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2024

Microsoft s'est engagé mardi à un achat record de crédits carbone auprès de 1PointFive, une filiale d'Occidental Petroleum, alors que les géants des technologies peinent à concilier leurs investissements massifs dans l'intelligence artificielle (IA) avec leurs objectifs environnementaux.L'accord porte sur 500.000 tonnes de crédits d'élimination du dioxyde de carbone (CDR) sur une période de six ans, d'après un communiqué de 1PointFive.
Volte-face au Royaume-Uni. La victoire écrasante du parti travailliste lors des législatives, avec 410 sièges remportés sur les 650 que compte la Chambre des communes, signe le retour sur la table d’une politique climatique audacieuse en matière de neutralité carbone et de désengagement du pays dans les projets pétro-gaziers.
Google a confirmé mardi dans un rapport que l’explosion des besoins en intelligence artificielle, et donc en puissance informatique, compromet ses efforts de réduction des émissions carbone.
La dernière centrale à charbon d'Outre-mer située en Guadeloupe va être convertie au 100% biomasse d'ici à 2025, a annoncé mercredi Albioma, producteur d'énergie renouvelable.La centrale du Moule va ainsi réduire de 87% ses émissions de gaz à effet de serre "par rapport à son fonctionnement actuel", indique Albioma dans un communiqué.
En plein Euro de football, le Shift Project présente ce 2 juillet un rapport intermédiaire sur « la décarbonation et la résiliation du rugby et du football professionnel et amateur ». 
Le mot « climat » n’apparaît ni dans les 22 propositions de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle de 2022, ni dans le programme de Jordan Bardella pour les législatives.En revanche, le terme « Empreinte carbone » a été introduit dans celui de Jordan Bardella Dans le débat public, il est abondamment utilisé par les candidats du RN pour rejeter toute contrainte, réglementaire ou budgétaire, introduite au nom de l’action climatique, et justifier une « écologie du bon sens » basée sur la systématisation de la préférence nationale.
Les émissions de gaz à effet de serre ont reculé de 2% en Suède en 2023, a indiqué mercredi l'Agence de protection de l'environnement, au moment où les experts craignent que la politique du gouvernement n'entraine un rebond à court terme.En mars, une agence chargée de l'évaluation de la politique climatique a estimé que la politique gouvernementale en matière de climat allait provoquer une augmentation des émissions de gaz en 2024 et que les objectifs annoncés pour 2030 ne seraient pas tenus.
L'opérateur français GRTgaz et la société énergétique norvégienne Equinor ont signé lundi un accord pour le développement d'un projet de transport et de stockage géologique de CO2 entre Dunkerque et le large de la Norvège."Ce projet vise à décarboner dès 2029 la zone industrialo-portuaire de Dunkerque et son territoire qui représente en France 20% des émissions de CO2 de l'industrie, soit plus de 16 millions de tonnes", ont-ils annoncé dans un communiqué.
Réduire les rejets de CO2 ne suffira pas pour limiter le réchauffement climatique à 1,5° voire 2°C: il faudra en éliminer quatre fois plus qu'aujourd'hui d'ici à 2050, grâce aux forêts mais aussi grâce à des technologies de pointe encore balbutiantes, selon un rapport de référence publié mardi.
Les émissions de dioxyde de carbone de la Chine ont diminué en mars pour la première fois depuis la réouverture de son économie après la pandémie de Covid-19, suggérant qu'un pic a pu être atteint, selon une étude. - 3% en mars 2024 par rapport à l'an dernier La baisse enregistrée en mars découle d'une augmentation des capacités en énergies renouvelables, qui ont couvert la quasi-totalité de la croissance de la demande d'électricité sur cette période, et aussi d'un effondrement de la construction.
La forêt française pourra-t-elle encore à l'avenir jouer son rôle de régulateur du climat ? Rien n'est moins sûr, alerte une étude estimant que la baisse amorcée de son rôle crucial dans le stockage du carbone "devrait se poursuivre dans les prochaines décennies".
C'est un équipement du quotidien aux impacts immenses: 2,3 milliards d'humains cuisinent encore en brûlant du bois, du charbon ou d'autres combustibles dans des systèmes rudimentaires et polluants, un enjeu sanitaire, social et climatique majeur qui sera au coeur d'un rendez-vous sans précédent organisé mardi à Paris.
Les ventilateurs moulinent: la deuxième usine islandaise de captage de CO2 dans l'air et stockage sous terre a été dévoilée mercredi par la start-up suisse Climeworks, qui décuple ainsi ses capacités et espère "éliminer" des millions de tonnes de ce gaz d'ici 2030.Mammoth est située à quelques centaines de mètres de sa petite soeur, Orca, usine pionnière en service depuis septembre 2021, au milieu d'un champ de lave solidifiée recouverte de mousse, à une demi-heure de la capitale Reykjavik.
