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2024

Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi plusieurs décrets pour augmenter les impôts pour les hauts revenus et les entreprises, une décision prise pour financer l'explosion des dépenses liées au coûteux conflit en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a indiqué vendredi avoir dit au Premier ministre hongrois, en visite surprise à Moscou, que l'Ukraine devait retirer ses forces des régions ukrainiennes que la Russie revendique pour résoudre "la crise" en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que la Russie devrait commencer à produire des missiles de courte et moyenne portée, auparavant interdits en vertu d’un traité avec les États-Unis qui n’est plus en vigueur.
Le président russe Vladimir Poutine a détaillé vendredi les conditions d’un cessez-le-feu en Ukraine, exigeant de Kiev l’abandon de quatre de ses régions et sa renonciation à intégrer l’Otan. Son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, a immédiatement rejeté ce qu’il considère comme un “ultimatum” à la “Hitler”.
Le président russe Vladimir Poutine a de facto fixé vendredi la reddition de l'Ukraine comme condition pour des pourparlers, à la veille d'un sommet en Suisse consacré aux moyens d'arriver à la paix et dont la Russie est exclue.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi à la télévision que près de 700.000 militaires participaient actuellement à l'offensive en Ukraine.
Face à la menace russe, l'Allemagne a mis à jour ses plans en cas de conflit en Europe pour la première fois depuis la Guerre froide.
Alors que les pays occidentaux sont de plus en plus favorables à autoriser l'Ukraine à utiliser leurs armes pour frapper la Russie, Vladimir Poutine a menacé mercredi, lors d'une interview avec une quinzaine d'agences de presse, de livrer des armes à des pays tiers susceptibles de frapper ces mêmes intérêts occidentaux.
Le président russe s'est exprimé ce mardi quant à l'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
Le président français Emmanuel Macron a affirmé mardi vouloir permettre aux Ukrainiens de "neutraliser" les bases en Russie d'où sont tirés des missiles sur l'Ukraine. En réponse, Vladimir Poutine a menacé de "graves conséquences" en cas d'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
Le département d'Etat américain a commenté les récents événements survenus en Russie.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné la tenue prochaine d’exercices nucléaires impliquant notamment des troupes positionnées près de la frontière ukrainienne, a annoncé ce lundi 6 mai le ministère de la Défense.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi que les bombardements meurtriers visant le réseau énergétique ukrainien, qui ont entraîné d'importantes coupures de courant, suivaient l'objectif de "démilitarisation" de l'Ukraine fixé par le Kremlin.
Les dirigeants du monde entier ont condamné l’attaque armée sanglante survenue vendredi 22 mars en banlieue de Moscou. Le président russe accuse, lui, l’Ukraine d’avoir «ouvert une fenêtre» pour que les assaillants passent la frontière.
Les Etats-Unis ont mis en garde la Russie, au début du mois de mars, contre une attaque terroriste susceptible de viser de "grands rassemblements" à Moscou, a déclaré la Maison Blanche vendredi, quelques heures après l’attentat qui a fait plus de 115 morts dans une salle de concert près de la capitale.
Militants persécutés, normes environnementales piétinées... À l’aube du cinquième mandat de Vladimir Poutine à la tête de la Russie, l’écologie est victime de la guerre en Ukraine lancée par le chef du Kremlin.
Débarrassé de toute opposition, Vladimir Poutine devrait facilement être réélu à l’issue de la présidentielle russe qui se tient du 15 au 17 mars. Pour mieux comprendre ce qui se joue malgré tout dans ce scrutin et surtout la façon dont le maître du Kremlin a assis son pouvoir depuis plus de vingt ans, nous vous proposons une sélection d’articles publiés dans l’hebdomadaire ou sur notre site ces dernières années.
Une nouvelle attaque de drone a visé mercredi un site énergétique en Russie, visée pour le deuxième jour consécutif depuis l'Ukraine que Vladimir Poutine a accusé de vouloir saper la présidentielle russe.
