les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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Noel

2024

Cœur : des passionnés sauvegardent des anciennes variétés reproductibles dont les graines sont librement partagées. Pique : les multinationales de la semence privatisent le vivant en déposant des brevets leur réservant des droits exclusifs sur des variétés de plantes.

2023

Les services météorologiques australiens prévoient un nouvel épisode sévère d’orages pour la journée de mardi.
Paul Blume Fin des années 70, début des années 80, les mouvements anti-missiles animent les débats sur les risques liés au déploiement d’armes nucléaire spécifiques, susceptibles d’être réellement …
Selon une étude de l'EDHEC, certains investisseurs pourraient voir la valeur de leur portefeuille fondre de 50% d'ici 2050 en raison de la mulitplication des phénomènes météorologiques extrêmes.
j’ai constaté ces dernières années que les hameaux et habitats isolés du coin, abandonnés depuis les années 1950 ou 1960, sont récemment achetés par des familles fortunées. Les perspectives de canicules graves et récurrentes provoquent un afflux de demandes pour tout bien proche de la nature et de la fraîcheur. On assiste à une gentrification de la montagne, identique à celle qui ravage certains quartiers dans des grandes villes, les habitants locaux ne sont plus en mesure d’acheter des biens qui font partie de leur patrimoine environnemental et culturel depuis toujours.
Roman. « L’aube s’ouvrit sur un ciel de fumée. La ville, entourée de collines qui la regardaient, semblait bien frêle là-dessous, presque prise en étau, et n’avait plus pour horizon que ce ciel anthracite qui, à mesure que se levait un soleil de feu, s’orangeait. »
La mobilisation des habitants au-delà d’un cercle déjà actif prend énormément de temps mais est indispensable pour développer les communautés. Une chronique de Gauthier de Locht, Marie-Charlotte Noel et Grégoire Wallenborn de l'IGEAT-ULB.
Ce livre est une tentative d’explication d’une anomalie de masse : la société mondiale produit de plus en plus de maladies, tout en dépensant toujours avantage pour essayer de les traiter. La réponse courte à cette contradiction est que les risques environnementaux, comportementaux et métaboliques qui causent les maladies sont des conséquences de la croissance économique. Nous avons laissé se créer une offre et une demande de risques. La logique de l’offre est simple et son rationnel est économique : les entreprises vendent des risques ou les disséminent pour produire plus et moins cher. La logique de la demande est plus complexe et diversifiée : nous nous exposons aux risques ou nous les consommons par nécessité, par erreur ou inattention, par addiction ou par désespoir. La production de maladies entraîne un suicide au ralenti de l’espèce humaine, qui n’a cependant rien d’une fatalité.
Souvent associés au changement climatique global, les risques qui pèsent sur le delta du Mékong sont aussi causés par les activités humaines locales.

2022

Vingt-six personnes demeurent introuvables tandis que neuf blessés ont été recensés. D’autres inondations et des glissements de terrain sont encore possibles avec la chute attendue de nouvelles pluies.
Apogée de la consommation à outrance, l’appropriation des fêtes de Noël par le capitalisme ne fait, depuis longtemps, l’objet d’aucun doute. Guirlandes électriques et vitrines sur-illuminées, débauche alimentaire et marchande, semaine de travail extensible contraire au droit du travail…
Des militants pour le climat revendiquent avoir décapité la cime du sapin de Noël érigé devant l’emblématique porte de Brandebourg de Berlin.
Plus d’un million de sapins sont produits chaque année dans le Morvan. Avec son lot de pesticides. « Oui il faut garder et créer des emplois, mais pas à n’importe quel prix », alerte Muriel André-Petident, du collectif d’habitants du Morvan.
Face aux récits mortifères et aux difficultés de conduire le changement vers une société durable, l’attention au narratif semble s’imposer comme une voie intéressante à plusieurs égards. Le premier réflexe est de penser « imaginaire », « prospective », « story-telling »... Or, une communauté d’acteurs·trices réunie autour du Cerdd et de la Fabrique des Transitions considère que nous pouvons aller beaucoup plus loin dans cette approche des récits.
Dans son livre choc et pédagogique, "Ralentir ou périr, l'économie de la décroissance" (Seuil), Timothée Parrique démontre les limites écologiques, sociales ou même économiques de la croissance. Selon le chercheur à l’Université de Lund, en Suède, "il faut abandonner l’idée du PIB comme un bouton magique qui viendrait résoudre tous nos problèmes". Le spécialiste d'économie écologique estime en outre que "la croissance verte est un mythe" et que les entreprises doivent "abandonner cette obsession pour la valeur financière".