Il y a peu, le gouvernement de Joe Biden a annoncé des limites très strictes concernant les émissions de CO2 des centrales à charbon.
Le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) planche depuis les années 1990 sur le stockage de CO2 en France mais il a redoublé d'efforts depuis que cette technique a intégré l'arsenal des solutions pour contenir le réchauffement climatique. Avant la publication en juin d'une cartographie des capacités françaises de stockage du CO2, Thomas Le Guenan, ingénieur de recherche au BRGM et expert de la gestion des risques pour le stockage géologique de CO2, explique à l'AFP le fonctionnement de ces potentiels réservoirs souhaités par le gouvernement.
Le gouvernement de Joe Biden a annoncé jeudi imposer à partir de 2032 de très strictes limites aux émissions de CO2 des centrales à charbon prévoyant de rester encore longtemps en marche, une mesure qui doit aider les Etats-Unis à tenir leurs engagements climatiques.Cette nouvelle réglementation, qui concerne aussi les centrales à gaz devant être construites à l'avenir, s'appuie sur les technologies de captage de carbone, encore très peu répandues mais sur lesquelles le gouvernement Biden mise gros.
La France espère convaincre les autres pays du G7 de s'engager sur une sortie du charbon à l'horizon 2030 même si les négociations sont pour l'instant "difficiles", a indiqué le gouvernement français jeudi avant une réunion des pays riches à Turin.
La France prévoit de tester dès début 2025 "quatre ou cinq projets de stockage de CO2" dans d'anciens gisements pétroliers pour accélérer la décarbonation de certaines industries qui peuvent difficilement éliminer leurs émissions de gaz à effet de serre, a annoncé jeudi le ministère délégué à l'Industrie.
L'Etat va mettre 12 millions d'euros sur la table pour financer une série d'études sur les moyens de réduire à l'horizon 2030 les émissions de carbone de la région de Dunkerque, première émettrice de CO2 d'Europe, a annoncé le gouvernement lundi.Le ministre de l'Industrie et de l'Energie, Roland Lescure, a signé lundi à Dunkerque la première convention ZIBaC (zones industrielles bas carbone), qui vise à financer ces études par le biais de l'Ademe, agence de la transition écologique.
La consommation de gaz chez les 10,7 millions de clients raccordés au réseau GRDF (qui n'inclut pas les grandes industries) a représenté en 2023 12% du bilan carbone de la France, selon des données communiquées jeudi par le principal distributeur gazier français. En 2023, la consommation de gaz chez les ménages et les entreprises (hors grands industriels) a généré 47,3 millions de tonnes d'équivalent CO2, selon le gestionnaire de distribution de gaz, qui a publié pour la première fois son bilan carbone et son plan de décarbonation.
Contrairement à la production d’électricité et à l’automobile, de nombreuses activités essentielles allant de l’industrie lourde au transport sur longue distance maritime, aérien et terrestre ne disposent aujourd’hui ni des technologies, ni des moyens financiers permettant de décarboner à l’horizon d’une ou deux décennies. Les technologies le permettant dans la production d’acier, de ciment, d’engrais, de verre ou le transport maritime et aérien ne sont souvent qu’à un stade expérimental. En outre, elles sont loin d’être toujours très performantes et ne sont pas compétitives économiquement sans subventions massives. Elles demanderont enfin de nombreuses années avant de pouvoir être diffusées à grande échelle. C’est ce que montre une étude récente du cabinet Deloitte.
Les émissions de gaz à effet de serre sur le territoire britannique ont baissé de 5,4% en 2023 par rapport à l'année précédente, selon des chiffres officiels provisoires publiés jeudi.Selon le ministère de la Sécurité énergétique et de la neutralité carbone, les émissions de gaz à effet de serre, dont l'accumulation dans l'atmosphère conduit au réchauffement climatique, se sont élevées à 384,2 millions de tonnes équivalent CO2 (MtCO2e) en 2023.
World’s fossil-fuel producers on track to nearly quadruple output from newly approved projects by decade’s end, report finds
"Le train des énergies renouvelables est en marche", mais la décarbonation du gaz prendra plus de temps que pour l'électricité, a estimé vendredi la directrice générale d'Engie Catherine MacGregor lors d'un échange avec la presse."Le train des énergies renouvelables est en marche, il est parti et honnêtement, je ne vois pas tellement comment on va l'arrêter", a déclaré la dirigeante, tout en soulignant que les trajectoires de décarbonation du gaz et de l'électricité n'allaient pas au même rythme.
