2025
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Le mois qui vient de s’écouler «s’inscrit dans la lignée des températures records ou quasi records» depuis deux ans, pointe le bulletin mensuel publié ce jeudi 6 mars par l’observatoire européen Copernicus.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut : après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l’hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète.
Ballet des glaces. La banquise des deux pôles n’a jamais été à un niveau aussi bas qu’en février 2025. À l’inverse, les températures mondiales sont au plus haut. C’est ce que révèle le bulletin mensuel de l’observatoire européen Copernicus publié jeudi.
Depuis 2019, la France métropolitaine connaît une série d’hivers nettement plus doux que la normale, annonce ce jeudi 6 mars Météo France. Cette année, il a été plus chaud de 0,6°C, avec une grosse différence entre le Nord et le Sud.
La surface cumulée de la banquise des pôles Nord et Sud est la plus petite jamais observée pour un mois de février. En Arctique, les températures trop douces ont empêché la glace de se reconstituer.
A Rio de Janeiro, au Brésil, le thermomètre s’affole. Mi-février, la température a atteint le niveau record de 44°C.
Mechanisms behind a steep rise in temperature
... An “acid” test of our interpretation will be provided by the 2025 global temperature: unlike the 1997-98 and 2015-16 El Ninos, which were followed by global cooling of more than 0.3°C and 0.2°C, respectively, we expect global temperature in 2025 to remain near or above the 1.5°C level. Indeed, the 2025 might even set a new record despite the present weak La Nina. There are two independent reasons. First, the “new” climate forcing due to reduction of sulfate aerosols over the ocean remains in place, and, second, high climate sensitivity (~4.5°C for doubled CO2) implies that the warming from recently added forcings is still growing significantly.
Une canicule inhabituelle même dans les tropiques, avec des températures dépassant les 40°C, frappe lundi Rio de Janeiro, qui s'apprête à passer "l'été le plus chaud de ces dernières années" à l'approche du carnaval.
Les événements centennaux, vagues de chaleurs qui frappaient tous les cent ans par le passé, se produisent maintenant tous les dix ou vingt ans. Dans le futur, des épisodes plus graves, aux températures plus élevées, se produiront, et atteindront des températures fatales pour les populations. Les canicules comportent d’autres dangers qui incluent la sécheresse, la mort du bétail et les incendies.
Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, malgré le développement de la Niña et son effet de refroidissement sur les températures, a annoncé jeudi l'observatoire européen de surveillance du climat Copernicus.
Avec une température moyenne de 13,23 °C, « janvier 2025 a dépassé de 1,75 °C le niveau préindustriel », douchant l’espoir que le phénomène La Niña mette fin à près de deux ans de records de températures.
Nouvelle mauvaise surprise climatique: janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud, devant janvier 2024 qui était pourtant soumis à un effet « réchauffant » El Nino…
Chaud time. Ce jeudi, l’observatoire européen Copernicus a annoncé que ce début d’année 2025 avait battu des records de chaleur dans le monde. Les scientifiques espéraient pourtant que le phénomène naturel La Niña rafraichirait la planète. Depuis près de deux ans, les maximums de températures s’enchaînent.
Depuis 2023, les océans ont littéralement suffoqué en raison de températures extrêmes pendant plus d'une année. Mais que s'y passe-t-il ?
La Niña ne produit toujours pas d'effet de refroidissement sur la température mondiale. Au contraire, janvier 2025 vient de battre un record.
Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud jamais mesuré dans le monde, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus. Il a battu le record établi en 2024, malgré la fin du phénomène El Niño qui a accentué le réchauffement climatique en 2023 et 2024.
Les scientifiques constatent que les températures au pôle Nord ont augmenté de plus de 20 °C au-dessus de la moyenne dimanche,
Le thermomètre mondial continue de s’affoler et affiche + 1,75 °C par rapport aux températures moyennes de l’ère préindustrielle. Un nouveau record auquel les scientifiques ne s’attendaient pas.