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2024

Selon un rapport exclusif, les grandes entreprises sont encore loin du compte en matière de lutte contre la déforestation.
Des ONG, associations et chercheurs demandent à l’AMF de sanctionner le greenwashing des fonds durables investis dans des actifs fossiles.
Le groupe énergétique suédois Vattenfall a annoncé mercredi avoir présélectionné deux entreprises, une américaine et une britannique, pour la construction de petits réacteurs modulaires (SMR, "Small modular reactors") à la centrale nucléaire de Ringhals, dans le sud-ouest de la Suède. 3 à 5 SMR dans la zone définie Sur six fournisseurs potentiels, le groupe détenu par l'État a retenu la société britannique Rolls-Royce SMR et l'américaine GE Hitachi Nuclear Energy.
Mercredi 5 juin, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, António Guterres s’est exprimé au sujet de la gravité de la crise climatique et, dans ce cadre, il a fait une proposition singulière : interdire les publicités pour les compagnies du secteur des énergies fossiles.
Stellantis, Renault, AirLiquide, TotalEnergies… La plupart des grandes entreprises ne seraient plus rentables si elles devaient payer le coût réel de leurs émissions de CO2. C’est ce que révèle l’indice Vérité 40, qui analyse le score carbone des grandes entreprises françaises.
TE H2, co-entreprise des groupes TotalEnergies et Eren, et l'électricien autrichien Verbund ont annoncé mardi la signature d'un protocole d'accord avec la Tunisie en vue d'édifier un grand complexe de production et exportation d'hydrogène vert dans le sud du pays.Baptisé "H2 Notos", ce projet, qui en est à son tout début, vise à produire de l'hydrogène par électrolyse, à base d'électricité solaire et éolienne, pour l'exporter par pipeline vers l'Europe.
Raison d'être, entreprise à mission, code civil... 5 ans après, que reste-t-il de la loi PACTE pour la RSE ? On fait le bilan.
"Payés pour polluer" : c’est le titre d’un rapport accablant que publie aujourd’hui Greenpeace. Il détaille les différents mécanismes utilisés par les industries les plus polluantes et les plus énergivores pour bénéficier d’argent public.
Les groupes français Eiffage et Entech ont annoncé jeudi la création d'une coentreprise dédiée à la production de systèmes de stockage électrique, sujet majeur de la transition énergétique et condition essentielle à l'essor des énergies renouvelables.La coentreprise vise la construction et l'exploitation d'unités de stockage par batteries raccordées au réseau à haute tension, dans le cadre de grands projets, en France. Ce marché cible est estimé à plus d'un milliard d'euros, ont indique les deux groupes dans un communiqué.
Le géant du numérique Microsoft a annoncé mercredi avoir signé un accord avec le fournisseur d'énergie renouvelable canadien Brookfield Asset Management, qui en ferait le plus important accord d'entreprise de fourniture d'énergie verte, selon le groupe. 10,5 GW de capacités renouvelables Cet accord qualifié de "première" prévoit, selon Brookfield, le développement d'un champ d'éoliennes et de panneaux solaires de 10,5 gigawatts (GW) afin d'alimenter les centres de données du groupe numérique, qui vise la neutralité carbone d'ici à 2030.
Les grandes entreprises ciblées par ce texte seront en outre tenues de prévenir, d’identifier et de remédier aux violations de droits humains et sociaux et aux dommages environnementaux dans leurs chaînes de valeur partout dans le monde.
Après des mois de débats, le parlement vient d'adopter cette réglementation essentielle pour le respect des droits par les entreprises.
Un périmètre de sécurité a été mis en place en raison de relevés de radioactivité dans une entreprise de Colmar, a indiqué la préfecture du Haut-Rhin dans un communiqué envoyé dans la nuit de mercredi à jeudi.
La préfecture de Seine-Maritime a infligé le mois dernier des amendes d'un montant total de 60.000 euros à l'entreprise Valgo, chargée de la dépollution de l'ex-raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, près de Rouen, pour avoir sciemment enfoui des déchets de laine minérale sur le site.Selon un arrêté préfectoral dont l'AFP a pris connaissance mardi, l'inspection des installations classées avait constaté d'importantes "incohérences" entre les quantités de laine minérale que Valgo disait avoir évacuées du site et celles qui s'y trouvaient initialement.
Si la nature venait leur présenter la facture, beaucoup d’entreprises apparemment florissantes sur le plan financier seraient bien en peine de rembourser leur dette. Un classement d’un autre genre porté par la coalition Kaya qui regroupe des entreprises « durables ».
En 2020, le covid avait déstabilisé l’industrie pétrolière et gazière mondiale via une subite diminution de la demande, des préoccupations climatiques grandissantes, les menaces d’une transition énergétique et l’arrivée des voitures électriques. Après cet annus horribilis, les majors pétrolières prirent des mesures drastiques pour revenir sur la scène de manière plus dominatrice et tranchante que jamais. La survie de leur business model étant en jeu, elles ont stratégiquement recréé des alliances de circonstance avec les acteurs majeurs que sont la finance et le politique et n’hésitent plus à s’attaquer frontalement aux pressions environnementales.
C’est l’histoire d’un projet de loi qui ne verra sans doute jamais le jour. Un texte qui devait mettre en place un devoir de vigilance pour les entreprises européennes de plus de 500 salariés. Avec cette directive, elles devenaient responsables des impacts sociaux et environnementaux de leurs activités tout au long de leur chaine d’approvisionnement. En théorie, plus question de fermer un œil parfois bienveillant sur les pratiques de leurs sous-traitants ou des sous-traitants de leurs sous-traitants. Avec des amendes à la clé pour les contrevenants. Mais tout ça risque de passer à la poubelle.
Le projet de chantier déployé dans le cadre du projet Neom génère une forte opposition en interne, des salariés s’alarmant de son incompatibilité avec les engagements de l’entreprise pour l’environnement ou les droits de l’homme.
Le CDP publie sa A-List des entreprises les plus avancées en matière de transparence environnementale. Et note les progrès "beaucoup trop lents".
Désireuses de diminuer leur empreinte carbone et leur pollution numérique, quelques entreprises choisissent de faire subir un régime minceur à leur site internet, en réduisant leur nombre de pages et en enlevant des fonctionnalités."On avait un site internet, très lourd, un gros paquebot, avec des grands aplats, des photos haute définition....", rembobine Vincent Aubrée, directeur du pôle promotion marketing de Destination Rennes, qui a pour mission de valoriser l'attractivité de la capitale bretonne.