La France, tirée par son électricité décarbonée, parvient à respecter son budget carbone, malgré des difficultés pour réduire les émissions des transports. Mais pas de quoi pavoiser au moment où le pays cherche comment doubler ses efforts pour s'aligner sur les objectifs européens renforcés. Le pays a émis 405 millions de tonnes d'équivalent e CO2 (Mt CO2e) en moyenne sur la période 2019-2023, selon la pré-estimation du Citepa, l'organisme indépendant chargé de l'inventaire de la pollution carbone française, qui a publié son rapport annuel jeudi.
Les énormes ferries exhalant leurs fumées d'échappement lors des demi-tours entre deux traversées de la Manche ne seront bientôt plus qu'un souvenir: les compagnies se préparent à l'électrification totale de ce couloir maritime en mettant en service leurs premiers navires hybrides.Après le premier ferry à propulsion diesel-électrique, Pioneer, qui circule depuis juin 2023 entre Calais et Douvres, la compagnie britannique P&O a lancé mardi son jumeau, Liberté. La moitié de sa flotte est désormais hybride.
C’est un des objectifs de l’accord de Paris sur le Climat : limiter l’impact du réchauffement climatique à un niveau bien inférieur à 2°, de préférence à 1,5 degré, par rapport au niveau préindustriel. Pour y parvenir, chaque citoyen devra, d’ici 2050, émettre au maximum 2 tonnes d’équivalent CO2 par an.
Un groupement d'entreprises comprenant les géants des hydrocarbures britannique BP et français TotalEnergies a annoncé vendredi avoir attribué 4 milliards de livres (4,68 milliards d'euros) de contrats pour un projet de construction d'une centrale électrique au gaz avec captage de carbone, une technologie controversée.
Un groupement d'entreprises comprenant les géants des hydrocarbures britannique BP et français TotalEnergies a annoncé vendredi avoir attribué 4 milliards de livres (4,68 milliards d'euros) de contrats à un projet de centrale électrique au gaz avec captage de carbone, une technologie controversée.
Le retard pris par l'humanité pour réduire ses émissions gaz à effet de serre, qui ont battu un nouveau record en 2023, a propulsé sur le devant de la scène des technologies d'élimination et de stockage du CO2 de l'atmosphère pour tenter de limiter le réchauffement climatique.Deux familles de méthodes différentes et parfois confondues existent: d'une part le captage et le stockage du carbone (CCS, en anglais) et d'autre part le captage direct dans l'air (DAC, en anglais), aussi appelé élimination du carbone.- Prévenir et guérir -
GRTGaz, le réseau public de distribution de gaz, avance dans son projet d'installer un réseau de transport du CO2 en France, en lançant un appel à intérêt auprès d'industriels de l'ouest de la France ayant un projet de captage, de stockage, de transport ou de valorisation du CO2.
A new record high, but is there light at the end of the tunnel?
Les émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie ont progressé de 1,1% l’an passé pour atteindre un niveau record de 37,4 milliards de tonnes, annonce ce vendredi 1er mars l’Agence internationale de l’énergie.
Les émissions mondiales de CO2 liées à l'énergie ont progressé de 1,1% en 2023 pour atteindre un niveau record, en raison notamment de la faible production hydroélectrique causée par les sécheresses et de la croissance chinoise, a indiqué vendredi l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Ces émissions énergétiques, qui représentent de l'ordre de 90% du gaz carbonique émis par les humains, ont ainsi augmenté de 410 millions de tonnes pour atteindre 37,4 milliards de tonnes l'an dernier, selon ce bilan de référence de l'AIE, basée à Paris.
Le gouvernement de Joe Biden a annoncé jeudi repousser à plus tard des mesures devant réduire les émissions de CO2 de centrales à gaz déjà existantes, annoncées l'année dernière mais qu'il dit désormais vouloir renforcer avant qu'elles soient adoptées.Cette décision risque toutefois de reporter la proposition de nouvelles règlementations plus strictes à après l'élection présidentielle de novembre.
Nouvel acte de rébellion contre la taxe carbone au Canada: la province de la Saskatchewan, dans le centre du pays, a annoncé jeudi arrêter de verser son dû au gouvernement fédéral, ce qui ouvre la voie à un nouveau conflit sur la politique climatique.La province, dirigée par des conservateurs, avait déjà annoncé en janvier qu'elle cessait de collecter la taxe auprès des consommateurs après qu'Ottawa a annoncé une exemption de celle-ci sur le mazout domestique, qui est principalement utilisé dans les provinces de l'Atlantique.
