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Les Ressources minérales (*)

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2024

En amont de la COP16, 130 entreprises lancent un appel pour promouvoir le rôle du secteur privé dans la protection de la biodiversité.
Une panne informatique touche de nombreuses entreprises des médias, du secteur aérien ou la distribution à travers le monde ce vendredi 19 juillet.
Impuissance, manque de moyens, greenwashing, éco-anxiété... Les responsables RSE, experts et consultants sont en crise.
Les entreprises sont des acteurs essentiels de l’économie et de notre société, et doivent se transformer pour la transition écologique.
Selon un rapport exclusif, les grandes entreprises sont encore loin du compte en matière de lutte contre la déforestation.
Des ONG, associations et chercheurs demandent à l’AMF de sanctionner le greenwashing des fonds durables investis dans des actifs fossiles.
Le groupe énergétique suédois Vattenfall a annoncé mercredi avoir présélectionné deux entreprises, une américaine et une britannique, pour la construction de petits réacteurs modulaires (SMR, "Small modular reactors") à la centrale nucléaire de Ringhals, dans le sud-ouest de la Suède. 3 à 5 SMR dans la zone définie Sur six fournisseurs potentiels, le groupe détenu par l'État a retenu la société britannique Rolls-Royce SMR et l'américaine GE Hitachi Nuclear Energy.
Mercredi 5 juin, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, António Guterres s’est exprimé au sujet de la gravité de la crise climatique et, dans ce cadre, il a fait une proposition singulière : interdire les publicités pour les compagnies du secteur des énergies fossiles.
Stellantis, Renault, AirLiquide, TotalEnergies… La plupart des grandes entreprises ne seraient plus rentables si elles devaient payer le coût réel de leurs émissions de CO2. C’est ce que révèle l’indice Vérité 40, qui analyse le score carbone des grandes entreprises françaises.
Raison d'être, entreprise à mission, code civil... 5 ans après, que reste-t-il de la loi PACTE pour la RSE ? On fait le bilan.
"Payés pour polluer" : c’est le titre d’un rapport accablant que publie aujourd’hui Greenpeace. Il détaille les différents mécanismes utilisés par les industries les plus polluantes et les plus énergivores pour bénéficier d’argent public.
Les grandes entreprises ciblées par ce texte seront en outre tenues de prévenir, d’identifier et de remédier aux violations de droits humains et sociaux et aux dommages environnementaux dans leurs chaînes de valeur partout dans le monde.
Après des mois de débats, le parlement vient d'adopter cette réglementation essentielle pour le respect des droits par les entreprises.
Si la nature venait leur présenter la facture, beaucoup d’entreprises apparemment florissantes sur le plan financier seraient bien en peine de rembourser leur dette. Un classement d’un autre genre porté par la coalition Kaya qui regroupe des entreprises « durables ».
En 2020, le covid avait déstabilisé l’industrie pétrolière et gazière mondiale via une subite diminution de la demande, des préoccupations climatiques grandissantes, les menaces d’une transition énergétique et l’arrivée des voitures électriques. Après cet annus horribilis, les majors pétrolières prirent des mesures drastiques pour revenir sur la scène de manière plus dominatrice et tranchante que jamais. La survie de leur business model étant en jeu, elles ont stratégiquement recréé des alliances de circonstance avec les acteurs majeurs que sont la finance et le politique et n’hésitent plus à s’attaquer frontalement aux pressions environnementales.
C’est l’histoire d’un projet de loi qui ne verra sans doute jamais le jour. Un texte qui devait mettre en place un devoir de vigilance pour les entreprises européennes de plus de 500 salariés. Avec cette directive, elles devenaient responsables des impacts sociaux et environnementaux de leurs activités tout au long de leur chaine d’approvisionnement. En théorie, plus question de fermer un œil parfois bienveillant sur les pratiques de leurs sous-traitants ou des sous-traitants de leurs sous-traitants. Avec des amendes à la clé pour les contrevenants. Mais tout ça risque de passer à la poubelle.
Le CDP publie sa A-List des entreprises les plus avancées en matière de transparence environnementale. Et note les progrès "beaucoup trop lents".
Désireuses de diminuer leur empreinte carbone et leur pollution numérique, quelques entreprises choisissent de faire subir un régime minceur à leur site internet, en réduisant leur nombre de pages et en enlevant des fonctionnalités."On avait un site internet, très lourd, un gros paquebot, avec des grands aplats, des photos haute définition....", rembobine Vincent Aubrée, directeur du pôle promotion marketing de Destination Rennes, qui a pour mission de valoriser l'attractivité de la capitale bretonne.
Une quinzaine de réseaux d'entreprises européennes lancent le mouvement Business for a Better Tomorrow. Une coalition d'acteurs qui entend notamment soutenir le Green Deal, à l'heure où il cristallise les oppositions, et porter une vision sociale, solidaire et durable de l'économie.
