Le Sable

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Le Sable dans tous ses états. Comme ressource. En tempêtes. …

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2024

La moitié des écosystèmes de mangrove dans le monde risquent de s'effondrer, menacés notamment par le changement climatique, la déforestation ou la pollution, selon une étude publiée mercredi. L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), connue
Dans un état des lieux alarmant, l'Union internationale pour la conservation de la nature prévient mercredi que la moitié des écosystèmes de mangrove mondiaux sont menacés d'effondrement. En cause : la déforestation, le développement, la pollution et la construction de barrages. Mais aussi l'élévation du niveau de la mer et la fréquence accrue des tempêtes violentes associées au changement climatique.
L’effondrement des écosystèmes serait dangereux pour l’économie. Il peut se répercuter au niveau global. La forêt amazonienne, les tourbières tropicales et les mangroves contiennent actuellement environ 220 gigatonnes de carbone. Si elles sont perturbées, elles peuvent subir des changements incontrôlables qui feraient basculer l’écosystème vers une savane non boisée. Leur effondrement provoquerait des émissions de carbone équivalentes à environ 20 ans d’émissions mondiales de CO2 actuelles. Cela pourrait empêcher le maintien d’un climatique de moins d’ 1,5°C, et aurait de nombreuses conséquences directes.
Promesses de financement par centaines de millions de dollars, annonces d'investissements dans les énergies ou dans des usines de tables de cuisson... Les engagements se sont multipliés mardi lors d'un sommet destiné à doter les ménages africains de systèmes de cuisson non dangereux. 2,2 milliards d'euros Au total, 2,2 milliards de dollars ont été promis lors de cette réunion organisée à Paris par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et coprésidée par les dirigeants tanzanien, norvégien et de la Banque africaine de développement (BAD).
Sous l’égide de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), un sommet « de haut niveau » se tient à Paris ce 14 mai pour évaluer les voies de l’accélération de la modernisation des systèmes de cuisson rudimentaires.
Les pays membres de l’Otan ont accepté vendredi de fournir davantage de systèmes de défense antiaérienne à Kiev, alors que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a exhorté les Occidentaux à fournir plus d’armes à son pays. “Nous ne pouvons plus attendre”, a-t-il martelé.
Qu'est-ce que la complexité? La complexité n'est pas aisée à définir. Il n'existe pas de définition générale et unique de la complexité. Elle est souvent décrite de manière différente selon les champs de recherche. Les systèmes complexes sont aussi nombreux que variés: les cellules, les organismes, le cerveau humain, internet, les réseaux sociaux, les entreprises, les marchés financiers, etc. Quelles propriétés ces systèmes ont-ils en commun?
Les océans sont essentiels à notre survie, assurant la moitié de l'oxygène mondial. Savez-vous quelle est sa plus grande menace ?
Après une âpre bataille politique qui a contribué à l’édulcorer, la législation a fait l’objet d’un accord mi-novembre entre les négociateurs du Parlement européen et des Etats membres. Un compromis entériné ce mardi 27 février en plénière.
Selon les chercheurs, la production actuelle détruit plus de valeur qu’elle n’en crée en raison des coûts médicaux et environnementaux.

2023

À l’échelle mondiale, les systèmes agricoles et alimentaires tiennent une place importante dans les mutations climatiques en cours et à venir. Pourtant, leur diversité constitue un défi pour évaluer précisément leur durabilité en regard des contextes bio-climatiques et socio-économiques.
Alors que la COP28 entame ses derniers jours de travaux à Dubaï, la FAO a présenté dimanche un plan révolutionnaire qui vise à transformer les systèmes agroalimentaires mondiaux en puits de carbone d’ici à 2050.
