Jean-Marc Jancovici

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missiles

2025

Moscou avait prévenu que des livraisons directes d’armes à longue portée, qui permettraient à Kiev de se défendre contre des cibles militaires sur le territoire russe, seraient considérées comme une implication de Berlin dans la guerre. La production en commun annoncée par le chancelier permet de contourner cet obstacle.
Donald Trump a annoncé mardi que les États-Unis construiraient un système de défense antimissiles sur le modèle du "Dôme de fer" israélien, et que le président américain a baptisé "Dôme d'or".
Alors que la course aux armements entre grandes puissances entre dans une nouvelle ère, un rapport récemment publié par des chercheurs de l’armée chinoise révèle une avancée qui pourrait bien redéfinir les équilibres stratégiques mondiaux. Ces scientifiques affirment que la Chine est désormais capable de lancer des missiles hypersoniques directement depuis l’espace, atteignant des vitesses phénoménales et comprimant drastiquement les délais de réaction de tout adversaire potentiel.
"Une frappe avec ces missiles contre des installations russes […] sera considérée comme une participation directe de l’Allemagne aux hostilités aux côtés du régime de Kiev, avec toutes les conséquences que cela implique", a mis en garde la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, citée par les agences de presse russes. Selon elle, "le tir réel de ces missiles de croisière est impossible sans l’assistance directe des militaires de la Bundeswehr", l’armée allemande.
Dans un monde où les menaces liées aux missiles balistiques, hypersoniques et nucléaires sont de plus en plus pressantes, les États-Unis envisagent un projet audacieux qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction : un système de défense spatial capable d’intercepter et de neutraliser ces armes avant qu’elles ne franchissent les frontières de la Terre.
L'Ukraine a lancé dans la nuit de lundi à mardi une attaque majeure de drones et de missiles sur plusieurs régions russes. Kiev assure avoir frappé une usine chimique produisant des explosifs pour l'armée russe dans la région frontalière russe de Briansk.

2024

Moscou a rapporté mardi avoir été visé ces derniers jours par deux nouvelles frappes ukrainiennes réalisées à l'aide de missiles américains ATACMS, plusieurs missiles ayant "atteint leurs cibles".
Moscou accuse l’Ukraine d’avoir lancé le mercredi 20 novembre sur une cible militaire russe six missiles de longue portée fournis par le Royaume Uni.
L’armée de l’air ukrainienne annonce ce jeudi 21 novembre que la Russie a attaqué la ville de Dnipro en tirant un missile balistique intercontinental depuis la région d’Astrakhan. Une première depuis le début de la guerre en février 2022.
L'Ukraine accuse ce jeudi la Russie d'avoir envoyé un missile intercontinental sur son territoire pour la première fois.
Plusieurs pays occidentaux craignent une attaque aérienne de grande ampleur sur la capitale ukrainienne. Par précaution, ces États ont décidé de fermer temporairement leurs représentations diplomatiques, mercredi 20 novembre.
La garde rapprochée de Donald Trump a vivement dénoncé lundi la décision de Joe Biden d'autoriser l'Ukraine à frapper en territoire russe avec des missiles à longue portée de fabrication américaine.
Moscou accusait l’Ukraine d’avoir tiré dans la nuit de lundi à ce mardi 19 novembre six missiles de moyenne portée fournis par les Etats-Unis contre un site militaire de la région frontalière russe de Briansk.
Après des mois de réticence, le président américain va laisser Kiev tirer des missiles ATACMS sur la Russie.
C'est une déclaration inédite faite par les États-Unis ce 17 novembre.
Une autorisation de Washington à Kiev d'utiliser des missiles américains à longue portée pour frapper la Russie "ne changera rien" à la conduite par Moscou de ses combats avec l'Ukraine, a prévenu lundi un député russe.
Washington a finalement cédé à une demande faite par Kiev depuis des mois : pouvoir utiliser les missiles ATACMS, qui peuvent atteindre une cible à près de 300 kilomètres. L’objectif est de repousser la contre-attaque russe, appuyée par des soldats nord-coréens, dans la région russe de Koursk, conquise en août.
Plusieurs pays, dont la Russie et la France, ont réagi à la décision américaine d’autoriser Kyiv à frapper les territoires russes avec ses missiles longue portée.
Les États-Unis ont autorisé l’Ukraine, dimanche, à frapper des cibles en Russie avec les missiles ATACMS qu’elle lui a fournis. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, ne cessait de militer en ce sens. Mais dans le contexte actuel du conflit, ces missiles ne sont peut-être pas la solution miracle tant espérée.
Selon le «New York Times», le président sortant américain a autorisé l’armée ukrainienne à se servir du système ATACMS pour frapper sur le sol russe, une première depuis le début du conflit qui oppose Moscou et Kyiv.