Le discours de politique générale de Gabriel Attal n’aura pas réussi à répondre aux attentes des agriculteurs, alors que des annonces sont prévues en fin de semaine. En attendant, ce sont les industriels et distributeurs qui sont visés par les manifestants à coups de blocage et déversement de lisier. Lactalis, Leclerc et Savencia sont particulièrement ciblés, et ce n’est pas un hasard.
Le dernier baromètre du Pacte Mondial de l’ONU montre que les entreprises françaises utilisent de plus en plus le cadre des Objectifs de développement durable (ODD) pour leurs politiques RSE. Une intégration qui doit toutefois encore progresser.
Malgré les appels à tourner le dos aux énergies fossiles, le secteur des hydrocarbures, toujours accro au pétrole, est loin d'avoir entamé une "transformation sérieuse" pour contribuer à la lutte contre le changement climatique, selon un rapport du groupe de recherches Carbon4 Finance publié vendredi."Les entreprises pétrolières semblent ignorer les risques liés au changement climatique, et ne prévoient pas de réduire leur production de pétrole et de gaz à court, voire moyen terme", peut-on lire dans ce rapport destiné aux investisseurs.
Bonduelle, Andros, Unilever... une douzaine d'entreprises ont été condamnées par l’Autorité de la Concurrence pour avoir restreint l’information de leurs consommateurs sur la présence de bisphénol A dans leurs emballages. Le bisphénol A est reconnu comme un perturbateur endocrinien et comme un produit reprotoxique, susceptible de migrer dans l'alimentation.

2023

Ce 14 décembre, le Conseil, le Parlement et la Commission européens sont parvenus à un accord politique sur la directive relative au devoir de (...)
Les banques européennes ont investi 308,9 milliards de dollars dans des entreprises opérant dans les colonies israéliennes illégales, révèle mardi une enquête internationale à laquelle ont pris part la coupole d'ONG flamande 11.11.11 et FairFin.
De plus en plus de start-up belges se lancent dans la production de matériaux écologiques. Le secteur n’est pas une mine d’or pour autant. Si les consciences évoluent, il faut continuer à convaincre.
Ce vendredi, Marek Hudon co-président du Haut Comité pour une Transition Juste, était l’invité de Maxime Binet dans l’émission “Café sans filtre” sur LN24 et LN Radio. Marek Hudon a été interrogé sur la transition écologique des entreprises, mais aussi sur la COP28 à Dubaï, enjeu majeur pour le futur du climat.
Comment les entreprises peuvent réagir face à la déconsommation ? Interview Laurent Testot Laurent Testot est un journaliste spécialisé en histoire globale et prospective, connu pour son approche qui relie ces deux domaines. Il explique que l'histoire globale permet de comprendre l'histoire des civilisations et leurs interactions avec l'environnement, ainsi que l'émergence de la société thermo-industrielle actuelle. Dans cette interview, Laurent Testot présente son parcours et ses ouvrages, notamment son livre Cataclysme : Une histoire environnementale de l'humanité, publié en 2017, qui est une synthèse de l'histoire environnementale globale. Il mentionne également un ouvrage collectif intitulé Collapsus, co-dirigé avec Laurent Ayet en 2020, qui aborde la question de l'effondrement en donnant la parole à des spécialistes du sujet.
En déplacement dans le département ce samedi 18 novembre, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a esquissé un premier bilan des intempéries et promis «une enveloppe spécifique» pour les communes touchées.
Un élan inédit a gagné les entreprises au moment de l'adoption de l'Accord de Paris. Huit ans plus tard, c'est l'heure du bilan. Si la neutralité carbone est aujourd'hui revendiquée par beaucoup d'entre elles, elles sont en revanche peu nombreuses à prendre en compte l'ensemble de leurs émissions et à mettre en place des plans de transition crédibles. Le bilan de l'action climatique qui doit être adopté à la COP28 pourrait renforcer leurs obligations.
Faut-il boycotter la COP28 ? La question se pose de plus en plus distinctement chez un grand nombre d’entrepreneurs français. Pour 250 d’entre eux, la réponse est claire : ils n’iront pas. Un positionnement qui questionne à moins de trois semaines de l’ouverture de cette nouvelle conférence pour le climat, qui se tiendra cette année à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre.
S’adapter à la nouvelle donne climatique est un sujet de stratégie. Les enjeux posés sont d’ordre variés : santé et sécurité des employé·es et client·es, continuité d’activité, coûts financiers, capacité à recruter et retenir ses employé·es, enjeu de réputation, voire dans certains cas pérennité du modèle économique. Pour espérer que les entreprises se saisissent véritablement du sujet, il faut accepter d’y passer du temps et d’y consacrer des moyens, car les approches qui semblent simples et suffisantes minorent en réalité l’éventail des risques encourus et des points à traiter :
Parmi les 2 000 plus grandes sociétés cotées au monde, plus d’un millier s’est fixé comme objectif d’atteindre zéro émission nette d’ici le milieu du siècle. Mais seule une fraction d’entre elles respecte les directives de l’ONU, selon un rapport publié ce lundi.