En cause, notamment : la faible production hydroélectrique causée par les sécheresses et la croissance chinoise. L'Agence internationale de l'énergie souligne toutefois un apport important des énergies « propres ».
Le patron du géant pétrolier américain ExxonMobil estime que pour parvenir à la neutralité carbone en 2050, les particuliers émetteurs de gaz à effet de serre doivent accepter de "payer le prix" et les politiques de lutte contre le changement climatique doivent être plus "agressives"."Le secret embarrassant dont personne ne parle est le coût de tout cela et qui est prêt à payer", a déclaré Darren Woods, patron du numéro un américain du gaz et du pétrole, dans un podcast du magazine Fortune.
Produire de l'énergie pour l'humanité, supprimer les émissions de CO2 pour la planète: plus de trente ministres de l'Energie ou du Climat se réunissent mardi et mercredi à Paris pour plancher sur le financement de la transition énergétique et climatique mondiale.
Les émissions de gaz à effet de serre du secteur énergétique européen ont chuté de 19% l'an dernier, sur fond de dégringolade du recours au charbon et au gaz, constate le groupe de réflexion Ember pour qui "le secteur énergétique de l'Union européenne est au milieu d'un changement monumental".
Désireuses de diminuer leur empreinte carbone et leur pollution numérique, quelques entreprises choisissent de faire subir un régime minceur à leur site internet, en réduisant leur nombre de pages et en enlevant des fonctionnalités."On avait un site internet, très lourd, un gros paquebot, avec des grands aplats, des photos haute définition....", rembobine Vincent Aubrée, directeur du pôle promotion marketing de Destination Rennes, qui a pour mission de valoriser l'attractivité de la capitale bretonne.
L'UE mise sur le captage du carbone pour rendre la transition climatique moins douloureuse: mais si les développeurs de ces technologies naissantes vantent une solution "incontournable" pour décarboner l'industrie, des ONG dénoncent un pari "dangereux" à l'efficacité incertaine.La Commission européenne l'assure: les législations déjà adoptées permettront d'approcher la baisse nette de 90% des émissions de gaz à effet de serre des Vingt-Sept visée en 2040.
L'UE mise sur le captage du carbone pour rendre la transition climatique moins douloureuse: mais si les développeurs de ces technologies naissantes vantent une solution "incontournable" pour décarboner l'industrie, des ONG dénoncent un pari "dangereux" à l'efficacité incertaine.La Commission européenne l'assure: les législations déjà adoptées permettront d'approcher la baisse nette de 90% des émissions de gaz à effet de serre des Vingt-Sept visée en 2040.
Le fonds activiste basé à Londres Bluebell appelle le géant britannique des hydrocarbures BP à revoir à la baisse des ambitions jugées "irrationnelles" sur les énergies propres, à quelques jours de la publication de ses résultats annuels.Bluebell voudrait notamment voir BP "ajuster sa stratégie" en abandonnant ses objectifs de réduction d'émission à moyen terme liées à l'utilisation de ses produits (Scope 3) pour "conserver une flexibilité de production en fonction de la demande en hydrocarbures", a expliqué lundi à l'AFP Giuseppe Bivona, partenaire de Bluebell.
Le gaz liquéfié (GNL), dans lequel TotalEnergies notamment investit beaucoup, a aussi un impact sur le réchauffement climatique, pouvant même parfois "saper le bénéfice d'une conversion du charbon vers le gaz", a mis en garde lundi la climatologue Valérie Masson-Delmotte, interrogée au Sénat.
Financer le remplacement d'un foyer de cuisson traditionnel par un système moins émetteur de fumée toxique et de CO2 dans les pays en développement peut permettre d'obtenir des crédits carbone, mais les bénéfices environnementaux revendiqués par ces projets sont largement surestimés, révèle une nouvelle étude.
Les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis ont diminué de 1,9% en 2023, selon un rapport mercredi du centre de recherche Rhodium Group, une baisse qui doit tripler pour que la première économie mondiale puisse tenir ses objectifs climatiques de l'accord de Paris.Les Etats-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial, se sont engagés à réduire de moitié leurs émissions d'ici 2030 par rapport à 2005. Pour l'instant, la baisse depuis 2005 est de 17,2%, selon cette estimation.
