les Ressources Minières

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2024

Le président du CD&V, Sammy Mahdi, a réitéré le soutien de son parti à la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires belges. "Nous ne devons pas penser de manière dogmatique", a-t-il déclaré mardi après-midi avant le début d'une session d'information du sommet de l'armée et de l'organisme de surveillance nucléaire FANC avec les autres partis de l'Arizona.
La Cour des comptes demande des investissements supplémentaires pour adapter les 18 centrales nucléaires, les barrages et le réseau de distribution d'électricité français au réchauffement climatique.Le changement climatique "est largement intégré dans les référentiels et normes de sûreté, mais l'adaptation fait peser des exigences nouvelles pour les exploitants", en particulier la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), gestionnaire de barrages, et EDF, souligne la Cour dans son rapport publié mardi.
L'énergéticien français EDF, opérateur du parc nucléaire outre-Manche, a annoncé mardi dans un communiqué qu'il "prévoit d'investir 1,3 milliard de livres (1,5 milliard d'euros, ndlr) supplémentaires dans les cinq centrales nucléaires en production du Royaume-Uni sur la période 2024-2026".

2023

Le dossier sur la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires en Belgique connaît un nouveau rebondissement.
Eau secours. Emmanuel Macron clôt ce jeudi 16 novembre sa visite d’État de deux jours en Suisse. Parmi les sujets à l'ordre du jour, le président de la République a abordé la question du Rhône dont il souhaite augmenter le débit. Refroidissement des centrales nucléaires, production hydroélectrique, irrigation, industrie, eau potable… les besoins français ne cessent d'augmenter alors que les effets du changement climatique pèsent déjà sur ce puissant fleuve.
Le coup d'État au Niger a fait craindre que Niamey ne réduise ses exportations d'uranium, ce qui risquerait d'entraver la production d'énergie nucléaire en France. À ce jour, la diversification des sources ainsi que des stocks conséquents devraient permettre d'atténuer toute perturbation à court terme. Mais l’approvisionnement en uranium soulève aussi des questions d’ordre géostratégique et éthique. Décryptage.
Jean-Marc Jancovici a souhaité répondre, via Facebook à la question qui lui est souvent posée : « Restera-t-il assez d'eau pour refroidir les centrales nucléaires dans un pays qui connaîtra de plus en plus de sécheresses ? » Il s'appuie pour cela sur une étude de la SFEN (Société Française d'Energie Nucléaire) et en tire des conclusions rassurantes qui méritent, à mon sens, quelques éclairages !
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) demande à EDF de lui transmettre "rapidement" des éléments permettant de justifier au regard de la sûreté l'hypothèse d'une prolongation des réacteurs actuels "jusqu'à 60 ans et au-delà", selon un avis publié mercredi.Alors que les centrales nucléaires françaises ont entre 30 et 40 ans de moyenne d'âge, le gouvernement veut prolonger le plus possible celles qui peuvent l'être, dans le cadre de son vaste plan de relance de la production d'électricité nucléaire.
Les centrales nucléaires françaises ont eu recours pendant un total de 24 jours à des dérogations liées à la température maximale des eaux qu'elles ont rejetées en 2022, année marquée par des épisodes de canicule, a indiqué mardi la division lyonnaise de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).Dans le détail, ces dérogations ont été mises en place neuf jours pour la centrale du Tricastin (Drôme), huit jours pour celle du Bugey (Ain), six jours pour Golfech (Tarn-et-Garonne) et un jour pour Saint-Alban (Isère).
Désireuse d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2060, la Chine va, outre le renouvelable, grandement miser sur le nucléaire. Avec une production qui va exploser dans les prochaines décennies, jusqu’à dépasser celle des États-Unis et la laisser loin derrière.
Il y a un "besoin d'anticiper" dès ces "prochains étés" la manière dont seront gérées les canicules et sécheresses dans les centrales nucléaires d'EDF, estime l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) dans une note publiée lundi.EDF a présenté le 13 avril au collège de l'ASN "son projet ADAPT d'adaptation de ses centrales nucléaires au changement climatique", explique le gendarme du nucléaire.Le réchauffement planétaire a, en effet, un impact sur la disponibilité en eau, ressource indispensable au refroidissement des réacteurs nucléaires.
S’ils se réjouissent de la sortie du pays du nucléaire, le 15 avril, les militants anti-atome restent particulièrement prudents, assure “Die Tageszeitung”. Car le démantèlement des centrales pose lui aussi de nombreuses questions.
L'irrigation, l'eau potable et le refroidissement des centrales nucléaires sont les principaux usages de l'eau douce en France, susceptibles de causer des conflits d'usages en cas de pénuries. Le point secteur par secteur.La France prélève en moyenne 33 milliards de mètres cubes d'eau par an sur les près de 208 milliards disponibles en moyenne chaque année dans les cours d'eau, les lacs ou les nappes, selon le ministère de la Transition écologique.
En France, environ 31 milliards de m3 d'eau douce sont prélevés chaque année dans la nature. Alors que la sécheresse hivernale en cours fait craindre un nouvel été marqué par des restrictions, se pose la question de la répartition des usages.
La prolongation des centrales nucléaires au-delà de 60 ans, espérée par EDF et par le gouvernement, passera-t-elle le test climatique ? L'Autorité de sûreté nucléaire exige que les impacts à long terme du changement climatique soient désormais inclus dans les documents que doit lui fournir l'énergéticien en vue de prolonger ses réacteurs. Partage de la ressource en eau, prévisions à la baisse de la production d'électricité, impacts sur les milieux naturels, tout autant d'enjeux qui devront être intégrés.