VIDÉO. Aucun des 422 sites d’extraction de pétrole, de gaz et de charbon qualifiés de « bombes carbone » ne se situe en France. Mais plusieurs entreprises françaises sont liées à ces projets ou les financent.
Alors que les conséquences de la crise écologique et sociale se font de plus en plus ressentir, y compris dans nos régions, les entreprises fossiles sont toujours les bienvenues sur les campus de l’UCLouvain. Étudiant·es, ancien·nes étudiant·es mais également membres du personnel académique et citoyen·nes, s’opposent à cette présence et demandent à l’UCLouvain d’enfin se positionner.
En 2022, l’étude de Kühne & al. 2022 révélait l’existence de 425 bombes carbone, où des projets pétroliers et gaziers gigantesques entraîneraient chacun au moins un milliard de tonnes d’émissions de CO2 au cours de leur durée de vie.
C'est une mine d'informations. La plateforme CarbonBombs, mise en ligne ce mardi 31 octobre, cartographie l'ensemble des 425 bombes climatiques présentes dans le monde, ces sites d'extraction de charbon, gaz et pétrole qui peuvent émettre chacun au moins un milliard de tonnes de CO2 et mettre en péril nos engagements climatiques. Elle permet aussi d'identifier les entreprises et les banques associées à ces projets climaticides.
Bayer, Volvo, Decathlon... À un peu plus d’un mois de la COP28 à Dubaï, plus d’une centaine d’entreprises ont appelé dans une déclaration commune lundi 23 octobre les gouvernements à s’attaquer aux énergies fossiles pour respecter l’objectif "ultime" de +1,5°C de réchauffement. Si la pression monte sur les États, les entreprises elles-mêmes sont pointées du doigt pour leur manque d'engagement.
Bayer, Volvo, Décathlon, Ikea, Nestlé, Danone, Heineken, eBay, Unilever: à un peu plus d'un mois de la COP28 à Dubaï, plus d'une centaine d'entreprises appellent les gouvernements à s'attaquer aux énergies fossiles pour respecter "l'objectif ultime" de 1,5°C de réchauffement maximum.
Les lobbyistes des énergies carbonées ont fait main basse sur les COP, dénoncent, dans une tribune au « Monde », un collectif de 180 personnes engagées dans la lutte pour le climat. Elles appellent les Etats à réinventer le modèle de ces conférences et à les placer sous la protection des Nations unies.
Pour l’historien et professeur d’histoire contemporaine Johann Chapoutot, l’obscurantisme criminel des pétroliers et l’ignorantisme au pouvoir face au changement climatique nous conduit à la mort – ou à la désobéissance civile.
Dans la lutte contre le changement climatique, les entreprises ont un rôle clé à jouer. Une nouvelle législation californienne les oblige à publier chaque année leurs émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes. Un autre texte pourrait leur imposer de communiquer davantage sur leurs risques liés au climat.
Elles ont été condamnées à un total de 31,2 millions d’euros d’amende par l’Autorité de la concurrence pour s’être entendu en amont d’un appel d’offres public.
Plus de 80 grandes entreprises françaises ont des filiales au Gabon dont Eramet, qui exploite le manganèse, les compagnies pétrolières TotalEnergies, Perenco ou encore Maurel&Prom, et l’acteur financier Meridiam. À l’annonce du coup d’État du 30 août, les entreprises cotées ont fait un plongeon boursier. Si la France condamne le coup de force, elle admet avoir des doutes sur les élections au Gabon. Le pays est le troisième plus riche d’Afrique en PIB par habitant (10 000 dollars par an en 2022) mais plus de la moitié de sa population vit sous le seuil de pauvreté.
Saint-Gobain, Bouygues, Suez, Orange… : de plus en plus de grands groupes utilisent la Fresque du climat, un atelier ludique de sensibilisation aux enjeux du changement climatique. Un outil qui leur permet de mobiliser leurs salariés sur le sujet ou, a minima, de leur faire comprendre certaines décisions centrales.
Des facteurs conjoncturels (inflation, guerre en Ukraine, crise énergétique, etc.) associés à l'urgence climatique conduisent à questionner la perspective d’une exigence de sobriété qui s’étendrait au-delà de l’énergie, de l’eau ou encore du foncier. En donnant écho aux expériences des entreprises qui explorent cette sobriété sur leur chaîne de valeur et en sollicitant un champ diversifié de sources et de connaissances, cette étude prospective se veut une contribution objective à la recherche de solutions pragmatiques par les entreprises dans leur quête de soutenabilité.
