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faune
Selon une récente étude menée en Australie, une espèce d’oiseaux marins est particulièrement touchée par la pollution plastique. Les auteurs affirment que ces animaux subissent des dommages cérébraux comparables à ceux de la maladie d’Alzheimer. Il s’agit ici d’une nouvelle preuve des conséquences alarmantes de la pollution plastique sur la faune marine.
Le plus grand iceberg du monde, A-23A, se fracture en milliers de morceaux au large de la Géorgie du Sud, selon de récents relevés satellites.
Plus de 9 000 Britanniques ont participé à une expérience inédite, qui a conclu mercredi à une baisse du nombre d’insectes de plus de 60% entre 2021 et 2024. Quand les citoyens sont appelés à se joindre au travail des chercheurs : c’est ce qu’on appelle la science participative. Au Royaume-Uni, des milliers de personnes sont appelées depuis quelques années à mesurer la diminution des populations d’insectes. Les derniers résultats de cette étude, baptisée Bugs Matters (« les insectes sont importants »), ont été publiés mercredi et sont alarmants.
La collision qui s’est produite lundi entre un pétrolier et un porte-conteneurs représente une menace pour la faune et la flore exceptionnelles de la côte du Yorkshire. Que deviendront les oiseaux, les marsouins ou encore les phoques en cas de fuite majeure de kérosène ?
"On est tombé de notre chaise, parce qu’on ne comprend pas vraiment le message." Gaetan Sgualdino, le président de l’Union Wallonne de la Protection Animale ne cache pas sa colère. Le budget régional 2025 prévoit une diminution de 59% des subsides alloués aux Creaves, ce qui représente plusieurs centaines de milliers d’euros.
Comme le prouve une hécatombe d'éléphants au Botswana, la crise climatique peut favoriser les empoisonnements de la faune à l'échelle mondiale
Les efforts de l'Indonésie pour ajouter la biomasse à son bouquet énergétique et à ses exportations contribuent à la déforestation et menacent les habitats clés d'espèces en danger telles que les orangs-outans, estime un rapport publié jeudi."Les forêts du pays sont confrontées à des menaces sans précédent en raison de l'échelle industrielle prévue pour la demande de biomasse", dénoncent plusieurs groupes de défense de l'environnement, parmi lesquels Auriga Nusantara et Earth Insight, dans leur rapport.
Les projets Eacop/Tilenga de TotalEnergies en Ouganda et Tanzanie ont déjà des effets sur la faune et les communautés locales.
Malgré l’engouement majeur de nombreux élus pour le développement éolien, je ne peux, en tant qu’agriculteur et ornithologue, que déplorer le manque apparent d’intérêt de la part de ces mêmes élus de réfléchir aux conséquences de ce développement sur la faune aviaire.
- Jérémy
Cela ressemble à de la science-fiction, mais c'est la réalité : le disparition des vautours en Inde a des conséquences dévastatrices pour le Santé humaine et l'économie du pays. La raison est facile à dire : ces oiseaux de proie ils nettoient les carcasses infectées et, en les éliminant, ils réduisent les populations d'autres charognards, comme les chiens sauvages qui peuvent transmettre des maladiesvoire mortel, par exemple le colère. De plus, sans vautours à proximité, les agriculteurs se débarrassent du bétail mort en le jetant dans les cours d’eau.
Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Des parcs reliés, une vaste forêt désenclavée, des passages pour la faune créés... Un ambitieux programme de végétalisation vise à créer des corridors verts dans la capitale belge. Cet article est publié un partenariat avec la Revue Salamandre. Bruxelles (Belgique), reportage La lueur rose de l’aube s’étiole quand s’éteignent les lampadaires qui cernent le petit rond-point en briques. La route à double sens qui passe là sépare le parc Roi-Baudouin du parc de la Jeunesse. Ce sont les deux premiers (...)
Les océans sont essentiels à notre survie, assurant la moitié de l'oxygène mondial. Savez-vous quelle est sa plus grande menace ?
De mauvaises conditions météorologiques ont entraîné le 2 décembre la chute d’une citerne de 28 000 litres d’acide sulfurique d’un cargo. Pour Mireille Pujo-Pay, océanographe, la toxicité qui pourrait découler de cet incident reste mineure.
Il est bien connu que de nombreuses grandes espèces de vertébrés ont disparu à la fin du Pléistocène dans la plupart des régions du monde. La cause de l’extinction de cette mégafaune reste incertaine, même si le changement climatique et les impacts humains ont souvent été pointés du doigt. Selon une nouvelle analyse approfondie, les deux causes seraient effectivement impliquées, et même intimement liées. Les détails de ces travaux sont publiés dans la revue Science.
Près de 50 000 hectares sont partis en fumée en juillet en Grèce. Une partie de la faune a été affectée par ces incendies, notamment à Rhodes où des cervidés ont été retrouvés carbonisés. Les feux ont aussi engendré la diffusion de particules polluantes à des niveaux "record".
On le savait déjà, les grands prédateurs tel le loup ont des effets bénéfiques d’un point de vue écologique : sélection naturelle, maîtrise des populations d’ongulés, réduction des risques sanitaires… Trop peu d’études cherchent à estimer les bénéfices économiques importants dus à leur présence par la réduction des dégâts agricoles et forestiers. Moins connus encore sont les effets de limitation des accidents routiers, pourtant importants.
Les hirondelles et les martinets noirs sont des oiseaux que l’on a l’habitude de voir, qui semblent communs. Pourtant, bien qu’ils soient protégés (ainsi que leurs nids), ils deviennent dangereusement rares…
Une méta-analyse démontre que ces substances réduisent la diversité et l’abondance des organismes vivant dans la terre, notamment lorsqu’elles se cumulent.
Etude après étude, l’ampleur des effets des produits phytosanitaires sur la biodiversité, qui s’effondre à une vitesse vertigineuse, continue de se préciser. Pour les oiseaux, suivis et comptés depuis des décennies par des bataillons de scientifiques et de bénévoles, une étude majeure publiée en mai a pu démontrer que l’usage des pesticides et des engrais était la première cause de leur déclin en Europe. Pour les collemboles, les acariens, les araignées ou les vers de terre, le diagnostic demeure moins affiné.