2022

Les Pays-Bas vont construire deux nouvelles centrales nucléaires dans le sud de leur territoire afin de réduire leur dépendance aux combustibles fossiles, a annoncé vendredi le gouvernement. Situées près de la ville de Borssele, elles devraient être achevées d'ici à 2035 et fournir jusqu'à 13% de l'électricité dont le pays a besoin, a déclaré le Premier ministre Mark Rutte. "En ajoutant le nucléaire à notre bouquet énergétique, nous réduirons les émissions de dioxyde de carbone liées à la production d'électricité et nous nous rendrons moins dépendants des pays d'où proviennent ces combustibles fossiles", a déclaré à la presse M. Rutte.
Plusieurs mouvements sociaux sont toujours en cours ce mercredi 12 octobre dans plusieurs centrales nucléaires françaises. Le mouvement sera rejoint jeudi par Gravelines, la centrale la plus puissante d’Europe de l’Ouest.
L’utilisation par Vladimir Poutine des centrales ukrainiennes comme moyen d’intimidation des Occidentaux met en lumière la faiblesse des conventions internationales qui protègent ces installations civiles.
Contrairement à ce que souhaite l’Allemagne, prolonger la durée de vie de deux centrales nucléaires du pays n’est pas acquis. Et c’est l’exploitant lui-même qui le dit.
Deux centrales du sud du pays, Isar 2 (près de Munich) et Neckarwestheim 2 (dans le Bade-Wurtemberg, sud-ouest), resteront en veille pour faire face à toute situation d’urgence énergétique.
L'Allemagne va maintenir en veille jusqu'au printemps 2023 deux centrales nucléaires, une volte-face jugée nécessaire pour faire face à d'éventuelles pénuries énergétiques. Le gouvernement d'Olaf Scholz, au sein duquel siègent des écologistes, revient ainsi sur la fermeture définitive des trois dernières centrales allemandes prévue pour fin 2022, selon le calendrier de sortie du nucléaire décidé par Angela Merkel après la catastrophe de Fukushima.
Alors que la crise énergétique frappe de plein fouet les ménages, le gouvernement a assuré qu'il veut s'attaquer à ces surprofits.
Les dérogations environnementales accordées aux centrales nucléaires du Blayais (Gironde), du Bugey (Ain), de Golfech (Tarn-et-Garonne) et de Saint-Alban (Isère) en cette période de sécheresse, qui devaient expirer le 8 août, ont été prolongées jusqu’au 11 septembre. Elles ont aussi été étendues à la centrale nucléaire du Tricastin (Drôme), a rapporté Actu-environnement mardi 16 août.
Les Etats-Unis ont appelé lundi la Russie à cesser toute activité militaire dans et autour des centrales nucléaires en Ukraine dont celle de Zaporijjia, la plus grande d'Europe et tenue par l'armée russe. "Nous continuons à appeler la Russie à cesser toutes ses opérations militaires dans et autour des centrales nucléaires ukrainiennes et à en redonner le contrôle à l'Ukraine", a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean Pierre, lors d'un point presse à bord d'Air Force One. "Combattre autour d'une centrale nucléaire est dangereux", a-t-elle dit tout en soulignant que, selon les données recueillies, "heureusement, nous n'avons aucune indication d'une augmentation anormale des niveaux de radioactivité".
Le secrétaire général de l'ONU a qualifié lundi de "suicidaire" toute attaque contre des centrales nucléaires et a appelé à l'arrêt des opérations militaires autour de celle de Zaporijjia, en Ukraine, afin que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) puisse y accéder.
Le chancelier allemand a évoqué, mercredi, la poursuite de l’exploitation des trois dernières centrales en activité, alors que l’Allemagne craint une crise énergétique, en partie privée du gaz russe.
La France fait face à son troisième épisode caniculaire de l'été, qui a débuté lundi, dans le sud du pays. La hausse du thermomètre pèse sur la production électrique nucléaire, très dépendantes de l'eau. Une dérogation temporaire aux règles environnementales avait déjà été accordée à quatre centrales en juillet. Faut-il, dès lors, s’inquiéter d'impacts écologiques et de la sécurité nucléaire ? Analyses croisées.
Une dérogation temporaire aux règles environnementales a été accordée pour permettre à trois centrales nucléaires de continuer à fonctionner "à un niveau minimal de puissance" pendant la canicule, ont indiqué EDF, RTE, l'ASN et le ministère de la Transition énergétique vendredi.
La sécurité de l’approvisionnement électrique plutôt que la protection des poissons. C’est en substance ce qu’a choisi le gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE en demandant à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) d’autoriser le fonctionnement de trois centrales nucléaires même en cas de dépassement de la température réglementaire des rivières situées à proximité, selon le média Montel. Cette décision intervient alors que la France traverse son pire épisode de canicule depuis 2003.
Les modèles employés jusqu’à aujourd’hui pour estimer ce risque comportent des failles, estime une équipe de chercheurs franco-québécoise.
Le retour attendu des hautes températures va mettre au défi l’incessant besoin de refroidissement par l’eau des réacteurs nucléaires. EDF assure être prêt, mais plusieurs centrales sont déjà sous haute surveillance.
D’ici 2027, l’Union européenne devra être capable de se passer totalement du pétrole et du gaz russes dont nous sommes pour l’instant profondément dépendants. C’est en tout cas l’objectif du plan REPowerEU, présenté récemment par la Commission européenne.
