Intempéries

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Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

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h5n1

juin 2024

Le virus H5N1 continue de se répandre dans les élevages laitiers américains. Modérément inquiets, les scientifiques déplorent un manque de transparence qui permettrait de mieux contrôler le risque que ce virus d’origine animale mute et devienne transmissible entre humains.
De nouvelles recherches sur les mammifères marins suggèrent que le virus s’adapte de plus en plus aux hôtes mammifères.

mai 2024

Récemment, au Texas, des chats sont décédés peu de temps après avoir développé de graves symptômes tels que la cécité, après avoir consommé du lait cru (non pasteurisé) de vaches infectées par le H5N1. Une première, qui suscite de nouvelles inquiétudes.

avril 2024

Des traces du virus H5N1 ont été détectées dans du lait de vache pasteurisé sur le sol américain, ont déclaré mardi les autorités sanitaires du pays. Les échantillons ne présentaient vraisemblablement aucun risque pour la santé humaine.
Ces dernières semaines, un foyer de grippe aviaire A (H5N1) hautement pathogène s'est propagé dans les élevages de vaches laitières américains.
Après la découverte de fortes concentrations de virus H5N1 dans le lait de vaches contaminées par la grippe aviaire aux Etats-Unis, l'OMS a recommandé vendredi d'appliquer des mesures de sécurité alimentaire de bon sens comme l'usage de lait pasteurisé.
Après la découverte de fortes concentrations de virus H5N1 dans le lait de vaches contaminées par la grippe aviaire aux Etats-Unis, l’Organisation mondiale de la santé insiste sur la nécessité de consommer «seulement du lait pasteurisé».
En circulation depuis près de 30 ans, cette grippe aviaire s’est transmise à quelques rares occasions à l’homme chez qui elle peut être virulente. Mais la transmission récente, aux USA du virus à un bovin et puis de celui-ci à un fermier fait craindre une propagation potentiellement plus importante.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fait part de sa préoccupation face à la propagation croissante de la souche H5N1 de la grippe aviaire à de nouvelles espèces, y compris les humains. Pour l’infectiologue Yves Van Laethem, il est urgent de relancer les systèmes de surveillance et de détection des infections.
L’Organisation mondiale de la santé a fait part ce jeudi 18 avril de sa crainte face à la propagation croissante de la souche H5N1, au «taux de mortalité extraordinairement élevé», à de nouvelles espèces, y compris les humains.