L’Eau !

OA - Liste

Essentielle, présente là où il y a de la vie, l’eau est au centre des préoccupations climatiques, agricoles, sanitaires, …
Ci-dessous, la liste actualisée régulièrement des références « H2O ».

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h2o Activisme

mai 2024

Dans le Puy de Dôme, 6000 manifestants ont semé des milliers de graines le long de l’emplacement de deux méga-bassines.
Plusieurs milliers de personnes ont participé à une randonnée «festive et pédagogique» ce samedi 11 mai à quelques kilomètres de Clermont-Ferrand, dans une zone qui pourrait accueillir deux projets de bassines.
Entre 4 000 militants, selon la préfecture, et 6 500, d’après les organisateurs, sont mobilisés samedi pour dénoncer la construction de deux réserves d’eau destinées à irriguer 800 hectares dans la plaine de la Limagne.
En autorisant discrètement de nouveaux puits qui risquent de contaminer la source d’eau potable à proximité, l’Etat consacre une aberration environnementale et sanitaire.

avril 2024

Depuis des siècles, du nord au sud, des mouvements populaires se battent pour défendre une idée simple : la terre et l’eau appartiennent à tou·tes, ou peut-être à personne. Les Soulèvements de la terre n’inventent rien ou si peu. Ils renouent avec une conviction dont jamais nous n’aurions dû nous départir.

mars 2024

Le collectif Bassines non merci, opposé à ces retenues d’eau de grande ampleur, a dévoilé son intention de porter plainte contre le ministre de l’Intérieur pour avoir «menti sous serment» devant une commission d’enquête parlementaire.
Une répression d’une ampleur démesurée, des centaines de blessés et traumatisés... Le documentaire « Sainte-Soline, autopsie d’un carnage », coproduit par Off Investigation et Reporterre, est désormais en accès libre.

février 2024

Les bassines et méga-bassines sont des ouvrages de stockage d’eau de 10 hectares en moyenne. Des cratères recouverts de bâches plastiques, retenues par des digues de 10 m de hauteur environ. Ces réserves de substitutions ne sont pas remplies avec de l’eau de pluie ou de ruissellement, mais sont alimentées par des pompes qui puisent dans les nappes phréatiques, asséchant les rivières environnantes et détruisant la biodiversité. Une eau stockée, destinée à une agriculture intensive et productiviste, dont 2/3 sont consacrés à l’irrigation du maïs (exporté à 70%). Seuls 5% des agriculteurs de ces territoires ont accès à cette ressource. Ces projets de méga-bassines sont subventionnés à plus de 70% par de l’argent public, pour des bénéfices privés.
Gros intérêts financiers, soutien sans faille de l’État... Le documentaire « Mégabassines, histoire secrète d’un mensonge d’État » coproduit par Off Investigation et Reporterre est désormais en accès libre.
Peu connu, le canal Seine-Nord Europe devrait voir le jour dans les Hauts-de-France en 2030. Des opposants s’interrogent sur son utilité, et dénoncent les problèmes de gestion de l’eau que soulève ce projet.

janvier 2024

A l’issue du procès pour les opposants aux mégabassines, neuf prévenus regroupant des syndicalistes ainsi que les porte-parole des Soulèvements de la terre et de Bassines non merci ont été condamnés à des peines de prison avec sursis.

décembre 2023

Réforme des retraites, feux de forêt, dissolution avortée des Soulèvements de la Terre, COP28 aux émirats du pétrole... Reporterre revient sur tous les événements marquants de cette année 2023. Que retenir de 2023 ? Une année marquée par une vigoureuse contestation écologique, notamment contre les mégabassines, qui a été fortement réprimée. Une année où se sont multipliés les incendies, les sécheresses, les canicules. Une année où l’inaction des pouvoirs publics n’aura jamais été aussi insupportable. Reporterre rembobine les douze derniers mois.
Plus d’un an après la première manifestation de Sainte-Soline, un rapport pointe les engagements «peu ambitieux» des agriculteurs tandis que les tentatives de dialogue n’ont entraîné que peu d’avancées concrètes.