Le commissaire européen au marché intérieur Thierry Breton a appelé samedi, sur l'antenne de la radio France Inter, le gouvernement allemand à "sortir de l'idéologie" et à prolonger d'"un an ou deux" l'exploitation des trois dernières centrales nucléaires du pays, dont la fermeture est prévue d'ici à la fin de cette année.
Pas à pas, la Russie ne cesse de diminuer ses livraisons en gaz vers l’Europe. Pour l’Agence internationale de l’énergie (AIE), cela pourrait se terminer par une fermeture complète du robinet. Son patron distille ses conseils pour éviter le pire.
L'entreprise estime que la démolition des cinq réacteurs nucléaires les plus anciens et les investissements supplémentaires dans Doel 4 et Tihange 3 comportent des risques financiers trop importants.
Les ouvriers mesurent la radioactivité de chaque objet, chaque mètre carré de mur... Vingt-cinq réacteurs nucléaires sont en train d’être démantelés en Allemagne. À Rheinsberg, le chantier dure depuis déjà vingt-sept ans.
Le chef de l'AIEA se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, a annoncé l'instance onusienne mardi. "Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, cité dans un communiqué de l'AIEA.
La construction et la mise en service de ces centrales prennent trop de temps, et nous n'avons pas ce temps-là. Par Naomi Oreskes le 1 février 2022 dans Scientific American. L'exercice a donné lieu à de bonnes et de mauvaises nouvelles. La mauvaise nouvelle est qu'il sera très difficile de maintenir l'augmentation de la température en dessous de 2° C et qu'il sera probablement impossible de la maintenir en dessous de 1,5°. La bonne nouvelle est que ce défi peut être relevé si nous mettons en œuvre un large éventail de solutions, dont les plus importantes sont la suppression des subventions aux combustibles fossiles et la fixation d'un prix élevé pour le carbone.
Aujourd’hui, les centrales nucléaires reposent sur des infrastructures informatiques, si bien qu'on s'expose à un type de "danger" inaugural : les cyberattaques. Ce danger ne constitue pas un argument définitif à l’encontre de l’énergie nucléaire — loin de là ! Mais dans un contexte où le spectre de la guerre plane sur l'Europe, il semble légitime de garder toutes les dérives à l’esprit.
Un avion-cargo russe transportant du combustible nucléaire destiné à deux centrales nucléaires slovaques est arrivé mardi en Slovaquie, même si ce pays membre de l'UE a fermé l'espace aérien aux avions russes, a annoncé le ministère slovaque de l'Economie.
Après un premier article « Les centrales nucléaires vont-elles résister au changement climatique ? » , voici notre deuxième article sur la sûreté par Michaël Mangeon, chercheur associé EVS – Environnement Ville Société (UMR 56000).
Cependant, au fur et à mesure que la question du mix électrique prend de l’ampleur dans le débat public, est régulièrement posée la question légitime de savoir si les centrales nucléaires sont compatibles avec notre futur climat. En effet, comme tout projet d’infrastructure, il se doit d’être compatible avec les conditions climatiques qu’il pourra rencontrer au cours de sa durée de vie.
EDF a annoncé avoir décelé un nouveau problème sur ses centrales nucléaires alors que la France compte déjà 11 centrales à l’arrêt sur un parc de 56 réacteurs. Il est probable que l’entier du parc français soit contaminé par cette défaillance. Ainsi EDF pourrait devoir arrêter, à tour de rôle, chacun des 56 réacteurs pour un minimum de 5 semaines. Ce problème avait déjà été décelé lors de contrôles effectués tous les 10 ans.
Le gouvernement assouplit les règles d’émission de carbone des centrales à charbon pour fournir la France en électricité cet hiver en raison d’un parc nucléaire diminué par les maintenances et les soucis techniques.
La Commission européenne a annoncé, mercredi, la création d'un label "vert" controversé reconnaissant, sous certaines conditions, la contribution des centrales nucléaires et au gaz à la lutte contre le changement climatique. Certains pays-membres ont toutefois critiqué la mesure, notamment l’Autriche.
Les centrales nucléaires européennes de nouvelle génération nécessiteront un investissement de "500 milliards d'ici à 2050", estime le commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton, qui juge "crucial" d'ouvrir la labellisation verte au nucléaire dans le cadre de la transition énergétique.
La nuit du réveillon de Nouvel an, la Commission a discrètement dévoilé un projet de labellisation verte pour les centrales nucléaires et à gaz. L’objectif de cette proposition : faciliter le financement d’installations contribuant à lutter contre le changement climatique. L’Europe est-elle vraiment en train de dérouler le tapis vert au nucléaire et au gaz naturel ?
La Commission européenne a dévoilé, dans la nuit de vendredi à samedi, un projet de labellisation verte pour les centrales nucléaires et à gaz, qui vise à faciliter le financement d'installations contribuant à lutter contre le changement climatique.
La Commission européenne a dévoilé, dans la nuit de vendredi à samedi, un projet de labellisation verte pour les centrales nucléaires et à gaz, qui vise à faciliter le financement d'installations contribuant à lutter contre le changement climatique.

