les Ressources Minières

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2024

Plus d’un quart des stations de contrôle des eaux souterraines en France, première source d’eau potable du pays, ont mesuré une contamination au-dessus des normes environnementales, selon une enquête du journal Le Monde publiée mercredi.
Sophie Ressouche, spécialiste de la nappe où est pompée l’eau de Perrier, explique comment des contaminations ont pu se produire.
L’état des réserves françaises a continué de s’améliorer en mars grâce aux pluies importantes. 58 % d’entre elles affichent des niveaux supérieurs aux normales, mais le Languedoc-Roussillon reste dans le rouge.
Près de la moitié des réserves souterraines du pays affichent un niveau supérieur à la normale, selon l’organisme chargé de leur surveillance. Mais le manque d’eau reste inquiétant en Occitanie et notamment dans les Pyrénées-Orientales.
Une vaste nappe de pétrole s'est formée jeudi matin sur l'Escaut au large du centre-ville d'Anvers, indiquent les pompiers...
Le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a souligné, mardi, dans un bulletin, que la situation concernant le niveau des nappes phréatiques dans les Pyrénées-Orientales (sud de la France) – touchées par une sécheresse historique l'année dernière –, demeure "très préoccupante".
Cette mise en garde intervient après une année marquée par une sécheresse historique en Pyrénées-Orientales, département à l’activité agricole et touristique importante qui a subi de nombreuses restrictions d’eau.
Le temps pluvieux est une bonne nouvelle pour le remplissage de ces réserves d’eau, dont «56 % des niveaux sont au-dessus des normales mensuelles en décembre». Excepté sur le pourtour méditerranéen, toujours à sec.

2023

L'année 2023 a été marquée par de sombres records côté climat et biodiversité. Sans renier ces mauvaises nouvelles, «Libération» revient sur six nouvelles environnementales enthousiasmantes.
Les fortes précipitations d’octobre et de novembre ont fait remonter le niveau des nappes dans le nord du pays, annonce le BRGM ce jeudi 14 décembre. Mais l’établissement public reste prudent pour l’an prochain.
Malgré les pluies diluviennes de ces dernières semaines, les nappes souterraines ne sont pas remplies. Tout dépendra de l’hiver à venir, et de notre « sobriété » en eau.
Si les pluies du printemps et de l’été ont permis de maintenir, voire d’améliorer l’état des nappes, les pluies tombées à la mi-octobre ont été en revanche insuffisantes, note le Bureau de recherches géologiques et minières, décrivant une situation « peu satisfaisante ».
Les fortes chaleurs et le manque de précipitations en septembre et octobre creusent toujours plus le déficit en eau. Selon les derniers chiffres officiels, 68 % des réserves souterraines ont encore des niveaux anormalement bas.
Dans le sud de la France, l’augmentation de l'exploitation des carrières de graviers pourrait mettre en danger les eaux souterraines.
Les précipitations des trois dernières semaines du mois d'août ont permis une remontée des niveaux des lacs, des cours d'eau et des nappes superficielles, indique la Cellule d'expertise sécheresse du Centre régional de crise de Wallonie mercredi.
Selon un rapport publié ce lundi 21 août, la sécheresse des sols concernait 28 % du territoire européen début août, contre 55,8 % l’année dernière. Mais le niveau des nappes phréatiques reste très bas.
Le pays comptait « 72 % de nappes qui sont en dessous des normales de saison » au 1ᵉʳ août, contre 68 % un mois auparavant, a annoncé le gouvernement jeudi.
Hautement toxiques 42 000 tonnes de déchets sont stockées et menacent la plus grande réserve en eau potable d’Europe. Un collectif d’élus locaux de gauche se positionnent contre l’enfouissement définitif de ces déchets dangereux.
Les épisodes orageux ont soulagé les sols dans le Sud, mais n’ont pas suffi à recharger les réserves d’eaux souterraines.
Plusieurs centaines de personnes se sont mobilisées en défense de l’eau le 1ᵉʳ juillet en Ariège. Une mobilisation à l’issue de laquelle des activistes ont pénétré et accroché des banderoles dans une gravière du groupe Lafarge.
Pour subvenir à ses besoins en eau, la métropole d’Aquitaine, qui voit ses nappes profondes s’épuiser, a mis en place un projet de champ captant sur la presqu’île du Médoc. Mais associations écologistes et sylviculteurs s’inquiètent.
Le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu a indiqué mercredi sur CNews que deux tiers des nappes phréatiques en France métropolitaine sont sous les normales, faisant état "d'inquiétudes très vives" sur certaines zones comme le couloir rhodanien et la Méditerranée.
Dans le Sud, les précipitations orageuses de mai ont soulagé les sols superficiels, mais les niveaux des nappes restent « peu favorables ».
Une importante pollution au chloroforme a été détectée dans le parc scientifique géré conjointement par l’UCLouvain...
Au 1er mai, une très large majorité des nappes phréatiques françaises (68 %) restait à des niveaux préoccupants malgré les pluies tombées en abondance sur certaines régions ces deux derniers mois, a constaté mercredi le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).
Mi-mai, le niveau moyen des nappes phréatiques de 31 départements est encore «bas», voire «très bas». La situation s’est même dégradée dans plusieurs départements.
La situation hydrogéologique du pays s’est globalement améliorée, mais de nombreuses nappes continuent d’afficher un niveau plus faible que d’habitude, notamment dans le Sud-Est, où les sols sont extrêmement secs.
L’or bleu français est menacé et certaines municipalités commencent à en tenir compte. La ville de Grigny a demandé à l’usine Coca-Cola, installée sur la commune, d’arrêter de puiser dans la nappe phréatique l’eau nécessaire à la production de ses boissons. Ce bras de fer autour de la ressource en eau entre satisfaction des besoins incontournables des populations et exigences industrielles préfigure des remises en cause massives de modèles économiques de plus en plus fragiles.
Les pluies du mois de mars n’y ont rien fait : près de 20 % des nappes phréatiques ont des niveaux très bas, a annoncé le Bureau de recherches géologiques et minières. Le risque de sécheresse cet été est donc « avéré ».
Paris (AFP) – Il a plu en mars, mais pas partout et surtout pas assez: avec 75% des nappes à des niveaux modérément bas à très bas, le spectre d’une sécheresse estivale se renforce, notamment pour une cinquantaine de départements qui pourraient connaître une situation pire que l’été dernier.