies fossiles, une histoire qui se répète et qui se confronte aux intérêts américains.
"Écologie, développement local, performance financière, ça coche beaucoup de cases": Éric P., chef d'entreprise de 61 ans, a investi dans la ferme solaire de Marcoussis (Essonne) comme des centaines de copropriétaires locaux, aux côtés d'Engie et d'un syndicat intercommunal.
"L'élan politique peut s'estomper" et "il faut garder l'esprit de la COP28" en vie, a déclaré mardi son président Sultan Al Jaber, appelant à mobiliser non pas des milliards mais "des milliers de milliards" de dollars pour financer les promesses faites à Dubaï pour limiter le réchauffement climatique.
Près de trois mois après l'accord adopté à la COP28 pour tenter de limiter le réchauffement climatique, les pays participant doivent se concentrer sur le renforcement de leur plan de réduction des émissions et sur le financement de la transition, affirme à l'AFP le ministre danois du Climat Dan Jørgensen.
Les Emirats arabes unis, qui ont présidé la COP28, et leurs successeurs, l'Azerbaïdjan pour la COP29 et le Brésil pour la COP30, ont annoncé mardi avoir lancé un partenariat inédit pour "améliorer la coopération et la continuité" des négociations climatiques mondiales avec l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C.
Cet outil, qui mesure la quantité de produits phytosanitaires épandus dans les champs, permet par ricochet de constater si le plan Ecophyto de réduction des pesticides suit correctement son cours. «Libé» fait le point.
Membres du comité de suivi du plan Ecophyto II +, 8 organisations condamnent le manque de considération de l'exécutif et la remise en cause de l’indicateur de mesure des pesticides dans les champs pour répondre à la colère des agriculteurs.
Des pays du monde entier se réunissent à partir de lundi et jusqu'au 17 février en Ouzbékistan pour se pencher sur le sort de ces espèces, qui incluent les tortues marines et les baleines. Albatros, tortues ou esturgeons... La situation d'espèces migratrices se détériore, alerte un rapport inédit publié lundi 12 février sous l'égide de l'ONU. Parmi les espèces répertoriées par la Convention de Bonn de 1979 sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, qui publie le rapport, une sur cinq est menacée d'extinction et 44% voient leur population décroître. A titre d'exemple, 97% des 58 espèces de poissons répertoriées sont menacées d'extinction. Ce rapport est publié alors que les pays du monde entier signataires de la Convention de Bonn – plus de 130 nations mais pas les Etats-Unis ou la Chine – sont réunis pour une conférence (COP14) dans la cité historique de Samarcande en Ouzbékistan jusqu'au 17 février pour se pencher sur le sort de ces espèces migratrices.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré dans le monde et, pour la première fois, la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle a été franchie sur 12 mois consécutifs, selon les données de l'observatoire européen Copernicus.
Une grand-messe du climat au milieu des champs de pétrole. Le choix de l'Azerbaïdjan pour accueillir la COP29 a fait rugir des militants environnementaux mais, selon des experts, il s'inscrit dans une stratégie bien huilée de Bakou pour changer son image de potentat autoritaire et pollueur.
Op de 28ste klimaattop beloofde voorzitter Al-Jaber in zijn toespraak na het klimaatakkoord vol trots “een betere toekomst voor de mensheid en de planeet”. Opvallend is dat hij hier mens en planeet apart benoemd. Deze scheiding tussen ‘natuur’ en ‘mens’ op COP28 is kenmerkend voor het antropocentrisme, een denkwijze waarin de mens centraal staat. Deze ideologie domineert niet alleen het taalgebruik van de klimaattop, maar ook dat van de media. In zijn boek ‘We Have Never Been Modern’ legt de bekende denker Bruno Latour, een socioloog, antropoloog en filosoof, uit wat de gevolgen zijn van deze loskoppeling: het geeft de mens de mogelijkheid om boven de natuur uit te stijgen, deze te beheersen en te manipuleren.

janvier 2024

L'accord scellé à la COP28 doit conduire le Royaume-Uni à accélérer dans la lutte contre le changement climatique, a exhorté l'organisme indépendant chargé de conseiller le gouvernement dans un rapport publié mardi, s'inquiétant des "messages contradictoires" envoyés par le gouvernement.Cet accord historique conclu il y a près d'un mois à Dubaï "a des implications pour les politiques nationales et internationales du Royaume-Uni", souligne la Commission sur le changement climatique.
Le texte final de la COP 28 mentionne pour la première fois l'objectif d'une sortie des énergies fossiles. Salué comme une avancée par certains, critiqué par d'autres, cet accord est-il aussi historique qu'insuffisant ?
Azerbeidzjan, gastland van de volgende VN-klimaattop, heeft verschillende topmannen van olie- en gasbedrijven en enkele controversiële regeringsfiguren benoemd in het comité dat de top moet organiseren. Ook opvallend: er is geen enkele vrouw bij.
Le monde a installé l’an dernier 50% de capacités électriques renouvelables en plus par rapport à 2022, selon un rapport publié ce jeudi par l’Agence internationale de l’énergie.
À Dubaï, siège de la dernière « Cop » (Conference of parties), le lobby des énergies fossiles se trouvait en position confortable. Pas moins de 2.456 participants à l'événement entretenaient des liens avec le secteur du gaz et du pétrole. Tout indique qu'il en sera de même pour la suivante. La Cop 28 avait été organisé par Sultan al-Jaber, président de la principale compagnie pétrolière des Émirats arabes unis. La Cop 29 le sera par Mukhtar Babayev, qui cumule seize années de direction à SOCAR, le géant pétro-gazier d'Azerbaïdjan. L'omniprésence des intérêts fossiles aux dernières « Cop » fait ressortir le souvenir des premiers « sommets de la Terre », convoqués avec une certaine nostalgie. Pourtant, dès la conférence de Stockholm (1972), le secteur de l'or est présent. Il bénéficie d'un allié de taille : Maurice Strong, pétrolier et sous-secrétaire général de l'ONU. Naviguant entre le Club de Rome et les énergies fossiles, il allait avoir une influence considérable dans la configuration des sommets à
Les températures records de 2023 obligent les «warming stripes», ces rayures colorées utilisées pour représenter les températures moyennes enregistrées sur une année, à être révisées.
2023 a bien été l’année la plus chaude au niveau mondial. 'Une année exceptionnelle où les records climatiques sont...
L'année "2023 est l'année la plus chaude jamais enregistrée", confirme le programme Copernicus dans une étude publiée ce mardi.
Alors que les conférences des Nations unies sur le climat négocient une baisse de l’extraction des énergies fossiles pour limiter le réchauffement de la planète, Bakou prévoit de passer de 37 milliards de m³ de gaz en 2024 à 49 milliards de m³ en 2033.
L’année 2023 a été la plus chaude jamais mesurée. Si 2024 ne bat pas ce record, elle n’en sera pas loin. Pendant ce temps, les sommets mondiaux sur le climat – les COP – avancent trop lentement. Ce serait pourtant tout bénéfice si on accélérait, juge la climatologue française Valérie Masson-Delmotte.
L'or noir est à la fois l'unique ressource à exporter et l'unique source de revenu pour financer le budget de l'État.
On connaît désormais le nom du prochain président de la COP29, qui se tiendra à Bakou, en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024. Il s'agit de Mukhtar Babayev, actuel ministre de l'Environnement et des ressources naturelles azerbaïdjanais. À l'instar de Sultan Al Jaber, président émirati de la COP28, il vient lui aussi du secteur des énergies fossiles puisqu’il a passé 26 ans au sein de la société pétrolière et gazière publique d’État, Socar.
Pour la seconde année consécutive, un homme du pétrole présidera la conférence de l'ONU sur le climat, l'Azerbaïdjan ayant nommé son ministre de l'Ecologie et des Ressources naturelles Mukhtar Babayev, ancien de la compagnie pétrolière Socar, comme président de la COP29 qui se tiendra en novembre à Bakou.
Aujourd’hui ministre de l’Ecologie et des Ressources naturelles, Mukhtar Babayev a travaillé pendant plus de quinze ans dans la compagnie nationale pétrolière et gazière du pays.
La réutilisation des eaux dites «impropres à la consommation» pour certains usages domestiques, prévue dans le cadre du plan eau, est en consultation jusqu’à fin janvier. Il pourrait s’appliquer dès le 1er juillet 2024.

décembre 2023

L'année 2023 a été marquée par de sombres records côté climat et biodiversité. Sans renier ces mauvaises nouvelles, «Libération» revient sur six nouvelles environnementales enthousiasmantes.
Les deux climatologues estiment, dans une tribune au « Monde », que nous sommes encore très loin du « plan d’action solide » annoncé par le président de la Conférence des parties pour maintenir « à portée de main » l’objectif de l’accord de Paris.
On peut s’interroger au vu des résultats à quoi ont servi ces 28 manifestations. Souvenons-nous, la COP21 à Paris fut une vaste tromperie, on promettait le nirvana avec un accord non contraignant de décroître de 2 milliards de tonnes de CO2 par an passant de 30 à 16 milliards de tonnes. Résultat : nous sommes à plus de 40 milliards de tonnes. On en vient au désespoir à moins de faire de l’errance climatique une cause mondiale par la création d’un conseil de sécurité de la Terre qui aura à édicter des injonctions contraignantes avec la nécessité de payer pour la pollution causée. Peut-être qu’on y arrivera si ce n’est pas trop tard à la COP 40 avec une prise de conscience.
La COP28 à Dubaï vient de se terminer et il est temps de faire les comptes. Comme chaque année, la présidence de la COP a annoncé un accord “historique”. Bon, comme pour un horoscope chacun pourra interpréter ce qu’il veut dans l’accord final et ça, on va le creuser après mais juste une chose avant et de démarrer… Si Total énergies estime que cet accord conforte sa stratégie d’augmenter la production de Pétrole et Gaz de 2 à 3% par an à 2027… ça sent pas bon. Bref, on va parler de la sortie des énergies fossiles, les histoires de pertes et préjudices, de finance climatique et faire un petit peu d’anglais...
Il est bien difficile de juger des résultats de la COP28, qui s’est réunie, début décembre, à Dubaï. Les uns retiennent les engagements marquants et concrets comme le triplement des capacités renouvelables, d’ici à 2030, ou l’engagement d’un certain nombre de compagnies pétrolières à éliminer les fuites de méthane. Les autres relèvent les précautions de langage qui réduisent la portée de l’engagement à sortir graduellement des énergies fossiles, ou l’incapacité des pays du Nord à contribuer significativement à la décarbonation du Sud.
Quelle différence entre l'empreinte carbone et la comptabilité carbone du GIEC ? La comptabilité carbone du GIEC ne prend pas en compte les émissions importées. (émissions de consommation.) Quels arguments permettent d'affirmer que l'UE doit être neutre en carbone en 2033 ? Pour respecter les accords de Paris, on nous annonce qu'il faut être neutre en carbone en 2050, mais les émissions passées n'ont pas été prise en compte. Si on les prend en compte, il faut alors être neutre en 2033. Pourquoi le changement de comportement ne fait pas partie de la sobriété selon Saheb ? Car le changement de comportement ne se produit que grâce aux normes sociales que les politiques inventent. Si vous n'avez pas de politique de sobriété, vous n'aurez pas de normes sociales, et donc vous n'aurez pas de changement de comportement.
