les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Résultats pour:
hydrique

2023

La meilleure façon de se prémunir contre les risques hydriques, c'est d'abord de tenir nos objectifs en réduisant au maximum les émissions de gaz à effet de serre. Beaucoup de solutions sont liées à une transition vers des usages plus sobres qui permettront de diminuer notre consommation d'eau. Selon les estimations du GIEC nous perdons, par degré de réchauffement supplémentaire, 6 % de rendement pour le blé, 3,2 % pour le riz et 7,4 % pour le maïs....
eau là là. Vingt-cinq pays sont considérés en stress hydrique «extrêmement élevé», c’est-à-dire qu’ils ont consommé 80% (ou plus) de leurs ressources en eau pendant au moins un mois par an, selon de nouvelles données publiées par le World resources institute (WRI) mercredi. L’organisme de recherche internationale s’alarme cette année d’«une crise de l’eau sans précédent, exacerbée par le changement climatique». Les régions les plus menacées sont le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, où 83 % de la population est exposée à un stress hydrique extrêmement élevé. En Europe, des pays comme la Belgique, la Grèce ou Chypre sont également concernés. D’ici à 2050, un milliard de personnes supplémentaires devraient être confronté à cette situation extrême, selon le scénario le plus optimiste.
Le pays d’Amérique du Sud connait actuellement la pire sécheresse depuis le début des relevés en 1949. Un manque de précipitations historique qui pèse sur les réserves d'eau douce et affecte sévèrement l’approvisionnement et la qualité de l’eau dans la capitale, Montevideo.
Raoudha Gafrej experte en ressources en eau et en adaptation au changement climatique appelle à une convocation urgente du Conseil National de l’Eau. Elle
La pénurie d'eau est déjà vécue de façon dramatique par nombre de populations dans le monde, puisqu’elle touche actuellement près de 700 millions de personnes dans 43 pays. Pis encore, d’’ici 2025, 1.8 milliard de personnes seront confrontées à une pénurie d'eau complète. Ne faisant pa...
Vers une politique de résilience territoriale locale
Un rapport de l’Unesco nous alerte qu’une crise mondiale de l’eau est imminente. Au cours des quarante dernières...
Refroidissement de data centers, extraction de métaux critiques, gravure et nettoyage de semi-conducteurs : la dépendance croissante à l’eau de l’industrie du numérique est un phénomène mé-connu, mais pourtant bien documenté. Le poids environnemental de cette empreinte hydrique, exacerbé par un contexte de raréfaction, oc-casionne ainsi de multiples controverses locales et des tensions géopolitiques.

2022

Les projections pour les trois prochaines décennies n’augurent rien de bon et envisagent, dans les hypothèses les plus probables, une pression encore plus forte sur les ressources hydriques sous l’effet de multiples facteurs dont, principalement, la croissance démographique, les transformations des habitudes de consommation, l’accélération du phénomène de l’urbanisation, le changement climatique et l’incidence de facteurs environnementaux et de pollution.
A mesure que le réchauffement se renforcera, les conséquences sur les ressources hydriques d’un modèle agricole dopé aux intrants de synthèse deviendront de plus en plus sévères, prévient Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
La sécheresse généralisée de cet été n'est malheureusement qu'un début. Gestion publique, tarification progressive, réinvention du modèle agricole... Une planification de l'usage de l'eau se fait criante.
La sècheresse atteint une intensité inédite en France cette année. Un phénomène qui, amplifié par le réchauffement climatique, est devenu une menace supplémentaire à l'échelle mondiale, avec pour conséquence de faire de l'eau une ressource rare devenue plus que jamais vitale. Par Charaf Louhmadi, ingénieur-économètre chez Natixis, et Mariem Brahim, enseignante-chercheuse à Brest Business School.
Spécialiste des enjeux de sécurité liés à l’eau, le chercheur Franck Galland met en évidence, dans une tribune au « Monde », l’impact de la raréfaction de l’eau sur le secteur technologique, une industrie qui consomme beaucoup de ressources hydriques.
Les experts alertent sur l’état préoccupant des nappes phréatiques françaises. Depuis février, leur dégradation est rapide et au 1er mai 2022, leurs niveaux étaient déjà bas, voire très bas, selon les régions.
Le printemps sera sec. Selon le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), cité par Franceinfo, le niveau des nappes d’eau souterraines est inférieur à la normale sur quasiment l’ensemble du territoire. Seuls l’Île-de-France, la Normandie, la Savoie, l’Aude, l’Hérault et une partie des Pyrénées sont épargnés. La raison : un déficit hydrique entre octobre et mars, période durant laquelle les nappes phréatiques se rechargent en profondeur. « La fin de l’hiver est une période charnière et les pluies insuffisantes ont fortement impacté l’état des nappes », explique le BRGM dans un communiqué.
Les grands lacs rétrécissent, le débit de fleuves puissants faiblit, des sources se tarissent... Les effets conjugués du changement climatique et des activités humaines se constatent à l’œil nu sur la terre, mais qu’en est-il en dessous ? Les auteurs du rapport 2022 de l’Organisation des Nations unies (ONU) sur les ressources hydriques se sont penchés cette fois sur les ultimes réserves de la planète : les eaux souterraines. L’objectif de leur copieux document, publié à l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, est de « Rendre visible l’invisible », comme l’indique son titre. Il doit être lancé depuis le Forum mondial de l’eau qui se tient dans la ville nouvelle de Diamniadio près de Dakar, au Sénégal, du 21 au 26 mars.
Réserves d’eau de pluie, irrigation au goutte à goutte... Dans le Marais poitevin, face à l’agriculture intensive d’irrigation permise par les bassines, des maraîchers tentent la sobriété hydrique.
En 2020, selon un rapport du World Resources Institute (WRI), ¼ de la population mondiale (environ 1,7 milliards de personnes) vit dans des pays en situation de stress hydrique (moins de 1700 m3 par an et par personne). Dans certaines régions du monde, les êtres humains disposent de moins de 3l d’eau par jour, alors que, selon l’OMS, la quantité adéquate d’eau potable représente au minimum 20 litres d’eau par habitant et par jour.

2021

Le constat est effrayant. Ce rapport, intitulé State of Climate Services 2021: Water, tire la sonnette d'alarme. Il faut s'attendre à ce que le stress hydrique augmente massivement. En 2018, 3,6 milliards de personnes n'ont pas eu un accès suffisant à l'eau pendant au moins un mois. D'ici à 2050, elles devraient être plus de 5 milliards. Soit plus de la moitié de la population mondiale.
Un rapport publié mercredi par l'Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en évidence le « rôle vital » joué par la gestion des forêts pour lutter contre l'insécurité hydrique frappant la planète.