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2022

En France et au Royaume-Uni, des organismes indépendants ont critiqué cette semaine l'action climatique de leur gouvernement respectif, soulignant des insuffisances dans les politiques publiques pour atteindre les objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre fixées. Les inventaires nationaux de gaz à effet de serre permettent, dans le cadre de l'accord de Paris, de s'assurer du respect des engagements des signataires. Mais comment ces émissions sont-elles mesurées ? Qu'est-ce qu'un gaz à effet de serre?
La communication des multinationales du pétrole et du gaz, qui disent vouloir réduire leurs émissions de gaz à effet de serre pour limiter le changement climatique, est souvent trompeuse -- et leurs discours publicitaires sont diffusés sur les réseaux sociaux, perpétuant en ligne ce "greenwashing", estiment des chercheurs. La version complète de cette enquête est à retrouver ici: http://u.afp.com/wDuz.
Avec la levée des mesures contre la propagation du coronavirus, les émissions de dioxyde de carbone (CO2) provenant de la combustion de combustibles fossiles sont reparties à la hausse, de +6,3%, dans l'Union européenne, en 2021, indique vendredi Eurostat.
"Pour réduire la consommation de gaz, il faut utiliser moins de gaz pour produire de l'électricité. A la place, les centrales à charbon devront être davantage utilisées", a déclaré le ministère de l'Economie dans un communiqué. Le recours temporaire au charbon est un revirement pour le gouvernement d'Olaf Scholz, faisant la part belle aux Verts et à la lutte contre le changement climatique, et qui a promis de sortir du charbon d'ici à 2030.
Le groupe pétro-gazier français va prendre une part de 6,25 % dans le projet, qui vise à aider le pays du Golfe à augmenter sa production de gaz naturel liquéfié (GNL) de 60 % d'ici 2027.
"Ça va nous financer un an de R&D": le patron de la start-up NetZero n'en revient toujours pas d'avoir remporté un million de dollars au concours organisé par Elon Musk, l'un des prix lancés par des milliardaires et des géants de l'internet pour accélérer la technologie balbutiante de captage du carbone de l'air. Les experts climat s'en rendent compte: le monde va devoir retirer beaucoup de CO2 de l'air pour atteindre la neutralité carbone en 2050, car la réduction des émissions de gaz à effet de serre ne suffira pas. Des machines existent aujourd'hui, mais trop chères.
Le gouvernement américain a lancé jeudi un plan prévoyant 3,5 milliards de dollars pour des projets de captage de dioxyde de carbone (CO2) directement dans l'air, une technologie récente considérée comme une possible solution dans la lutte contre le changement climatique. L'argent est destiné à financer quatre grands programmes chapeautant eux-mêmes divers projets ayant la spécificité de chercher à capter le CO2 dans l'air ambiant et non pas seulement à la sortie de cheminées d'usines ou de centrales électriques, puis à le stocker, a précisé le ministère de l'Energie dans un communiqué.
Les grandes compagnies pétrolières et gazières sont encore loin du compte lorsqu'il s'agit de réduire les émissions de gaz à effet de serre liées à l'utilisation des produits qu'elles vendent, selon les derniers chiffres analysés par l'AFP, mais les européennes ont pris une longueur d'avance.
Alors que les gouvernements promettent de lutter contre le changement climatique, l'industrie pétrolière et gazière, elle, continue de lancer des méga-projets d'extraction d'énergies fossiles. C'est ce qu'ont découvert les journalistes d'investigation du Guardian.
Que ressentent les employés du secteur pétrolier ou gazier ? Culpabilité, crainte pour l’avenir, envie de reconversion... Les « petites mains du changement climatique » témoignent.
La Chine a annoncé jeudi la suppression des droits de douane sur ses importations de charbon, un geste de nature à accroître encore les émissions de CO2 du premier émetteur mondial de gaz à effet de serre. Le pays le plus peuplé de la planète a promis en 2020 de commencer à réduire ses émissions de carbone avant 2030 mais son bilan énergétique repose encore à 56% sur le charbon, une source d'énergie particulièrement nocive pour le climat.
Malgré les dommages causés au climat, la planète compte encore des projets de construction ou d'extension de centrales électriques au charbon dans 34 pays différents, surtout en Chine, dénonce le rapport annuel du Global Energy Monitor publié mardi.