Il est temps d’ouvrir les yeux en Europe et en Occident : Poutine s’arrêtera là où on l’arrêtera, pas avant.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux et les débats qu’ils suscitent au sein de la rédaction. Dans ce numéro, à l’occasion de l’élection présidentielle qui se tient du 15 au 17 mars, nous consacrons un long dossier à la façon dont Vladimir Poutine, au pouvoir depuis plus de vingt ans, a changé la société russe. Le président, qui se pose en rempart contre l’Occident, est assuré de sa réelection. Comment les Russes le perçoivent-ils ? Sur quoi s’appuie son régime ? Les points de vue de la presse à Moscou, mais aussi des médias en exil et des journaux européens.
Le président russe Vladimir Poutine a vanté mercredi l'armement nucléaire de son pays, le jugeant "plus avancé" que celui des Etats-Unis et assurant que son arsenal était toujours "prêt" à une guerre nucléaire.
Le président russe Vladimir Poutine a entamé jeudi à 12H13 locales (10H13 en Belgique) son discours annuel à la Nation à Moscou, selon AFP, plus de deux ans après le lancement de son assaut contre l'Ukraine.
L'année 2024 représente pour Vladimir Poutine une "fenêtre d'opportunité" pour tirer parti des faiblesses de l'Occident.
Le président russe Vladimir Poutine a choisi le conservateur américain Tucker Carlson pour accorder son premier entretien avec un journaliste occidental depuis le conflit en Ukraine. Dans l'entretien mis en ligne jeudi sur le site du journaliste vedette, il estime que la Russie ne peut pas être vaincue en Ukraine et dit écarter l'idée d'envahir la Pologne ou la Lettonie.
Le président de la Russie a affirmé dans une longue interview diffusée jeudi, qu’une défaite de la Russie en Ukraine était «impossible» et a exclu une invasion de la Pologne ou de la Lettonie.
Les signaux envoyés ces derniers temps par le Kremlin donnent du crédit à l’hypothèse d’une volonté russe de geler le conflit. Une telle solution signerait l’échec de toutes les parties impliquées dans la guerre depuis février 2022, estime l’hebdomadaire britannique “The Spectator”. Mais elle semble aussi la plus réaliste de toutes.

2023

Pour l’ancien colonel Roger Housen, le président russe n’a aucune raison de faire des concessions à l’heure actuelle.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a réitéré l'engagement de son pays à continuer de soutenir l'Ukraine, affirmant que le président russe Vladimir Poutine avait l'intention de "détruire" le pays à la suite de l'invasion qu'il a lancée il y a près de deux ans, le 24 février 2022.
Selon le New York Times, le président russe afficherait un message différent en coulisses et serait prêt à conclure un accord de cessez-le-feu
Vladimir Poutine est en train de préparer un nouveau plan de guerre précis pour les mois à venir. Un plan qui ne présage pas une fin rapide du conflit en Ukraine.
En cas de victoire de la Russie en Ukraine, il y a un 'risque réel' que le président russe Vladimir Poutine ne s'arrête...
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi un décret ordonnant d'augmenter de 15 % le nombre de soldats que compte l'armée russe, qui a expliqué cette hausse par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi un décret ordonnant d'augmenter de 15% le nombre de soldats que compte l'armée russe, qui a expliqué cette hausse par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine.
Les crimes commis par d'ex-prisonniers russes de retour au pays après avoir combattu en Ukraine embarrassent le Kremlin. Ces derniers ont été graciés par Vladimir Poutine après leur retour du front.
Le porte-parole de la présidence russe a reconnu ce lundi 10 juillet une rencontre de «près de trois heures» à Moscou entre le chef de l’Etat et le patron de la milice Wagner, entré en rébellion il y a quinze jours.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner se sont repliées dimanche en Russie, mettant un terme à la rébellion lancée par leur chef Evguéni Prigojine qui a fait trembler le Kremlin et révélé, aux yeux des Occidentaux, "fissures" et "divisions" dans le camp de Vladimir Poutine.
