Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …
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Informatique
L’ordinateur quantique H2-1 de 56 qubits de Quantinuum vient de pulvériser un record du monde en surpassant de 100 fois les performances de Sycamore, celui de Google.
Le 18 juillet 2024, une mise à jour défectueuse de la société de cybersécurité CrowdStrike a provoqué une panne informatique massive, touchant des milliers d'institutions, y compris des hôpitaux, des compagnies aériennes et des banques.
Une panne informatique touche de nombreuses entreprises des médias, du secteur aérien ou la distribution à travers le monde ce vendredi 19 juillet.
Une panne informatique géante a affecté des ordinateurs dans le monde entier, vendredi, perturbant le bon fonctionnement d'un grand nombre de secteurs. Un problème lié à la mise à jour d'un logiciel d’une entreprise peu connue du grand public : CrowdStrike.
Commerces obligés de fermer, vols retardés ou annulés, distributeurs automatiques hors service… En fin de journée, vendredi 19 juillet, l’Australie et la Nouvelle-Zélande se sont retrouvées aux premières loges de la panne informatique planétaire.
Des chercheurs britanniques ont mis au point des "tourbillons magnétiques" permettant de transférer des données à des vitesses incroyables.
Prise en compte insuffisante du scope 3, trop large recours à la compensation carbone : un rapport publié par deux ONG n'est pas tendre avec les engagements climatiques de 24 grandes entreprises. Malgré leurs engagements publics, les géants du cloud, Microsoft, Google et, surtout, Amazon, font tous du greenwashing.
Tout récemment aux États-Unis, des scientifiques ont affirmé avoir réalisé une véritable percée dans le domaine de la bio-informatique.
L’agence aérienne américaine a annoncé que son système d’assistance au pilotage était tombé en panne, entraînant l’immobilisation de l’intégralité des vols à travers le pays.
Par défaut, il ne sera donc plus possible d’utiliser la puissance de calcul des serveurs de Microsoft pour le minage de cryptos, sachant que ces opérations algorithmiques sont bien souvent extrêmement énergivores et demandeuses en ressources, ce qui pèse sur la capacité des serveurs à libérer du temps de calcul pour d’autres utilisateurs (et n’est pas vraiment raccord avec la recherche de neutralité carbone).