Lorsque Rishi Sunak a accordé 27 nouvelles licences en mer du Nord cette semaine, il ne pensait pas à la survie du monde vivant. Le voyez-vous déjà ? L’horizon des systèmes terrestres – le point où nos systèmes planétaires basculent dans un nouvel équilibre, hostile à la plupart des formes de vie ? Je pense que oui. L’accélération soudaine des crises environnementales que nous avons connue cette année, associée à l’inutilité stratégique des puissants gouvernements, nous précipite vers le point de non-retour.
Les lacs, zones humides ou forêts qui viennent de se former par le retrait des glaciers sont des écosystèmes vertueux. Ils sont pourtant déjà menacés par diverses convoitises.
L’entreprise doit repenser de façon urgente sa doctrine de responsabilité et les rôles qui sont les siens dans la société. Car réduire ses impacts négatifs n’est plus à la hauteur des enjeux. Il faut désormais engager un travail de régénération des écosystèmes et des communautés humaines. Pourquoi ? Que signifie la régénération ? Et comment l’entreprise peut-elle s’en saisir ? Explications.
Laurent Lievens, sociologue, psychomotricien, ingénieur, chargé de cours Helha-CESA, UCLouvain (ESPO) et contributeur pour la Fondation Edgar Morin. Voir  Article publié précédemment dans Cent…
Là où les négateurs du dérèglement climatique craignaient autrefois l’abolition du système libéral ou la menace soviétique, ils empruntent désormais les codes antisystèmes nés pendant la pandémie de Covid-19.
Alors qu’actuellement les mangroves et autres écosystèmes côtiers semblent plutôt bien s’adapter à la montée graduelle du niveau des océans, une nouvelle étude nous met en garde : l’accroissement de la vitesse d’élévation des océans en lien avec une hausse de 2 °C des températures signerait leur disparition quasi totale.
Selon une étude parue ce mercredi dans «Nature», les mangroves, récifs coralliens et autres marais seront noyés par la hausse du niveau de l’océan si le réchauffement climatique atteint 3 °C. Avec de lourdes conséquences humaines.
Sur des hectares, des champs d’algues, denses et productifs, ont disparu pour laisser place à de véritables déserts sous-marins. Explications.
Pour Olivier De Schutter, rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, nos pays avancés produisent assez de richesses ; l’enjeu est de mieux les répartir.
Le réchauffement climatique verdit les océans, affirme une étude de «Nature» publiée ce mercredi 12 juillet. Les causes et conséquences sont encore incertaines mais ce phénomène reflète un profond changement dans les écosystèmes.
Le conseil de l’Autorité internationale des fonds marins, qui se réunit du 10 au 28 juillet en Jamaïque, pourrait attribuer les premières autorisations d’exploitation des ressources abyssales. Une grave menace pour la biodiversité et les écosystèmes, met en garde “Le Temps”, à Genève.
Par John Dearing, Gregory Cooper et Simon Willcock via The Conversation, traduction A l’encontre. Selon une étude parue dans la revue Nature Sustainability, sous la pression des activités humaines, nous pourrions subir des effondrements des écosystèmes avec des points de basculements jusqu’à 80% plus tôt que ce que les modèles envisagent.
Une nouvelle étude publiée dans Nature Sustainability tire la sonnette d’alarme : 20 % des écosystèmes de la planète pourraient changer brusquement ou s’effondrer beaucoup plus tôt que prévu. Les chercheurs mettent notamment en avant la possible disparition de la forêt amazonienne avant la fin du siècle ! Décryptage de cette alerte.
Par John C. Cannon le 24 juin 2023 | Traduit par Séléné Follonier Une étude récente révèle les effets généralisés des vagues de chaleur marines déclenchées par le changement climatique sur les communautés écologiques de la mer Méditerranée. L'augmentation...
Une étude révèle que l'Homme utilise plus d'un tiers des espèces de vertébrés, menaçant la survie de 40% d'entre elles. Cette surexploitation massive appelle à une révision urgente de nos interactions avec la nature.