Dans un contexte sensible de guerre en Ukraine exposant la dépendance des économies aux énergies fossiles, les experts climat de l'ONU (Giec) ont publié lundi leur éventail de scénarios pour limiter le réchauffement et ses impacts déjà dévastateurs. Selon les scientifiques, l'humanité n'a plus que trois ans pour agir pour conserver un monde "vivable".
'Allemagne, première nation industrielle en Europe, a fait état mardi d'un rebond de ses émissions de gaz à effet de serre en 2021, une tendance qui devrait se prolonger en 2022, surtout si la guerre en Ukraine oblige le pays à puiser davantage dans son charbon. "Environ 762 millions de tonnes de gaz à effet de serre ont été émis en 2021", soit "33 millions de tonnes ou 4,5 % de plus qu'en 2020", selon un communiqué du ministère de l'Economie et du Climat.
Apolline de Malherbe reçoit Jean-Marc Jancovici, ingénieur spécialiste de l'énergie, dans"L'interview" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 10 mars 2022
Les émissions mondiales de CO2 ont atteint leur plus haut niveau historique en 2021, indique l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans un nouveau rapport publié ce 8 mars(1). Une hausse de plus de 2 milliards de tonnes de CO2 des émissions annuelles Les émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie se sont élevées à 36,3 milliards de tonnes (Gt) selon l’AIE. C’est 6% de plus qu’en 2020 (avec une hausse annuelle de plus de 2 Gt desdites émissions, un record) - année perturbée par la pandémie de Covid19 - mais également le plus haut niveau annuel jamais mesuré.
La flambée des cours des énergies fossiles, entraînée par les sanctions occidentales contre l’invasion russe en Ukraine, doit nous pousser à intensifier les efforts que la lutte contre le réchauffement climatique va nous imposer.
L’Agence internationale de l’énergie a publié le 23 février son « Global Methane Tracker » annuel(1) dans lequel elle fait le point sur les émissions mondiales de ce gaz à fort effet de serre.
Le gaz émet 30% de CO2 en moins que le pétrole et moitié moins que le charbon; il pollue moins l'air ambiant (moins de soufre et d'oxydes d'azote). Mais il reste une énergie fossile, responsable d'environ 22% des émissions mondiales de CO2 en 2021, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Sa production génère aussi d'importantes fuites de méthane, gaz ultra-réchauffant.
Attribuer un "label vert" européen au gaz naturel et au nucléaire, pour aider à flécher les investissements : cette perspective fait tiquer bien des défenseurs du climat et de l'environnement. Alors quelle place pour ces énergies sur le chemin d'un monde sans carbone?
Les sept années de 2015 à 2021 ont été de façon "nette" les plus chaudes jamais enregistrées, confirmant l'avancée du réchauffement climatique avec des concentrations record de gaz à effet de serre, a annoncé lundi le service européen Copernicus d'observation de la Terre.
Charbon : « l’ennemi climatique n°1 » se porte toujours bien (et même mieux) en 2021 Quels sont les 10 pays qui consomment le plus de charbon dans le monde ? 2 articles
Trente ans après le début du processus d’intégration de la République est allemande, l’Allemagne se lance dans un nouveau chantier titanesque : atteindre la neutralité climatique en 2045 et réduire les émissions de gaz à effet de serre de 65% d’ici à 2030 (par rapport à 1990) !

2021

Les mines à ciel ouvert de Singrauli illustrent le dilemme auquel est confronté le deuxième pays le plus peuplé du monde, expliquant sa résistance à l'élimination progressive du charbon prônée durant le sommet de la COP26 à Glasgow au début du mois.
La Norvège ne proposera pas en 2022 de nouveaux permis de prospection pétrolière dans des zones vierges ou peu explorées au terme d'un compromis politique annoncé lundi, une petite avancée pour les partisans d'une sortie des énergies fossiles.
Les pays africains producteurs de gaz et de pétrole, ainsi que ceux où de récentes découvertes de ces énergies fossiles suscitent des espoirs de développement, n'entendent pas pour l'instant y renoncer en dépit des recommandations de la dernière conférence climat de Glasgow en Ecosse, la COP26.
