Jean-Marc Jancovici

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2025

En pleine économie de guerre, la Russie enregistre sa plus forte vague de fermetures d'entreprises depuis le début de l'invasion de l'Ukraine en février 2022.
Selon des documents internes consultés par «Libé», l’agrandissement du site de Weda Bay, cogéré par le Français Eramet, met en péril la biodiversité et un peuple autochtone de l’île reculée d’Halmahera.
Le Kremlin dénonce les menaces "illégitimes" de Trump de surtaxer les produits indiens
Le barrage de Glen Canyon en Arizona devait miraculeusement transformer le désert en terre fertile. Soixante ans plus tard, son lac de retenue menace de devenir une mer morte. Avec lui, c'est tout le Sud-Ouest américain qui est victime du changement climatique et des mauvais choix politiques.
L’avis de la Cour internationale de justice du 23 juillet change la donne du droit international climatique, soutiennent, dans une tribune au « Monde », la juriste Eleonora Bottini et la directrice générale de C40 Cities, Caterina Sarfatti.
Lorsque nous évoquons l’Amazonie, nous pensons instinctivement à ses fleuves majestueux serpentant à travers la végétation luxuriante. Pourtant, au-dessus de nos têtes se déploie un réseau hydrologique encore plus impressionnant : des rivières invisibles qui transportent chaque jour plus d’eau que l’Amazone elle-même. Ces « rivières volantes » constituent l’un des mécanismes les plus fascinants et méconnus de notre planète, orchestrant la distribution des précipitations à travers tout le continent sud-américain.
La Cour Internationale de Justice (CIJ) vient de prononcer un avis historique sur les obligations des Etats dans la lutte contre le
Crues exceptionnelles, sécheresses à répétition, jardins en souffrance : les châteaux de la Loire, comme une grande partie du patrimoine français, ne sont pas épargnés par les nombreuses conséquences du dérèglement climatique, au point d’être parfois menacés de coûteuses dégradations.
Poussée par la France et l’Arabie saoudite, l’ONU se penche à partir de lundi sur l’avenir menacé de la solution à deux Etats, israélien et palestinien, au moment où la pression internationale sur Israël s’intensifie pour mettre un terme à la guerre à Gaza.
Pour la première fois de son histoire, la plus haute juridiction mondiale explique concrètement ce que les États doivent faire – et s'abstenir de faire – pour prévenir une déstabilisation climatique supplémentaire. Qu'est-ce que cela signifie pour la Belgique, condamnée à deux reprises dans l'Affaire Climat (Klimaatzaak), mais qui ignore toujours ces jugements ?
L’incendie qui s’est déclaré samedi sur le littoral méditerranéen dans l’Aude est toujours en progression dimanche matin après avoir parcouru 610 hectares de végétation et fortement endommagé deux maisons, a-t-on appris de source préfectorale.
En raison de l’obscurité, l’appui aérien de six Canadair, quatre Dash, un avion de repérage et deux hélicoptères bombardiers d’eau a été stoppé samedi soir. Mais la reprise de ce dispositif est prévue pour dimanche.
L'avis historique sur le climat rendu mercredi par la plus haute cour mondiale pourrait rendre plus risquées juridiquement les activités du secteur pétrogazier, à commencer par l'expansion des forages, selon l'analyse d'experts. La Cour internationale de justice (CIJ) a défendu dans un avis consultatif une position très ferme sur les énergies fossiles, qui a même surpris les observateurs chevronnés du droit de l'environnement. La plus haute juridiction de l'ONU, basée à La Haye, a déclaré que les États avaient l'obligation de répondre à la "menace urgente et existentielle" du réchauffement climatique.
Contraindre les grands Etats à réduire leur pollution carbone qui réchauffe la planète est peut-être hors de portée de la plus haute cour mondiale, mais l'avis historique qu'elle a rendu mercredi fournit une arme redoutable aux pays et aux militants à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique. Même s'il est consultatif et non contraignant, l'avis de la Cour internationale de justice (CIJ), plus haute juridiction de l'ONU, n'est pas sans pouvoir, bien au contraire.
Cette semaine, la Cour internationale de justice a rendu un avis historique, confirmant l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique, et par conséquent de réglementer les entreprises émettrices de gaz à effet de serre. Paul Mougeolle, juriste et coordinateur de "Notre Affaire à tous" décrypte cet avis pour Novethic.
Dans un avis inédit et unanime, la CIJ a conclu que les Etats qui violent leurs obligations climatiques commettent un acte « illicite » et pourraient se voir réclamer des « réparations » par les pays les plus affectés.
De récentes études sur les Pyrénées révèlent l’ampleur des changements environnementaux dans les écosystèmes montagnards. Le changement climatique s’avère plus intense que prévu, notamment pour les lacs, où les conditions de vie deviennent difficiles, et pour les glaciers. Les conséquences pourraient être dramatiques pour la biodiversité locale et pour le pastoralisme, mais aussi pour beaucoup de personnes, y compris en dehors des régions montagneuses, qui en dépendent pour leur approvisionnement en eau.
La CIJ a émis un avis consultatif inédit, mentionnant l’obligation de « réparations » pour les pays pollueurs envers les Etats les plus affectés par le changement climatique.
La plus haute juridiction de l’ONU a recadré les normes internationales en matière climatique mercredi 23 juillet, en affirmant que les pays sont juridiquement contraints de limiter la hausse des températures, explique la spécialiste du droit de l’environnement Marta Torre-Schaub.
Dans un avis inédit et unanime, la Cour internationale de justice reconnaît que le changement climatique constitue une menace existentielle pour l’humanité. Les États qui cherchent à se soustraire à leurs obligations climatiques peuvent voir leur responsabilité engagée, ce qui ouvre la voie à de futurs contentieux climatiques nationaux.