La brève chevauchée du patron du Groupe Wagner, Evgueni Prigojine, souligne l’erreur magistrale d’avoir laissé prospérer une milice privée, sur les marges du pouvoir. Et risque d’affaiblir durablement le président russe.
La révolte des mercenaires de Wagner a exposé au grand jour des faiblesses patentes dans la position du président russe Vladimir Poutine, soulevant des questions sur sa capacité à affronter les dangers qui menacent sa survie politique, estiment les analystes.
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
La rébellion d'Evguéni Prigojine, patron du groupe Wagner, s’est achevée sans le départ pourtant exigé par le chef des mercenaires du ministre de la Défense Sergueï Choïgou. Ce dernier apparaît sur la sellette depuis le début de la guerre en Ukraine, mais Vladimir Poutine n’en finit pas de le soutenir. Jusqu’au bout ?
Le président russe s’est exprimé ce lundi 26 juin à la télévision russe, pour la première fois après la mutinerie de l’organisation paramilitaire Wagner.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner ont commencé à quitter leurs positions en Russie sur ordre de leur chef Evguéni Prigojine, qui a fait volte-face après avoir frontalement défié l'autorité du président russe Vladimir Poutine.
Selon plusieurs analystes militaires, l’insurrection éclair de la milice privée russe puis son annulation tout aussi rapide, le 24 juin, ouvrent une séquence de doute pour Moscou et son armée, et rendent le destin de Prigojine incertain.
Plus de 100 000 Russes ont fui vers l’Arménie après l’invasion de l’Ukraine. Le rejet de la guerre et du pouvoir du Kremlin mais aussi, parfois, la simple quête d’une vie meilleure en sont les principales raisons. Un reportage de la revue espagnole “5W”.
Le chef de Wagner Evguéni Prigojine a finalement renoncé à sa rébellion contre le commandement de l’armée russe à la faveur d’un accord négocié samedi par la Biélorussie. Si la "menace de guerre civile" évoquée par Vladimir Poutine semble écartée, cette affaire porte néanmoins un sérieux coup à l’image du maître du Kremlin, révélant des failles dans l’appareil d’État, en pleine contre-offensive ukrainienne.
La situation en Russie, où Evgueni Prigojine, chef du groupe paramilitaire Wagner, a lancé une offensive armée, est suivie de près en Europe. Alors que Vladimir Poutine a dénoncé “un coup de poignard dans le dos”, la presse européenne scrute les développements de cette guerre ouverte, qui pourrait, selon elle, coûter très cher au Kremlin.
Ancien délinquant, ponte de la restauration et chef de guerre… France 24 revient sur les multiples casquettes d’Evguéni Prigojine, protégé de Vladimir Poutine et désormais en rébellion contre le maître du Kremlin. 
Dans la nuit du vendredi 23 au samedi 24 juin, le chef du groupe Wagner a provoqué la stupéfaction générale en se rebellant contre le pouvoir russe. Suivez les dernières informations.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine a affirmé samedi être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant "prêt à mourir" avec ses 25.000 hommes pour "libérer le peuple russe".
Le conflit en Ukraine a permis à l'imprévisible patron du groupe paramilitaire Wagner de s'imposer comme un acteur de premier plan en Russie. Mais en appelant au soulèvement contre l'état-major, Evguéni Prigojine a franchi le Rubicon.
Réagissant à la rébellion menée par Evguéni Prigojine, le président russe s’est exprimé dans une allocution à la nation ce samedi matin.
La décision d’Evgueni Prigojine, patron de la milice Wagner, de déclencher une mutinerie contre l’armée, vendredi 23 juin au soir, met en évidence, dix-mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, la réalité d’un Etat réduit à la compétition mortifère de factions.
En s’adressant de façon inédite à la nation en pleine mutinerie, le président russe confirme ses craintes : à qui vont obéir les officiers de l’armée russe qui contrôlent les routes entre l’Ukraine et Moscou?