La COP28 récemment réunie à Dubaï a fait l’objet d’amples débats autour de la nécessité d’engagements des États de sortir des fossiles, en plus du respect des engagements de réduction des émissions de carbone pris après l’accord de Paris de 2015. Les militants du climat proposent de mettre en place des mécanismes contraignants ciblant les exploitations de charbon, de pétrole et de gaz dans tous les pays disposant de ressources, sans tenir compte des responsables des émissions directes de CO2 que sont les consommateurs de fossiles.
Une toux de longue durée, persistante ? Une pneumonie qui résiste à un antibiotique classique ? Vous êtes peut-être...
La COP 28 a récemment suscité l'inquiétude, mais a tout de même débouché sur un accord historique, malgré certaines zones d'ombre.
Historisch of een gemiste kans? MO*journalist John Vandaele fileert het slotakkoord van de COP28 in Dubai. Hij stelt vast dat veel zal afhangen van wat met het akkoord zal gebeuren en van de strijd die op allerlei manieren en niveaus wordt gevoerd.
C’est un accord historique ! Voilà ce que l’on a pu lire ou entendre à la fin de la COP28 à Dubaï, reprenant ainsi les mots de son président Sultan Al-Jaber. Pourtant, comme souvent, la réalité est plus complexe. Il y a bien quelque chose d’inédit puisque c’est la toute première fois en 30 ans que le texte final d’une conférence internationale sur le climat appelle à une transition hors des énergies fossiles. Et c’est un signal très fort. Mais l’accord ne parle pas de sortie des énergies fossiles, le fameux “phase out”, demandé en vain par les activistes et une centaine d’États jusqu’aux dernières heures des négociations. Selon l’avis de nombreuses ONGs et scientifiques, l’accord est encourageant mais reste bien en dessous de ce qu’il faudrait pour préserver l’habitabilité de notre planète. Il présente de nombreuses limites, notamment le manque de moyens accordés aux pays les plus vulnérables pour faire face aux effets du dérèglement climatique et opérer leur transition mais aussi des paris technologiques ris
Il faut arrêter d’accepter l’hypocrisie et le cynisme, une fois de plus des invités de marque à la table de la COP28. Certes, les grands prédateurs de la vie de la Terre peuvent fêter les conclusions qu’ils ont imposées au monde et qui vont tout droit dans la direction de leurs intérêts et priorités. Mais que penser des centaines de millions d’asiatiques du Sud, d’africains subsahariens, de moyen-orientaux, en particulier, victimes des grandes inondations et des grandes sécheresses dont la responsabilité primaire revient aux plus grands et riches producteurs d’énergies fossiles ?
La conférence des Nations unies sur le climat de Dubaï a été décrite comme la COP qui marque le début de la fin pour les énergies fossiles. Ces combustibles sont responsables d’environ 80 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Alors que la bataille fait rage pour savoir si oui ou non la COP28 a été un succès et s’il est justifié de parler d’un accord "historique", il suffit peut-être de se tourner vers les pétroliers pour trouver la réponse. Sultan al Jaber, le président du sommet, à la tête de la compagnie pétrolière nationale Adnoc, a affirmé dans un entretien au Guardian publié vendredi 15 décembre qu’il continuerait à investir dans les hydrocarbures malgré l’accord trouvé à Dubaï.
Un accord mentionnant la « transition hors des énergies fossiles » a été adopté à la COP28. Mais il n’inquiète guère les producteurs de pétrole, dont l’activité ne va pas être affectée à court terme.
Désormais "la direction est claire": à la COP28 le monde a dit "adieu aux énergies fossiles", s'est félicité vendredi le patron de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), pour qui chacun peut désormais demander des comptes à son gouvernement ou aux industries pétro-gazières quant à leurs politiques énergétiques.Dans un entretien à l'AFP, Fatih Birol voit cependant un grand oubli dans la réunion de Dubaï: le financement de la transition énergétique des pays du Sud, clé de la lutte contre le réchauffement climatique mondial.Q: Comment accueillez-vous cet accord ?
La conférence sur le climat vient de se terminer à Dubaï sur un accord historique qui devrait marquer “le début de la fin” des énergies fossiles. Pourtant, le président de la COP28, Sultan Al Jaber, a affirmé poursuivre son investissement dans le pétrole.
Les occasions de se réjouir sont rares. Alors, ne boudons pas celle-ci. Hier, après deux semaines de réunions et une dernière nuit d’intenses négociations, près de 200 pays se sont mis d’accord sur un texte appelant à “transitionner hors des énergies fossiles”. C’est la toute première fois, dans le cadre du processus des Nations unies sur les changements climatiques, que les États reconnaissent collectivement la nécessité de renoncer au pétrole, au gaz et au charbon, dont la combustion représente l’une des principales sources d’émissions de gaz à effet de serre.
Malgré les cris de triomphe qu’aura provoqué la publication de sa déclaration finale, la COP 28, qui vient de s’achever, n’aura rien décidé de sérieux. Les 200 délégations, réunies autour de 100 000 participants, n’auront réussi à s’entendre que : 1/ Sur la création d’un petit fond pour compenser une toute petite partie des dommages bientôt causés par les désastres climatiques ; 2/ Sur le déploiement, déjà décidé par ailleurs, et encore très insuffisant, d’énergies renouvelables ; 3/ Sur la mention timide de l’énergie nucléaire comme une partie des solutions ; et, 4/ Sur la nécessité théorique de se diriger vers l’élimination progressive de l’usage des énergies fossiles. On considère ainsi comme un grand triomphe une prise de conscience qui aurait dû avoir lieu il y a 40 ans au moins.
John Kerry a attendu la fin de la COP28, mercredi, pour le dire : l'émissaire américain a bien cru, dans les dernières 48 heures, que la conférence de Dubaï se dirigeait vers un fiasco.La raison ? Il n'a pas nommé de pays mais on devine dans son récit les contours de l'Arabie saoudite, du Koweït et, plus généralement, des Etats pétroliers du groupe arabe.
A rebours de l'ovation suscitée à Dubaï, l'accord de compromis auquel est parvenue la COP28 reçoit un accueil très réservé dans certains pays d'Asie et d'Océanie parmi les plus vulnérables au changement climatique.L'accord, adopté mercredi par consensus et qualifié d'"étape historique" par le président américain Joe Biden, ouvre la voie à l'abandon progressif des combustibles fossiles, principaux responsables du réchauffement.
En s’accordant sur une "transition hors des énergies fossiles" dont les contours manquent de clarté (cette transition étant ni contraignante, ni chiffrée), la COP28 rajoute du flou dans un marché déjà peu lisible. L’OPEP, le cartel du pétrole, a en effet annoncé début décembre une baisse volontaire de ses extractions pour soutenir les prix du baril et maximaliser les rentrées financières de ses membres. A l’opposé de cette stratégie, les extracteurs de schiste américains produisent à des niveaux records pour donner confiance à leurs investisseurs.
In deze rubriek brengt veellezer Marc Vandepitte markante feiten, cijfers of quotes van over heel de wereld die in de andere media weinig of geen aandacht kregen, maar zeker het vermelden waard zijn om de chaotische wereld van vandaag te begrijpen. Deze keer richt hij zijn blik op de klimaattop in de Verenigde Arabische Emiraten en de blijvende uitdagingen ten aanzien van de klimaatopwarming.
Op een cruciaal moment voor mondiale klimaatactie stemden de landen die de klimaattop van de Verenigde Naties (COP28) bijwoonden in met een geleidelijke afschaffing van fossiele brandstoffen, maar ze beloofden niet om deze volledig te verwijderen. Landen misten ook de kans om zich ertoe te verbinden klimaat- en natuurrampen parallel aan te pakken.
Les pays du monde entier se réunissent mercredi à Dubaï à la COP28 pour débattre et éventuellement approuver un compromis qualifié d'historique par des Européens pour son appel inédit à abandonner progressivement les énergies fossiles.
Tôt ce mercredi 12 décembre, la présidence émiratie a livré une nouvelle proposition de texte moins catastrophique que la précédente mais toujours problématique sur les technologies de capture de C02.
Vous êtes en terminale ou en première spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP) ? La Lettre de l’éduc est pour vous. Chaque semaine, Benjamin Daubeuf, professeur agrégé d’histoire-géographie, vous conseille la lecture d’un article d’actualité qui résonne particulièrement avec votre programme. Cette semaine, analyse de la position délicate du pays hôte du sommet sur le climat et de ses voisins, dont l’économie repose sur l’exportation d’hydrocarbures.
La présidence émiratie de la COP28 a présenté mercredi un nouveau projet d'accord qui devra être approuvé par près de 200 pays par consensus. Le texte appelle à "transitionner hors des énergies fossiles", "en accélérant l'action dans cette décennie cruciale" dans le but d'atteindre la neutralité carbone en 2050. Cependant, il ne parle plus de "sortie" du pétrole, du gaz et du charbon, comme le réclamaient plus d'une centaine de pays.
Les pays du monde entier ont approuvé mercredi par consensus à la COP28 à Dubaï une décision appelant à une "transition" vers l'abandon des énergies fossiles, pour la première fois dans l'histoire des conférences sur le climat de l'ONU. Dès l'ouverture de la séance plénière de clôture, les délégués ont adopté la décision préparée par les Émirats arabes unis, déclenchant une ovation debout et un tonnerre d'applaudissements des délégués. Il s'agit d'une décision "historique pour accélérer l'action climatique", a déclaré Sultan Al Jaber, président de la conférence de l'ONU et patron de la compagnie pétrolière émiratie, Adnoc.
Après une nuit de prolongation, les pays du monde entier ont approuvé à la COP28 de Dubaï un compromis qualifié d'historique pour son appel inédit à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.Le texte issu de douloureuses négociations a été adopté par consensus à Dubaï, aucune voix ne s'élevant parmi les quelque 200 nations représentées en séance plénière avant le coup de maillet entérinant son adoption.
New path to transition away from fossil fuels marred by lack of finance and loopholes COP28 in Dubai sends an important signal on the end of fossil fuels but leaves more questions than answers on how to ensure a fair and funded transition that is based on science and equity
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant notamment pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France et les Pays-Bas, les pays arabes et dans une moindre mesure l'Australie.L'ONU et les Samoa, qui s'exprimait au nom des petites îles, ont été plus mesurées, appelant à aller plus loin dans la transition énergétique.
Le fier président de la COP28 n'avait plus de temps à perdre: après deux nuits d'ultimes négociations éreintantes, il n'a fallu que cinq minutes à Sultan Al Jaber pour adopter d'un coup de maillet nerveux un accord historique sur l'abandon progressif des énergies fossiles, malgré la déception des Etats insulaires.
Après une nuit de prolongation, les pays du monde entier ont approuvé mercredi à la COP28 de Dubaï un compromis qualifié d'historique pour son appel inédit à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.
Après deux semaines de pourparlers et une dernière nuit d’intenses négociations, les délégations de tous les pays du monde réunies à Dubaï se sont mises d’accord mercredi 13 décembre sur un texte appelant à “transitionner hors des énergies fossiles”. Une première.
Après les longues heures de négociations, place au casse-tête lié à la traduction de cette formulation clé de l’accord final.
Pour la première fois, les pays du monde entier ont approuvé mercredi lors de la 28e conférence sur climat de l'ONU à Dubaï un compromis historique ouvrant la voie à l'abandon progressif des énergies fossiles causant le réchauffement, malgré les nombreuses concessions faites aux pays riches en pétrole et en gaz.
