Jean-Pascal Van Ypersele

OA - Liste

2024

En Bretagne sur plusieurs plages, une association a collecté des milliers de "powerchips green". De quoi s'agit-il exactement ?
Touché par l’érosion côtière, l’État de la côte ouest des États-Unis pourrait perdre, d’ici à l’an 2100, jusqu’à 75 % de ses plages, un élément fort de son identité. Entre les adeptes de la bronzette et les riches propriétaires de “beach houses”, ou entre des municipalités voisines, les batailles pour cette ressource qui paraissait infinie ont commencé, raconte le “Los Angeles Times”.
Selon une étude menée en 2021 et en 2022, la pollution des plages autour du plus grand lac d’Europe occidentale est «préoccupante», révélant une moyenne de 7 600 particules de microplastiques par mètre carré.
Le nettoyage de trois plages de Valence, dans l'est de l'Espagne, fermées au public en pleine saison touristique après une marée noire d'hydrocarbures sur plusieurs centaines de mètres de côte, est terminé, ont annoncé mercredi les services d'urgence.
20 % des plages de Bretagne sont polluées régulièrement, révèle l’association Eau & Rivières de Bretagne. Au total, 88 plages sont déconseillées et 21 sont carrément à éviter.
Une marée de granulés en plastique s’abat sur les plages du nord de l’Espagne. Des centaines de milliers de microbilles de la taille de lentilles ont recouvert des plages de Galice, des Asturies et de la Cantabrie après la perte d’un conteneur par un navire marchand.
Depuis mi-décembre, le littoral de cette région côtière est témoin d’une «marée blanche». Des dizaines de sacs remplis de granulés plastiques se seraient échappés d’un conteneur perdu en mer.

2023

Une grande partie du Brésil était plongée dans la canicule ce week-end, avec les températures les plus élevées de l’année à Rio de Janeiro et Sao Paulo, en plein milieu du printemps. À Rio, les habitants se sont précipités vers le bord de mer pour se rafraîchir. Les plages iconiques d’Ipanema et Copacabana étaient tellement noires de monde qu’il était presque impossible de voir le sable, les paréos et les parasols occupant toute la place, jusqu’au bord de l’eau.
Nos hauts sommets sont-ils aussi malades ? Un signal d’alarme vient d’être lancé par une équipe de chercheurs de l’Institut national polytechnique (INP) de Toulouse. Dans une étude publiée récemment, ils alertent sur la prolifération des cyanobactéries, ou "algues bleues", dans les lacs de haute montagne. Un bouleversement aux lourdes conséquences pour l’humain et la nature.
Le procureur adjoint pour les délits contre l’environnement de l’Etat de Campeche a évoqué une nappe de plus de 100 kilomètres carrés, et dit craindre des « dégâts environnementaux graves ».