Evguéni Prigojine, le patron de la milice Wagner, s’est graduellement imposé comme une figure incontournable de la guerre en Ukraine, capitalisant sur les difficultés de l’armée russe contre Kiev. Mais cette situation a généré de vives tensions avec l’"establishment" militaire russe jusqu’au point de rupture. Désormais en rébellion contre l’armée, l’ancien protégé de Vladimir Poutine a juré d'"aller jusqu'au bout".
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
Sergej Karaganov veut faire une attaque nucléaire sur l’Occident.
La CPI a émis ce vendredi un mandat d’arrêt contre le président russe, pour sa responsabilité dans la déportation illégale d’enfants menés par son armée depuis le début de l’invasion en Ukraine en février 2022.
La communauté internationale fait un pas vers des poursuites contre Vladimir Poutine.
Selon un document obtenu et révélé par le journal allemand “Süddeutsche Zeitung”, Vladimir Poutine prévoirait d’annexer le Bélarus d’ici 2030.

2022

Des frappes russes sur les infrastructures ukrainiennes ont entraîné mercredi des coupures massives d’électricité notamment dans la capitale Kiev où les températures ont chuté en dessous de zéro. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé des “crimes contre l’humanité”, à l’approche de l’hiver.
Dans une tribune au « Monde », le philosophe Gérard Bensussan analyse le discours du président Poutine et de ses proches, caractérisé par des opérations de langage qui veulent « faire disparaître le réel et le remplacer par ses contrefaçons ».
Réunis en Assemblée générale mercredi 12 octobre, 143 pays sur 193 ont condamné les « annexions illégales » de territoires ukrainiens par la Russie. Un vote massif, qui montre que le rejet de l’agression de l’Ukraine n’est pas seulement l’affaire de l’Occident. Qu’attendent la Chine et l’Inde pour condamner Moscou ?
Les dirigeants du G7 ont promis mardi "de demander des comptes au président Vladimir Poutine" après les frappes russes qui pleuvent sur l'Ukraine depuis deux jours.
Le président russe Vladimir Poutine a promis lundi des répliques "sévères" en cas de nouvelles attaques ukrainiennes contre la Russie, après la destruction partielle samedi du pont de Crimée, infrastructure stratégique et symbole de l'annexion de cette péninsule ukrainienne. "Si les tentatives d'attentats terroristes sur notre territoire se poursuivent, les réponses de la Russie seront sévères et leur ampleur correspondra au niveau des menaces posées", a mis en garde Vladimir Poutine en ouverture d'une réunion télévisée du Conseil de sécurité russe. "Personne ne doit avoir le moindre doute", a-t-il averti. En réponse à l'attaque contre le pont de Crimée, le dirigeant russe a indiqué que Moscou avait lancé une campagne "massive" de bombardements dans plusieurs régions ukrainiennes. Il a affirmé que l'armée russe avait utilisé dans la matinée "des armes de haute précision de longue portée" contre "l'infrastructure énergétique, militaire et de communication de l'Ukraine".
Certains pensent que les armes nucléaires créent une stabilité géopolitique internationale par le risque de destruction mutuelle assurée. D’autres, exactement l’inverse : que cette apparence de sécurité est une illusion catastrophique.
Symbole parmi les symboles, le pont de Crimée reliant l’Ukraine à la Russie a été coupé par une explosion ce samedi. Vladimir Poutine avait fait de cette infrastructure inaugurée en 2018 un outil de propagande.
L'ancien directeur de la CIA et général de l'armée à la retraite déclare que le président russe est "désespéré" et que la réalité du champ de bataille auquel il est confronté est "irréversible".
Les territoires occupés des oblasts ukrainiens de Kherson et de Zaporijia, ainsi que la « république populaire de Donetsk » et la « république populaire de Louhansk » ont été officiellement annexés par la Russie, vendredi 30 septembre, lors d’un discours prononcé au Kremlin par Vladimir Poutine.