Un accord a finalement été trouvé ce mercredi 13 décembre à la COP28 de Dubaï. Celui-ci vise à "abandonner progressivement les énergies fossiles", une première dans l'histoire des COP. Reste de nombreuses failles qu'il faudra combler.
La COP28 a évité l’échec, au terme d’une nuit blanche de négociation. L’accord mentionne la « transition hors des énergies fossiles ». Mais sans date ni obligation.
COP de fin. À Dubaï, pour la première fois de l’histoire, un texte de conférence mondiale sur le climat pointe clairement du doigt les énergies fossiles. Mais en laissant la porte ouverte à des technologies hasardeuses et faute de financements suffisants pour les pays du Sud, la COP28 aura encore ménagé les principaux contributeurs à la crise climatique : les pays occidentaux et leurs fournisseurs de charbon, de gaz et de pétrole.
Après trois décennies de tergiversations autour de la cause principale du réchauffement climatique, les négociations de l'ONU sur le climat, réunis à la COP28 de Dubaï, ont appelé le monde à "effectuer une transition hors" (transitioning away en anglais) des énergies fossiles.
La COP28 à Dubaï vient de se terminer et c’est l’heure du bilan. La présidence de la COP a annoncé un accord historique, mentionnant les énergies fossiles. La presse française s’est immédiatement emparée de la nouvelle en en faisant un gros titre, reprenant mot pour mot la communication de la présidence de la COP28. Mais le diable se cache dans les détails. Et ici, il y a beaucoup de détails. S’il est facile de déclarer “que les COP ne servent à rien”, la réalité est bien plus complexe et d’innombrables sujets y sont abordés, sujets qui n’avanceraient jamais autant sans ces COP. Où en sommes-nous depuis la COP27 ? Avons-nous encore une chance de maintenir un réchauffement mondial à +1.5°C depuis le début de l’ère industrielle ?
Le groupe pétro-gazier TotalEnergies a salué mercredi l'accord trouvé à Dubaï à la COP28 qui trace la voie de l'abandon progressif des énergies fossiles, estimant qu'il conforte sa "stratégie de transition", a commenté le groupe auprès de l'AFP."TotalEnergies salue l'accord trouvé à Dubaï qui appelle à la +transition dans les systèmes énergétiques+ d'une manière +juste, ordonnée et équitable+", a indiqué le groupe en reprenant les termes pesés du texte de 21 pages approuvé mercredi par consensus.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele a réagi après l'adoption de l'accord final de la Cop 28.
Près de 200 pays sont parvenus à un consensus, mercredi, à la COP28, sur un texte final qui appelle à une "transition hors des énergies fossiles" pour lutter contre le réchauffement climatique. Un accord immédiatement salué par la communauté internationale, malgré "des lacunes".
Les pays du monde entier ont approuvé, ce mercredi 13 décembre lors de la COP28 de Dubaï, un accord mentionnant une «transition hors des énergies fossiles». Mais l’analyse du texte est très hétérogène en fonction des pays.
En première ligne contre le changement climatique, les représentants des îles pays n’étaient pas présentes lors de l’adoption du texte final voté au sommet onusien, qu’ils jugent insuffisant.
Suffisamment ambigu pour satisfaire tout le monde, l’accord adopté mercredi à Dubaï sur la «transition hors des énergies fossiles» est le résultat de la diplomatie hors pair du président émirati de la COP 28. En réalité, tout reste à faire.
La Russie, l'un des plus gros producteurs de gaz et de pétrole, a appelé mercredi à éviter une sortie "chaotique" des énergies fossiles, tout en saluant la nature de "compromis" de l'accord adopté à la COP28 de Dubaï."Nous avons, à chaque occasion, souligné les conséquences d'une sortie chaotique, et sans le soutien de la science, du charbon, du pétrole et du gaz", a déclaré le chef de la délégation russe, Rouslan Edelgueriev, cité par l'agence de presse TASS.
« Accord historique ». C'est ainsi qu'est présenté le texte de décision de la COP28 validé ce mercredi 13 décembre, reprenant le qualificatif de la Présidence émiratie de la COP sans recul et distance critique. Si l'appel à une « transition hors des énergies fossiles » est évidemment un résultat positif, il comporte de nombreuses faiblesses qui en limite la portée. Explications.
Après près de trois décennies de tergiversations autour de la cause principale du réchauffement climatique, les négociations de l'ONU sur le climat, à la COP28 de Dubaï, ont appelé le monde à "effectuer une transition hors" (transitioning away en anglais) des énergies fossiles.
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, les principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France, la Russie, l'Espagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, les pays arabes, l'Afrique du Sud et dans une moindre mesure l'Australie.
Clément Sénéchal, expert des enjeux climatiques et ancien porte-parole chez Greenpeace, fustige le manque d’ambition des résultats de l’accord de la COP 28 à Dubaï.
Bijna tweehonderd landen hebben woensdagochtend na nachtelijke vergaderingen de slottekst van de VN-klimaattop in Dubai goedgekeurd, zonder harde belofte over de uitfasering van olie, aardgas en steenkool. De reacties die we sprokkelden bij delegatieleden lopen uiteen: van 'historische koersverandering' tot 'ronduit teleurstellend'.
Après une nuit blanche et quelques heures de prolongation, les Parties sont finalement parvenues à un accord de compromis à Dubaï. Le texte d'accord prévoit une transition hors des énergies fossiles pour atteindre la neutralité carbone en 2050.
Que retenir de la COP28 ? Outre l'appel à abandonner les énergies fossiles, le sommet de Dubaï a permis d'avancer sur les pertes et dommages, la prise en compte de l'agriculture ou encore les énergies renouvelables. Il a en revanche échoué à avancer sur les financements, l'adaptation ou encore les marchés carbone.
Le système alimentaire mondial est l'un des secteurs les plus fragilisés par les effets du dérèglement climatique, tout en étant l'un des responsables. Face à ce constat, l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) a dévoilé dimanche une feuille de route pour concilier éradication de la faim dans le monde et objectifs climatiques. Un document inédit alors que le sujet est souvent laissé de côté à la table des négociations.
La COP28, censée se terminer mardi, semble bien partie pour jouer les prolongations alors qu'un compromis sur les énergies fossiles est encore loin de se dégager à Dubaï. Le dernier projet d'accord mis sur la table est jugé par beaucoup trop faible pour répondre à la crise climatique.
La COP28, dont la clôture était prévue pour mardi, semble prolonger ses débats alors qu’un consensus sur les énergies fossiles demeure hors de portée à Dubaï. Le dernier projet d’accord présenté est largement critiqué pour son manque d’ambition face à la crise climatique, suscitant des désaccords entre les pays pétroliers, dirigés par l’Arabie saoudite, et des nations telles que les États européens, les États-Unis, et les îles du Pacifique.
La COP28, censée se terminer mardi, semble bien partie pour jouer les prolongations alors qu'un compromis sur les énergies fossiles est encore loin de se dégager à Dubaï, le dernier projet d'accord mis sur la table étant jugé par beaucoup trop faible pour répondre à la crise climatique.
Les négociations de la COP28 se sont poursuivies tard dans la nuit de mardi autour du compromis proposé par le président émirati, très largement rejeté par les pays pour son manque d'ambition sur la sortie des énergies fossiles.Aux premières heures du dernier jour théorique de la 28e climatique Conférence des Nations unies à Dubaï, les pays occidentaux, des Etats insulaires ainsi que des pays africains et latino-américains ont réitéré leur opposition au texte lors d'une réunion à huis clos, selon des négociateurs joints par l'AFP.
La centaine de pays en faveur d'une sortie des énergies fossiles, dont ceux de l'Union européenne et de nombreux pays insulaires, négocient à Dubaï, au dernier jour de la COP28, pour arracher un accord face à l'opposition de l'Opep et de l'Arabie saoudite, mais rien n'indique que les Emirats trouveront un compromis mardi.L'heure limite de 07H00 GMT fixée la semaine dernière par le président de la COP28, Sultan Al Jaber, est passée sans accord, comme de nombreux négociateurs le prévoyaient.
Des responsables arabes ont critiqué mardi avec force la proposition de sortie progressive des énergies fossiles discutée à la COP28, lors d'une conférence sur la coopération régionale dans le domaine du pétrole à Doha.Au dernier jour théorique de la 28e conférence de l'ONU sur le climat à Dubaï, un bras de fer est engagé entre pays partisans de la sortie des énergies fossiles, dont ceux de l'Union européenne (UE), et le bloc mené par l'Arabie saoudite qui s'y oppose.
À 12 ans, la jeune indienne Licypriya Kangujam est montée sur scène lors d’une cession de négociations des Nations unies pour demander la sortie des énergies fossiles, alors que l’accord préliminaire de la Cop 28 ne le stipule pas à ce stade.
Le projet de texte proposé par la présidence émiratie de la COP28 ne parle pas de la fin des énergies fossiles. Il est rejeté par les Européens, les ONG, et les États menacés par la montée des eaux.
Quelle sera la bonne formule permettant un accord sur les énergies fossiles? Au dernier jour prévu de la COP28 à Dubaï, les négociateurs défendent mardi leurs "lignes rouges" mais signalent aussi les compromis qu'ils sont prêts à faire pour éviter un échec.L'heure limite de 07H00 GMT fixée la semaine dernière par le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, est passée sans accord, comme de nombreux négociateurs le craignaient.
Les négociateurs de la COP28 à Dubaï ont passé des nuits blanches en quête d'un improbable consensus sur les énergies fossiles. Mais il n'y a même pas consensus sur ce que signifie précisément le consensus selon les règles de l'ONU Climat. Le texte central de la COP28 devra être adopté par les 195 signataires de l'accord de Paris (194 pays et l'Union européenne) par consensus, mais il n'y aura pas de vote, et le concept est vague juridiquement, et différent de l'unanimité. En théorie, un seul pays peut objecter à l'adoption de l'accord final.
Malgré la multiplication des sommets internationaux sur le climat, comme la COP28 en cours à Dubaï, la concentration en gaz à effet de serre dans l’atmosphère continue d’augmenter. Sans pour autant que cela atteste de leur totale inutilité.
Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mardi à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus inédit sur les énergies fossiles dont l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole refusent d'acter la sortie.Depuis 24 heures, le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, s'évertue à sauver une COP qu'il avait annoncée comme "historique" et capable de sauver l'accord de Paris sur le climat et son objectif de limiter l'élévation de la température mondiale à 1,5°C.
La nuit est tombée mardi à Dubaï avec l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus sur les énergies fossiles, défendues ardemment par l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole.Selon une source proche de la présidence de la COP28, un nouveau texte pourrait être publié dès mardi soir. Mais les délégués des pays restent très prudents tant que l'ONU n'aura pas publié officiellement de nouveau texte, les négociations continuant de nuit à Dubaï.
Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mercredi à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus inédit sur les énergies fossiles dont l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole refusent d'acter la sortie.
Dans la dernière ligne droite des négociations au sommet climat de l’ONU, les pays du Golfe ainsi que le groupe africain, défenseurs des énergies fossiles, se sont montrés inflexibles. L’espoir d’arracher un compromis sur la sortie du gaz,
Journalisten Amy Goodman en Dennis Moynihan van de alternatieve VS-zender Democracy Now! stellen op de klimaatconferentie COP28 in Dubai een enorme aanwezigheid vast van lobbyisten voor de fossiele energiebedrijven. Hun aanpak van de klimaatverandering is er op gericht ze nog erger te maken.
