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2025
La Commission européenne a proposé mercredi de prolonger d'un an, jusqu'en mars 2027, la protection accordée aux réfugiés ukrainiens dans l'UE, tout en engageant pour la première fois une réflexion sur leur avenir.
Selon le Premier ministre moldave, la Russie souhaiterait faire stationner 10 000 soldats en Transnistrie. Et pour ce faire, Moscou compte adopter une stratégie bien particulière.
Moscou avait prévenu que des livraisons directes d’armes à longue portée, qui permettraient à Kiev de se défendre contre des cibles militaires sur le territoire russe, seraient considérées comme une implication de Berlin dans la guerre. La production en commun annoncée par le chancelier permet de contourner cet obstacle.
Quelque chose est en train de bouillir à la Maison blanche. Comme une soupe épaisse sur un feu médiatique. Un mélange de frustration, de justifications et de craintes. De "Je m’entends bien avec Vladimir Poutine", à "Il a dû lui arriver quelque chose", Donald Trump change progressivement son discours sur le président russe. Un changement pas encore radical mais perceptible en cinq mois à peine.
Le chancelier allemand a affirmé lundi que les principaux alliés occidentaux de l'Ukraine, dont l'Allemagne, ne fixaient plus de restrictions sur la portée des armes fournies à Kiev, sans toutefois dire concrètement ce que cela signifiait pour les livraisons futures.
Le chancelier a annoncé que les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni se joignaient à l’Allemagne dans ce changement de doctrine militaire, mais aucun de ces pays n’a encore confirmé. La Russie a fustigé une « décision assez dangereuse ».
Guerre en Ukraine : Kiev propose un financement direct de l'armée ukrainienne par l'Union européenne
- Belga,
Le ministre ukrainien des Finances, Sergii Marchenko, a proposé que les États membres de l'Union européenne financent directement l'armée ukrainienne, afin de mieux contrer l'invasion russe débutée en 2022. "Aujourd'hui, l'armée ukrainienne assure non seulement la protection de l'Ukraine, mais aussi celle de toute l'Europe", a-t-il déclaré vendredi sur Telegram.
Bruxelles doit voter ce jeudi 22 mai pour une surtaxation des engrais russes, que l’UE a importé à hauteur de 6,2 millions de tonnes en 2024, et vise une augmentation de la production européenne.
L'Union européenne a pris mardi de nouvelles sanctions contre la Russie sans attendre les États-Unis, au lendemain d'un entretien entre Donald Trump et Vladimir Poutine qui n'a abouti à aucune promesse de cessez-le-feu en Ukraine.
Si l’Europe s’est pratiquement sevrée du pétrole russe, le gaz de Poutine arrive toujours sur le continent, notamment par bateaux sous forme liquéfiée. Bruxelles prévoit la fin totale des importations d’énergie russe d’ici 2027.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
Volodymyr Zelensky a accusé ce mardi 20 mai la Russie «d’essayer de gagner du temps» en faisant traîner les discussions en vue d’un cessez-le-feu. Selon Kyiv, au lendemain d’un entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le seul but de Moscou est de «poursuivre» son invasion de l’Ukraine. Dans le même temps, la vice-présidente de la Commission européenne, Kaja Kallas a annoncé l’adoption formelle par l’UE d’un 17e paquet de sanctions contre la Russie.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis vendredi d'accroître la pression sur Moscou jusqu'à ce que le président russe Vladimir Poutine soit "prêt pour la paix" dans les discussions avec l'Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky "était prêt à une rencontre. Le président Poutine ne s'est pas présenté. Cela démontre une chose: le président Poutine ne veut pas la paix", a-t-elle déclaré puis Tirana.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a jugé vendredi, à son arrivée à Tirana (Albanie) pour une réunion de la Communauté politique européenne, qu'il était temps d'intensifier la pression sur la Russie jusqu'à ce que Vladimir Poutine soit prêt pour la paix.
Les ambassadeurs des 27 ont approuvé mercredi un 17e "paquet" de sanctions contre la Russie, qui cible de nouveaux pétroliers "fantômes" utilisés pour contourner les sanctions déjà existantes, destinées à limiter les exportations de pétrole russe, a-t-on appris de sources diplomatiques. Ces nouvelles sanctions sont indépendantes de celles "massives" envisagées dans le cas où Moscou refuserait de négocier et d'accepter un cessez-de-feu de 30 jours déjà accepté par Kiev et réclamé par ses alliés occidentaux.
Le silence du président russe Vladimir Poutine face à la proposition du président ukrainien Volodymyr Zelensky de le rencontrer jeudi à Istanbul signifie que le Russe a "probablement été surpris" par cette proposition, a commenté mardi la porte-parole en chef de la Commission européenne.
En proposant à Vladimir Poutine une rencontre en Turquie jeudi, Volodymyr Zelensky a réussi à le mettre dos au mur. Un énième tour de force qui pourrait amadouer les États-Unis et peser lourd dans le bras de fer diplomatique.
Kyiv et ses alliés avaient proposé une trêve à partir de ce lundi 12 mai, comme préalable à des discussions avec Moscou jeudi en Turquie. […] Pas de signe d’accalmie. L’Ukraine a accusé la Russie d’avoir tiré plus d’une centaine de drones dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 mai, malgré l’ultimatum adressé par les alliés de Kyiv à Moscou pour accepter un cessez-le-feu. «A partir de 23 heures, l’ennemi a attaqué avec 108 drones Shahed et d’autres types de drones», a annoncé l’armée de l’air ukrainienne, précisant en avoir abattu au moins 55. Aucune attaque de missile n’a en revanche été signalée.
Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays européens majeurs se réunissent ce lundi pour des discussions jugées "capitales" sur l'Ukraine, deux jours après l'ultimatum lancé par les alliés de Kiev à Moscou concernant un cessez-le-feu.
Les six pays du groupe Weimar +, qui comprend aussi la Commission européenne, se sont retrouvés à Londres lundi 12 mai pour de nouvelles discussions concernant les efforts de paix en Ukraine et la sécurité en Europe.Ils ont beau savoir - d’expérience ! - qu’un post de Donald Trump sur les réseaux sociaux peut tout envoyer valser, les leaders européens veulent apparaître fermes. En fin de matinée du lundi 12 mai, le gouvernement allemand a ressorti la montre, menaçant la Russie de nouvelles sanctions si elle n’acceptait pas l’offre américaine d’un cessez-le-feu avant lundi soir.