Le président Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi que l'Ukraine allait signer une demande d'adhésion accélérée à l'Otan, quelques minutes après que la Russie a formalisé l'annexion de quatre régions ukrainiennes.
Pendant que l’on manifeste contre la guerre dans les grandes villes, les hommes d’ethnies de la périphérie sont mobilisés de force.
Le magazine allemand “Der Spiegel” a rencontré de nombreux Russes alarmés par l’annonce de la mobilisation pour la guerre en Ukraine. Vladimir Poutine semble lui-même avoir cédé à la panique, écrit l’hebdomadaire.
“The Daily Telegraph” raconte le changement d’atmosphère dans la capitale russe depuis l’annonce de la mobilisation partielle par Vladimir Poutine. Un reportage anonyme de leur journaliste sur place, réalisé malgré l’interdiction de territoire dont est frappé le quotidien britannique.
Les passages frontaliers vers la Finlande et la Géorgie depuis la Russie se sont “intensifiés” au cours de la nuit, ont indiqué jeudi les autorités locales, après que le président Vladimir Poutine a ordonné une mobilisation partielle. Cette décision du chef du Kremlin divise de plus en plus les Russes, note la presse internationale.
Annonce de mobilisation partielle, référendums sur un rattachement à la Russie organisés à la hâte dans certaines régions d’Ukraine, menaces nucléaires, autant de signes que le Kremlin est aux abois, estiment les médias ukrainiens.
L’escalade inquiétante du président russe, qui a ordonné, le 21 septembre, la mobilisation de 300 000 hommes et agité de nouveau la menace nucléaire, place désormais les pays qui ont gardé le silence depuis le début de la guerre en Ukraine devant un choix simple : soutenir ou de dénoncer cette agression.
Dans son allocution de ce mercredi matin annonçant une «mobilisation militaire partielle», Vladimir Poutine ne parle plus de l’Ukraine comme ennemi, mais de «l’Occident collectif». Un aveu d’échec devant l’avancée de la contre-offensive ukrainienne.
L'annonce par Vladimir Poutine d'une mobilisation partielle pour renforcer ses troupes en Ukraine a entraîné mercredi une ruée sur les sites Internet des compagnies aériennes pour tenter de quitter la Russie au plus vite. La mobilisation concerne dans un premier temps 300.000 réservistes, mais selon le ministère de la Défense au total 25 millions de Russes sont mobilisables pour rejoindre les rangs de l'armée dans l'est et le sud de l'Ukraine.
À sa une, l’hebdomadaire “Respekt” annonce une victoire de l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie et la fin prochaine d’un Vladimir Poutine présenté sous les traits d’Adolf Hitler dans ses derniers jours.
Le discours prononcé le 16 mars dernier par Vladimir Poutine avait une tonalité peu rassurante. On pouvait y déceler un inquiétant écho au discours stalinien des années 1930, dans lequel ceux que le régime avait choisi de persécuter étaient comparés à des reptiles et à des chiens enragés. Dans la récente diatribe de Poutine, l'évocation du moucheron cherche à minimiser avec mépris la menace représentée par l'adversaire en le destituant de toute dignité.
Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure".
Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure". Dans le même temps, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, en visite en Ukraine, a demandé à la Russie de ne pas couper du réseau ukrainien cette centrale que son armée occupe depuis début mars, et qui est devenue la cible ces dernières semaines de frappes dont Moscou et Kiev s'accusent mutuellement.
La guerre contre l’Ukraine a ravivé les spéculations sur la santé de Vladimir Poutine. Immanquablement se pose la question de sa succession, et plusieurs noms circulent.
La ville de Lyssytchansk tombée, la question se pose des prochains objectifs en Ukraine des forces russes dont la progression, certes lente, est désormais régulière à grand renfort d'artillerie.