Fossiele energiebedrijven sponsoren de klimaatconferentie COP28 in oliestaat Dubai. Ze doen nog meer onbaatzuchtige dingen voor het klimaat, zoals een oorlog uitlokken. Voor de Venezolanen die op 3 december 2023 stemden in een referendum over de betwiste regio Essequibo gaat dit niet om een conflict met buurland Guyana maar over een conflict dat ExxonMobil uitlokt tegen de bevolking van Venezuela én Guyana.
Vanop de klimaattop COP28 vraagt VN-jongerenvertegenwoordiger Simon Sterck zich af wat de Leuvense student kan doen tegen de klimaatcrisis. 'Nee, dit is niet de zoveelste "beperk je individuele voetafdruk met deze 5 tips"-tekst.'
Le chef de l'ONU Climat a appelé lundi les pays réunis à la COP28 à lever "les blocages tactiques inutiles" dans la dernière ligne droite des négociations à Dubaï, alors que l'Arabie saoudite semble de plus en plus isolée et que la Chine apparaît comme la clé de voûte d'un éventuel accord sur les énergies fossiles.Les métaphores sportives sont de mise lundi à Dubaï alors que la COP28 est censée se terminer mardi et que la dernière nuit a été courte pour tout le monde.
Dans le cadre des négociations de l'ONU sur le climat, les Etats-Unis appellent à l'élimination progressive des combustibles fossiles, mais leur statut de première puissance pétrolière mondiale remet en question leur crédibilité.Souvent considérés par les écologistes comme des mauvais élèves, en particulier sous les présidents républicains, les Etats-Unis ont surpris en soutenant les appels à mettre fin à l'extraction du pétrole, du gaz et du charbon, l'Arabie saoudite, grand exportateur de pétrole, s'opposant avec virulence à cette démarche.
Une dynamique inédite pour la fin des énergies fossiles anime la 28e conférence climatique des Nations unies à Dubaï, malgré l'hostilité de l'Arabie saoudite, de plus en plus isolée, et le flou qui entoure les termes d'un possible compromis à 24 heures de la fin. Un nouveau projet d'accord est attendu lundi matin, avant-dernier jour de la conférence. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé pour sa part les négociateurs à assurer la sortie de "toutes les énergies fossiles".
Les jeunes Belges francophones se sentent en "déconnexion" avec la sphère politique, selon le mémorandum "Être jeune en 2023", publié lundi par le Forum des jeunes et recensant les témoignages de plus de 1.000 personnes âgées de 16 à 30 ans, en Fédération Wallonie-Bruxelles.
À la COP28, les dirigeants débattent d'un avenir ‘zéro carbone’. Mais ils redoutent que les électeurs, empêtrés dans une conjoncture économique morose, n’y adhèrent pas. Et pourtant, ils pourraient rallier les citoyens vulnérables à leur cause et atteindre les objectifs climatiques, s'ils prenaient le temps de les écouter.
Le président émirati de la 28e conférence de l'ONU sur le climat a proposé lundi un projet d'accord en vue de la réduction de la place des énergies fossiles dans le monde, immédiatement rejeté par les pays qui attendent un appel clair à la "sortie" du pétrole, du gaz et du charbon responsables du réchauffement planétaire. "Nous avons fait des progrès mais nous avons encore beaucoup à faire", a admis Sultan Al Jaber, reconnaissant implicitement que le texte serait encore amendé dans les prochaines heures, avant la fin supposée de la COP28 mardi.
Malgré les appels de l’ONU, le compromis proposé lundi par la présidence émiratie ne mentionne que « la réduction de la consommation et de la production des énergies fossiles », au grand dam de nombreux défenseurs du climat.
De mauvaises conditions météorologiques ont entraîné le 2 décembre la chute d’une citerne de 28 000 litres d’acide sulfurique d’un cargo. Pour Mireille Pujo-Pay, océanographe, la toxicité qui pourrait découler de cet incident reste mineure.
La liste rouge mondiale des espèces menacées mise à jour lundi met en lumière les conséquences du réchauffement...
Le président émirati de la 28e conférence de l'ONU sur le climat a proposé lundi un projet d'accord qui laisse toute latitude aux pays pour choisir leur manière de réduire la pollution des énergies fossiles, sans objectif commun de sortie du pétrole, du gaz et du charbon, suscitant la réprobation de nombreux pays."La République des Iles Marshall n'est pas venue ici pour signer son arrêt de mort", a tonné son ministre des Ressources naturelles et chef de délégation, John Silk.
De tweede week is goed onderweg en stilaan gaan we over in de finale onderhandelingen. Om de zaak sneller vooruit te laten gaan is de COP-voorzitter met een plan gekomen, drie dagen voor het geprogrammeerde einde van de conferentie. Een zogenaamde Majilis, of ministeriële vergadering, moet uitkomst bieden volgens hem: vandaag samen punten van overeenkomst vinden en morgen een eerste versie van de finale tekst. Het is een strategie die nogal wat risico’s inhoudt.
Ben jij ook het klimaatgedoe soms wat beu? Al die heisa over die klimaattop in Dubai, een klimaatminister die steeds de polarisatie opzoekt? Dirk Holemans begrijpt je. Want ook hij kijk argwanend naar de klimaattop, hoe belangrijk ook en hoeveel mensen er ook onderhandelen met de juiste ambitie.
Alors que la COP28 entame ses derniers jours de travaux à Dubaï, la FAO a présenté dimanche un plan révolutionnaire qui vise à transformer les systèmes agroalimentaires mondiaux en puits de carbone d’ici à 2050.
Des militants ont fait une brève irruption dimanche dans le pavillon de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à la COP28, pour appeler à une sortie des énergies fossiles. Une poignée d'activistes sont arrivés lors d'un événement organisé au pavillon de l'Opep à Dubaï, où ils ont été invités à s'asseoir avant de s'exprimer durant quelques minutes.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a estimé dimanche que les engagements non contraignants annoncés au début de la COP28 par plus d'une centaine de pays et de compagnies pétrolières n'accompliraient d'ici 2030 que 30% de la réduction nécessaire des émissions liées à l'énergie pour parvenir à la neutralité carbone.L'AIE a analysé l'impact potentiel de deux engagements volontaires annoncés avec fanfare le 2 décembre:- celui de 130 pays (mais pas la Chine) à tripler les renouvelables et à améliorer l'efficacité énergétique d'ici 2030;
L’Agence internationale de l’énergie s’est exprimée sur les engagements non contraignants, alors que la conférence climat à Dubaï touche à sa fin.
L’Irak et l’Arabie saoudite ont réaffirmé leur opposition à une telle version, malgré la très lourde responsabilité du pétrole, du gaz et du charbon dans le dérèglement climatique.
L'Arabie saoudite a réclamé dimanche la prise en compte de ses "perspectives" et de ses "inquiétudes" dans les négociations climatiques de la COP28 où le royaume, premier exportateur de pétrole au monde, refuse un accord sur la sortie des énergies fossiles.Les 194 pays plus l'Union européenne impliqués dans les négociations à Dubaï doivent "traiter la réduction des émissions de gaz à effet de serre (...), accélérer le développement de toutes les technologies bas-carbone mais aussi prendre en compte nos perspectives et nos inquiétudes", a déclaré le représentant saoudien.
Si près du but, le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, accentue la pression dimanche sur l'ensemble des pays négociant à Dubaï sur la fin des énergies fossiles, mais les pays exportateurs de pétrole, au premier rang desquels son voisin l'Arabie saoudite, restent à convaincre.
Le Département fédéral de l'environnement (DETEC) a annoncé dimanche avoir conclu des accords avec la Tunisie et le Chili pour comptabiliser leurs réductions d'émissions de gaz à effet de serre. Ces accords sont jugés inéquitables par certaines ONG environnementales.
L'ambiance est fébrile samedi à la COP28 et la pression monte sur les pays pétroliers dans la dernière ligne droite de négociations, alors que de nombreux pays veulent acter la sortie des énergies fossiles d'ici mardi."Je pense que c'est une chose assez répugnante de la part des pays de l'Opep de s'opposer à ce qu'on mette la barre là où elle doit être" sur le climat, a lancé samedi devant des journalistes la ministre espagnole de la Transition écologique Teresa Ribera, dont le pays assure la présidence semestrielle du Conseil de l'Union européenne.
Prévision scientifique: le réchauffement planétaire atteindra 1,5°C en moyenne annuelle mondiale dans les prochaines années. Volonté dans les COP: « keeping 1.5 alive »… Maintenir « en vie » l’objectif de l’Accord de Paris le plus longtemps possible. Sur le papier. Jusqu’à quand ? Décryptage.
Un pyromane n’acceptera jamais qu’on réduise progressivement son stock d’allumettes pourtant il faut le contraindre. Résumé d’une tempête qui a lieu en ce moment à la COP28 à Dubaï. Alors, voici la scène : la COP28, en pleine effervescence à Dubaï, entre dans son sprint final. Imaginez une course où au lieu de coureurs, on …
A trois jours de la fin de la COP28, les pays partisans de la sortie du pétrole, du gaz et du charbon font feu sur l'Opep samedi après que le chef du cartel dominé par l'Arabie saoudite a appelé à s'opposer à tout compromis visant les énergies fossiles.
Près de 7.000 milliards de dollars de financements publics et privés soutiennent chaque année des activités ayant un impact négatif sur la nature et alimentant directement le changement climatique – soit environ 30 fois le montant dépensé chaque année pour des solutions fondées sur la nature, selon un rapport choquant de l’ONU publié samedi lors de la COP28 à Dubaï.
Des militants écologistes du groupe Extinction Rebellion (XR) ont déversé des produits colorants dans le Grand Canal de Venise et dans plusieurs fleuves d'Italie samedi pour protester contre l'"échec" de la COP28 sur le climat.
La Wallonie, qui dispose d'acteurs de premiers plans dans la filière, veut jouer un rôle prépondérant dans l'hydrogène vert et même devenir "une vallée de l'hydrogène", a déclaré le ministre wallon du Climat et de l'Énergie, Philippe Henry, samedi en marge de la COP28 à Dubaï. Pour ce faire, un plan d'action régional est dans les cartons.
A la marche de la société civile, ce 9 décembre, sortir de l’espace clos de l’ONU, brandir un drapeau, nommer un Etat ou une entreprise sera interdit. Nicolas Haeringer, de l’ONG 350.org, déplore une grave entorse à la liberté d'expression.
Alors qu’une nouvelle version du texte de décision finale de la COP28, présenté vendredi à Dubaï, propose cinq options sur l’avenir du pétrole, du gaz et du charbon, Laurent Fabius a appelé à «trouver des formulations acceptables».
La ministre espagnole de la Transition écologique a dénoncé samedi la position 'répugnante' de l’Opep, après que le...
La ministre de la transition énergétique française, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite « stupéfaite » et « en colère », tandis que son homologue espagnole a dénoncé une « position répugnante ».
L’organisation des pays exportateurs de pétrole a écrit à ses membres pour leur demander le rejet d’un accord ciblant les énergies fossiles à la COP28. Agnès Pannier-Runacher fait part ce samedi 9 décembre de sa colère.
L'Azerbaïdjan a la voie libre pour organiser la COP29.
Les pays membres de l'Opep bataillent contre toute formule prévoyant une "sortie" des énergies fossiles dans l'accord en cours de négociation à quelques jours de la fin de la COP28, provoquant des tensions et les vives réactions de la France et de l'Espagne notamment.
