Jean-Marc Jancovici

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2025

Seule cette interdiction au niveau belge et européen permettra d'endiguer cette contamination croissante. Plus de 40 structures de santé (mutualités, fédérations..), acteurs de l'eau (Belgaqua, Vivaqua, Aquawal, …) et de l'environnement (BBL, Canopea,…) la réclament au nom de la santé publique et de la préservation de nos biens communs (eaux, sols, …)
Le secteur de l'électricité en opération séduction: à l'occasion du sommet de l'intelligence artificielle (IA) à Paris, le groupe électricien français EDF et le gestionnaire du réseau haute tension RTE ont dévoilé leurs offres pour attirer sur le territoire national des centres de données, très gourmands en énergie.Le gouvernement a dévoilé la carte des régions avec les 35 sites "prêts à l'emploi" qui pourront accueillir les centres de données dédiés à l'IA, ces gigantesques bâtiments qui stockent les données et fournissent les énormes capacités de calcul requises par l'IA.
Régulièrement pointés du doigt pour l'impact de leurs centres de données, les acteurs de l'Intelligence artificielle (IA) doivent surveiller leur consommation d'énergie et d'eau, sous peine de "dommages irréparables à l'environnement", prévient vendredi un rapport à destination du gouvernement britannique.
Respect du choix des éditeurs, traçabilité des sources et rémunérations pour les contenus sont les trois mesures préalables pour garantir la fiabilité du travail des médias et la démocratie.
Le nouveau gouvernement belge dirigé par le conservateur flamand Bart De Wever veut prolonger quatre gigawatts de capacité nucléaire existante et construire de nouveaux réacteurs, a-t-il annoncé mardi au lendemain de son entrée en fonction.L'engagement, qui implique de modifier la loi belge de 2003 sur la sortie du nucléaire, est inscrit dans l'accord de gouvernement conclu vendredi soir entre les cinq partis de la coalition, près de huit mois après les élections de juin.
Des turboréacteurs anciens et polluants ont déjà été utilisés à plusieurs reprises cette année pour alimenter le réseau électrique. Et c'est encore le cas ce lundi, a rapporté le cofondateur du fournisseur d'énergie Elindus, Matthias Detremmerie, en raison de l'anomalie constatée à Tihange 1
Conception, financement, rentabilité... la Cour des comptes a appelé mardi l'Etat et EDF à lever les nombreuses "incertitudes" avant de poursuivre le vaste programme de construction de nouveaux réacteurs nucléaires EPR. Dans un rapport critique de 97 pages, la juridiction financière estime que "l'accumulation de risques et de contraintes pourrait conduire à un échec du programme d'EPR2", en rappelant que l'EPR de Flamanville en Normandie a été connecté au réseau électrique national 12 ans après la date prévue, le 21 décembre.
Avant une renégociation probable de la CSRD, le Collège des Directeurs du Développement Durable appelle l'UE à maintenir le cap.

2024

Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville en France, raccordé samedi au réseau électrique, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
La start-up nucléaire Calogena a annoncé mardi avoir déposé sa demande d'homologation pour son projet de chaudière alimentée au combustible d'uranium et destinée à fournir du chauffage urbain décarboné.
Docteure en aménagement et urbanisme, Julie Roussel est cheffe du département Adaptation au changement climatique au sein de direction de la Transition écologique et du Climat de la Ville de Paris. Dans cet entretien, elle met en lumière les impacts en cascade découlant des vagues de chaleur extrême, principal risque climatique pour le territoire parisien.
Alors que l'objectif des accords de Paris semble de plus en plus inatteignable, des acteurs de la cause climatique s'interroge sur les leviers réels pouvant être actionnés lors des conférences sur le Climat.
Amazon a annoncé mercredi avoir noué des partenariats avec trois énergéticiens qui vont construire des petits réacteurs nucléaires de nouvelle génération (SMR) pour assurer une partie des immenses besoin en électricité du géant technologique. Le groupe de Seattle (Etat du Washington) imite ainsi Google, qui a dévoilé lundi un contrat similaire avec la start-up Kairos Power. Les trois accords portent sur des SMR (small modular reactors), des réacteurs considérés comme plus sûrs et moins onéreux que les centrales conventionnelles.
Le géant du numérique a passé un accord avec la start-up Kairos Power pour construire plusieurs centrales nucléaires de nouvelle génération qui alimenteront en électricité ses centres dédiés à l’intelligence artificielle. Le secteur de la tech américain est le moteur de la relance de l’énergie nucléaire, constate “The Wall Street Journal”.
Google va acheter de l'énergie nucléaire à la start-up américaine Kairos Power, qui sera produite par de petits réacteurs de nouvelle génération, appelés SMR (small modular reactor), a annoncé lundi le géant technologique américain.Le contrat prévoit une mise en service du premier SMR de Kairos d'ici à 2030, avec une montée en régime jusqu'en 2035, pour apporter une réponse supplémentaire aux énormes besoins en électricité de la filiale d'Alphabet.Google s'est refusé à communiquer un montant pour cette transaction.
Le gouvernement tchèque a annoncé mercredi son peu vert au choix par le groupe énergétique public CEZ de la société britannique Rolls-Royce comme partenaire pour développer de petits réacteurs nucléaires modulaires (SMR).Une coopération avec Rolls-Royce"Le gouvernement a reconnu et approuvé le partenariat avec Rolls-Royce SMR", a déclaré à la presse le Premier ministre Petr Fiala. CEZ avait indiqué le 10 septembre que son choix serait connu avant la fin 2024.
Le débat public sur la construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Gravelines, près de Dunkerque (Nord), dans un contexte de relance du nucléaire, se tiendra du 17 septembre au 17 janvier, a annoncé mardi la Commission nationale du débat public (CNDP), qui espère une "forte participation".Ce débat est le deuxième organisé par la CNDP après celui de 2022-2023 sur le projet d'une première paire de réacteurs à Penly (Seine-Maritime) et plus généralement sur la relance de l'atome en France souhaitée par Emmanuel Macron.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui a reçu lundi le feu vert pour commencer à produire ses premiers électrons, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
La Chine poursuit sa course à l'atome à un rythme sans équivalent dans le monde et à un coût bien moins élevé qu'ailleurs, grâce à une industrie mature et un accès au capital privilégié, deux éléments dont le nucléaire français est pour l'instant dépourvu.Pékin a donné mardi le feu vert à 11 nouveaux réacteurs, pour un investissement de moins de 28 milliards d'euros, selon le média chinois Jiemian.En comparaison, le coût prévisionnel du programme de construction des six nouveaux réacteurs (EPR) commandés par l'Etat français est de 67,4 milliards d'euros, selon les Echos.
La Chine a donné cette semaine le feu vert à 11 nouveaux réacteurs nucléaires répartis sur cinq sites, selon l'agence d'Etat Chine nouvelle, poursuivant ainsi ses efforts pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre.L'approbation a été donnée lundi lors d'une réunion du Conseil d'Etat (gouvernement) présidée par le Premier ministre Li Qiang, a précisé l'agence de presse officielle.