les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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mortalité

2024

2023 enregistre une mortalité catastrophique chez les manchots empereurs en raison de la fonte record de la banquise. Si les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter, l’espèce pourrait être quasi éradiquée d’ici 2100.
L'Europe pourrait être confrontée à des situations "catastrophiques" si elle ne prend pas la mesure des risques climatiques qu'elle encourt et dont beaucoup sont déjà à un niveau critique, a prévenu lundi l'Agence européenne de l'Environnement (AEE).

2023

Troisième cause de mortalité en 2021, le coronavirus pourrait aussi être responsable de la hausse de la mortalité des maladies vasculaires, selon une étude publiée par la Drees ce mardi 19 décembre.
Selon un rapport publié mercredi par des experts internationaux dans la revue The Lancet, les décès annuels liés à la chaleur devraient augmenter de 370 % d'ici à 2050, soit une multiplication par 4,7. Et ce scénario se base sur un réchauffement planétaire de 2° C d'ici la fin du siècle, alors qu'il est actuellement en voie d'atteindre 2,7° C.
Le rapport publié ce mercredi 15 novembre dans la revue «The Lancet» aligne les prévisions alarmantes, qui pourraient notamment amener environ 520 millions de personnes de plus en insécurité alimentaire.
Plusieurs études scientifiques récentes ont démontré que la dangerosité des vagues de chaleur intense est plus grande pour la population féminine, en particulier pour les femmes âgées de plus de 65 ans.
Malgré des études récentes montrant une surmortalité des femmes âgées lors périodes de fortes chaleurs, la variable du genre n’est pour le moment pas prise en compte par les autorités sanitaires françaises.
Le Covid a pourtant moins causé de décès qu’en 2021. L’institut mentionne d’autres causes, comme la grippe ou les fortes chaleurs de l’été 2022.
La Ligue pour la protection des oiseaux met en avant ce lundi 24 avril les exemples d’observations en Charente-Maritime et en Vendée l’été dernier, où les volatiles comme les autres animaux et insectes ont été affectés par le manque d’eau.
En France, la mortalité des arbres est en hausse de 50 % sous l’effet des sécheresses successives et de la prolifération des ravageurs. Ce qui réduit leur capacité d’absorption du CO2.
Elle pourrait redevenir la maladie infectieuse la plus mortelle devant le coronavirus selon Action Damien, qui appelle à intensifier les actions à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre la tuberculose, ce 24 mars.
Heat and cold are now established health risk factors, with several studies reporting important mortality effects in populations around the world.1, 2, 3 The associated health burden is expected to increase with climate change, especially under the most extreme scenarios of global warming.4, 5 However, robust estimates of excess mortality in the current and future periods are still challenging to obtain due to the numerous factors influencing vulnerability to heat and cold, including climatic, environmental, and socioeconomic conditions.6 These factors represent the main drivers of variation in mortality risks, which have been shown to differ geographically and across age groups.
Selon une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet, si la couverture végétale d’une ville pouvait atteindre 30% de sa surface, cela pourrait réduire d’un tiers le nombre de décès prématurés liés aux canicules estivales.

2022

L’archipel connaît une nouvelle flambée de cas et se rapproche dangereusement du record de morts quotidien. Pourtant, les autorités semblent rester sourdes à la crise sanitaire.
Des chercheurs du CNRS et de l’INSERM ont établi une corrélation quasi linéaire entre pollution aux particules fines et mortalité liée à la covid-19. Publiée dans la revue « Science of the Total Environment », cette étude lance un nouveau pavé dans la marre de l’inaction du gouvernement en matière de gestion de la qualité de l’air.
Sécheresse printanière, canicule et violents incendies de l’été… En 2022, les épisodes climatiques extrêmes ont meurtri plus de 70 000 hectares de forêts françaises. Dans son état des lieux annuel, l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) révèle un accroissement de 54 % de la mortalité des arbres sur la dernière décennie.
Surmortalité liée au Covid-19, crise des opioïdes et maladies cardio-vasculaires participent à la chute de cet indicateur révélateur de l’état de santé des Américains.
Alors que la guerre en Ukraine s'enlise et que les pertes civiles et matérielles ne cessent d'augmenter, de nombreuses ONG locales et internationales alertent sur la dégradation de la faune et la flore. Au centre de leurs préoccupations, la présence des sonars et des explosions sous-marines qui provoqueraient la mort de milliers de dauphins dans la mer Noire.
Déshydratation, hyperthermie, surmortalité… Les températures élevées ne sont pas anodines pour la santé, notamment pour les personnes fragiles. Des effets qui se cumulent avec ceux, indirects, de la pollution de l’air, responsable de 48 000 morts par an.
Depuis plusieurs années, les écologistes et climatologues nous avertissent des dangers des gaz à effet de serre. Et si cela nous condamnait à mourir de chaud ?