De l’industrialisation au XIXe siècle jusqu’aux politiques climatiques actuelles, les régulations environnementales des entreprises ont connu plusieurs phases mais n’ont jamais été à la hauteur des défis. Le problème s’aggrave encore avec la fragmentation politique de la communauté internationale et les nouvelles tensions géopolitiques.
Dans cette tribune, Claude Gruffat interpelle sur un projet de la Commission européenne qui permettrait aux entreprises de défiscaliser leurs investissements, privant les États d’apports financiers pour la transition écologique.
Des entreprises chinoises impliquées dans l'extraction de minerais nécessaires à la transition écologique ont été accusées d'avoir commis en dehors de la Chine de nombreuses violations des droits humains depuis 2021, selon un rapport publié jeudi par l'ONG Business & Human Rights Resource Centre. Selon cette ONG, 39 entreprises chinoises minières sont impliquées dans 102 cas présumés de violations des droits humains et de l'environnement entre janvier 2021 et décembre 2022.
Fini la neutralité carbone ! Plusieurs entreprises à l'instar d'Easyjet, Gucci ou encore Nestlé renoncent à cette allégation. Alors que les recours se multiplient à leur encontre pour greenwashing et pratique commerciale trompeuse, les entreprises se détournent peu à peu de la très critique compensation carbone, seul moyen d'atteindre aujourd'hui la neutralité.
Le 26 juin dernier, durant une entrevue sur le parquet de la Bourse de New York, Larry Fink a mentionné qu’il avait cessé d’utiliser l’acronyme ESG (facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance), car, selon lui, celui-ci a été entièrement politisé, voire « militarisé » par l’extrême gauche autant que par l’extrême droite. Le PDG de BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, était pourtant considéré comme le maître à penser et principal porte-étendard de l’investissement responsable fondé sur les critères ESG, une tendance qu’il a lui-même galvanisée par la publication de sa lettre annuelle adressée aux PDG.
Le nombre de recours portant sur des promesses trompeuses liées au changement climatique explose depuis quelques années, observent les experts d’un institut de recherche britannique.
Entre le développement d’ordinateurs et de smartphones toujours plus performants, la multiplication d’appareils connectés dans nos bureaux et nos foyers, et les promesses des IA (Intelligence Artificielle) et de la 5G, le numérique n’a pas fini de nous faire rêver et de nous faire miroiter un monde « dématérialisé », affranchit des limites physiques du monde réel.
Près de la moitié des grandes entreprises ont promis d'effacer leur empreinte carbone ces prochaines décennies mais seules quelques unes ont des plans crédibles pour y parvenir, selon une étude publiée lundi par le consortium Net Zero Tracker.Près de 90% de l'économie mondiale est liée par des promesses de "neutralité carbone", contre 15% il y a quatre ans, en prenant en compte les engagements des nations, des régions et des entreprises. Parmi celles-ci, 929 entreprises sur la liste Forbes 2.000 se sont fixé de tels objectifs, en hausse de 15% par rapport à il y a quinze ans.
Quel est l'impact des litiges climatiques sur les finances des entreprises ? C'est ce qu'ont cherché à mesurer des chercheurs du Grantham Research Institute de la London School of Economics. Ils ont passé au crible une centaine de dossiers et il apparait bel et bien que les procès climatiques intentées aux entreprises ont des conséquences financières et constituent dès lors un risque que les décideurs doivent prendre en compte.
Selon l’étude Goodvest,75 % des Français se disent méfiants à l’égard des promesses écologiques des entreprises. 70 % déclarent même qu’elles ne les incitent aucunement à se tourner vers leurs offres de produits et services. Dans le détail, sur le millier de sondés, seuls 16 % estiment que les promesses environnementales relèvent d’un véritable engagement. 25 % les jugent opportunistes tandis que 50 % les considèrent comme des éléments de marketing destinés à soigner son image.
Le gendarme britannique de l'énergie Ofgem a annoncé mercredi l'ouverture d'une enquête sur la compagnie d'électricité Drax au sujet d'affirmations selon lesquelles le bois utilisé pour générer de l'électricité dans ses centrales est renouvelable. L'Ofgem indique dans son communiqué que l'enquête concerne notamment "le régime d'obligation pour les énergies renouvelables", un programme destiné à encourager la production d'électricité de sources renouvelables au Royaume-Uni, qui se traduit par un bénéfice financier pour les entreprises concernées.
« Droits à polluer » (1/2). Alors que l’Union européenne renforce ses objectifs de décarbonation pour 2030, les cimentiers et les sidérurgistes ont utilisé le système d’aide communautaire pour gonfler leurs profits.
