Intempéries

OA - Liste

Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

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paiement

janvier 2024

Au Brésil, grâce au Pix, payer ou transférer de l’argent deviennent très faciles : il suffit de sortir son portable.

juin 2022

Ce lundi marque l’expiration du délai accordé à Moscou pour régler 100 millions de dollars et d’euros sur ses obligations. Le pays a les moyens de le faire, mais les sanctions économiques mises en place après son invasion de l’Ukraine l’en empêchent.

mai 2022

Entre les dettes gonflées par les crises, la remontée des taux d'intérêt, l'inflation galopante et la croissance en berne, l'inquiétude sur de potentiels défauts comme au Sri Lanka grandit parmi les pays fragiles.

avril 2022

Le Sri Lanka, en défaut de paiement, a annoncé vendredi imposer des restrictions sur le carburant, au moment où son président est confronté à une vive contestation populaire dûe à la pire crise économique de l'histoire de l'île. L'entreprise publique Ceylon Petroleum Corporation (CPC), qui représente les deux tiers du marché de détail du carburant au Sri Lanka, a annoncé qu'elle allait limiter les quantités que les automobilistes peuvent acheter et interdire aux particuliers le remplissage de bidons à des fins de stockage.
Le Sri Lanka, qui fait face à sa pire récession depuis son indépendance, a fait défaut ce mardi sur sa dette extérieure de 51 milliards de dollars, déclarant qu'il s'agissait du "dernier recours" pour le pays à court de devises pour importer les produits essentiels. Le ministère des Finances a déclaré que les créanciers, y compris les gouvernements étrangers qui ont prêté à la nation sud-asiatique, étaient libres de capitaliser les paiements qui leur sont dus à partir de mardi après-midi ou d'opter pour un remboursement en roupies sri-lankaises.
Remboursement : comment ça marche ? Lorsqu'un Etat ou une société rembourse un emprunt libellé en devises étrangères ou paye des intérêts liés à un tel emprunt, la somme est virée sur un compte ouvert par une banque nationale chez une banque correspondante à l'étranger. Cette dernière doit vérifier s'il est possible ou non de de procéder au paiement. Passée cette analyse de conformité, elle dépose l'argent dans un sous-compte qui va être contrôlé par une banque agent payeur avant que les sommes soient versées aux détenteurs des obligations.

mars 2022

Le Kremlin a insisté mardi sur le paiement en roubles du gaz russe livré à l'Europe, rejetant les critiques du G7, alors que les Occidentaux et les Russes multiplient les sanctions et contre-sanctions depuis l'offensive russe en Ukraine. "Personne ne va livrer de gaz gratuitement. C'est tout simplement impossible. Et on ne peut le payer qu'en roubles", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Les pays du G7 ont estimé lundi qu'exiger un paiement en roubles du gaz russe n'est "pas acceptable" et montre que le président russe Vladimir Poutine est "dos au mur", a déclaré le ministre allemand de l'Économie Robert Habeck. "Tous les ministres du G7 sont tombés d'accord sur le fait qu'il s'agissait d'une violation unilatérale et claire des contrats existants (...) ce qui signifie qu'un paiement en roubles n'est pas acceptable", a dit M. Habeck, à l'issue d'une réunion virtuelle avec ses homologues du G7.
Le groupe gazier polonais PGNiG a annoncé jeudi qu'il continuerait à régler ses achats de gaz russe conformément au contrat en cours et refuserait les paiements en roubles réclamés par Moscou. L'Allemagne - pour qui un tel changement représente une "rupture de contrat" - et l'Autriche ont déjà rejeté cette demande formulée mercredi par le président russe Vladimir Poutine. "On ne voit pas trop une telle possibilité", a dit le président du groupe polonais Pawel Majewski, interrogé sur l'exigence de Moscou. "Le contrat, dont je ne peux révéler les détails, fixe le mode de paiement. Il n'est pas prévu qu'une partie puisse le modifier selon son bon vouloir", a-t-il déclaré, selon l'agence PAP. "Nous remplirons ce contrat conformément à nos engagements", a-t-il conclu.
Le géant russe de l'acier Severstal, dont le principal actionnaire Alexeï Mordachov a été sanctionné par l'UE, se bat pour éviter ce qui serait le premier défaut de paiement d'une grande entreprise russe depuis le début de l'intervention russe en Ukraine. Dans un communiqué publié sur le site de la Bourse de Londres, le groupe précise qu'un paiement "test" envoyé le 16 mars n'avait pas "atteint le compte de l'émetteur", un groupe luxembourgeois, indiquant que "le paiement a été gelé" par la banque de ce dernier, Citibank.