Jean-Marc Jancovici

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2025

Et si, demain, une guerre nucléaire plongeait la planète dans l’obscurité, refroidissant brutalement le climat et provoquant une crise alimentaire mondiale ? Face à ce scénario d’hiver nucléaire de plus en plus plausible, des chercheurs néo-zélandais ont tenté de répondre à une question cruciale : comment nourrir durablement les habitants d’une ville moyenne dans un monde post-apocalyptique ? Leur réponse, aussi pragmatique qu’inattendue, repose sur une poignée de cultures résistantes… et une revalorisation massive des espaces verts urbains.
A panel of international scientists has moved their symbolic “Doomsday Clock” closer to midnight than ever before, citing Russian nuclear threats amid its invasion of Ukraine, tensions in other world hotspots, military applications of artificial intelligence and the climate crisis as factors underlying the risks of global catastrophe.
Le 28 janvier 2025, le Bulletin of the Atomic Scientists a avancé son célèbre « Doomsday Clock » à 89 secondes avant minuit, marquant ainsi le point le plus proche de la catastrophe mondiale depuis sa création en 1947. Cette horloge symbolique évalue la proximité de l’humanité d’une destruction causée par ses propres actions, notamment les menaces nucléaires, climatiques et technologiques.

2024

Avant de lancer cette chaîne. Nous avions créer un pilote lorsque j'étais encore sur ‪@TarmacRTBF‬ la plate-forme média de la ‪@rtbf‬ qui avait pour vocation d'introduire les limites planétaires à des personnes qui n'y connaissaient rien. "1,5°C" était le titre que nous avions trouvé en symbole avec les accords de paris de la COP 21. Cette vidéo j'ose espérer captivante revient sur le constat global de notre époque : comment notre planète, nos écosystèmes et nos sociétés sont à la croisée des chemins face au changement climatique. Avec des invités comme ‪@jean-marcjancovici2537‬ Pablo Servigne, ‪@RokhayaDialloFR‬ ou encore le climatologue François Massonnet de ‪@universitedelouvain‬ nous dressons un état des lieux sans concessions mais aussi porteur d'espoir.
Du 11 au 22 novembre se tient la Cop 29 sur le climat. Peut-on encore agir sur le réchauffement climatique ? Le traité de libre-échange entre l’UE et le Mercosur pourrait bientôt être ratifié, traité auquel s'oppose la France. Mais a-t-elle encore les moyens de sa souveraineté alimentaire ?
Ancien ministre de l’Écologie, Yves Cochet est une figure de l’écologie politique et un scientifique de formation. Désormais éloigné de la vie politique il alerte sur le risque d’effondrement du vivant et ses répercussions sur la société. Dans son dernier livre Petites précisions sur la fin du monde (éditions Les Liens i Libèrent, septembre 2024), il réitère la nécessité de faire face à un effondrement global dans les années à venir en s’organisant localement pour mettre en place un vaste programme de décroissance. En dépit d’une approche collapsologique, il tente de montrer que des voies existent encore pour préparer l’avenir, notamment en misant sur le local et les biorégions.
Tout se déroule comme prévu. Après plus de cinquante ans de prophéties catastrophiques, la réalité rend plausible un effondrement systémique mondial. Alors qu’une minorité en prend conscience, la majorité croit encore que le marché, la croissance et la technologie résoudront les problèmes actuels, notamment les inégalités et la crise écologique. Malgré les efforts d’experts et de politiques pour élaborer des solutions, les indicateurs montrent l’inanité de ces tentatives. Que faire, dès lors, face à la catastrophe politique, écologique et sociale imminente ? Pour le scientifique et ancien ministre Yves Cochet, cela ne fait aucun doute : en ces temps incertains et bouleversés, il est urgent de se départir de nos croyances et de placer la question de l’effondrement au cœur du débat public.
Comment se reconstruit une civilisation ? Qu’est-ce qui rend une civilisation fragile ou, au contraire, résiliente ? Ce sont les questions que pose Eric H. Cline à propos des civilisations antiques, qui ont dû faire face ou s'adapter aux risques et aux périls de l'Effondrement de l'âge du bronze.
