les Ressources Minières

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insecte

2024

Grootschalige installaties met zonnepanelen kunnen een zegen zijn voor bedreigde insectenpopulaties en de biodiversiteit, blijkt uit Amerikaans onderzoek. Zo kunnen ze ook de landbouw in de buurt een flinke duw in de rug geven.
Sommige planten bestuiven vaker zichzelf en produceren minder nectar als evolutionaire reactie op het instorten van insectenpopulaties. Slecht nieuws voor bestuivende insecten, die daardoor nog meer onderdruk komen te staan.

2023

La disparition des insectes pollinisateurs pourrait pousser les fleurs à s’autoféconder. Une pression sélective délétère pour la flore comme la faune, que des chercheurs ont découverte chez les pensées des champs.
Le déclin des insectes et animaux pollinisateurs menacerait la production de café et de chocolat.
Landschapsarchitect Louis De Jaeger begrijpt niet waarom veel mensen klimop willen kortwieken of verwijderen. Klimop is immers een ontzettend waardevolle plant, betoogt hij.
De zomercampagne ‘Niet meppen, wel appen’ heeft anderhalf miljoen waarnemingen van insecten in Vlaanderen opgeleverd. ‘Een massa insecten, maar toch zien we bij veel soorten een achteruitgang’, concludeert Natuurpunt.
Ils sont à nos portes et menacent nos cultures… "Ils", ce sont les insectes nuisibles qui ont fait leur apparition en Europe de l’Ouest et qui font des incursions occasionnelles sur notre territoire. Exemple : la Bactrocera dorsalis.
Zowel de hoeveelheid als de diversiteit van insecten neemt af in West-Europa. Dat besluiten wetenschappers die 82 eerder gepubliceerde studies over loopkevers en vlinders vergeleken. Menselijke activiteiten, landbouw, verstedelijking en klimaatverandering zijn de drijvende kracht achter het verlies.
Insecten leveren verschillende diensten die van levensbelang zijn voor het functioneren van ecosystemen en onze samenleving. Een greep uit hun rijke aanbod aan straffe diensten.
Nachtvlinders of motten zijn nuttige insecten en blijken, net zoals bijen, fantastische bestuivers te zijn. Ze verdienen meer waardering én bescherming, vinden onderzoekers van de Universiteit van Sheffield.
Le plus probable est que beaucoup d’insectes vont disparaître avant même que l’on fasse réellement connaissance. Il est bien entendu difficile de mesurer exactement le déclin, ou la disparition de ce que l’on connaît fort peu, on ne peut que l’approcher par des mesures indirectes. Du coup, cette imprécision fait le lit des sceptiques ou indifférents qui estiment qu’ils peuvent dormir tranquilles tant que les experts se querellent sur les chiffres.
Il y a quelques semaines, notre rédaction s’intéressait à un article évoquant l’effondrement des populations d’insectes en France. Une observation s’appuyant sur le livre du britannique Dave Goulson, qui explique pourquoi nous ne pourrons pas survivre sans insectes, leur disparition rendant la planète invivable pour les humains. Nous nous sommes entretenus avec Frédéric Mora, directeur scientifique au sein du Conservatoire botanique national de Franche-Comté - Observatoire régional des Invertébrés, pour creuser ce sujet. Bonjour monsieur Mora. Dans un premier temps, peut-on dresser un état des lieux en France, et dans notre région, concernant les populations d’insectes ? Comment se portent-t-elles ? C'est une vaste question. Toutes les espèces ne font pas l'objet de suivis. On a des espèces qu’on connaît relativement bien parce qu'on sait qu'elles sont menacées, et du coup on a un peu plus de recul sur l'état de conservation de leur population. Au niveau national comme au niveau régional, on constate un
«La question est de savoir si une civilisation peut mener une guerre implacable contre la vie sans se détruire elle-même, et sans perdre le droit d’être appelée civilisée.»