Partout dans le monde, les forêts tropicales humides se transforment en savane ou en terres agricoles, la savane s’assèche et se transforme en désert, et la toundra glacée fond. En effet, des études scientifiques ont désormais enregistré des « changements de régime » de ce type dans plus de 20 types d’écosystèmes différents, où des points de basculement ont été franchis. Dans le monde entier, plus de 20 % des écosystèmes risquent de changer de régime ou de s’effondrer. Ces effondrements pourraient se produire plus tôt qu’on ne le pense. L’homme soumet déjà les écosystèmes à de nombreuses pressions, que nous appelons « stress ». Si l’on ajoute à ces pressions une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes liés au climat, la date à laquelle ces points de basculement sont franchis pourrait être avancée de 80 %.
Tous les samedis, « Le Soir » publie la chronique d’un ou plusieurs membres de Carta Academica. Cette semaine : le projet de règlement sur la restauration de la nature donne lieu à une foire d’empoigne au Parlement européen où les eurodéputés conservateurs ne sont pas parvenus à rejeter un projet qui met notamment en cause l’agriculture intensive. Or, cette mesure phare du Pacte vert pour l’Europe est essentielle pour garantir sur le long terme la qualité de l’environnement et atteindre la neutralité climatique.
De nouvelles simulations informatiques tenant compte de 70 000 variables révèlent que les probabilités d’atteindre le point de basculement sont 38 à 81% plus élevées que précédemment estimé.
La loi européenne pour la restauration des écosystèmes peine à survivre lors des négociations en cours. Pourtant selon les scientifiques, cette pratique est essentielle pour l’avenir de l’agriculture.
Certes, certaines mesures s’avéreront couteuses. Mais, comme on l’a vu par le passé, une politique communautaire ambitieuse porte ses fruits. Alors que l’Escaut figurait parmi les fleuves les plus pollués du continent dans les années 80, la qualité de ses eaux s’est améliorée du fait que les États riverains ont été obligés d’atteindre un bond écologique des eaux en 2015.
Le déluge provoqué par l’explosion du barrage hydroélectrique de Nova Kakhovka ne provoquera pas seulement des destructions sans précédent, il risque de changer durablement les écosystèmes et le climat du sud de l’Ukraine, qui pourrait devenir un désert naturel et humain
L’exploitation minière des grands fonds marins pourrait être autorisée dès cette année dans les eaux internationales. Or, cette industrie risque de mettre en danger des écosystèmes dont les scientifiques commencent à peine à entrevoir la richesse et l’importance, en affectant la capacité de l’océan à stocker du carbone. Explications à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, le 8 juin.
Le projet européen sur la conservation de la nature vise à restaurer, d’ici à 2030, 1/5e des écosystèmes endommagés. Une chance pour l’agriculture. Mais les eurodéputés Renaissance, de droite et d’extrême droite, freinent.
David Grémillet, directeur de recherche CNRS au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive de Montpellier, tient une chronique écologique pour «Libération» : «l’Albatros hurleur». Aujourd’hui, la protection des écosystèmes marins.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec la présidente du Club de Rome "Sandrine Dixon-Declève" est une leader d'opinion internationale sur le changement climatique, l'écologie et les systèmes complexes. Elle est aussi conseillère en transition économique et environnementale auprès de l’Union européenne, notamment. Il faut, à ses yeux, tourner le dos au « business as usual » du passé si on veut répondre aux défis de l’avenir. « La société du XXe siècle nous a rendus malades, il faut la réinventer » Nous aborderons forcement le rapport pour le club de Rome devenu un livre "The limits to Growth" (1972). Nous parlerons de choses forcement réalistes mais aussi nous allons nous laisser le droit d'imaginer des futurs radieux notamment en abordant le livre : EARTH 4 ALL
Bienvenue dans l’Anthropocène ! Nous nous apprêtons à entrer dans un monde dans lequel il fera plus chaud, souvent plus aride, et dans lequel la nature va profondément changer. Les écosystèmes vont se réorganiser, souvent se dégrader, parfois au cours de transitions abruptes que certains appellent « effondrements écologiques ». Quelle réalité se cache sous cette notion ?