novembre 2023

Suspendue le 8 septembre après une journée de débats, l’audience doit reprendre ce mardi 28 novembre devant le tribunal correctionnel. Les prévenus encourent six mois d’emprisonnement.

septembre 2023

Samedi dernier (16 septembre 2023), le Comité rennais des SDT a organisé une vélorution ponctuée d’actions surprises. Cet événement, dont l’idée a émergé dans une assemblée regroupant plus de 300 personnes, se revendiquait contre l’accaparement de l’eau. Or, à 200 cyclistes, nous avons été sur le golf de Saint-Grégoire, que nous critiquons principalement pour d’autres raisons que celles de son usage de l’eau.
Pour dénoncer une utilisation excessive de l’eau, une quarantaine de manifestants s’est rassemblée le 9 septembre en Isère, entre deux grandes entreprises de semi-conducteurs.

août 2023

Un millier de personnes ont participé samedi au Convoi de l'eau dans Paris pour protester contre les projets de bassines en cours en France. Après s'être réuni sur le Champ de Mars, le cortège s'est élancé avec pour but d'atteindre Montreuil à l'est de Paris pour une "soirée festive" dans le cadre d'un festival écologiste.
Déviant de son itinéraire initial, le Convoi de l’eau est arrivé à Orléans plus tôt que prévu, jeudi 24 août. Les militants ont décidé de passer la nuit devant l’Agence de l’eau pour se faire entendre.
Parti des Deux-Sèvres vendredi 18 août, le Convoi de l’eau poursuit la mobilisation commencée à Sainte-Soline contre les mégabassines. Mais à peine la manifestation commencée, certains participants ont été accusés de dégradations contre un golf.
Plusieurs centaines de cyclistes sont partis vendredi dans les Deux-Sèvres, tout près d’une réserve controversée d’irrigation agricole, pour un périple vers Paris en passant par cinq départements pour dénoncer « l’accaparement de l’eau ».
Plusieurs centaines d'opposants au projet de mégabassines ont rejoint les Deux-Sèvres pour une manifestation à vélo, vendredi, qui s'élance du chantier controversé jusqu'à Paris.
Dans un « esprit d’apaisement », un convoi pour un juste partage de l’eau s’élance depuis Sainte-Soline pour rejoindre Paris. Objectif : ouvrir le dialogue et obtenir un moratoire sur les mégabassines.
Suite à l'audience en référé du 8 août 2023 et après délibération, le Conseil d'État suspend le décret de dissolution des Soulèvements de la Terre pris par décret en conseil des ministres le 21 juin. Cette première décision du Conseil d'État confirme le caractère profondément inadapté, injustifiable et présomptueux de la procédure de dissolution à notre encontre. Le ministère de l’intérieur a bel et bien voulu tordre - une fois de plus ! - les droits et libertés fondamentales censées être garanties par la constitution et il n'a pas été suivi. Bien que cette décision soit de bonne augure, elle sera rejouée lors d'une audience pour le recours au fond, qui devrait survenir à l'automne selon le Conseil d'État.
Bassines, industries polluantes, nucléaire... Les combats pour l’eau sont multiples. Pour « gagner en efficacité », des dizaines de collectifs se sont réunis au sein du réseau Hydre.
Près de Clermont-Ferrand, deux projets de mégabassines attisent les oppositions, dans le sillage des Soulèvements de la Terre. Elles révèlent aussi l’emprise des industriels sur le monde agricole.

juillet 2023

Armes de guerre, volonté délibérée de ne pas aider les blessés... Dans un rapport accablant publié le 10 juillet, la Ligue des droits de l’Homme dénonce la version des autorités sur la manifestation à Sainte-Soline contre les mégabassines.
La responsabilité des pouvoirs publics est "engagée" lors de la manifestation du 25 mars à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, contre les "mégabassines", conclut un rapport d'observateurs de la Ligue des droits de l'Homme (LDH) publié lundi. Le document pointe une "volonté délibérée de ne pas porter secours au plus vite".