"Matières premières qui respectent à 100% la nature", "écoresponsable", "écologique"... La Répression des fraudes a passé au crible les mentions vertes apposées sur les produits des entreprises. Sur 1 100 contrôles, plus d'un quart des entreprises étaient en "anomalie". Preuve supplémentaire de l'ampleur du greenwashing.
La CSRD, dont les standards sont en discussion en ce moment dans les instances européennes, pourrait être finalement vidée de sa substance et de son ambition. Le texte, qui représentait un progrès significatif en matière d’obligations RSE et notamment d’obligation de reporting, est en ce moment l’objet d’une opposition vigoureuse des groupes d’intérêt et des lobbies, qui tentent d’affaiblir le texte. Alors, est-ce la fin annoncée de ce texte pourtant fondateur pour la responsabilité des entreprises opérant en Europe ? Revenons sur les dernières évolutions des discussions autour de la CSRD.
Moins de promesses, plus d'engagements: les investisseurs multiplient les demandes à l'occasion des assemblées générales des entreprises pour améliorer la prise en compte du climat et remportent quelques succès.
Les résultats financiers de l'année dernière des plus grandes entreprises d'engrais au monde sont tombés et ils sont sidérants. Vu le prix exorbitant des engrais en 2022, on s'attendait à ce que leurs recettes battent des records, mais nul n'aurait pu prédire l'ampleur des profits réalisés. Alors que le monde est aux prises avec une grave crise alimentaire et que les agriculteurs et agricultrices voient leurs coûts augmenter, les géants mondiaux des engrais ont augmenté leurs marges et plus que triplé leurs bénéfices par rapport à il y a deux ans.
... Ce concept de redirection renvoie à deux idées principales : d’une part, les paradigmes du développement durable, de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), de la transition énergétique, de la résilience (voir aujourd’hui de la sobriété) ne permettent plus de penser la nouvelle situation écologique et climatique, et, d’autre part, un alignement urgent des organisations et entreprises vis-à-vis des limites planétaires est requis.
Plus de 2500 entreprises au niveau mondial ont pris des engagements climatiques alignés sur la trajectoire de réchauffement 1,5°C et validés par l'initiative phare Science Based Targets, reconnue comme le cadre mondial en la matière. Mais, selon une étude publiée fin avril par le cabinet de conseils Axylia, ces engagements ne permettraient qu'une réduction très limitée des émissions.
Notre mission est de faciliter la transition vers une économie durable à Bruxelles et en Wallonie
Kaya, la Coalition belge des Ecopreneurs aspire à booster les éco-entreprises et l’économie régénérative pour en faire le modèle de référence. Face aux défis climatiques, environnementaux et sociétaux, nous plaidons pour un changement de paradigme afin de rendre l’économie compatible avec les limites planétaires.
Le dérèglement climatique est la plus grande crise à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. Le rôle des entreprises dans l’aggravation de cette crise est indéniable. Une directive européenne [1] actuellement en discussion pourrait obliger les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, mais la proposition actuelle reste insuffisante. Plus de 200 organisations, mouvements et activistes appellent à un devoir de vigilance climatique ambitieux.
À l’heure où les salariés, une partie des actionnaires et les ONG environnementales exercent une pression croissante sur les entreprises pour qu’elles adaptent leur stratégie et leur production à des objectifs plus durables, il est indispensable pour les entreprises engagées de dépasser le stade du rapport RSE pour parler à leurs parties prenantes. Veolia et Axa ont lancé deux innovations à suivre qui rompent avec les codes habituels. Retour d’expérience.
Les instances européennes sont-elles en train de reculer sur l’ambition de ses réformes sur la transition écologique et sociale des entreprises ? Il semble bien que oui…
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est devenue un sujet incontournable. Une chronique de Fabrice Lenaerts et Fabian Plumier, experts en Quality management (QSE) et en développement durable chez Intraco Consulting.
Banque Mondiale Les discussions de printemps de la Banque Mondiale commencent sur le constat que la croissance a ralenti. Selon leurs déclarations, la croissance mondiale devrait être autour de 3% pour les prochaines années. Elle se produirait essentiellement dans les pays développés, et elle sera plus difficile pour les pays pauvres. Ils sont notamment étouffés par la [...]
Conférence entreprises & transition écologique à l'école de management de Grenoble.
L’avocat américain Robert Bilott alerte depuis près de vingt-cinq ans sur les dangers des substances per- et polyfluoroalkylées. Il estime que des mesures immédiates de protection de la population doivent être prises.
La loi demande depuis dix ans aux grandes entreprises de chiffrer leurs émissions de gaz à effet de serre, mais la majorité des acteurs concernés ne la respectent pas.
La directive européenne sur la publication d’informations en matière de durabilité par les entreprises (CSRD) doit être transposée dans le droit belge au plus tard pour la mi-2024.
