Le Sable

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Le Sable dans tous ses états. Comme ressource. En tempêtes. …

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2024

Les cours du pétrole ont fini en hausse vendredi, après une journée en dents de scie, poussés notamment par la crainte que les incendies au Canada ne menacent la production des mines de sables bitumineux de l'Alberta.Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet a gagné 0,85% à 83,98 dollars.Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en juin, a grimpé de 1,04% à 80,06 dollars.De violents incendies de forêts dans l'ouest du Canada menacent la ville pétrolière de Fort McMurray.
Au Royaume-Uni, des chercheurs travaillent sur un moyen d’augmenter considérablement la capacité des océans à absorber le dioxyde de carbone (CO2). Les scientifiques envisagent notamment de verser une sorte de sable verdâtre à certains endroits dans l’eau afin de générer une réaction chimique. Néanmoins, les conséquences de cette initiative pourraient être désastreuses.
Le sud-est de la France est touché samedi par un épisode de pollution aux particules fines en raison du passage d'un nuage de sable du Sahara, ont annoncé les préfectures de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca) et de l'Hérault.
L’an dernier, 710.909 mètres cubes de sable ont été remis sur les plages de Knokke et du Coq, a annoncé mercredi l’Agence des services maritimes et côtiers (MDK). "Recharger" les plages doit, entre autres, permettre de mieux protéger la Côte lors de violentes tempêtes.
Les sables bitumineux empoisonnent le Canada… bien plus que prévu. Telle est la conclusion d’une étude parue le 25 janvier dans la revue Science. Selon les chercheurs, la pollution atmosphérique provenant des sables bitumineux de l’Alberta, dépasse de 1 900 % à plus de 6 300 % les émissions déclarées par les industriels. Autrement dit, les compagnies pétrolières sous-estiment massivement la pollution.

2023

TotalEnergies a acté lundi soir sa sortie des sables bitumineux au Canada, annonçant avoir finalisé le jour même "la cession à Suncor de l'intégralité des titres de TotalEnergies EP Canada, comprenant notamment sa participation dans l'actif de sables bitumineux de Fort Hills et des obligations logistiques associées".
Chaque année, environ 2 milliards de tonnes de sable et de poussière sont rejetées dans l’atmosphère par des tempêtes exacerbées par le changement climatique, alerte mercredi l’ONU. Les conséquences, notamment sanitaires, sont immenses.
Notre pays devrait être plus stratégique dans la gestion de cette ressource cruciale mais encore trop perçue comme gratuite, selon l’Onu.
Selon une analyse des Nations unies, le sable est extrait des milieux marins et côtiers en si grande quantité que nous sommes dangereusement proches des limites du taux de reconstitution naturelle nécessaire au maintien des écosystèmes.
TotalEnergies a annoncé mercredi avoir finalisé la cession de sa participation dans le gisement canadien de sables bitumineux de Surmont à l'américain ConoccoPhilipps et signé un accord avec le canadien Suncor pour céder le reste de ses titres au Canada.La transaction avec ConoccoPhilipps a été conclue pour un montant 4,03 milliards de dollars canadiens (2,79 milliards d'euros).
Au rythme d’extraction actuelle, les réserves de sable du delta du fleuve d’Asie du Sud-Est seront épuisées dans une dizaine d’années, met en garde WWF. En cause, la demande mondiale de sable pour la construction et les barrages hydroélectriques érigés sur le cours du fleuve.
La demande devient insoutenable. Le sable, deuxième ressource la plus exploitée après l'eau, est devenu indispensable à plusieurs secteurs, dont le BTP. Pour "rendre visible l'invisible", le PNUE vient de créer une plateforme inédite capable de suivre et surveiller le dragage du sable en milieu marin. Sur les 50 milliards de tonnes de sable utilisées chaque année, 6 milliards sont aspirées des fonds marins, avec des conséquences environnementales désastreuses.
La surexploitation du sable dans le monde, notamment pour la construction, représente une menace pour les écosystèmes côtiers et la biodiversité marine, alerte l’Organisation des Nations unies (ONU) dans un communiqué publié le 5 septembre.
Dans un rapport dévoilé ce mardi 5 septembre, les Nations Unies alertent de manière inédite sur l’exploitation massive du sable dans le monde. Une menace pour les écosystèmes et la biodiversité marine.
L'ONU lance une plateforme qui évalue, pour la première fois, l'ampleur de l'extraction du sable du fond des mers et des océans. L'organisation s'alarme d'une surexploitation de la ressource, préjudiciable à l'environnement.
Les tempêtes de sable se multiplient dans le monde. Les particules les plus petites sont parfois emportées à des milliers de kilomètres. En 2020, nous nous sommes même réveillés en Europe dans un m…
À Saint-Colomban, en Loire-Atlantique, le niveau des puits inquiète et des étangs sont parfois à sec. Une tension sur l’eau que des riverains imputent à l’exploitation d’une carrière de sable.
Ils étaient 600 selon la préfecture du département, 1 500 d'après les organisateurs.
La manifestation a été lancée à l’appel d’un collectif regroupant notamment Les Soulèvements de la terre et La tête dans le sable, une association qui lutte pour la protection de cette ressource.
En marche carrière. Soutenus par les Soulèvements de la terre, cinq collectifs lancent un appel à un rassemblement commun ce week-end pour lutter contre le développement des carrières de sable et la bétonisation de la métropole nantaise.

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