les Ressources Minières

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2024

Sophie Ressouche, spécialiste de la nappe où est pompée l’eau de Perrier, explique comment des contaminations ont pu se produire.
Deux millions de bouteilles de Perrier ont été détruites par Nestlé sur décision du préfet du Gard. En cause : une pollution de la source par des bactéries fécales. L’ONG Foodwatch redoute une contamination des bouteilles déjà vendues. Perrier a-t-elle mis en vente, en connaissance de cause, des eaux contaminées par du caca ? Mercredi 24 avril, l’entreprise Nestlé Waters, qui possède la marque Perrier, a en tout cas annoncé à l’AFP avoir, « par précaution », détruit une partie de sa production. En cause : (...)
Le groupe a observé une dégradation de la qualité de l’eau après de fortes pluies dans l’un de ses puits du Gard, suspendu jusqu’à nouvel ordre. Il assure que toutes les bouteilles sur le marché «peuvent être consommées en toute sécurité».
De l’eau dans le gaz. Décharges sauvages, traitements illégaux, perquisitions, commission sénatoriale… Le géant de l’eau en bouteille Nestlé Waters connait des turbulences depuis plusieurs semaines. Vert vous explique.
Plus de deux mois après les révélations sur le traitement non autorisé de 30 % des eaux en bouteille, l’Etat reste muet face au scandale. Un déficit de transparence peu compatible avec l’impératif sanitaire.
Malgré ses conséquences pour la planète, malgré l’existence d’une eau du robinet sûre et peu chère, le marché de l’eau en bouteille est en plein boom à l’échelle mondiale. La conséquence d’une privatisation au long cours.
L’association de défense des consommateurs dépose ce mercredi 21 février une plainte contre les deux groupes pour les traitements de désinfection auxquels ils ont eu recours sur leurs eaux telles que Vittel ou Perrier.
Le groupe Les Mousquetaires a retiré, depuis le mercredi 14 février, les bouteilles d'eau des marques "Fiée des Lois" et "Premier prix" à cause d'une "non-conformité réglementaire sans risque pour la santé".
Pendant des années, des eaux vendues comme « de source » ou « minérales naturelles » ont subi des techniques de purification interdites. Selon une enquête conjointe du « Monde » et de Radio France, un tiers au moins des marques françaises sont concernées, dont celles de Nestlé, qui a reconnu ces pratiques. Informé depuis 2021, le gouvernement a assoupli la réglementation dans la plus grande discrétion.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.