On a donc laissé grandir une bête monstrueuse depuis 20 ans et on n’arrive plus à la maîtriser. Tous les scénarios sont (déjà) perdants pour les démocrates, partout dans le monde et pour longtemps. La démocratie elle-même est menacée. La marge de manœuvre semble se résumer à devoir évaluer le sacrifice d’un bien existentiel (la démocratie et la liberté d’autodétermination ukrainienne) pour en sauver un autre (au mieux la vie de plusieurs millions de citoyens membres de l’Union européenne, au pire la vie humaine sur Terre en cas de guerre nucléaire mondiale, les scorpions survivront).
Vladimir Poutine a ordonné lundi aux forces russes de poursuivre leur offensive dans l'est de l'Ukraine après la prise de la ville stratégique de Lyssytchansk, et alors que s'ouvrait en Suisse une conférence internationale pour préparer la reconstruction à venir du pays.
La Russie va livrer "dans les prochains mois" au Bélarus des missiles capables de transporter des charges nucléaires, a annoncé samedi Vladimir Poutine en recevant le dirigeant bélarusse Alexandre Loukachenko, en pleines tensions entre leurs pays et l'Occident autour de l'Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a suivi un traitement pour soigner un cancer à un stade avancé en avril et a échappé à une tentative d'assassinat au mois de mars, rapporte jeudi l'hebdomadaire américain Newsweek qui s'appuie sur de hauts responsables de trois services de renseignement américains.
Natalité en berne, mortalité en hausse, déclin migratoire... Malgré une politique nataliste parmi les plus incitatives au monde, la Russie se vide progressivement de ses habitants. "Un problème majeur pour Vladimir Poutine, pour qui population est synonyme de puissance", selon le démographe Laurent Chalard.
Autrefois considéré comme un politicien aux tendances prorusses, le maire de la ville ukrainienne d'Odessa, Guennadi Troukhanov, prend son temps pour évoquer son ressenti à propos de la Russie et du président Vladimir Poutine, qui a envahi le pays le 24 février.
Les positions occidentales de soutien à l'Ukraine divergent de plus en plus entre les Anglo-saxons et les Européens de l'Ouest, les premiers poursuivant un objectif stratégique d'affaiblissement de la Russie dont les conséquences potentielles inquiètent les seconds. Joe Biden et Emmanuel Macron résument à eux deux cette discordance. Le président américain a déclaré le 26 mars que Vladimir Poutine "ne peut pas rester au pouvoir", tandis que le Français a dit le 9 mai que la paix ne se ferait pas dans "l'humiliation" de la Russie.
Horrifiés par la dérive du pouvoir russe et l'invasion de l'Ukraine, des dizaines de milliers de Russes ont choisi l'exil. Arrivés en France, certains découvrent que l'accueil est loin de la chaleur réservée aux réfugiés ukrainiens.
Les tribunaux russes ont ouvert 60 000 procédures contre les manifestants depuis 2012, selon l’enquête du journal indépendant russe, dont une partie de la rédaction a été contrainte à l’exil après l’invasion de l’Ukraine. « Le Monde » marque sa solidarité en publiant plusieurs de ses articles.
Dans son discours prononcé sur la place Rouge ce 9 mai, Vladimir Poutine a justifié l’intervention en Ukraine par la défense de la patrie russe, “une tâche sacrée”.
Le journal russe indépendant « Novaïa Gazeta » a tenu 32 jours après le déclenchement du conflit en Ukraine, malgré la censure de l’Etat russe. Mais une partie de la rédaction a dû quitter le pays et a lancé « Novaïa Gazeta Europe », dont « Le Monde » soutient l’initiative.
Je n’avais pas plus d’informations que ce que je lisais dans les médias. Pourtant, j’avais la certitude que cela se produirait, car je suis un réfugié syrien qui a été contraint de fuir en Europe moins de deux mois après l’entrée des forces russes en Syrie, le 30 septembre 2015. Je n’ai pas oublié ces événements déchirants.
Villes rasées et vidées de leurs habitants… La guerre de siège, particulièrement dévastatrice pour les populations civiles, a déjà été utilisée par Vladimir Poutine en Tchétchénie et en Syrie pour anéantir toute résistance. Une stratégie de punition et d’humiliation.