Le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a demandé "en urgence" à ses 23 pays membres ou associés de "rejeter proactivement" tout accord ciblant les énergies fossiles dans les négociations climatiques à la COP28 de Dubaï, dans un courrier consulté vendredi par l'AFP.
Le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a demandé "en urgence" à ses 23 pays membres ou associés de "rejeter proactivement" tout accord ciblant les énergies fossiles dans les négociations climatiques à la COP28 de Dubaï, selon son courrier consulté vendredi par l'AFP.
Bloquée depuis des mois, la désignation du pays devant présider la COP29 dans un an pourrait se résoudre, après l'annonce que l'Arménie soutenait l'Azerbaïdjan, l'un des berceaux historiques du pétrole, et le retrait de la Bulgarie.
Oil cartel warns ‘pressure may reach a tipping point’ and that ‘politically motivated campaigns put our prosperity’ at risk
VS-onderzoeksjournalist Karl Grossman publiceerde over de recente lobbying onder leiding van de VS op COP28 voor ‘driemaal meer kernenergie’ een informatief artikel, gevolgd door kritische bedenkingen van deskundigen. Aviel Verbruggen las zijn artikel en geeft er aanvullende inzichten bij.
Nu de VN-klimaattop in Dubai zijn tweede week is ingegaan, neemt de druk toe om in het akkoord te praten over een geleidelijke afbouw van fossiele brandstoffen. Maar ook de tegenstand tegen dat idee groeit, met oliestaat Saudi-Arabië op kop.
Van 30 november tot 12 december vindt in Dubai COP28 plaats, de jaarlijkse klimaattop van de Verenigde Naties. Maar waarom is deze klimaattop zo belangrijk? Wie gaat er naartoe? Wat wordt er beslist? Je komt er alles over te weten in onze beknopte gids over de klimaattop. Download hem nu.
Un accord sur la fin du charbon, du pétrole et du gaz reste à trouver à la COP28 à Dubaï, mais les négociations s'accélèrent vendredi à Dubaï dans une atmosphère trépidante, le président émirati Sultan Al Jaber et les ministres des pays s'engageant pour la dernière ligne droite.- Pas encore pessimistes -"S'il vous plaît, finissons le travail!" a lancé Sultan Al Jaber vendredi matin aux négociateurs des pays, après la journée traditionnelle de pause de jeudi. Il a mis au travail quatre binômes de ministres des pays développés et du Sud pour débloquer les discussions.
Injecter des milliards de dollars dans les économies émergentes pour leur permettre de sortir des combustibles fossiles, tel est le principe des partenariats pour une transition énergétique juste (JETP). Mais ce qui a parfois été présenté comme une solution climatique majeure, n'est-il pas en réalité une illusion ?
Bloquée depuis des mois, la désignation du pays devant présider la 29e conférence de l'ONU sur le climat, dans un an, pourrait se résoudre à la COP28 à Dubaï dans les prochains jours, après l'annonce que l'Arménie soutenait l'Azerbaïdjan, l'un des berceaux historiques du pétrole.
Une nouvelle ébauche de projet d'accord a été publiée vendredi à la COP28, élargissant encore les possibilités sur les énergies fossiles, pour tenter de trouver la bonne formule susceptible d'emporter l'adhésion de pays aux aspirations contradictoires.
La ministre fédérale du climat, Zakia Khattabi, a été nommée vendredi négociatrice en chef européenne pour la transition juste lors de la COP28 qui se tient actuellement à Dubaï, a-t-on appris vendredi, alors que le sommet climat de l'Onu qui se tient au 30 novembre au 12 décembre a passé la seconde, avec l'arrivée des ministres.
Cinq participants de la COP28 donnent leurs arguments quant à l'utilité des conférences sur le climat de l'ONU, issues de la déclaration de Rio de 1992, qui se résument ainsi : la planète serait dans un état encore pire sans les COP.- John Kerry, Monsieur climat américain -"Certains suggèrent ici et là que l'accord de Paris ne marche pas car nous sommes en retard et qu'il reste beaucoup de chemin à parcourir. Au contraire, la preuve est claire : il marche, je me souviens qu'avant Paris (...) nous nous dirigions vers un réchauffement planétaire de 3,7 à 4°C...
Pour la première fois, l'accord final rédigé à l'issue d'une conférence sur le climat pourrait mentionner les énergies fossiles et leur rôle central dans le dérèglement climatique. Un "pas majeur", saluent experts du climat et ONG de défense de l'environnement. Mais cette avancée se heurte aux réticences de certains États et à des débats sémantiques.
Alors que l'observatoire européen Copernicus a confirmé que l'année 2023 serait bien la "plus chaude" de l'histoire, les participants de la COP28 ont discuté mercredi des conditions pour une "sortie ordonnée et juste des énergies fossiles". En l'état, le texte ne propose pas d'objectif à court terme pour les trois énergies fossiles, ce qui inquiète, à une semaine de la fin de la conférence internationale.
Plus d’un millier de scientifiques spécialistes du climat exhortent le public à devenir des activistes Nous avons besoin de vous », déclare Scientist Rebellion, qui comprend les auteurs des rapports du GIEC sur les changements climatiques, alors que les diplomates se réunissent dans le cadre de la Cop28.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, candidat malheureux à la présidence du Giec, a écrit une lettre ouverte "au nom du climat" adressée au président de la COP28, la conférence climat de l’Onu qui se déroule jusqu’au 12 décembre à Dubaï (Émirats arabes unis). Dans cette missive, cosignée par le climatologue américain Michael E. Mann, directeur du "Earth System Science Center" à l’université d’État de Pennsylvanie, M. van Ypersele entend rappeler "quelques données scientifiques essentielles" à Sultan Al Jaber, le président controversé de la COP28, également à la tête de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, candidat malheureux à la présidence du Giec, a écrit une lettre ouverte "au nom du climat" adressée au président de la COP28, la conférence climat de l'Onu qui se déroule jusqu'au 12 décembre à Dubaï (Émirats arabes unis).
Cruciale kantelpunten in het klimaatsysteem van de aarde komen in sneltempo dichterbij. Dat blijkt uit het grootste onderzoek ooit naar “tipping points”. Meer dan tweehonderd wetenschappers werkten mee aan een tekst met waarschuwingen en aanbevelingen, die is gepresenteerd op de klimaattop in Dubai (COP28).
À la COP28, les négociations se poursuivent pour adopter une sortie ou une réduction des énergies fossiles. Les Émirats arabes unis, hôtes de la COP28, et les pays pétroliers défendent une version qui mise sur le captage et stockage de CO2 (CCS). Une technologie qui permet de capter le CO2 émis par une centrale à charbon ou une usine. Promise depuis quarante ans, elle peine toutefois à faire ses preuves. Qui plus est, elle s'avérerait bien plus coûteuse qu'un scénario basé sur les énergies renouvelables.
Effondrement de la banquise et des glaciers, dépérissement des coraux et de l’Amazonie... Dans une étude publiée mercredi, des chercheurs identifient et analysent 26 "points de bascule" climatiques. Des phénomènes qui, s'ils se produisaient, pourraient entraîner un effet d'emballement désastreux pour le climat et la vie humaine. Alors que les dirigeants du monde sont réunis à l'occasion de la COP28, les auteurs du texte alertent : cinq points de rupture pourraient être atteints.
Au sixième jour de la 28e conférence de l'ONU sur le changement climatique (COP28) à Dubaï, une soixantaine de pays, dont les États-Unis, le Canada et le Kenya, se sont engagés à réduire d’ici 2050 leurs émissions liées aux technologies de refroidissement. En parallèle, le Groupe de coordination arabe (ACG) a annoncé qu'il allouerait un peu plus de neuf milliards d'euros pour soutenir la transition énergétique jusqu'en 2030.
La température moyenne est la plus élevée mesurée sur les onze premiers mois de l’année : 0,13 °C de plus que les onze premiers mois de 2016, l’année la plus chaude jusqu’à maintenant.
Confiance dans la possibilité d'un compromis ou négociations "particulièrement difficiles" en vue sur les énergies fossiles: chacun fait ses paris au sixième jour de la COP28, alors que le jeu semble plus que jamais ouvert.- "Assez optimiste""C'est au coeur des négociations et je ne vois pas comment on peut atteindre un compromis qui n'inclurait pas des mots sur les fossiles", a dit à l'AFP le ministre danois du Développement et de la politique climatique, Dan Jørgensen.
Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques Les Parties à la présente Convention, Conscientes que les changements du climat de la planète et leurs effets néfastes sont un sujet de préoccupation pour l’humanité tout entière, Préoccupées par le fait que l’activité humaine a augmenté sensiblement les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, que cette augmentation renforce l’effet de serre naturel et qu’il en résultera en moyenne un réchauffement supplémentaire de la surface terrestre et de l’atmosphère, ce dont risquent de souffrir les écosystèmes naturels et l’humanité,
Le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, a tancé mercredi les pays en négociations à la COP28 à Dubaï, les accusant de camper sur leurs positions à six jours de la fin prévue de la conférence."Nous avons un texte de départ sur la table, mais c'est un empilement de voeux pleins de postures", a dénoncé un sévère Stimon Stiell dans une courte conférence de presse.
Le commissaire européen chargé du Climat, Wopke Hoekstra, a déclaré à Dubaï mercredi que l'Union européenne souhaitait que la COP28 permette d'accélérer la baisse des émissions des gaz à effet de serre dès "cette décennie". "Je veux que cette COP marque le début de la fin pour les énergies fossiles", a déclaré Wopke Hoekstra, qui vient d'arriver à Dubaï pour la dernière semaine de négociations. "Nous devons nous débarrasser des énergies fossiles".
Durant plus de six jours, début novembre, la consommation d’électricité du Portugal a été exclusivement alimentée par des énergies renouvelables. Une performance qui peut en inspirer d’autres, relève “Público”, alors que la décarbonation du système électrique mondial est au cœur des débats de la conférence sur le climat qui se tient à Dubaï.
Le commissaire européen chargé du Climat, Wopke Hoekstra, a déclaré à Dubaï mercredi que l'Union européenne souhaitait que la COP28 permette d'accélérer la baisse des émissions des gaz à effet de serre dès "cette décennie".
A l'issue de chaque mois, le service européen sur le changement climatique Copernicus fournit les données sur les températures moyennes globales. Une référence pour les observateurs scientifiques du réchauffement de la planète. Pour ces mesures, Copernicus utilise notamment des données générées par les satellites. Depuis l’été 2023, l’analyse se répète : les mois les plus chauds jamais observés se succèdent. Novembre 2023 n’échappe pas à cette série. Encore une fois un record, celui du mois de novembre le plus chaud (globalement). 1,75° de plus en novembre 2023 qu'entre 1850 et 1900
Alors que la Cop28 bat son plein, de tristes records ont été annoncés ce mercredi.
Alors que le réchauffement planétaire se rapproche dangereusement du seuil critique de 1,5°C, la COP28 se mobilise pour maintenir cet objectif vital. Ce défi majeur a des implications aussi bien scientifiques, politiques que technologiques.
Malgré l’inéluctabilité du réchauffement climatique, tout est loin d’être perdu et il ne faut surtout pas baisser les bras et foncer tête baissée vers un scénario à +3°C. Il nous reste des options pour s’épargner beaucoup de difficultés.
Honderden inheemse leiders mogen dan wel afgereisd zijn naar de klimaattop in Dubai, in akkoorden blijven ze onzichtbaar. “We hebben nochtans de kennis om Moeder Aarde te beschermen.”