L'excès de lumière artificielle émise par les villes perturbe le cycle de vie des moustiques, qui ne peuvent plus entrer en phase de repos. Le problème, c'est qu'en restant actifs plus longtemps, les moustiques nous piquent (quasiment) toute l'année, selon la science.
La Terre va-t-elle devenir “silencieuse” ? C’est l’alerte que donne le biologiste britannique Dave Goulson dans son livre sur la disparition des insectes qui vient de paraître en français. Explications avec la chronique “1 planète, des solutions” réalisée par NOWU en partenariat avec France Info.
Coccinelles et abeilles déclinent à un rythme vertigineux. Tandis qu’une nouvelle forme de pesticide est testée en Europe, le biologiste britannique Dave Goulson démontre que l’extinction des insectes menace directement l’espèce humaine.
Dave Goulson, biologiste à l’université du Sussex, spécialiste mondialement reconnu des abeilles, bourdons, papillons...
En quelques dizaines d’années, le moineau domestique a pratiquement disparu des grandes villes européennes. D’après...
Samedi, à l’appel des collectifs Scientifiques en rébellion et Extinction Rebellion, une centaine de personnes ont formé un cortège «funèbre» au pied du Museum national d’histoire naturelle (MNHN), à Paris.
L’action, organisée samedi en parallèle du Salon de l’agriculture, fait référence au livre « Printemps silencieux », de la biologiste nord-américaine Rachel Carson, première lanceuse d’alerte en 1962 sur la dangerosité des pesticides de synthèse.
Soixante ans apres Rachel Carson, force est de constater que malgré l’effort des scientifiques pour éveiller les consciences, nos comportements continuent de détruire la biodiversité. C’est pourquoi Dave Goulson lance ce vibrant manifeste : un monde sans insecte serait un monde invivable pour les humains que nous sommes, nous ne pouvons tout simplement pas vivre sans eux. Le temps presse, mais les populations d’insectes peuvent se reconstituer, il n’est pas trop tard et les solutions sont à notre portée. Cri d’alerte et de mobilisation qui s’appuie sur la recherche scientifique de pointe et sur le travail d’une vie de chercheur, ce livre est un appel contre la sixième extinction avec des propositions concrètes sur ce que nous pourrions entreprendre dès à présent, individuellement et collectivement.
En 1962 paraissait l’ouvrage de la biologiste états-unienne Rachel Carson, « Printemps silencieux », qui documentait et dénonçait les dramatiques conséquences de l’usage massif des pesticides sur les colonies d’insectes. Soixante ans plus tard, le chercheur Dave Goulson tire à son tour la sonnette d’alarme avec son nouveau livre, « Terre silencieuse : empêcher l’extinction des insectes », paru le 8 février 2023 aux éditions du Rouergue. L’extrait ci-dessous s’intéresse au phénomène des « références changeantes », qui nous fait paraître comme normale une situation (ici, le déclin de la biodiversité) qui ne l’est pas.
The rapid decline of Earth’s most numerous animals is a major threat to the biosphere
C’est peu de dire que la réponse politique à ce phénomène n’est à la hauteur nulle part dans l’Union européenne. Et la France ne fait pas exception, comme en témoigne le récent débat autour de l’autorisation des néonicotinoïdes.
En Europe, l’abondance d’insectes pourrait avoir chuté de près de 80 % au cours des trois ou quatre dernières décennies, mais il est très probable que nos sociétés soient incapables d’infléchir la course au désastre, explique, dans sa chronique, Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».
Une équipe de chercheurs a tenté de déterminer le poids combiné de tous les insectes terrestres et des arthropodes apparentés sur Terre.
La disparition des abeilles et autres pollinisateurs tue prématurément 500 000 personnes dans le monde d’après une récente étude. La diminution du travail de pollinisation de ces insectes, nécessaire pour les trois-quarts de l’alimentation mondiale, vient perturber les régimes alimentaires à l’échelle du globe, ce qui impact considérablement notre santé.