Depuis le début de l’invasion, Vladimir Poutine s’évertue à parler d’«opération militaire spéciale». Une doctrine qui pourrait changer en marge des cérémonies du 9 mai, «jour de la Victoire» sur l’Allemagne nazie en Russie.
Vladimir Poutine a appelé jeudi à réorienter les exportations énergétiques russes de l'Europe vers l'Asie, du fait de la crise provoquée par son offensive en Ukraine, accusant les Européens de "déstabiliser le marché" en voulant se passer d'hydrocarbures russes. "On va partir du principe qu'à l'avenir les livraisons vers l'Ouest vont baisser", a dit le président russe lors d'une réunion gouvernementale consacrée au secteur de l'énergie dans le contexte des sanctions internationales. Il faut donc "réorienter nos exportations vers les marchés au Sud et à l'Est qui croissent rapidement", a-t-il ajouté.
Prise à la gorge par sa dépendance au gaz russe, l'Allemagne s'est découvert un autre talon d'Achille : le poids des capitaux russes dans ses raffineries de pétrole, oléoducs et autres réservoirs de gaz. Les filiales des géants Gazprom et Rosneft sont des acteurs clés des infrastructures énergétiques du pays. Responsables politiques et économiques allemands se retrouvent "devant les ruines" d'une coopération avec la Russie longtemps perçue comme garante d'une détente avec le régime de Vladimir Poutine, observe le magazine Spiegel.
Plus de 4,4 millions de réfugiés ukrainiens ont fui leur pays depuis l'invasion ordonnée par le président russe Vladimir Poutine le 24 février, selon les chiffres du Haut commissariat aux réfugiés (HCR).
Pour saper la machine de guerre de Vladimir Poutine, le 5e train de sanctions étend les interdictions d'exportations de l'UE vers la Russie pour une valeur de 10 milliards d'euros, dans des domaines industriels où la Russie dépend fortement de fournitures européennes. Le 5e train de sanctions de l'UE vise pour la première fois des importations d'énergie
Les États-Unis ont annoncé mercredi une nouvelle volée de sanctions économiques et financières qu'ils qualifient de "dévastatrices" contre la Russie, visant notamment les deux filles du président russe, Maria Vorontsova et Katerina Tikhonova, soumises désormais à un gel de leurs avoirs dans le pays. Une sanction inédite dans l'entourage immédiat de Vladimir Poutine.
Depuis le début de la terrible guerre en Ukraine, une succession de déclarations fracassantes ont été énoncées au sujet du gaz et du pétrole russes et de leur embargo pour sanctionner la politique de Vladimir Poutine. Hors des projecteurs, le pragmatisme s’appuie toutefois sur la raison d’Etat, dans l’obscurité. Paradoxalement, plonger dans cette ombre pourrait apporter un éclairage sur une situation d’une complexité extrême.
La Novorossia est un projet expansionniste rêvé par Poutine depuis plusieurs années.
Alors que Vladimir Poutine a annoncé jeudi que le gaz russe devrait désormais être payé en roubles, l'Union européenne, premier client de Moscou, lui a opposé un refus catégorique et affirmé envisager d'autres scénarios pour son approvisionnement. France 24 décrypte avec Francis Perrin, spécialiste des questions énergétiques à l'Iris, cette nouvelle étape du bras de fer autour de la guerre en Ukraine.
Vladimir Poutine a annoncé ce jeudi que les acheteurs de gaz russe de pays "inamicaux" devront à partir de vendredi payer en roubles depuis des comptes en Russie sous peine d'être privés d'approvisionnements, mesure touchant surtout l'Union européenne.
L’annonce mardi par la Russie d’une réduction “radicale” de son activité militaire à Kiev et dans ses environs suscite la méfiance des Occidentaux, qui craignent un nouveau “coup politique” de Vladimir Poutine.
