Le Sable

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Le Sable dans tous ses états. Comme ressource. En tempêtes. …

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2024

L’an dernier, 710.909 mètres cubes de sable ont été remis sur les plages de Knokke et du Coq, a annoncé mercredi l’Agence des services maritimes et côtiers (MDK). "Recharger" les plages doit, entre autres, permettre de mieux protéger la Côte lors de violentes tempêtes.

2023

Chaque année, environ 2 milliards de tonnes de sable et de poussière sont rejetées dans l’atmosphère par des tempêtes exacerbées par le changement climatique, alerte mercredi l’ONU. Les conséquences, notamment sanitaires, sont immenses.
Les tempêtes de sable se multiplient dans le monde. Les particules les plus petites sont parfois emportées à des milliers de kilomètres. En 2020, nous nous sommes même réveillés en Europe dans un m…

2022

Si l’été ne fait que commencer, l’Irak étouffe déjà sous les effets de la chaleur. Plus de 50°C ont été enregistrés dans plusieurs villes, où les habitants tentent de se protéger malgré les coupures de courant quotidiennes. Canicule, sécheresse, désertification… Des phénomènes qui devraient se multiplier, alors que les Nations Unies classent l’Irak parmi les cinq pays les plus vulnérables face au changement climatique.
A Bagdad, le mercure a éraflé les 50 degrés sous abri. Le printemps avait été ponctué d’une dizaine de tempêtes de sable et de poussière, elles-mêmes causées par le changement climatique et la désertification du pays.
L'aéroport international de Bagdad était provisoirement fermé lundi en raison d'une nouvelle tempête de poussière qui frappait la capitale irakienne, un phénomène qui s'est fortement amplifié ces derniers mois dans ce pays semi-désertique.
Depuis la mi-avril, le “pays des deux fleuves” a essuyé une dizaine de tempêtes de poussière mêlées de sable. La faute à l’absence de couverture végétale et à une désertification rampante du pays due notamment à un assèchement en aval du Tigre et de l’Euphrate, estime le site “Daraj”.
Neuf tempêtes de sable en Irak et trois en Iran en cinq semaines, des milliers d’hospitalisations, la Turquie qui fait barrage sur le Tigre et l’Euphrate… Le changement climatique accroît les risques de drames humains et politiques.
Des tempêtes de sable ont provoqué des hospitalisations, des fermetures d'école et des perturbations du trafic aérien dans plusieurs pays du Moyen-Orient. Mardi, un épais nuage de poussière a recouvert la capitale saoudienne, Ryad, dont la tour emblématique Kingdom Centre est devenue invisible à plus de quelques centaines de mètres, a constaté un journaliste de l'AFP.
Aéroports et administrations publiques fermés, examens suspendus dans les écoles et les universités: à leur réveil les Irakiens ont retrouvé lundi le désormais familier halo orangé provoqué par une nouvelle tempête de sable, dans un pays où ces phénomènes climatiques ne font qu'empirer.
La COP15 contre la désertification a débuté, lundi, à Abidjan, en Côte d'Ivoire, en présence de plusieurs chefs d'État africains, de représentants de la société civile et du secteur privé réunis pour parler désertification et sécheresse dans le monde. Des phénomènes qui touchent directement l'Irak, où des tempêtes de sable et de poussière ont récemment causé l'hospitalisation de milliers personnes. Reportage de Lucile Wassermann, correspondante de France 24 à Bagdad.
Mais le facteur incontournable, c'est l'eau. Un enjeu ultra-sensible pour l'Irak et ses 41 millions d'habitants, qui ressentent au quotidien l'impact du changement climatique : désertification, tempêtes de sable à répétition, chute des précipitations et baisse du niveau des fleuves. C'est aussi un enjeu géostratégique capital. L'Irak partage les eaux de plusieurs fleuves, notamment celles du Tigre et de l'Euphrate, avec la Turquie et la Syrie, mais aussi l'Iran. Bagdad est vent debout contre la construction de barrages en amont chez ses voisins, qui réduisent le débit des cours d'eau à leur arrivée en Irak.
C’est un mur de sable orangé de plusieurs centaines de mètres de haut, poussé par de puissantes rafales de vent, 50 nœuds en moyenne, qui peut engloutir et plonger une ville dans la nuit en quelques minutes. Les populations du Niger, du Tchad, du Mali, du Soudan, mais aussi d’Irak, d’Iran, du Koweït, jusqu’au Texas et dans l’Arizona connaissent bien ce phénomène spectaculaire, que les météorologues nomment « haboob » (« vent fort » en arabe), l’une des manifestations les plus virulentes des tempêtes de sable et de poussières.