2022

Les scolytes ravagent les conifères toujours plus au nord en Finlande à la faveur du réchauffement climatique, mettant en danger des forêts boréales aussi précieuses pour la planète que la forêt amazonienne.
Un consortium international de plus de 70 scientifiques vient de publier un article qui alerte sur les menaces que fait peser le dérèglement climatique sur les insectes, piliers du bon fonctionnement des écosystèmes. La synthèse parue dans la revue Ecological Monographs fait directement écho aux avertissements du GIEC sur les risques liés à l'augmentation rapide des températures moyennes du globe et l’intensification des événements extrêmes. Les scientifiques expliquent que si aucune mesure n'est prise, nous réduirons considérablement et définitivement notre capacité à construire un avenir durable basé sur des écosystèmes sains et fonctionnels. L’article formule plusieurs recommandations clés à adopter pour aider les insectes face au changement climatique.
De teloorgang van bijen en andere bestuivende insecten heeft al een impact op de volksgezondheid, stelt de Universiteit van Harvard. Minder bestuivers betekenen minder gewassen als fruit en groenten. En minder aanbod van die gezonde voeding, leidt tot meer aandoeningen, en meer sterfgevallen.
The number of insects splattered on vehicle number plates in Britain fell by 64% between 2004 and 2022, according to a survey. Each summer citizen scientists record the number of insect splats on their number plates on an app after a journey. The latest Bugs Matter report, produced by Kent Wildlife Trust and Buglife, found another drop in 2022 compared with 2021, with the long-term decrease jumping by five percentage points.
Small patches of land given over to wildlife-friendly planting can make a big difference to pollinator conservation, a new study suggests. Bee and other pollinator populations in Europe and North America are in decline due to a range of factors including habitat loss and insufficient flowers for food.
Publiée dans le magazine Science Advances, une nouvelle étude britannique décèle les risques environnementaux liés à l’éclairage nocturne artificiel largement répandu en Europe. En se basant sur des millions de clichés pris par la Station spatiale internationale (ISS), les chercheurs mettent en évidence la progression fulgurante de l’éclairage par diode électroluminescente (LED), plus froid, plus blanc, mais aussi plus nocif pour l’environnement. 
Les insectes pollinisateurs tels que les abeilles domestiques jouent un rôle essentiel dans le maintien de l’environnement naturel et des cultures. Le déclin des populations d’abeilles mellifères est un problème mondial avec des répercussions importantes sur la pollinisation des plantes et notre survie à long terme dans le contexte du changement climatique. Que se passerait-il si les animaux pollinisateurs disparaissaient ?
Selon une étude inédite menée par l’Université Queen Mary de Londres, les bourdons sont capables de jouer. C’est la première fois qu’un tel comportement est observé chez un insecte, ajoutant aux preuves croissantes que ces animaux peuvent éprouver des « sentiments » positifs. Les détails de ces travaux sont publiés dans la revue Animal Behavior.
Johan Eklöf est un chercheur à l’Université de Stockholm. Il rappelle que la nuit n’existe plus ; plus vraiment. Ce que nous en connaissons, explique-t-il, n’est souvent plus qu’un ersatz d’obscurité, un semblant de ténèbres. Presque totalement engloutis dans notre peur du noir et notre désir compulsif de voir clair, nous sommes en train d’oublier ce qu’est une nuit noire, une nuit sombre. Et les grandes capitales ne sont pas les seules concernées. 
An international study on the future of insects under climate change scenarios has found the loss of insects will drastically reduce the ability of humankind to build a sustainable future. "A growing body of evidence shows many populations of insects are declining rapidly in many places. These declines are of profound concern, with terms like an emerging 'insect apocalypse' being increasingly used by the media and even some scientists to describe this phenomenon," Laurance said.
L’été 2022 a été le deuxième plus chaud jamais observé en France, avec de multiples vagues de chaleur successives et de nombreux records de température battus dans plusieurs villes. Si ces extrêmes climatiques préfigurent ce qui pourrait devenir la norme d’ici la fin du siècle, ils interrogent quant à leurs conséquences sur la biodiversité.
Préoccupés par l’effondrement des populations d’insectes pollinisateurs, une centaine de scientifiques ont lancé vendredi une mise en garde contre l’usage futur des « biotechnologies génétiques » dans l’agriculture.
Une étude publiée dans Science met en avant l’intérêt de ne tondre les pelouses qu’une à deux fois par an en zone urbaine. Pour le bien des insectes.