Op de VN-klimaattop in Dubai zijn een recordaantal lobbyisten van de fossiele industrie aanwezig, zeggen lobbywaakhonden. Volgens een telling is die groep lobbyisten groter dan de delegaties van alle landen behalve het gastland en Brazilië, en vier keer groter dan op de vorige klimaatconferentie in Egypte.
Faut-il sortir des énergies fossiles ou vaut-il mieux encore une fois éluder la question? Toutes les options restent ouvertes au sixième jour de la 28e conférence de l'ONU sur le climat, tandis que le réchauffement climatique ne connaît pas de répit.- Options ouvertesLa deuxième version du texte qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici à la fin de la COP a été rendue publique mardi à 05H00 heure locale. Il synthétise en 24 pages les différentes options poussées par les quelque 200 pays qui négocient fiévreusement à Dubaï.
Faut-il sortir des énergies fossiles ou ne pas en parler du tout? La dernière version de l'ébauche d'un texte final à la COP28, publiée mardi, laisse toutes les options sur la table, ouvrant la voie à des négociations féroces sur le sujet.Cette deuxième version du texte qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici à la fin de la COP, prévue officiellement le 12 décembre, reprend en 24 pages les différentes options poussées par les quelque 200 pays qui négocient actuellement à Dubaï.
Le ministre saoudien de l'Energie s'est dit "absolument" opposé à un accord portant sur la réduction des énergies fossiles à la COP28, donnant le ton des difficiles négociations qui se déroulent à Dubaï."Sortie" ou "réduction" du pétrole, gaz et charbon sont au coeur d'âpres discussions à la COP28, et les deux options figurent pour l'instant dans la première ébauche du texte majeur dont doit accoucher la conférence, sous la forme d'un "bilan mondial" de l'accord de Paris de 2015.
Faut-il sortir des énergies fossiles ou ne pas en parler du tout? La dernière version de l'ébauche de texte final à la COP28 publiée mardi laisse toutes les options sur la table, ouvrant la voie à des négociations féroces sur le sujet.Cette deuxième version du texte qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici la fin de la COP, prévue officiellement le 12 décembre, reprend en 24 pages les différentes options poussées par les quelque 200 pays qui négocient actuellement à Dubaï.
Au moins 2 456 représentants de l’industrie fossile ont été autorisés à participer au sommet mondial sur le climat à Dubaï, dévoile la coalition Kick Big Polluters Out (KBPO). C’est quatre fois plus que le précédent record. Le Français TotalEnergies a envoyé 12 représentant·es, selon notre décompte. Décryptage.
La plupart des constructions belges contiennent… du béton ; c’est d’ailleurs le matériau de construction le plus demandé au monde. Mais pour réaliser du béton, il faut absolument… du ciment. "C’est la production du ciment qui génère du CO2. On fait du béton grâce à du sable, des graviers, de l’eau et surtout de ciment qui est un liant et agit comme une colle pour faire tenir l’ensemble", explique Hervé Camerlynck, directeur de Febelcem, l’organisation professionnelle de l’industrie cimentière belge.
Ce qui ne devait être qu'une simple formalité en ce premier jour de COP28 s'est transformé en signal fort. Ajoutée à la dernière minute à l'ordre du jour de la session plénière, la concrétisation du fonds sur les pertes et dommages a été adopté par les États. Ce fonds qui doit aider les pays les plus vulnérables à affronter les dégâts irréversibles du changement climatique doit être opérationnel dans l'année à venir. Une victoire pour les pays du Sud qui le réclamaient depuis trente ans.
Charbon, pétrole, gaz… L’utilisation des combustibles fossiles se poursuit et va entraîner un nouveau record d’émissions mondiales de CO₂ en 2023, selon les dernières données publiées lors de la Cop28. Cependant, des pays ont baissé leurs émissions, quand d’autres ralentissent le rythme de l’augmentation. Mais ce n’est pas encore suffisant pour empêcher la poursuite du réchauffement climatique.
Les fossiles du matin au soir: le débat occupe les négociateurs en coulisses comme les tables-rondes et événements publics organisés à la COP28 à Dubaï, où la journée est officiellement consacrée à l'énergie.- Options ouvertesLa deuxième version du texte qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici à la fin de la COP28 a été rendue publique mardi à 05H00 heure locale. Il synthétise en 24 pages les différentes options poussées par les quelque 200 pays qui négocient fiévreusement à Dubaï.
"Garder 1,5°C en vie": menacées de disparition par la montée des océans ou ravagées par les ouragans, les petites nations insulaires sont des personnages centraux à la COP28 dans la bataille pour obtenir la sortie des énergies fossiles.
Confiance dans la possibilité d'un compromis ou négociations "particulièrement difficiles" en vue sur les énergies fossiles: chacun fait ses paris au sixième jour de la COP28, alors que le jeu semble plus que jamais ouvert.- "Compromis""Notre objectif est clair: les renouvelables sont l'avenir, la fin de l'âge des énergies fossiles doit devenir tangible ici à la COP", a jugé l'émissaire pour le climat de l'Allemagne, Jennifer Morgan.
L'EcoPulse, un démonstrateur d'avion à propulsion hybride-électrique distribuée, destiné à tester cette technologie susceptible de contribuer à la réduction de l'empreinte carbone de l'aviation, a effectué son premier vol, ont annoncé mardi Airbus, Safran et Daher.L'appareil a décollé de l'aéroport de Tarbes le 29 novembre pour un vol d'une heure quarante, selon un communiqué conjoint.
Referring to the Paris Agreement’s target of keeping Earth from warming no more than 1.5 degrees Celsius since the Industrial Revolution, the number has become a rallying cry for climate advocates and scientists, who say the goal is humanity’s best bet on avoiding the most catastrophic outcomes of climate change by the end of the century. Venturing even 0.5 degrees past that threshold could drastically increase the frequency and severity of extreme weather, biodiversity loss, famine and water scarcity, as well as make it more likely that tipping points accelerate warming further, climate scientists say.
Selon une étude du Global Carbon Project, il y a une chance sur deux pour que la planète atteigne 1,5°C de réchauffement d'ici sept ans. Initialement, une telle augmentation de la température ne devait pas arriver avant 2100, selon l'Accord de Paris de 2015.
Koen Stuyck is pleitbezorger klimaat en voetafdruk bij WWF België en trekt naar de jaarlijkse klimaattop om de onderhandelingen van nabij te volgen. In de kleine groep experten van de Belgische klimaatcoalitie vertegenwoordigt hij er de milieubeweging. De komende 2 weken brengt hij verslag uit van een top die nu al de belangrijkste sinds Parijs genoemd wordt.
De wereldwijde CO2-uitstoot uit fossiele brandstoffen is dit jaar opnieuw gestegen tot een ongezien niveau, zo blijkt uit een explosief rapport dat vandaag wordt voorgesteld op de klimaattop in Dubai. Dat kan betekenen dat het koolstofbudget om onder de 1,5 graad Celsius te blijven al binnen zeven jaar opgesoupeerd is.
C'est le chiffre choc de la COP28. 2 456 lobbyistes fossiles - "au moins" - ont obtenu une accréditation pour participer à ce nouveau sommet pour le climat, qui se tient actuellement à Dubaï. Ce nombre dévoilé par une coalition d’ONGs, Kick Big Polluters Out, montre à quel point l’ombre des lobbies des énergies fossiles plane sur ces pourparlers à l’heure où la question de leur sortie se fait de plus en plus pressante.
Une longue file d'attente qui serpente à l'entrée du site, aux portes du désert: la dure réalité de la popularité des COP s'est imposée aux dizaines de milliers de délégués, observateurs et journalistes accrédités à la COP28 de Dubaï.
’The Guardian’ a diffusé dimanche une vidéo dans laquelle Sultan Al Jaber estime qu’il n’existe “aucune étude scientifique” montrant qu’une élimination progressive des énergies fossiles permettrait de limiter le réchauffement à 1,5 °C. Ces déclarations, qui émergent en pleine COP, ont provoqué l’indignation des scientifiques.
Sultan al-Jaber a réaffirmé ce lundi 4 décembre qu’il respectait les préconisations scientifiques sur le changement climatique et que le travail de sa présidence avait été centré sur ce sujet.
Après les promesses des dirigeants internationaux, les délégués présents à Dubaï pour la 28e conférence mondiale sur le climat (COP28) commencent lundi à se pencher sur les négociations techniques afin de trouver des mesures pérennes pour lutter contre le réchauffement climatique.
Le Sultan Al Jaber a suscité l'indignation après avoir remis en cause la véracité scientifique de l'effet positif sur le climat de la sortie des énergies fossiles.
La présidence émiratie de la COP28 ne parle pas d'une "sortie" des énergies fossiles, en particulier du pétrole et du gaz, pourtant réclamée par des dizaines de dirigeants du monde à la tribune de la Conférence climatique des Nations unies, selon le résumé des premiers jours qu'elle a publié lundi.
Dans un commentaire publié ce 30 novembre, le directeur exécutif de l'AIE Fatih Birol souligne « cinq mesures interdépendantes » à mettre en œuvre pour « maintenir la porte ouverte » à une trajectoire « 1,5 °C ». 5 mesures d'ici à 2030 L'AIE appelle, d'ici à 2030, à simultanément :
Sur la défensive, le président émirati de la COP28 a réaffirmé lundi respecter la science climatique, qui préconise une baisse abrupte des émissions de gaz à effet de serre, mais le sort précis des énergies fossiles pour atteindre cet objectif était toujours loin d'être tranché. "Nous sommes ici parce que nous croyons et nous respectons la science", a déclaré Sultan Al Jaber dans une conférence de presse, à laquelle il avait convoqué Jim Skea, le président du Giec, le groupe d'experts climatiques mandatés par l'ONU.
Le PDG de TotalEnergies a signé lundi, à l'occasion de la COP28 à Dubaï, un accord d'investissement avec le Kazakhstan portant sur un projet géant éolien qui permettra d'alimenter en électricité un million d'habitants de ce pays. Ce contrat d'investissement d'1,4 milliard de dollars a été signé par le patron de TotalEnergies, Patrick Pouyanné, et le ministre de l'Energie du Kazakhstan, Almassadam Satkaliev, en présence du président de ce pays, Kassym-Jomart Tokaïev.
Alors que la France promeut l’atome à la COP28 de Dubaï, la Commission européenne préfère parier sur les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.
Jusque là bien huilée, la présidence émiratie de la COP28 a commis son premier faux pas. Sultan Al Jaber a tombé le masque dans une vidéo datant du 21 novembre dernier et rendue publique le 2 décembre par The Guardian et le Center for Climate Reporting.
Le mardi 28 novembre, soit 48 heures avant l’ouverture de la COP28 de Dubaï, le Sénat brésilien a approuvé une loi facilitant l’usage des pesticides et leur mise sur le marché.
Pour la quatrième fois consécutive, le Japon a reçu le titre du “Fossile du jour” dans le cadre de la COP28, qui se tient à Dubaï jusqu’au 12 décembre. Malgré ce prix satirique, qui vise à épingler le pays sur sa dépendance au charbon, le gouvernement japonais semble décidé à maintenir son cap.
Le ministre saoudien de l'Energie s'est dit "absolument" opposé à un accord portant sur la sortie des énergies fossiles à la COP28, donnant le ton des difficiles négociations qui se déroulent à Dubaï.