Une alliance regroupant les six plus grands producteurs de sables bitumineux a mené une campagne publicitaire trompeuse pour influencer la réglementation fédérale et manipuler le soutien du public envers l’exploitation des sables bitumineux, allègue Greenpeace Canada dans une nouvelle plainte déposée auprès du Bureau de la concurrence.
Appréhender la complexité du sujet nécessite de se nourrir du débat et de la pratique. Une chronique signée Pauline de Montpellier et Sabrina Courtois, doctorantes au Louvain Research Institute in Management and Organizations, UCLouvain.
Un salarié sur trois en Grande-Bretagne et aux États-Unis aurait déjà démissionné car les valeurs de son entreprise ne s'alignaient pas sur les siennes. Cette tendance de fond, le "conscious quitting", vient d'être révélée dans une nouvelle étude alors qu'en France la jeunesse étudiante multiplie les tribunes pour appeler à bifurquer. "C'est une véritable bombe à retardement" pour les entreprises, prévient l'ancien PDG d'Unilever, Paul Polman.
Les travailleurs sur les plateformes offshore de forage d'hydrocarbure au Royaume-Uni sont 92% à préconiser une "nationalisation" des entreprises énergétiques pour mener une transition plus juste et efficace, selon une enquête financée par des syndicats et des ONG.
En Belgique, seuls 3% des grandes entreprises se sont engagées sur une trajectoire d'émissions compatible avec un réchauffement de 1,5°C tout en assortissant cette ambition d'un plan de mise en œuvre crédible et d'indicateurs qui permettent de suivre la trajectoire, ressort-il d'un rapport cité dans L'Echo mardi.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Mathieu Jahnich qui est chercheur et consultant. Il aide les entreprises et les organisations à répondre aux attentes sociétales et à relever les défis de la transition écologique et solidaire grâce à une communication plus responsable. Nous creusons les questions liées au Greenwashing, la responsabilité sociétale des entreprises, les lois etc. à la sauce "LIMIT". En 2ème partie nous allons tester en mode accéléré la Fresque de la Publicité !
Les entreprises à mission se multiplient. Elles viennent de franchir le seuil des 1000 sociétés qui répondent à des défis sociaux et environnementaux sans rogner sur leur rentabilité. Une étape symbolique qui dévoile un attrait de plus en plus fort, surtout des petites et moyennes entreprises. Reste à consolider le statut d'entreprise à mission pour qu'en se démocratisant il ne devienne pas un énième outil de social ou greenwashing.
Une étude publiée lundi par le think tank NewClimate Institute et l’ONG Carbon Market Watch rapporte que 24 grandes entreprises engagées pour le climat continuent de travestir leur neutralité carbone. Un constat amer pour les ONG environnementales.
En matière de publicité, les entreprises sont réticentes à s’autoréguler. C’est le résultat du premier rapport de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) sur l’efficacité des contrats climat. Comme le rappelle l’association écologiste QuotaClimat dans un fil Twitter, ces contrats sont censés encadrer la publicité sur les produits nuisibles à l’environnement. Concrètement, les entreprises doivent déclarer elles-mêmes ce qu’elles veulent faire pour que leur publicité soit (...)
L’économie face au défi climatique. Après quelques années de malaises, les réalités climatiques, militaires,...
La RSE doit-elle être radicale ? Cette question brûlante a été posée aux invités de l’Orse, l’Observatoire de la Responsabilité Sociale des Entreprises, lors d’un débat organisé pour ses vœux. Elle porte deux dimensions : la première est de s’interroger sur la capacité des directeurs RSE à affronter une plus grande radicalité des mouvements climatiques et environnementaux qui ciblent les entreprises. La seconde concerne la capacité des politiques RSE à devenir les piliers de la stratégie d’une transformation plus radicale des entreprises pour respecter leurs engagements.
Pour les entreprises, se montrer généreux ne doit pas pour autant les exonérer de faire des efforts pour réduire leur empreinte carbone. Parfois, cela ressemble beaucoup à du greenwashing…
Planet Tracker a décomposé toutes les stratégies des entreprises pour s’afficher plus vertes qu’elles ne le sont réellement. Greencrowding, greenhushing, greenlabelling… l’ONG en a détecté six, de la plus simple à la plus complexe, qui montrent l’inventivité dont font preuve les entreprises pour attirer les consommateurs. À mesure que monte l’appétit pour des produits respectueux pour la planète, la nécessité de détecter le vrai du faux dans les allégations vertes devient de plus en plus important.
Une aberration pour certains, un signe significatif pour d’autres. Renoncer délibérément à des activités, même si elles sont rentables, devient le nouveau dogme des entreprises engagées. « Les entreprises ont toujours dû abandonner des activités, en raison de l’obsolescence technologique, par exemple. Mais la nouveauté, c’est que les entreprises renoncent volontairement à faire du chiffre d’affaires pour des raisons environnementales », lance Geneviève Férone Creuzet, co-fondatrice de l’agence Prophil. « Il faut les inciter à développer des business models », ajoute l’ancien directeur du développement durable d’Eiffage et de Veolia.
