Intempéries

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Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

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juin 2024

Les PFAS sont surnommés 'produits chimiques éternels' car ils sont extrêmement persistants. Une fois rejetés dans...
Hier (mardi) de fortes pluies sont à nouveau tombées sur la Belgique. Le Brabant wallon n’a pas été épargné. Chastre, Jodoigne, Court-Saint-Etienne, Mont-St Guibert, Walhain, Ramilies ont notamment été touchés. Les pompiers ont dû intervenir pour des rues, des caves inondées, parfois des coulées de boue. Il est parfois tombé un tiers des précipitations habituelles du mois de juin en une heure.
Quelles essences d’arbres planter pour faire face aux changements climatiques ? Voilà certainement une question que de nombreux propriétaires forestiers se posent actuellement. L’appel à projets "Forêt résiliente" a été lancé en 2021 en Wallonie pour les accompagner dans cette réflexion et les aider financièrement. Celui-ci a déjà permis de reboiser quelque 2000 hectares de parcelles, comme celle de Marc Pierret qui vient de planter à Hollange des pins sylvestres, des chênes sessiles et des douglas grâce à cette prime : "L’ensemble des frais a été couvert jusqu’à présent : le gyrobroyage, les plantations et les protections autour des celles-ci."
Comment faire pour produire de l’électricité verte et belge mais avoir la certitude qu’elle va être consommée localement ? C’est en tout cas la volonté de ce partenariat entre le fournisseur Bolt et l’entreprise Walvert qui vient de lancer en avril une production de biogaz à Mettet.
D’importantes précipitations sont tombées ce mardi à la mi-journée en Wallonie Picarde notamment sur les communes de Wiers, Moulbaix, Mainvault, Willaupuis (Leuze-en-Hainaut) et dans la région d’Ath. L’intensité des pluies est telle que plusieurs routes ont rapidement été inondées, ce qui rend la circulation particulièrement difficile voire impossible dans certaines zones. Comme cette mise en garde sur les réseaux sociaux qui invite les automobilistes à éviter le contournement d’Ath après le rond-point rue aux fleurs dans les deux sens vers Ghislenghien.
Les fortes pluies tombées mardi après-midi dans le Brabant wallon ont provoqué des inondations à Chastre, Jodoigne et Mont-Saint-Guibert, ainsi que le débordement du Hain à Walhain, a-t-on appris auprès de la zone de secours du Brabant wallon.
Souvenez-vous, le 11 mars 2022, avec Natagora et Nature et Progrès, Canopea vous encourageait à participer à l’enquête publique sur le Plan wallon de Réduction des Pesticides1 L’objectif : créer une mobilisation massive autour de ce projet de plan que l’on jugeait peu ambitieux vis-à-vis des objectifs annoncés. Reprenons du début, ce Plan a initialement été mis en place en 2013. On en est aujourd’hui à la troisième génération d’actions qui visent à réduire les pesticides. Au regard de l’évolution des ventes de produits phytopharmaceutiques (ci-dessous) depuis cette date, on peut conclure que l’impact de ces grands programmes est proche de zéro. On navigue entre 5 000 et 7 000 tonnes de produits phyto annuellement par les utilisateurs professionnels depuis… 1995 ! (L’objectif européen est d’atteindre 2 500tonnes/an, soit 50% de réduction)
Les citoyens ont voté ce dimanche pour les élections fédérales, régionales et européennes. Un sondage "sortie des urnes" livre un premier verdict.
Avec la COP28 et son appel à la « transition vers une sortie des combustibles fossiles », nous devons maintenant accélérer la décarbonation de nos activités. Comment réussir à nous éloigner des combustibles fossiles, devenus omniprésents dans notre société ? La tarification du carbone représente l'un des outils à notre disposition. Dans cette Lettre, nous examinons son fonctionnement, en nous attardant spécifiquement sur le Système d’Échange de Quotas d’Émission (ETS) utilisé en Europe. Ce système, souvent méconnu du grand public, fixe une limite aux quantités maximales d’émissions de certains secteurs. Il est basé sur l’achat de quotas représentant des autorisations d’émissions et sur un marché d’échange de ces quotas.
Avec sa promesse de "garantir l’équilibre forestier", le label PEFC est le plus courant dans les forêts wallonnes. Pourtant, certains acteurs environnementaux estiment qu’il ne protège pas suffisamment la biodiversité et préfèrent s’en dissocier.