Comment tout ça va finir ? Vous vous êtes tous et toutes déjà posé cette question vertigineuse. Et si la fin de l’humanité n’était pas, en fin de compte, une immense explosion, mais au contraire une longue somnolence ? Et si la fin du monde avait déjà commencé ? Et si nous étions à l’entrée du long souterrain soporifique qui nous emmènera irrémédiablement vers notre oubli collectif ? Bonne méditation.
Ce sont des chiffres surprenants qui ne devraient pas nous surprendre. L'air que nous respirons, en France comme en Chine, est moins pollué que celui qui noircissait les poumons de nos parents. La déforestation mondiale recule. Jamais le nombre d'enfants morts en bas âge n'a été aussi bas. L'extrême pauvreté s'effondre sur la planète.Notre empreinte carbone individuelle, dans les pays riches, se réduit, depuis des années voire des décennies. Le monde a commencé à dire adieu aux voitures à essence, et pourrait le dire bientôt au charbon.
Ce sont des chiffres surprenants qui ne devraient pas nous surprendre. L’air que nous respirons, en France comme en Chine, est moins pollué que celui qui noircissait les poumons de nos parents. La déforestation mondiale recule.
Le préambule de l'Accord de Paris de 2015 souligne les « impératifs d'une transition juste pour la population active »(1).
La « collapsologie » est un courant de pensée qui évoque la possibilité de fin brutale et définitive des civilisations dans lesquelles nous vivons… et les moyens de s’y adapter. De quoi nourrir notre peur de l'avenir... tout en remettant à la mode l’imaginaire post-apocalyptique ; sous-genre classique de la science-fiction. Alors si le réel rejoint la fiction, faut-il s’inspirer des œuvres postapo pour se préparer à un cataclysme annoncé ? Aujourd’hui dans Planète B, on parle de peur et de désir de fin du monde.
D’où vient la collapsologie, cette pensée de l’effondrement civilisationnel qui a émergé au mitan des années 2010 ? L’enquête ethnographique menée par l'auteur de 2012 à 2017 auprès de réseaux informels mêlant catastrophisme et spiritualité permet de revenir à ses origines et de comprendre comment des références, des idées, un certain rapport au monde, des parcours individuels, et des réseaux d’interconnaissances et de pratiques, l’ont structurée à ses débuts. Il en ressort que la perspective d’effondrement n’est pas tant une pensée de la fin du monde que celle de la fin d’un monde et un appel à un autre rapport au monde, systémique, non-dualiste et non-anthropocentrique, un univers de sens partagé avec le milieu des spiritualités alternatives. La collapsologie est ainsi une construction complexe qui puise dans les sciences légitimes avec une dimension intérieure, spirituelle, incontournable sans pour autant se réduire à la catégorie accusatoire de « religion de l’apocalypse ».
Les Livres de Philosophie: Gabriel Perez, Florian Massip : A la fin du monde, il fera beau. Essai sur l'inaction climatique. À défaut d’une mobilisation générale contre les dérèglements climatiques, c’est bien le mot d’ordre du néolibéralisme mondial qui s’impose désormais : celui de l’adaptation. Devant cet avenir apocalyptique surgit l’énigme de l’inaction climatique : pourquoi ne se passe-t-il rien, ou si peu, au regard de la catastrophe annoncée ?
La fin du monde approche... Cette vidéo documentaire retrace ma route vers une île révolutionnaire qui ne se déroule pas comme prévu. Ce périple m'a chamboul...
Il ne reste que 90 secondes avant la fin du monde, à en croire l'horloge de l'apocalypse. Celle-ci utilise l'analogie du décompte vers minuit pour dénoncer le danger qui pèse sur l'humanité. Cette année, les scientifiques pointent les menaces que représentent les guerres, la prolifération nucléaire, le changement climatique ou encore l'intelligence artificielle.

2023

Selon plusieurs médias américains, le patron de Facebook est en train de se faire construire un bunker de 160 hectares sur l'île de Kaui, dans l'archipel américain d'Hawaï. Le projet avoisinerait les 300 millions de dollars. 
Le fondateur de Facebook a choisi l’île du Pacifique pour construire son bunker autosuffisant de luxe. Un projet pharaonique de 250 millions d’euros qui en dit long sur les lubies survivalistes des milliardaires de la tech.
Nous allons examiner un objet monstrueux, alors que notre époque est déjà marquée par des guerres cruelles et des catastrophes à répétition. Je ne voudrais pas aujourd’hui ajouter du malheur au malheur, du pathos à la misère, mais affronter rationnellement un objet de pensée peu débattu : l’effondrement systémique mondial.