Le ministre saoudien de l'Energie s'est dit "absolument" opposé à un accord portant sur la sortie des énergies fossiles à la COP28, donnant le ton des difficiles négociations qui se déroulent à Dubaï."Sortie" ou "réduction" du pétrole, gaz et charbon sont au coeur d'âpres discussions à la COP28, et les deux options figurent pour l'instant dans la première ébauche du texte majeur dont doit accoucher la conférence, sous la forme d'un "bilan mondial" de l'Accord de Paris de 2015.
Les cinq premières journées à la COP28 ont été intenses avec le lancement de nombreuses coalitions sur la neutralité carbone, l'agriculture, les énergies renouvelables ou encore le charbon. En pleine polémique sur les données scientifiques et la sortie des énergies fossiles, Sultan Al Jaber tente de donner des gages de sa bonne foi, mais pour certains, cette avalanche d'annonces n'est qu'une diversion pour éviter de parler du sujet qui fâche : le sort réservé aux énergies fossiles.
25.000 mensen betoogden zondag in Brussel terwijl de Klimaattop COP28 in Dubai bezig is. Het is nog niet te laat, klinkt het. Ze vragen de regering om de subsidies voor fossiele brandstoffen dringend te stoppen. De meeste slachtoffers van de klimaatverandering vallen nu al in landen die er het minst schuldig aan zijn. Enkel een rechtvaardige klimaattransitie kan hier verandering in brengen.
La COP28 est une mascarade que les scientifiques refusent de cautionner. Les scientifiques en rébellion ont tenu à Bordeaux une contre-COP.
Les sponsors officiels de la COP28, qui a débuté le 30 novembre à Dubaï, sont tenus de se conformer aux « Objectifs de neutralité carbone fondés sur la science » (SBTI ou Science Based Targets Initiative). Est-ce réellement le cas ? « La plupart des entreprises qui subventionnent les négociations des Nations unies sur le climat à Dubaï ne se sont pas engagées à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre conformément aux objectifs mondiaux zéro carbone », avance une étude Spendwell relayée par The Guardian.
"Voici des sites majeurs d'émissions": invité à faire une présentation en salle plénière de la COP28 à Dubaï, l'ex vice-président américain Al Gore a pointé dimanche le bilan climatique des Emirats arabes unis, pays hôte, allant jusqu'à dénoncer l'empreinte carbone d'Adnoc, la compagnie pétrolière nationale dirigée par le président de la conférence, Sultan Al Jaber.
Depuis fin septembre, une sécheresse sans précédent touche l’Amazonie au Brésil. Incendies, assèchement des rivières, poissons et dauphins morts… les répercussions environnementales sont nombreuses. La crise est aussi sanitaire et menace les conditions de vie des habitants de la région. Reportage.
Pour la première fois, une journée dédiée aux conséquences du réchauffement sur la santé figure au programme du sommet mondial de l’ONU. «Libé» fait le point sur ses effets les plus inquiétants à la lumière de la littérature scientifique.
Le Brésil peut à la fois préserver ses forêts et augmenter sa production agricole, a déclaré dimanche le président Luiz Inacio Lula da Silva à Dubaï, avant de quitter la COP28, la conférence de l'ONU sur le climat."J'ai voulu démontrer qu'il est tout à fait possible de conserver la forêt intacte. Et que nous pouvons planter ce que nous voulons", a déclaré le dirigeant brésilien à la presse avant de partir pour Berlin, où il doit poursuivre sa tournée internationale.
La rutilante ligne d’horizon des gratte-ciels de Dubaï a été obscurcie par une couche de brouillard qualifiée de "malsaine" dimanche, alors que des milliers de délégués assistaient à une réunion consacrée aux effets néfastes de la pollution atmosphérique dans le cadre de la 28e conférence des Nations unies sur le climat, la COP28.
Les présidents du Brésil et de la Colombie, Luiz Inácio Lula da Silva et Gustavo Petro, ont attaqué les inégalités et les promesses non tenues des pays riches, s'exprimant ce vendredi 1er au 28ème Sommet des Nations Unies sur le climat
Le collectif Scientifiques en rébellion organise une COP alternative à Bordeaux afin de dénoncer l’échec de la gouvernance climatique mondiale et d’inventer de nouveaux imaginaires.
Les pays réunis à la 28e conférence de l'ONU sur le changement climatique (COP28) à Dubaï mettent les projecteurs dimanche sur le lien entre crise climatique et santé, avec notamment le problème de pollution de l'air qui, selon l'OMS, tue 7 millions de personne dans le monde chaque année.
Le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, a estimé que la "sortie" des énergies fossiles était "inévitable" mais semblé dire qu'elle n'était pas indispensable pour limiter le réchauffement à 1,5°C, dans un échange tendu en novembre avec l'ancienne présidente irlandaise Mary Robinson et rapporté par le Guardian dimanche.Sultan Al Jaber, qui cumule ses fonctions avec celles de patron de la compagnie pétrolière nationale Adnoc, s'exprimait le 21 novembre dans un événement en ligne organisé par l'initiative She Changes Climate, selon une vidéo diffusée par le Guardian.
Cinquante compagnies de l'industrie du pétrole et du gaz, représentant 40% de la production mondiale, se sont engagées à décarboner leurs opérations de production d'ici à 2050, a annoncé samedi la présidence émiratie de la COP28, un engagement a minima puisqu'il n'englobe pas le pétrole qu'elles vendent.
Désabusé face aux « échecs » successifs que représentent pour eux les COP, le collectif Scientifiques en Rébellion organise dans plusieurs pays des « COPalternatives » visant à valoriser le pouvoir du militantisme. En parallèle de la COP28 qui se déroule à Dubaï, les initiatives françaises culminent ce week-end à Bordeaux pour une contre-COP mêlant débats, performances artistiques et actions de désobéissance civile. 
En novembre, le président de la Cop 28 à Dubaï, le Sultan Al Jaber, aussi patron d’une compagnie pétrolière, a tenu des propos choquants sur le climat.
Dans une vidéo mise en ligne par le «Guardian», l’Emirati VRP du pétrole affirme qu’il n’existe pas de données scientifiques prouvant qu’arrêter d’utiliser des énergies fossiles permettrait de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C.
La COP28 à Dubaï s’est ouverte le 30 novembre avec une décision historique sur les dommages climatiques, suivie par toute une série d’annonces financières ou énergétiques préparées depuis des mois par les Émirats arabes unis pour tenter de donner une impulsion positive aux négociations.
Exclusive: UAE’s Sultan Al Jaber says phase-out of coal, oil and gas would take world ‘back into caves’
Un président de COP ne devrait pas dire ça. The Guardian vient de révéler une vidéo dans laquelle Sultan Al Jaber, président de la COP28, affirme que la sortie des énergies fossiles pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°C ne repose pas sur des "données scientifiques". Une polémique de plus pour celui qui est également PDG d'une compagnie pétrolière. "Le masque tombe mais on le savait déjà. Le président de la COP28 et le président de l’Adnoc sont une seule et même personne", épingle le spécialiste Arnaud Gossement
Alors que plusieurs pays et ONG plaident pour que la fin de tous les combustibles fossiles soit inscrite dans l’accord final, les pays pétroliers misent sur les solutions de captage et de stockage de CO₂.
Le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a annoncé samedi son intention de créer un groupe d'experts chargé de veiller à ce que la transition des combustibles fossiles vers les énergies renouvelables soit juste, durable et profite à tous les pays.
Le cardinal secrétaire d’État, Pietro Parolin, lors de la deuxième journée du sommet des chefs d’État sur le climat, est venu à la tribune de la COP28 livrer le message de François. Une démonstration charpentée, alliant protection de la Création et science, pour inciter des prises de décisions en faveur du développement des énergies renouvelables, soutenant l’éducation à des modes de vie soutenables et l’élimination des énergies fossiles.
Réunis dans le sud-ouest de la France jusqu’à dimanche en parallèle du sommet mondial sur le climat aux Emirats arabes unis, les scientifiques en rébellion donne à voir et à penser à un public en quête de réflexion et de mobilisations.
L’ouverture de la Cop 28 et les élections belges de 2024 donnent du grain à moudre aux entrepreneurs qui veulent apporter une réponse concrète à la crise climatique. Rencontre avec le président de Kaya, la coalition belge des écopreneurs.
Il est urgent de "transformer nos paroles et nos promesses en action", a exhorté samedi Alexander De Croo, à la 28e conférence des Nations Unies sur le climat à Dubaï.
Contre le charbon et le méthane, et pour le nucléaire et les renouvelables. Les pays réunis à la COP28 à Dubaï mettent les projecteurs samedi sur le monde énergétique de demain, parallèlement à de pénibles négociations sur comment parvenir à un monde sans énergies fossiles d'ici quelques décennies.- Tripler le nucléaire -
Menés par les Etats-Unis et la France notamment un groupe de pays ont signé une déclaration commune à Dubaï ce samedi 2 décembre plaidant pour l’atome afin de réduire la dépendance au charbon et au gaz.
Une vingtaine de pays dont les États-Unis, la France et les Émirats arabes unis ont appelé samedi, dans une déclaration commune à la COP28, à tripler les capacités de l'énergie nucléaire dans le monde d'ici 2050, par rapport à 2020, pour réduire la dépendance au charbon et au gaz, grand enjeu de cette COP.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, plaide pour débloquer les financements publics internationaux en faveur de l'atome. Il estime aussi que disqualifier cette énergie en raison des errements de certains projets serait "une erreur", dans un entretien à l'AFP à la COP28.Une certain nombre de grands pays doivent appeler samedi à la COP28 à tripler les capacités de production nucléaire mondiales d'ici 2050 pour limiter le réchauffement climatique.
Deux partenariats ont déjà été noués avec la Papouasie-Nouvelle-Guinée et la République du Congo, en attendant d’autres. Un troisième, avec la République démocratique du Congo, est en cours de finalisation.
L’objectif est de porter les capacités mondiales d’énergies renouvelables à 11 000 gigawatts à cet horizon. Il s’agit d’un engagement non contraignant.
Au troisième jour du sommet mondial à Dubaï, vice-présidente Kamala Harris a annoncé ce samedi 2 septembre une contribution américaine dans le Fonds vert pour le climat. Une première depuis 2014.
Contre le charbon et le méthane, et pour le nucléaire et les renouvelables. Les pays réunis à la COP28 à Dubaï mettent les projecteurs samedi sur le monde énergétique de demain, parallèlement à de laborieuses négociations sur les moyens de parvenir à un monde sans énergies fossiles d'ici quelques décennies.- Tripler les renouvelables -C'est l'objectif qui a le vent en poupe: plus de la majorité des nations, au moins 118, veulent tripler les capacités d'énergies renouvelables (solaire, éolien, hydroélectricité, biomasse...) et doubler l'efficacité énergétique d'ici 2030.
Un engagement non contraignant à tripler les capacités renouvelables dans le monde d'ici à 2030 a été signé par au moins 118 pays, soit plus de la moitié des États représentés à la COP28, a annoncé samedi son président Sultan Al Jaber.Un communiqué de la présidence avait auparavant annoncé 116 pays, et la liste s'allongeait encore peu après à 118... Quel que soit le nombre final, cette annonce vise à imposer l'inscription de cet objectif dans tout accord final à la COP28, cette fois dans le cadre onusien.