juin 2023

Trois mois après la mobilisation géante dans les Deux-Sèvres, sept personnes sont poursuivies pour l’organisation de manifestations interdites contre la «mégabassine» de Sainte-Soline les 29 octobre et 25 mars dernier.
J’ai rencontré Joëlle, militante de l’APIEE, association de protection, d’informations et d’étude de l’eau un week-end de mobilisation contre les Bassines. Dans cette ambiance particulière du printemps 2023, où des choses tout à fait banales comme des forums, des débats ou des concerts militants sur une place de village se tiennent avec le bruit des hélicoptères au dessus des têtes, avec l’assurance d’être fouillé et contrôlé en repartant. Où l’on apprend entre deux discussions et rencontres que des camarades ont été gravement blessés lors d’une manifestation pacifique.
De part les chantiers qu’il engendre, le Lyon-Turin aura des impacts considérables sur la ressource en eau : drainage de quantités considérables d’eau, réduction du débit des sources et courts d’eau, perturbations irréversibles des cycles hydrogéologiques, etc. Pourtant, malgré ces risques, une étude du BRGM (2021) pointe les limites du système de mesure des débits mis en place par le promoteur TELT. Au cours des dernières années, plusieurs communes ont vu des points d’eau asséchés par les chantiers du Lyon-Turin. Une alerte sur l’eau, considérée comme sérieuse, a été émise par la Commission Nationale de Déontologie et d'Alerte en Santé Publique et Environnement (CNDASPE) en 2021 auprès des autorités, mais elle n’a à ce jour reçu aucune réponse.
Mégabassines, usines, golfs : les équipements et acteurs qui accaparent et empoisonnent l’eau sont nombreux. Face à eux, des collectifs se donnent 100 jours pour les « sécher ». « 100 jours pour les sécher ! » Les Soulèvements de la Terre ont lancé une nouvelle campagne d’actions visant « l’État et l’agro-industrie [qui] s’acharnent à polluer et privatiser l’eau ». Les activistes se donnent tout l’été, du 13 juillet au 21 septembre, pour cibler l’ensemble des acteurs qui « accaparent et empoisonnent l’eau. »

avril 2023

Le mouvement est fort de ses « différences » qui permettent « d’additionner nos savoirs faire pour renforcer nos actions et notre visibilité nous pouvons enfin croire en la victoire »
Chercheurs, militants, autrices... Des personnalités expliquent pourquoi ils soutiennent les Soulèvements de la Terre, menacés de dissolution par le ministre de l’Intérieur.

mars 2023

SamediSamedi 25 mars dernier, des milliers de personnes ont manifesté à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, contre la généralisation des mégabassines, des réserves artificielles de stockage d’eau pour l’irrigation agricole. Leurs opposant·es reprochent à ces infrastructures de privatiser une ressource en eau de plus en plus rare à l’heure du changement climatique, au profit d’une agriculture productiviste néfaste pour le climat comme pour les écosystèmes. Comme l’a fait valoir à Mediapart Benoît Biteau, paysan, député écologiste européen et figure des antibassines : « Il ne s’agit pas de nier que l’eau et l’irrigation sont importantes pour l’agriculture, mais simplement de rappeler que l’eau est un patrimoine commun, et qu’elle ne peut être accaparée par une minorité d’agriculteurs au détriment de l’intérêt général. » Maître de conférences en géographie humaine en Suède, auteur aux éditions La Fabrique, entre autres, de L’Anthropocène contre l’histoire (2017) et Comment saboter un pipeline (2020), le militan
Dans plusieurs territoires, d'énormes retenues d'eau sont construites. Ces projets posent problème à des militants, des agriculteurs et des élus. Mise en danger des milieux naturels, renforcement de l’agriculture intensive, « mainmise » sur l’eau… Les arguments des « anti » sont nombreux. Déjà, l’eau de pluie n’est pas suffisante pour remplir les réserves. « Des opérations de pompage des nappes phréatiques seront réalisées », explique Nicolas Girod.
La Coordination EAU IDF a participé à la mobilisation internationale à Sainte Soline le week-end des 24, 25 et 26 mars. 30 000 personnes ont montré leur détermination à construire un avenir écolog…

