2025
Clouds play an important role in how much the Earth warms when greenhouse gases like carbon dioxide increase. However, scientists have struggled to determine whether low-level clouds in the tropics slow down or speed up global warming, creating uncertainty in climate predictions. A new study published in Nature adds to the growing evidence that cloud feedback is very likely to amplify warming in the climate system, rather than reduce it.
2024
Elon Musk et le juge brésilien Alexandre de Moraes s'opposent en raison du refus de Musk de se conformer à une décision de justice ordonnant le blocage de certains comptes sur X. En rétablissant ces comptes, Musk a défié l'autorité du tribunal et a accusé Moraes de favoriser la "censure".
2023
Une petite étendue d’eau canadienne est devenue le site de référence du début de l’Anthropocène. Comment ce lac témoigne des effets de l’activité humaine sur la Terre après 1950 ? Les réponses du professeur Andrew Cundy.
Des scientifiques de la Commission internationale de stratigraphie ont choisi mardi 11 juillet cette petite étendue d’eau dans le sud-est canadien pour représenter l’entrée dans l’Anthropocène, en raison des polluants qu’elle contient.
Le lac Crawford, près de Toronto au Canada, a été choisi mardi comme le site de référence mondial du commencement de l'Anthropocène, cette nouvelle époque géologique caractérisée par l'impact de l'humanité sur la Terre que des scientifiques tentent de faire reconnaître officiellement.
Le pic de plutonium dans les sédiments des lacs canadiens marque l’aube d’une nouvelle ère où l’humanité domine la planète. Les scientifiques ont choisi le site qui représentera le début de l’ère de l’Anthropocène sur Terre. Il marquera la fin de 11 700 ans d’un environnement planétaire stable dans lequel l’ensemble de la civilisation humaine s’est développée et le début d’une nouvelle ère, dominée par les activités humaines. Le site est un lac d’effondrement situé au Canada. Il abrite des sédiments annuels présentant des pics clairs dus à l’impact colossal de l’humanité sur la planète à partir de 1950, du plutonium provenant des essais de la bombe à hydrogène aux particules issues de la combustion des combustibles fossiles qui ont arrosé le globe.
Le fait que l'humain transforme de plus en plus vite la planète nous a propulsés dans une nouvelle phase de l'histoire de la Terre. Nous sommes entrés dans l’époque géologique de l'Anthropocène. Lancée il y a 20 ans par le prix Nobel Paul Crutzen, décédé en janvier 2021, cette notion est devenue un mot puissant pour désigner l'impact des activités humaines. Mais chez les géologues, le débat va plus loin: s'agit-il d'un concept social et politique ou d'une véritable nouvelle période géologique qui succéderait à l’Holocène? Convaincu par les preuves accumulées, un groupe de chercheurs s'est lancé à la recherche du «clou d'or» de l'Anthropocène: un marqueur de référence enregistré dans les strates de la Terre. Ce point qui marque le passage d’une époque à une autre est parfois matérialisé par un gros clou doré planté dans la roche. Et cette quête de plusieurs années éclaire différemment l'histoire de l'humanité et son impact sur la planète.
A vue d'oeil c'est un minuscule lac comme il y en a des milliers au Canada. Mais ce qui se trouve sous la surface le rend hors du commun: l'exceptionnelle conservation de ses couches géologiques en fait la nouvelle référence mondiale de l'Anthropocène.
Cette nouvelle époque géologique officialiserait le moment où l’humain a transformé la planète.
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Global CO2 emissions for 2022 increased by 1.5% relative to 2021 (+7.9% and +2.0% relative to 2020 and 2019, respectively), reaching 36.1 GtCO2. These 2022 emissions consumed 13%–36% of the remaining carbon budget to limit warming to 1.5 °C, suggesting permissible emissions could be depleted within 2–7 years (67% likelihood).
Cette séquence d'enseignement-apprentissage s’appuie sur l’enquête de Heidi.news « La quête du clou d’or de l’Anthropocène ». Les élèves analysent, synthétisent puis exposent des textes de vulgarisation scientifique.
2022
Par défaut, il ne sera donc plus possible d’utiliser la puissance de calcul des serveurs de Microsoft pour le minage de cryptos, sachant que ces opérations algorithmiques sont bien souvent extrêmement énergivores et demandeuses en ressources, ce qui pèse sur la capacité des serveurs à libérer du temps de calcul pour d’autres utilisateurs (et n’est pas vraiment raccord avec la recherche de neutralité carbone).
Publiée dans Nature Communications, cette découverte "suscite un immense espoir", selon l'équipe de l'UCLouvain qui vise en l'occurrence la mise au point d'un antiviral, probablement sous forme d'aérosol, qui permettrait d'éradiquer le virus en cas d'infection ou de contact à haut risque.
Comment partager équitablement et de façon socialement juste les bénéfices de la transition. Une chronique de Pierre André, philosophe et chargé de recherches FNRS à l'UCLouvain (Chaire Hoover).
Le Giec a dévoilé ce lundi le deuxième volet de son sixième rapport de synthèse. Un exercice qui dresse l’état des connaissances actuelles sur les impacts déjà perceptibles des dérèglements du climat, les risques encourus et les mesures d’adaptation qui ont commencé à voir le jour pour faire face à cette nouvelle réalité. Conclusion : une dangereuse impréparation.
2021
Le monde numérique se prétend « dématérialisé » mais consommerait 10% de l’électricité produite sur la planète et dégagerait 4% des émissions de CO2, soit près du double du secteur aérien civil.Guillaume Pitron, a découvert que le cloud, loin d’être virtuel, s’annonce surtout celui de bien des pollutions. Avec ses multiples interfaces, son réseau gigantesque et ses besoins de stockage astronomique, quel est le véritable impact écologique de l’industrie numérique ?
Les décisions adoptées à la COP26, à Glasgow, vont aider à la mise en oeuvre de l'accord de Paris sur le climat, a souligné dimanche le climatologue Jean-Pascal van Ypersele (UCLouvain), estimant qu'il s'agit d'un "pas dans la bonne direction". "C'est bien plus que du bla-bla, mais c'est très insuffisant", résume-t-il.
Selon Hervé Jeanmart, professeur à l'école polytechnique de l'UCLouvain et spécialiste en la matière, réduire les émissions annuelles de C02 de 55% par rapport à 1990 d'ici 2030 est un pari presque perdu d'avance. "La Belgique a deux solutions, confie le professeur qui ne se veut ni pessimiste ni optimiste. Soit on tient un discours sur des objectifs ambitieux sans pour autant imposer des moyens contraignants, auquel cas on n'y arrivera pas. Soit on se dit qu'on n'a plus le choix et que c'est une priorité. Dans ce cas, si on fait tout pour, alors on pourra éventuellement y arriver mais ça demandera d'importants efforts."
Le 6e rapport du GIEC, sorti cet été, lance en tout cas les signaux d’avertissement les plus sévères sur la progression du réchauffement climatique et ses conséquences dévastatrices pour la planète.