Dans le golfe du Mexique, 14 000 puits offshore abandonnés depuis plusieurs années n’ont pas été “rebouchés”. Cela signifie que du pétrole et du méthane peuvent s’en échapper et nuire aux écosystèmes marins et au climat.
L'histoire d'une course technologique fatale contre le thon et la vie marine
Ce livre fait la synthèse des multiples approches utilisées dans le domaine de l’écologie scientifique pour comprendre, définir et tenter de prédire les transitions abruptes dans les écosystèmes. À l’aide de nombreux exemples concrets, il explique comment elles peuvent émerger dans des écosystèmes aussi différents que des lacs, des forêts tropicales, des populations d’oiseaux ou des pelouses alpines. Le livre présente les outils mathématiques utilisés pour modéliser ces effondrements, depuis les travaux des pionniers du domaine jusqu’à ceux, plus récents, fondés sur l’analyse de réseaux d’interactions toujours plus complexes. Enfin, cet ouvrage présente différentes approches pour tenter de prédire les transitions dans les écosystèmes, à partir des observations actuelles.
L’experte française, qui prendra part ce jeudi à la Semaine européenne de l’intelligence artificielle, souligne la nécessité d’encadrer les nouveaux systèmes d’IA, à la fois puissants et opaques.
C’est en partant des petites choses que l’on en accomplit de grandes. C’est ainsi qu’en étudiant les vers de terre, Marcel Bouché est arrivé à cette conviction. Il nous invite, à travers l’histoire de ces lombriciens et de leur rôle dans nos écosystèmes, à une réflexion approfondie pour l’avènement d’une nouvelle science de l’environnement, plus exacte et complète, qui répondrait aux enjeux environnementaux actuels.
Bien qu’elle ait été considérablement moins étudiée que d’autres problèmes environnementaux, la salinisation présente des défis majeurs pour la biodiversité des eaux douces et des zones côtières.
La prolifération de ces macro-algues, devenue un phénomène récurrent, menace une nouvelle fois les écosystèmes marins et côtiers.
Les Etats membres se sont enfin mis d’accord sur le premier traité international destiné à lutter contre les menaces qui pèsent sur des écosystèmes vitaux pour l’humanité. Mais il sera formellement adopté à une date ultérieure.
Les leçons du passé sont parfois sans concession. Et celle que les chercheurs viennent d’apprendre d’une extinction de masse qui s’est jouée il y a plus de 250 millions d’années est on ne peut plus claire. Détruire la biodiversité au rythme où nous le faisons actuellement mènera à un effondrement total des écosystèmes.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Dans ce numéro, nous nous penchons sur l’état des systèmes de santé dans le monde, particulièrement éprouvés par la pandémie de Covid-19. Pénurie de soignants, hôpitaux en crise, déserts médicaux… Du Royaume-Uni à la Chine, en passant par la France ou l’Italie, le diagnostic est sans appel : il y a urgence car les systèmes saturent.
« C’est une crise dans la crise, un déni dans le déni ». L’érosion de la biodiversité est souvent mise au second plan lorsque l’urgence climatique est abordée. Pourtant intimement liée à la santé et à la nutrition de l’Homme, la santé des écosystèmes est indispensable à la vie de l’Homme sur la planète. Cette thématique, les enseignants engagés dans l’évolution de la formation d’ingénieur INSA l’ont prise à bras-le-corps. Mais comment faire de la place au vivant dans une école régie principalement par les sciences dures ? Pourquoi former les futurs ingénieurs à ces enjeux ?
Le renard roux, la fouine, la belette et la martre des pins, aussi attachantes soient-elles, sont toutes considérées comme des nuisibles. Une société milite pour que ces animaux ne soient plus perçus comme tels, en raison de leur rôle précieux pour la planète, et plus particulièrement pour la régulation des écosystèmes.