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2025
Au lendemain des attaques ukrainiennes sur le territoire russe, nous avons échangé avec Alain De Neve, chercheur à l'École royale militaire. Si cette opération a fait autant de dégâts que ceux avancés par Kiev, quel impact sur la guerre dans son ensemble ?
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.
Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
Donald Trump, qui pourrait annoncer bientôt de nouvelles sanctions contre la Russie selon des médias américains, a une nouvelle fois laissé éclater mardi sa frustration envers Vladimir Poutine, estimant qu'il "jouait avec le feu".
Donald Trump a affirmé dimanche que Vladimir Poutine était "devenu complètement fou", durcissant le ton contre Moscou après un week-end d'attaques russes meurtrières contre l'Ukraine malgré les appels au cessez-le-feu.
Après un week-end marqué par des attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, le président américain a durci le ton contre Moscou, évoquant même une potentielle «chute de la Russie» si Poutine s’emparait du territoire ukrainien.Comme à son habitude, Donald Trump n’y est pas allé par quatre chemins. «J’ai toujours eu de très bonnes relations avec [le président] russe, Vladimir Poutine, mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement FOU ! Il tue inutilement un grand nombre de personnes, et je ne parle pas seulement des soldats», a écrit dimanche 25 mai le président américain sur son propre réseau, Truth Social, durcissant le ton contre Moscou après un week-end d’attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, et ce malgré les appels au cessez-le-feu.
À la suite du "Mage du Kremlin" son précédent ouvrage qui a remporté un énorme succès public et critique, Giuliano da Empoli, écrivain et conseiller politique, présente "L’Heure des prédateurs" (Gallimard). Il y analyse l’émergence de leaders politiques comme Trump, Poutine, et des figures de la Silicon Valley. Quel rôle l’intelligence artificielle et les géants de la Silicon Valley jouent-ils dans la transformation de la politique et de la société ? Comment le déclin des technos démocraties est-il couplé avec le retour d’une forme politique où se déploient la force et l’agressivité ? Rencontre avec Giuliano da Empoli dans Le Monde en direct.
L’Ukraine a rejeté vendredi la proposition du président russe Vladimir Poutine de créer une zone tampon le long de la frontière ukrainienne. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga estime que ces plans montrent que la Russie n’a aucune intention de mener des pourparlers de paix. "Poutine reste la seule raison de l’effusion de sang actuelle", a-t-il écrit sur X (anciennement Twitter).
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit.
Les présidents américain et russe se sont entretenus ce lundi 19 mai par téléphone pour faire avancer un dossier totalement bloqué par les exigences impossibles de Moscou.
Dans une tribune au « Monde », l’économiste russe Vladislav Inozemtsev et le chercheur ukrainien Mykola Vorobiov constatent que les appels au président russe pour arrêter la guerre ont toujours été peine perdue. Selon eux, il ne consentira à négocier que si la guerre devient dangereuse pour son propre compte.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
Volodymyr Zelensky a accusé ce mardi 20 mai la Russie «d’essayer de gagner du temps» en faisant traîner les discussions en vue d’un cessez-le-feu. Selon Kyiv, au lendemain d’un entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le seul but de Moscou est de «poursuivre» son invasion de l’Ukraine. Dans le même temps, la vice-présidente de la Commission européenne, Kaja Kallas a annoncé l’adoption formelle par l’UE d’un 17e paquet de sanctions contre la Russie.
Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l'Ukraine allaient "démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu" après son appel avec son homologue russe, Vladimir Poutine, lequel n'a cependant pas consenti à un arrêt des combats sans conditions comme réclamé par Washington et Kiev.
Alors qu’une frappe russe sur un minibus de civils a fait 9 morts ce samedi en Ukraine, le président américain, pressé par Emmanuel Macron, a confirmé qu’il parlerait au président russe lundi 19 mai.Encore et encore. Donald Trump a assuré ce samedi 17 mai qu’il parlerait au président russe au téléphone lundi pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine, avant de parler au président ukrainien Volodymyr Zelensky et à plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan. «Les sujets de l’appel seront : mettre fin au “bain de sang”», a déclaré le président américain sur sa plateforme Truth Social.
Au lendemain de discussions sans progrès entre Russes et Ukrainiens à Istanbul, le Kremlin a annoncé, samedi, qu'une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky ne serait "possible" qu'à la seule condition que Moscou et Kiev trouvent des "accords" au préalable. Le président américain Donald Trump a déclaré, par ailleurs, qu'il s'entretiendra lundi avec ses homologues russe et ukrainien.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis vendredi d'accroître la pression sur Moscou jusqu'à ce que le président russe Vladimir Poutine soit "prêt pour la paix" dans les discussions avec l'Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky "était prêt à une rencontre. Le président Poutine ne s'est pas présenté. Cela démontre une chose: le président Poutine ne veut pas la paix", a-t-elle déclaré puis Tirana.
Ancien ministre de la Culture et historien aux vues nationalistes, le conseiller de Vladimir Poutine, Vladimir Medinski, emmène la délégation russe aux négociations de paix avec l'Ukraine à Istanbul, un rôle qu'il a déjà joué en mars 2022, au tout début du conflit. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait mis au défi son homologue russe de se rendre "en personne" à cette rencontre, mais Vladimir Poutine y a envoyé une délégation composée de responsables de second rang et dirigée par M. Medinski.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a jugé vendredi, à son arrivée à Tirana (Albanie) pour une réunion de la Communauté politique européenne, qu'il était temps d'intensifier la pression sur la Russie jusqu'à ce que Vladimir Poutine soit prêt pour la paix.
Des délégations russe et ukrainienne sont attendues jeudi à Istanbul, en Turquie, pour y mener leurs premiers pourparlers directs depuis le printemps 2022, bien que les modalités de cette rencontre, à laquelle le président russe Vladimir Poutine a refusé de participer, restent peu claires à ce stade.