La crise du Covid n'aura été qu'une parenthèse pour le climat et les émissions mondiales de CO2, principal gaz à effet de serre, sont reparties de plus belle, laissant de moins en moins de temps pour contrer le réchauffement climatique, alerte une étude jeudi.
Très dépendante du charbon, l’Afrique du Sud va entamer sa transition énergétique. Le pays va recevoir, de l’Allemagne, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, une grosse enveloppe : 8,5 milliards de dollars de prêts (à très faible taux d’intérêt et subventions) pour développer les énergies renouvelables. Dans le pays, elles ne comptent que pour 6% de la production d’énergie, contre plus de 80% pour le charbon.
Les émissions mondiales de CO2 dues à la combustion d’énergies fossiles et à l’industrie devraient « rebondir en 2021 près du niveau d'avant COVID après une baisse sans précédent en 2020 », selon le bilan annuel du Global Carbon Project (GCP)(1), publié ce 4 novembre en pleine COP26(2).
Quelque 95% des producteurs de pétrole et de gaz explorent ou prévoient de développer de nouvelles réserves d'hydrocarbures, selon un rapport produit par l'ONG allemande Urgewald et 20 ONG partenaires, publié jeudi en pleine conférence climat de l'ONU.
19 pays et 5 organismes ont ouvert la voie en signant un accord interdisant les financements des énergies fossiles à l’étranger. Serait-ce le début de la fin du charbon, du gaz et du pétrole ? Les associations, du moins, saluent cette avancée.
C’est une proposition qui fait grand bruit au nord du pays. Alors que le gouvernement flamand s’était accordé sur la fin du placement de nouvelles chaudières à mazout sur son territoire dès le 1er janvier 2022, l’Open VLD propose d’aller encore plus loin. Les libéraux flamands veulent interdire l’installation de tout type de système de chauffage fonctionnant aux énergies fossiles dans les nouvelles constructions dès 2023.
C’est une proposition qui fait grand bruit au nord du pays. Alors que le gouvernement flamand s’était accordé sur la fin du placement de nouvelles chaudières à mazout sur son territoire dès le 1er janvier 2022, l’Open VLD propose d’aller encore plus loin. Les libéraux flamands veulent interdire l’installation de tout type de système de chauffage fonctionnant aux énergies fossiles dans les nouvelles constructions dès 2023.
À Glasgow, M. Macron a vanté son action et celle de l’Union européenne. Mais en sous-main, la France manœuvre avec la Pologne et la Hongrie pour faire reconnaître le gaz — et le nucléaire — comme des énergies « vertes ».
Englués dans un cycle haussier, gaz, charbon, pétrole, uranium sont victimes de hausses prodigieuses sur les bourses mondiales. Sommes-nous à l’aube d’un basculement dans une nouvelle évolution énergétique mondiale, ou d’un simple hoquet passagé? Les mois à venir dévoileront la réponse. Au cœur de ce choc, le gaz naturel est certainement celui que l’on attendait le moins.
Malgré des progrès, les énergies propres ne représentent toujours qu'une part minime des plans de relance dans le monde, regrette l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui alerte une nouvelle fois jeudi sur l'important rebond prévu des émissions de CO2.
En France, la moyenne des émissions d’équivalent CO2 par habitant est évaluée entre 10 et 11 tonnes. Très loin de l’objectif de 2 tonnes pour 2050.
Le Sri Lanka ne construira plus de nouvelle centrale thermique au charbon, a annoncé mardi le gouvernement à quelques jours du sommet de la COP26 sur le climat.
les plans de production des gouvernements dans ce secteur sont toujours "en dangereux décalage" avec les objectifs de Paris, a regretté mercredi le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), à deux semaines de la conférence climat COP26. Pour espérer rester sous +1,5°C, "la production mondiale d'énergies fossiles doit commencer à baisser immédiatement et fortement", souligne le rapport réalisé par le PNUE et plusieurs instituts de recherche.
les plans de production des gouvernements dans ce secteur sont toujours "en dangereux décalage" avec les objectifs de Paris, a regretté mercredi le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), à deux semaines de la conférence climat COP26. Pour espérer rester sous +1,5°C, "la production mondiale d'énergies fossiles doit commencer à baisser immédiatement et fortement", souligne le rapport réalisé par le PNUE et plusieurs instituts de recherche.