2021

"La fermeture de toutes les centrales nucléaires est inévitable", plaident jeudi dans un communiqué Greenpeace, Bond Beter Leefmilieu et Inter-Environnement Wallonie.
Le pic du prix du gaz, les problèmes des centrales nucléaires françaises, la quasi absence de production éolienne et les températures froides provoquent de nouveaux records de prix sur le marché de l'électricité.
Le marché européen de l'énergie est très tendu. En plein hiver, l'Allemagne ferme des centrales nucléaires et des centrales thermiques. Les prix grimpent. Au milieu d’un prix record de l'électricité en Europe, l'Allemagne ne changera pas ses plans et fermera trois réacteurs nucléaires et 11 centrales électriques au charbon en décembre. Le pays perdra 6,4 GW de capacité de production.
Des démarches vont être prises pour la construction de ces deux centrales dont on ignore encore l'emplacement. L'activité de celle de Borssele, située à une quinzaine de kilomètres de la frontière belge, va être prolongée.
On les appelle les invisibles du nucléaire, ils travaillent dans les zones les plus radioactives des centrales. Plongée dans l’univers des centrales nucléaires françaises.
La fermeture des centrales nucléaires belges se fera "parce que c'est dans l'accord de gouvernement" et parce que les conditions ne seraient pas réunies pour une éventuelle prolongation, a déclaré vendredi le président du PS, Paul Magnette, en marge de la COP26 à Glasgow.
Les deux partis qui sont le plus partisan de l’option nucléaire, VVD et CDA, souhaitent au moins que huit centrales nucléaires soient construites.
Dimanche soir, Elia et la Ministre fédérale de l'énergie Tinne Van der Straeten ont annoncé les résultats de la vente aux enchères du mécanisme de rémunération de capacité (CRM) : il y a plus de capacités disponibles qu’il n’en faut pour arrêter nos centrales nucléaires en Belgique d'ici 2025. Et ce, à un coût inférieur aux estimations initiales. Plus rien ne s’oppose à la sortie du nucléaire. L’accord de gouvernement doit être respecté.
L'énergie nucléaire, telle qu'actuellement déployée, ne répond pas, sur le plan environnemental, éthique et sanitaire, aux principes du développement durable, estime dans un avis le Conseil supérieur de la Santé (CSS). L'organe y juge également que l'arrêt des centrales nucléaires est possible en Belgique pour un coût relativement limité, y compris en termes d'impact CO2.
Avec un parc vieillissant et le désastre de l’EPR, industriels et politiques misent sur les petits réacteurs modulaires. Une illusion, selon Stéphane Lhomme, directeur de l’Observatoire du nucléaire.
La Russie, la Chine, les Etats-Unis, le Canada, la Grande Bretagne se sont déjà lancés dans des projets de centrales SMR (Small Modular Reactors), autrement dit des mini-centrales nucléaires.