janvier 2023

Cinq militants anti-bassines étaient jugés ce vendredi 6 janvier à Niort pour des dégradations et des violences commises lors de l’envahissement d’un chantier à Mauzé-sur-le-Mignon en septembre 2021. Peines de prison avec sursis, interdictions de…

novembre 2022

On l’a tous constaté : l’été 2022 a été sec. Durant deux mois, une centaine de communes françaises ont même dû gérer leur approvisionnement en eau par citernes. Pourtant, il y a des activités — agriculture intensive en tête — pour lesquelles la sécheresse ne compte pas. Des activités qui s’accaparent les réserves en eau et n’entendent pas remettre en cause ce droit.

octobre 2022

Les manifestants espèrent atteindre le chantier pour « reboucher » la réserve d’eau capable de contenir l’équivalent de 260 piscines olympiques. Ils se sont très vite heurtés aux 1 500 gendarmes déployés pour protéger le site.
Basée à La Rochelle (Charente-Maritime), cette ONG créée en 2013 est spécialisée sur les vulnérabilités liées à l’eau. Ses fondateurs se sont donné pour mission d’aider les populations à s’adapter au changement climatique. L’une de leurs actions phares s’intitule « Sous le bitume, l’océan »...Il s’agit d’organiser des chantiers participatifs de renaturation de lieux, en conception avec les usagers.

août 2022

Sous l’effet d’un été de sécheresse, d’incendies et de pénurie d’eau, les activistes pour le climat durcissent le ton. Sachant le soutien croissant de la population, certains assument de causer des dégâts matériels au nom de la lutte contre une violence systémique.
Les températures mensuelles en juillet s’élevaient à 4,7 ° au-dessus de la moyenne, le niveau des nappes phréatiques est de bas à très bas, et plus de 50 % des départements subissent des déficits de pluie. Après des débuts de vols d’eau, des jacuzzis percés et des contestations face à la gestion parfois privilégiée de l’eau, les questions de la gestion de l’eau et d’une potentielle guerre de l’eau se posent.
Les golfs sont dans le viseur des écologistes. Et certains frappent fort. Des militants du collectif Kirikou, groupe proche d’Extinction Rébellion, s’en sont pris à deux golfs de l’agglomération toulousaine dans la nuit de mercredi à jeudi, pour protester contre leur grande consommation d’eau dans un contexte de grande sécheresse. Greens abîmés, trous bouchés avec du ciment, pancartes sur le parcours : les activistes ont usé de divers moyens pour faire entendre leur colère. Les militants du collectif Kirikou ont revendiqué leur geste, dénonçant dans un communiqué «l’arrosage des greens, parcours et départs de golfs est autorisé par dérogation en raison du coût d’entretien de ces terrains très luxueux.» «Cet acte de sabotage revendiqué résonne comme un passage à l’action directe dans un contexte de blablas incessants des politiques qui n’osent jamais prendre les décisions nécessaires», ajoutent-ils.

janvier 2022

Du 15 au 30 novembre 2021, des militants d’Extinction Rebellion ont occupé le bois de la Colombière dans la station de ski de la Clusaz pour s’opposer à la construction d’une nouvelle retenue collinaire. Quels enjeux socio-environnementaux ces nouvelles mobilisations écologistes en montagne révèlent-elles à l’heure du réchauffement climatique ?