Une enquête du «Guardian» révèle que la méthode principale utilisée par les grandes entreprises pour se dire neutres en carbone serait peu efficace. Pointé du doigt, l’organisme de certification Verra dénonce des «erreurs»
L’OCDE a revu ses prévisions à la hausse à la suite de l’augmentation de la rentabilité des entreprises.
Si la France a renoncé à explorer les grands fonds océaniques, de jeunes sociétés testent des engins pour collecter, par 6 000 mètres de fond, des nodules polymétalliques qui pourraient satisfaire les besoins mondiaux en batteries. Avec de fortes incertitudes sur l’impact environnemental d’une telle activité.

2022

Sauver la biodiversité ne se fera pas sans elles. Cause majeur du problème, par leur destruction des écosystèmes, les entreprises sont aussi essentielles pour inverser la tendance car l'argent public ne suffira pas et qu'elles ont entre leurs mains le verdissement de l'économie.
Nous, citoyens du monde entier, ne sommes pas résignés face au changement climatique. Nous sommes des millions, et nous avons le pouvoir d’agir. Il est temps de s’en servir.
Participez à l'offensive écologique depuis votre position professionnelle. Vous n’êtes pas seuls est une association à but non lucratif, née d’une forte solitude face aux injustices et aux ravages indissociables de notre civilisation. Elle a pour but d’accompagner des salariés souffrant d’une fracture entre leur travail et leurs valeurs, d’accumuler des connaissances d’initiés sur les nuisances de leurs secteurs, de diffuser les témoignages de leur rupture, tout en s’inspirant des alternatives prometteuses existantes. Sa raison d’être est de créer des passerelles vers les archipels de résistances écologiques et sociales.
Le Kazakhstan a indiqué lundi envisager la nationalisation des entreprises énergétiques en difficulté, après une énième panne d'électricité laissant des milliers d'habitants sans chauffage malgré un froid polaire dans une ville du plus grand pays d'Asie centrale. "Le président Kassym-Jomart Tokaïev a chargé le Premier-ministre Alikhan Smaïlov d'étudier la question de la nationalisation des actifs énergétiques problématiques", a écrit le porte-parole du président sur son compte Facebook. "Leur mauvaise gestion cause des accidents et des pannes dans la fourniture d'électricité", a poursuivi le porte-parole.
Jacques Huybrechts est le fondateur de l’Université de la Terre, une vaste rencontre autour de l’écologie qui se tient à l’Unesco, à Paris, les 25 et 26 novembre prochains. À Vert, il raconte sa démarche pour en faire une Université ouverte et portée sur l’action.
Une première mondiale: au Royaume-Uni, la compagnie britannique de produits de beauté Faith in Nature a nommé un administrateur pour représenter la Nature à son conseil d’administration. Notre Affaire å Tous et le Earth Law Center, ONG partenaire de Faith in Nature, s’adressent aujourd’hui aux entreprises françaises. Afin de développer une initiative similaire en France, elles lancent un appel à participation en direction des entreprises françaises qui souhaiteraient être accompagnées juridiquement pour que les intérêts de la Nature soient représentés dans leurs conseils d’administration.
La plupart des engagements à la neutralité carbone des entreprises, villes ou régions ne sont pas à la hauteur des récentes recommandations du groupe d'experts de l'ONU dédié à cette question, selon une analyse publiée mardi à la COP27.
Seules quatre entreprises européennes sur dix ont investi pour améliorer leur efficacité énergétique en 2021, avant le déclenchement de la guerre en Ukraine, révèle une étude publiée mardi par la Banque européenne d'investissement (BEI). L'argent consacré par les entreprises du Vieux Continent à la réduction de leur consommation d'énergie ne représentait l'an dernier que 10% du montant total de leurs investissements, précise la banque basée à Luxembourg dans l'édition 2022 de son Enquête annuelle sur l'investissement.
Pas d’investissements nouveaux dans les énergies fossiles, pas de «compensation» à tout va, pas de déforestation : un rapport de l’ONU dévoile des recommandations pour éviter la fausse «neutralité carbone» des acteurs non étatiques.
Le gouvernement canadien a ordonné mercredi à trois entreprises chinoises de céder leur participation dans des sociétés canadiennes du secteur des minéraux rares, invoquant des raisons de "sécurité nationale". Les entreprises qui doivent céder leurs investissements sont Sinomine (Hong Kong) Rare Metals Resources Co Ltd, Chengze Lithium International Limited ainsi que Zangge Mining Investment (Chengdu) Co Ltd, d'après un communiqué. La décision a été prise après des examens menés "de façon approfondie" par les organismes canadiens chargés de la sécurité nationale et du renseignement, a justifié le ministre de l'Innovation, des Sciences et de l'Industrie, François-Philippe Champagne.