Cinquante compagnies de l'industrie du pétrole et du gaz, représentant 40% de la production mondiale, se sont engagées à décarboner leurs opérations de production d'ici à 2050, a annoncé samedi la présidence émiratie de la COP28, un engagement a minima puisqu'il n'englobe pas le pétrole qu'elles vendent.Ces entreprises, dont 29 compagnies nationales parmi lesquelles la saoudienne Aramco et l'émiratie Adnoc, ont signé une charte fixant comme objectifs "la neutralité carbone en 2050 ou avant", des émissions de méthane "proche de zéro" et "aucun torchage de routine" d'ici 2030.
Zondag 3 december gaat in Brussel-Noord om 13 uur de Klimaatmars door, terwijl in Dubai de COP28 van start gaat. Marc Alexander van de Climate Express stlt 12 minimale eisen die volledig moeten vervuld worden alvorens van een echt klimaatbeleid gesproken kan worden.
Si la coopération continue d’être patiemment construite dans des enceintes multilatérales, malgré les contrecoups des tensions géopolitiques qui s’y font ressentir, ce n’est pas parce que ces questions sont moins tendues politiquement : la lutte contre le changement climatique est devenue un champ d’affrontement et de coopération géopolitique majeur, parce qu’elle bouleverse les perspectives économiques de tous les pays et préside à une potentielle redistribution des cartes en matière de ressources critiques, de puissance économique et de pouvoir.
De VN-klimaattop in Dubai opent al meteen met een doorbraak: de goedkeuring van een langverwacht fonds voor verlies en schade. Milieu- en ontwikkelingsorganisaties juichen de ‘historische beslissing’ toe.
Le 30 novembre marque le début de la COP28, une nouvelle saison de négociations climatiques mondiales. Malgré l’attention médiatique croissante sur ce rendez-vous annuel, une question persiste : l’effervescence réussira-t-elle à convaincre les pays de mettre en place des actions significatives pour protéger le climat ?
Peut-on être président d'une COP tout en dirigeant l'une des plus grandes entreprises pétrolières de la planète ? En désignant Sultan al-Jaber comme président de la COP28, les Émirats arabes unis avaient provoqué l'ire des défenseurs de l'environnement. Pourtant, à l'ouverture de cette nouvelle session de négociations sur le climat, l'ambition affichée par les organisateurs est claire : cette COP doit être historique, y compris sur la question des énergies fossiles.
Changer de COP. Alors que s’est ouverte, jeudi, la 28ème conférence des Nations Unies (COP28) sur le climat à Dubaï, une alter COP, organisée par le collectif Scientifiques en Rébellion, a installé ses quartiers à Bordeaux.
Veertig jaar geleden was de klimaatopwarming vooral voor insiders een kwestie. Sinds het Akkoord van Parijs is ze meer op het voorplan gekomen. ‘Eindelijk’, zegt bioloog en klimaatblogger Sara Vicca. Een interview over extreem weer, de window of opportunity, en werken aan oplossingen.
Le débat fait rage autour de l'avenir des énergies fossiles, au deuxième jour de la 28e conférence de l'ONU sur le changement climatique (COP28) à Dubaï. Le monde doit les réduire voire en sortir, propose une première version d'un projet d'accord qui va maintenant être débattu par les négociateurs. Dans son discours, le président français Emmanuel Macron a notamment appelé les pays du G7 à mettre fin au charbon avant 2030.
La COP28 est officiellement la plus grande COP organisée avec 80 000 participants inscrits sur une liste provisoire qui dévoile pour la première fois leurs fonctions précises, une tentative de l'ONU Climat de répondre aux critiques face au risque de conflits d'intérêts.
Ce vendredi, Marek Hudon co-président du Haut Comité pour une Transition Juste, était l’invité de Maxime Binet dans l’émission “Café sans filtre” sur LN24 et LN Radio. Marek Hudon a été interrogé sur la transition écologique des entreprises, mais aussi sur la COP28 à Dubaï, enjeu majeur pour le futur du climat.
Le monde doit réduire voire sortir des énergies fossiles, propose une première version publiée vendredi d'un projet d'accord qui va maintenant être débattu puis adopté par les négociateurs de près de 200 pays pendant la COP28 de Dubaï.Les pays doivent préparer une "réduction/sortie des énergies fossiles", selon les termes de ce document préparé par le Royaume-Uni et Singapour, qui servira de base de discussion en vue d'une adoption d'ici la fin de la COP, prévue officiellement le 12 décembre.
C'est la base de la transition énergétique et climatique: utiliser plus efficacement l'énergie dont nous disposons. Et pourtant ce levier est encore trop négligé, estiment les experts, avant l'appel qui devrait être lancé samedi à la COP28 pour doubler le rythme des mesures d'"efficacité" d'ici 2030 de 2% à 4%. "Efficacité énergétique": de quoi s'agit-il ?
Cinq des plus gros transporteurs maritimes mondiaux ainsi que la France, la Corée du Sud et le Danemark, ont adopté une déclaration commune vendredi à la COP28 à Dubaï pour promouvoir l'adoption "d'un cadre réglementaire solide" d'ici 2027 favorisant la transition écologique du secteur."Je veux saluer (...) le formidable accord qui a été trouvé par l'industrie maritime de nos pays il y a quelques instants et qui va permettre de réduire les émissions très fortement d'ici 2030", a salué le président français Emmanuel Macron dans un discours en séance plénière.
Dubaï, qui accueille la COP28 jusqu’au 12 décembre, est l’incarnation des effets délétères du capitalisme, qu’ils soient climatiques, environnementaux ou sociaux.
C’est une fuite qui fait tache d’huile. Le 27 novembre dernier, le média britannique BBC et le Centre de reporting climatique (CCR) divulguaient des documents montrant que les Émirats arabes unis (EAU), pays hôte de la COP28 qui a débuté hier, se seraient entretenus avec une trentaine de pays, en amont du sommet, pour discuter d’accords sur les combustibles pétroliers et gaziers. Des producteurs de CO2 alors que l’enjeu même de cet évènement est de diminuer ses émissions dans l’atmosphère, et ainsi réduire l’impact sur l’environnement et sur les populations.
Le président français Emmanuel Macron a exhorté vendredi les pays du G7 à la COP28 sur le climat à Dubaï à "s'engager à mettre fin au charbon" avant 2030 pour "montrer l'exemple".
Plus de 130 pays se sont engagés à donner la priorité à l’alimentation et à l’agriculture dans leurs plans...
Plus de 110 pays veulent voir la COP28 adopter l’objectif de tripler les énergies renouvelables et de doubler...
Plus de 110 pays veulent voir la COP28 adopter l'objectif de tripler les énergies renouvelables et de doubler l'efficacité énergétique d'ici 2030, a déclaré vendredi à Dubaï la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.L'Union européenne avait lancé un appel au printemps en ce sens, soutenu par la présidence émiratie de la COP28 puis successivement assumé par les pays du G7 et ceux du G20 (80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre).
Cinq des plus gros transporteurs maritimes mondiaux ainsi que la France, la Corée du Sud et le Danemark, ont adopté une déclaration commune vendredi à la COP28 à Dubaï pour promouvoir l'adoption "d'un cadre réglementaire solide" d'ici 2027 favorisant la transition écologique du secteur."Je veux saluer (...) le formidable accord qui a été trouvé par l'industrie maritime de nos pays il y a quelques instants et qui va permettre de réduire les émissions très fortement d'ici 2030", a salué le président français Emmanuel Macron dans un discours en séance plénière.
Derrière les sourires de la photo de famille, sous le soleil de Dubaï, les désaccords sur le pétrole restent profonds: après des dizaines de discours de dirigeants mondiaux à la tribune de la COP28 vendredi, le succès d'un grand accord pour rompre la paralysie climatique semble loin d'être acquis.
Les infos qu’il ne fallait pas louper ce vendredi 1er décembre, alors que les dirigeants des pays ont pris la parole chacun leur tour à la tribune du sommet et que plusieurs sujets majeurs ont été mis sur la table.
De COP28-klimaattop opent al meteen met een doorbraak: de goedkeuring van een langverwacht fonds voor verlies en schade. Milieu- en ontwikkelingsorganisaties juichen de “historische beslissing” toe.
Bij de start van de Klimaattop in Dubai komt de Wereld Meteorologische Organisatie (WMO) met nieuwe cijfers, en die zijn niet geruststellend voor de onderhandelaars. 2023 wordt het warmste jaar ooit gemeten, en de zeespiegelstijging en CO2-concentratie zijn nog nooit zo hoog geweest.

novembre 2023

Dit is wat er op het spel staat op de VN-klimaattop in Dubai: een internationaal akkoord over de uitfasering van fossiele brandstoffen. Zal dat lukken, met een oliestaat die de klimaattop organiseert?
De politici, bedrijfsleiders en activisten op de klimaattop in Dubai zien één cruciaal aspect over het hoofd: meisjesrechten. Dat vindt Isabelle Verhaegen van Plan België. Want de negatieve impact van de klimaatverandering is het grootst voor meisjes en jonge vrouwen.
Du sommet de la Terre de Rio en 1992 à la COP28, qui s'ouvre ce jeudi 30 novembre à Dubaï, un retour historique permet de mieux saisir les enjeux de la négociation climatique.
La 28e conférence des Nations unies sur le changement climatique s'ouvre jeudi en grande pompe à Dubaï. Les Émirats et l'ONU espèrent une COP aussi historique que celle de Paris en 2015.
Les Emirats ont vu les choses en grand: le petit pays pétrolier du Golfe a dépensé sans compter pour accueillir à partir de jeudi la 28e conférence des Nations unies sur le changement climatique, censée inciter les pays à passer la vitesse supérieure sur la transition énergétique.Aux portes du désert, à Dubaï, le site de l'Exposition universelle de 2020 devient pour deux semaines le coeur battant de la diplomatie climatique, les Emirats et l'ONU espérant une COP aussi historique que celle de Paris en 2015.
Plus de 400 projets pétroliers et gaziers ont été officiellement approuvés dans le monde en 2022 et 2023, en dépit des appels à renoncer à tout nouveau projet d'hydrocarbures pour avoir encore une chance de limiter le réchauffement de la planète.Au total, 437 projets impliquent environ 200 entreprises privées et publiques, dans 58 pays, selon des chiffres de l'ONG Reclaim finance analysés à partir des données du cabinet Rystad Energy et obtenus par l'AFP.- Point chaud de la COP28 -
Les Emirats ont vu les choses en grand: le petit pays pétrolier du Golfe a dépensé sans compter pour accueillir à partir de jeudi la 28e conférence des Nations unies sur le changement climatique, censée inciter les pays à passer la vitesse supérieure sur la transition énergétique.Aux portes du désert, à Dubaï, le site de l'Exposition universelle de 2020 devient pour deux semaines le coeur battant de la diplomatie climatique, les Emirats et l'ONU espérant une COP aussi historique que celle de Paris en 2015.
UN Climate Change News, 14 November 2023 – A new report from UN Climate Change finds national climate action plans remain insufficient to limit global temperature rise to 1.5 degrees Celsius and meet the goals of the Paris Agreement. Even with increased efforts by some countries, the report shows much more action is needed now to bend the world’s emissions trajectory further downward and avoid the worst impacts of climate change.
Au Brésil, les quilombolas, des membres de communautés de descendants d’esclaves noirs africains qui ont fui le travail forcé pour former des villages en pleine nature, se battent pour leur survie. À l’instar des peuples autochtones, face à l’invasion des terres amazoniennes, ils luttent pour empêcher le lobby foncier brésilien de s’accaparer leurs territoires. Reportage.