Devant le Conseil de sécurité de l'ONU, la Russie a été accusée mardi d'avoir provoqué une "crise alimentaire mondiale" voire de faire courir un risque de "famine" en ayant déclenché une guerre contre l'Ukraine, le "grenier à blé de l'Europe".
Les conditions pour une première rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine depuis le début de l’invasion russe le 24 février, sont désormais « suffisantes » , a affirmé le négociateur en chef ukrainien, à l’issue des négociations.
Comment réagir si Vladimir Poutine lance une attaque chimique ou nucléaire ? C'est la question au centre des travaux de la Tiger Team, cette équipe montée par Joe Biden.
L’ancien ministre de l’Economie, jusqu’à peu envoyé spécial pour le climat de Vladimir Poutine, a démissionné de son poste et fui la Russie en raison de son opposition à la guerre.
Près d'un mois après l'annonce de l'invasion en Ukraine ordonnée par Vladimir Poutine, que va décider le président russe?
L’invasion de l’Ukraine par l’armée russe, commencée il y a un mois, change de nature : l’opération éclair de Vladimir Poutine se transforme en une guerre de position accompagnée d’une politique de la terreur à l’égard des populations, explique Jérôme Fenoglio, directeur du « Monde », dans son éditorial.
Vladimir Poutine a annoncé que la Russie n'acceptera plus de paiements en dollars ou en euros pour les livraisons de gaz à l'Union européenne, donnant une semaine aux autorités russes pour mettre en place le nouveau système en roubles.
Face à l’invasion de l’Ukraine, nos réactions sont passées de la stupeur et de la peur à l’aide et l’accueil des ukrainiens. Si la guerre et ses souffrances insondables sont loin d’être finies, la morale ne doit pas nous interdire de réfléchir et de tenter de comprendre. Au plan géopolitique, les analyses vont bon train. Quelles sont les moteurs de l’action de Vladimir Poutine [1] ? Jusqu’où va-t-il aller dans l’usage des armes de destruction massive (biologiques ou nucléaire) et dans l’extension géographique de son action (vers le Moyen-Orient ou l’Europe ?). Que font vraiment les américains et pourquoi ? Et que fait et va faire la Chine ? Je ne m’aventurerai pas sur ce terrain. Il me semble en revanche possible de commencer à prendre du recul sur le plan économique.
Les démocraties doivent soutenir le travail de la justice ukrainienne et celui de la Cour pénale internationale, qui a ouvert une enquête début mars. Il importe que la guerre menée par le président russe ne reste pas impunie.
La Russie utilise dans son offensive contre l'Ukraine une partie de sa nouvelle génération de missiles, qualifiés par Moscou d'"invincibles", d'"hypersoniques", d'une portée illimitée ou invisibles des radars, quatre ans après avoir été dévoilés par Vladimir Poutine.
En pleine réunion gouvernementale rediffusée en direct à la télévision, Vladimir Poutine a souhaité adresser un message à l'Occident et à tous les Russes habitant dans cette région. En effet, alors que le gouvernement se réunissait pour discuter des mesures de soutien économique en réponse aux sanctions occidentales contre la Russie, le président a accusé les Russes vivant en Europe ou aux États-Unis d'être des traîtres. Il a affirmé que l'Occident tentait de les utiliser comme une "cinquième colonne" pour détruire la Russie.
Le dictateur russe a tenu mercredi un discours devant son gouvernement qui s’apparente à un manifeste définissant un nouveau régime isolé qui assume de l’être. Extraits.
L'économie russe "va retourner vingt ou trente ans en arrière" et Vladimir Poutine a mis en danger l'avenir de son régime en attaquant l'Ukraine, affirme dans un entretien à l'AFP Sergei Guriev, ancien conseiller économique du gouvernement russe et exilé en France. "Poutine a réussi à détruire l'économie russe en quelques semaines", affirme cet ancien économiste en chef à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), aujourd'hui professeur à Science Po Paris. Il prédit "une énorme récession" à venir et un "probable" défaut de paiement de la Russie en raison des sanctions infligées au pays par les Occidentaux.