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2024

Des microplastiques viennent d’être découverts dans des testicules. Cette pollution pourrait participer au déclin mondial de la fertilité. Explications.
D’importantes quantités de microplastiques ont été détectées dans les testicules de tous les sujets testés dans le cadre d'une récente étude. Ces particules seraient impliquées dans la baisse de la qualité des spermatozoïdes et de la fonction testiculaire globale.
Les grandes entreprises ciblées par ce texte seront en outre tenues de prévenir, d’identifier et de remédier aux violations de droits humains et sociaux et aux dommages environnementaux dans leurs chaînes de valeur partout dans le monde.
Des chercheurs tchèques ont démontré la présence de minuscules particules de plastique à la fois dans le placenta et dans le liquide amniotique de femmes enceintes. Une découverte qui met en relief l’importance de la pollution plastique, note l’hebdomadaire “Respekt”.
Les premières audiences de la chambre spéciale dédiée à la responsabilité sociale des entreprises et au devoir de vigilance ont eu lieu le mardi 5 mars 2024 à la cour d’appel de Paris. TotalEnergies, EDF et Suez étaient assignées par des associations et des collectivités, pour non respect de leurs obligations en matière de vigilance sur les droits humains et environnementaux.
Le projet de chantier déployé dans le cadre du projet Neom génère une forte opposition en interne, des salariés s’alarmant de son incompatibilité avec les engagements de l’entreprise pour l’environnement ou les droits de l’homme.
L’analyse la plus étendue à ce jour des concentrations de microplastiques dans le placenta humain révèle des résultats inquiétants : tous les placentas testés présentaient des concentrations élevées de particules plastiques.
Les activités de TotalEnergies sont-elles conformes à la politique climatique et diplomatique de la France? Une commission de sénateurs se penche à partir de jeudi sur un sujet pour lequel le groupe pétrolier assure n'avoir "rien à cacher".
Pas de soucis ! On s’en sortira ! On a connu pire !"… Un cliché très fréquent sur le changement climatique prétend que l’Humanité a traversé d’autres changements de ce type par le passé, et qu’elle est toujours parvenue à s’y adapter. Et pour preuve : nous sommes toujours là ! En mai 2022, lors d’une journée de conférences organisée par le Financial Times, le banquier britannique Stuart Kirk a déchaîné les réactions indignées d’une bonne partie de la communauté scientifique. En parlant du réchauffement climatique et de la montée des eaux qui va se produire, il a affirmé notamment : "Amsterdam est sous l’eau depuis des lustres, et c’est un endroit très agréable. Nous nous adapterons."
Comment sauver le vivant, nous compris ? En s’y reconnectant, clame une mouvance d’auteurs généreusement relayés par les médias. Or ces appels à repenser les liens entre humains et non-humains puisent dans un fond ancien, reconnaissable à sa stigmatisation de la science et de la production, désignés coupables de la catastrophe écologique en cours. Il suffirait alors de s’en détourner pour remédier aux maux de notre Modernité. Par l’examen de trois cas, les auteurs montrent les impasses, voire les dérives de tels discours et la nécessité d’en prendre le contre-pied. La question du bien produire devient cardinale. Notre survie suppose d’enquêter sur les conditions permettant non seulement de préserver la biosphère, mais aussi de développer nos capacités afin de mener des vies véritablement humaines. Quels désirs et activités durables peut-on infiniment cultiver à l’intérieur des limites planétaires ?