Née en 2020, la Convention des entreprises pour le Climat vient de présenter un vaste rapport qui vise à « accélérer la bascule du business as usual vers l’entreprise régénérative ».
Recette pour pousser la transition durable des activités polluantes ou nouvelle façade verte que se donnent des entreprises pour paraître plus écologiques? Les émissions d'obligations liées au développement durable séduisent, mais suscitent aussi de nombreux doutes.
Devant le dérèglement climatique, le monde de la publicité a une crise de conscience. Mais ceux qui tentent de le faire changer de l’intérieur peinent à peser face à la puissance économique des entreprises.
Le TCE permet aux entreprises de poursuivre les pays qui modifient leur politique énergétique, si elles estiment que cela menace leurs intérêts financiers. Depuis son entrée en vigueur en 1998, l’Espagne a été visée au moins 51 fois par des plaintes d’investisseurs. Lassé d’être constamment attaqué, le royaume avait déjà exprimé son envie de voir l’Union européenne se retirer du traité. En vain.
Le fonds Hy24 a réuni 2 milliards d’euros auprès de très grandes entreprises et banques, dont TotalEnergies, Axa, Airbus ou encore la Société générale, pour financer des projets autour du carburant décarboné. Signe d’un engouement croissant pour ses promesses d’énergie “propre”.
L'Association régionale des industries alimentaires (Aria) d'Alsace a réclamé mardi une "prise de conscience collective" des difficultés des entreprises du secteur face à l'envolée des prix de l'énergie, exprimant le besoin d'"augmenter les prix" des produits pour rétablir les marges.
Les prix élevés du gaz et de l'électricité font peser un "risque imminent" de "pertes de production" et "d'arrêts de milliers d'entreprises européennes", a averti jeudi BusinessEurope, une organisation représentant le patronat européen.
Rentrée académique animée dans les écoles de commerce du pays. La raison? Une lettre ouverte d'un enseignant, Laurent Lievens, qui y explique pourquoi il a démissionné.
Alors que les chômeurs sont taxés d’assistés, le philosophe Aurélien Berlan rappelle que ceux que l’État soutient massivement, ce sont les grands groupes responsables de la catastrophe climatique.
L'Espagne est notamment en passe d'instaurer un impôt exceptionnel visant les plus riches.
Il faut de nouveaux modèles qui réalisent une articulation entre les 3 P de "People-Planet-Profits". Une chronique signée Frédéric Ooms et Bernard Surlemont, Professeurs à HEC Liège – École de gestion de l’Université de Liège.
Quelque 300 entreprises françaises risquent de se retrouver en difficulté d'ici la fin de l'année en raison de l'envolée des coûts de l'énergie, a indiqué mardi le ministre de l'Industrie, Roland Lescure. "On parle aujourd'hui de quelques dizaines d'entreprise, un peu plus de 300, qui nous alertent en disant +là, je peux plus, il va falloir faire quelque chose+", a déclaré le ministre sur l'antenne de Sud Radio, interrogé sur un "risque de décrochage" pour certaines entreprises cet hiver.
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L’indisponibilité du parc nucléaire français et la guerre en Ukraine font peser des risques « inédits » sur l’approvisionnement en électricité. Le gestionnaire du réseau (RTE) appelle à la sobriété pour éviter les coupures.
Cette charte contient une série de mesures afin de réduire l'empreinte énergétique des entreprises.
Comme chaque lundi, nous recevons un invité. Aujourd'hui, il s'agit de Marek Hudon, professeur à la Solvay Brussels School of Economics and Management de l'Université libre de Bruxelles. Ses domaines de compétences sont, en particulier, la finance durable, la résilience au sein des entreprises, l'innovation sociale et l'éthique dans le business. Nous parlons avec lui des pistes pour résoudre la crise énergétique, du rôle des entreprises, du scandale Solvay, du rachat de Twitter et même de la journée sans voiture en Région bruxelloise.
Qui n'a jamais un jour rêvé de voler en Jet Privé ? ✈️ Kylian Mbappé et l'entraîneur du PSG mettent le feu au kérosène. Nous allons dans cette vidéo déchiffrer son impact réel et le symbole qu'il représente dans notre monde où la richesse ostentatoire est toujours la norme sociale alors qu'il y a des limites planétaires, qu'on accélère l'épuisement des ressources et qu'on va droit vers le crash. Mais il existe des solutions. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. 🕷 - Benjamin Parker (dit Oncle Ben).
 Il faut y voir l’explosion des coûts mais également le fait qu’elles n’ont pas encore digéré la crise du Covid.