novembre 2021

Déchets dans les eaux, dégâts en Europe, pollution… Dans un rapport impressionnant qui paraît ce mardi, l’association SystExt démontre que les « mines durables » sont un mensonge et que les techniques minières sont « de plus en plus prédatrices et dangereuses ». Aurore Stephant, ingénieure géologue minier, l’explique à Reporterre.
Dans quelques jours, seront entamés les travaux d’une cinquième retenue collinaire dans le bois de la Colombière, un corridor écologique majeur de la municipalité de La Clusaz. Maquillé en projet ayant pour mission de fournir à moyen terme de l’eau potable, la réalité est plus prosaïque : alimenter les canons à neige de la station de ski.
Malgré un important dispositif policier déployé pour les faire reculer, plus de 3000 personnes et 20 tracteurs se sont rassemblés à Mauzé-sur-le-Mignon pour donner un coup d’arrêt immédiat aux chantiers de méga-bassines dans le Marais Poitevin. Ils ont démonté et récupéré la pompe d’une méga-bassine de 5 hectares, qui puisait directement dans la nappe phréatique, et vidé la bassine pour rendre l’eau à la nappe. Une première victoire des opposants à l’accaparement de l’eau par une poignée d’agro-industriels.

juin 2021

L’Australie, la Bolivie, le Chili et l’Argentine concentrent 87 % des réserves mondiales de lithium. Et là-bas, dans l’Altiplano andin, au cœur de la cordillère des Andes, les mines de cet or blanc endommagent irréversiblement les écosystèmes à cause des énormes quantités d’eau nécessaires à leur processus d’extraction. Les populations de ces régions (notamment en Argentine et au Chili) dénoncent depuis des années cet écocide et alertent sur les dommages que font subir les sociétés minières aux réserves aquifères et aux rivières.
Alors que la production de batteries lithium-ion n’a jamais été aussi soutenue, les demandes en matière de cobalt ne cessent d’augmenter. En effet, ce métal est indispensable à la fabrication de ces accumulateurs. Les principales mines de cobalt se trouvent en Afrique, notamment en République démocratique du Congo. Son extraction se fait malheureusement au détriment de la santé humaine et de l’environnement.
Depuis mars, les déchets de la mine d’étain la plus riche du monde se sont déversés dans des rivières traversant une réserve indigène de l’Amazonie brésilienne, contaminant l’eau et tuant des poissons et des tortues. La contamination a déjà altéré la qualité de l’eau des rivières Tiaraju et Alalaú, dont les peuples autochtones dépendent pour boire, se laver et pour pêcher. Vingt-deux villages ont été touchés. Des morts de poissons et de tortues ont été signalées, et l’eau de la rivière dans la région serait trouble, dense et malodorante.

mai 2021

Affaiblissement ponctuel de la nappe ou prélèvements excessifs ? Autour de Volvic (Puy-de-Dôme), l’eau se raréfie et la grogne monte contre Danone, propriétaire de la célèbre eau minérale, accusé de « vider la baignoire » aux dépens de l’environnement.

octobre 2020

Les industries extractives contribuent au changement climatique et, dans le même temps, réduisent la capacité des communautés et des écosystèmes à s’adapter à une planète qui se réchauffe, notamment à travers la pollution et la surexploitation des ressources en eau. Exemple avec la région du lac Albert, en Ouganda, nouvelle frontière de l’industrie pétrolière.
De l’Australie aux Andes, en passant par la France, les projets miniers, pétroliers ou gaziers représentent une menace majeure pour les ressources en eau. Un rapport de l’Observatoire des multinationales et de France Libertés met en lumière l’ampleur de ces risques, l’inadéquation des réponses apportées par les entreprises ou les autorités, et la multiplication des résistances.

mars 2020

Dans le nord du Chili, le désert de sel Atacama est un trésor naturel, national et mondial. C’est le plus vieux désert de notre planète. Il est aussi le réservoir de la plus ancienne collection de météorites, certaines âgées de plus de 2 millions d’années. Or ce désert détient 40 % des réserves mondiales de lithium, l’ingrédient principal utilisé pour… les technologies vertes !


Voir aussi : Fredo prend la température de l’Eau