Les émissions de CO2 de l'Allemagne, première nation industrielle d'Europe, ont atteint leur niveau le plus bas depuis environ 70 ans, grâce au recul plus fort qu'attendu du recours au charbon, selon une étude publiée jeudi.Les émissions de gaz à effet de serre ont atteint l'an dernier 673 millions de tonnes de CO2, soit "le plus bas niveau depuis les années 1950" et nettement en baisse par rapport aux 746 millions de tonnes de 2022, selon les calculs du groupe d'experts Agora Energiewende.
En 2023, 673 millions de tonnes de CO₂ ont été émises en Allemagne, soit 46 % de moins qu’en 1990. Cette bonne nouvelle est à relativiser, explique “Die Zeit”, des pans entiers de l’industrie n’ayant toujours pas atteint leurs objectifs de décarbonation.

2023

L’alternative aux énergies fossiles se développe aujourd’hui en Europe et en Wallonie avec une économie dite biosourcée. De manière circulaire, avec un impact carbone bien plus faible que des équivalents pétro-sourcés, on peut construire des bâtiments, produire des vêtements, produire du bioplastique et de l’énergie, extraire des molécules pour la pharmacologie, des détergents, etc. Mais malgré un immense potentiel, l’économie biosourcée n’est-elle pas encore trop peu connue ? Au cœur de ses secteurs vertueux pour l’environnement, Bertrand Auquière, directeur de Valbiom, Gilles Crahay, fondateur de PolyPea et Charlotte de Bellefroid d’Isohemp étaient les invités de Tendances Première.
Een CO2-reductie met 55 procent tegen 2030 is nog veraf, volgens de jongste cijfers. Maar wie de energietransitie kostenefficiënt wil houden, moet ambitieuzer zijn.
Le Carbone est aujourd’hui au centre d’une interrogation existentielle sur l’évolution de notre environnement. Plutôt que répéter « décarbonez, décarbonez », ne faut-il pas « décarboxyder », c’est-à-dire dans un néologisme (que le lecteur voudra bien m’excuser) travailler à la diminution de l’émission dans l’atmosphère de gaz à effet de serre incorporant un atome de carbone (comme le CO2 et le CH4) ?
La COP28 récemment réunie à Dubaï a fait l’objet d’amples débats autour de la nécessité d’engagements des États de sortir des fossiles, en plus du respect des engagements de réduction des émissions de carbone pris après l’accord de Paris de 2015. Les militants du climat proposent de mettre en place des mécanismes contraignants ciblant les exploitations de charbon, de pétrole et de gaz dans tous les pays disposant de ressources, sans tenir compte des responsables des émissions directes de CO2 que sont les consommateurs de fossiles.
Selon l'Agence internationale de l'énergie, la demande mondiale de charbon a atteint 8,53 milliards de tonnes en 2023, un record historique.
Un accord sur une 'transition' hors des énergies fossiles a été trouvé ce 13 décembre entre plus de 200 États qui...
La quantité d'électricité à produire pour atteindre les objectifs fixés par l’UE en matière d’électro-carburants est incompatible avec une hausse conséquente du trafic.
Christian Henderson | Le mirage de la transition des États pétroliers du Golfe entrave les mouvements sociaux et la justice écologique au Moyen-Orient.
À la COP28, les négociations se poursuivent pour adopter une sortie ou une réduction des énergies fossiles. Les Émirats arabes unis, hôtes de la COP28, et les pays pétroliers défendent une version qui mise sur le captage et stockage de CO2 (CCS). Une technologie qui permet de capter le CO2 émis par une centrale à charbon ou une usine. Promise depuis quarante ans, elle peine toutefois à faire ses preuves. Qui plus est, elle s'avérerait bien plus coûteuse qu'un scénario basé sur les énergies renouvelables.
L'Union européenne (UE) doit réduire de 90% ses émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2040, a appelé mercredi le ministre danois du Climat, dans un entretien accordé à l'agence nationale Ritzau, en marge de la COP28 à Dubaï."J'espère qu'avec notre annonce, nous pourrons inciter d'autres pays à atteindre des niveaux de réduction d'au moins 90%", a déclaré Lars Aagaard.En avril, les Vingt-Sept avaient entériné la décision de sabrer de 55%, par rapport à 1990, leurs émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030.
Nestlé veut réduire ses émissions de CO2 dans le transport de marchandises grâce aux biocarburants, a-t-il annoncé mercredi, en précisant qu'il avait signé des accords avec Hapag-Lloyd, Maersk et CMA CGM, trois des plus grandes sociétés de fret maritime au monde. Avec ces accords, le géant suisse de l'alimentation entend utiliser "avec effet immédiat" des carburants à plus faibles émissions pour "la moitié" de ses besoins annuels de transport de marchandises, indique-t-il dans un communiqué.