les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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nucléaire civile

2022

Il s’agit de l’une des six pièces-clés dans la mise en œuvre de ce programme, un grand projet scientifique international auquel la Russie prend toujours part, malgré les sanctions internationales imposées après l’invasion de l’Ukraine.
Un deuxième cadre d'EDF a demandé à se constituer partie civile dans l'enquête menée par un juge à Marseille sur des soupçons d'obstacles au contrôle des inspecteurs de la sûreté nucléaire à la centrale de Tricastin (Drôme), a-t-on appris vendredi auprès de son avocat. Selon une copie de sa demande de constitution de partie civile, "il apparaît de manière incontestable que les responsables de cette centrale ont" en juillet 2018 "tout fait pour faire obstacle au travail d'inspection" de cet homme âgé de 51 ans, alors ingénieur au service d'inspection interne d'EDF depuis 2015 et qui se fait appeler Victor dans la presse pour garder son anonymat.

2021

Incendies, inondations, sécheresses à répétition. Malgré un monde instable dû au chaos climatique, l’État mise tout sur le nucléaire. Pas de panique, grâce à un « guide pratique pour les habitants d’un territoire contaminé », on surmontera en douceur tout accident. Une politique glaçante, estime notre chroniqueuse Celia Izoard.
Le plan d'investissement "France 2030" que doit présenter mardi Emmanuel Macron devrait être l'occasion pour le chef de l’État de lever le voile sur ses intentions concernant le développement de petits réacteurs nucléaires. La puissance de ces réacteurs ne dépasse par les 300 mégawatts, contre plus de 1.000 MW pour les réacteurs nucléaires classiques, mais plusieurs peuvent être regroupés pour l'augmenter. Ils sont conçus pour être fabriqués en série en usine puis transportés sur le lieu de leur exploitation.
dans La Terre au carré, l’émission d’environnement de France Inter. Mardi 4 mai, Émilie Massemin a présenté l’article de Reporterre sur les SMR, des réacteurs de petite taille. Les industriels du nucléaire espèrent en effet sauver leur filière avec ce nouveau concept.
Les industriels du nucléaire espèrent sauver leur filière avec un nouveau concept, les SMR, des réacteurs de petite taille. En France, EDF vante la puissance de son modèle. Pourtant, plusieurs études pointent le gouffre financier et l’aberration écologique que constitue cette technologie.
Le 26 avril 1986 survenait la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, le 11 mars 2011 celle de Fukushima… C’est d’une certaine manière ce double anniversaire des 35 et 10 ans qui invite ces jours-ci à se poser la question : qu’a-t-on appris de ces événements ?
Youtube, Twitter, Linkedin... Les pro-atome envahissent les réseaux sociaux grâce à une kyrielle d’opérations de communication lancées par l’industrie électronucléaire. Leur argument phare : la faible empreinte carbone du secteur. Leur méthode : construire une opposition factice entre scientifiques (pronucléaires) et militants (anti).
Le Groenland, plus grande île du monde, aux prises avec l'urgence climatique, vote ce mardi pour élire son Parlement. Un scrutin aux allures de référendum sur un projet minier controversé et la diversification économique de la plus grande île du monde, confrontée au réchauffement accéléré dans l'Arctique.
L'annonce de la consultation publique sur l'impact environnemental du maintien jusqu'en 2025 des centrales nucléaires de Doel 1 et 2 a été publiée ce vendredi au Moniteur. Une moitié de l'Europe pourra participer, du 15 avril au 15 juin prochains, à ce qui constitue la plus grande enquête publique jamais réalisée en Belgique. Ce devoir n'avait pas été réalisé en 2015 lorsque le gouvernement Michel avait prolongé les deux réacteurs de dix ans pour garantir la sécurité d'approvisionnement du pays en électricité, alors que la Belgique s'était engagée en 2003 à désactiver ces deux réacteurs à cette échéance.
Entre les retards de déploiement des sources d’énergies renouvelables et la fermeture programmée des centrales à charbon, le mix énergétique français risque d’être un peu léger pour les hivers à venir, prévient RTE, qui préconise en compensation de prolonger la durée d’utilisation de plusieurs réacteurs nucléaires.
Bordant l’océan Arctique, la mer de Kara en Russie renferme une vingtaine de sous-marins et réacteurs nucléaires de l’époque soviétique. Aujourd’hui, la Russie désire régler la situation, mais cette décharge nucléaire représente de plus en plus un risque pour les eaux arctiques.

2020

Sécuriser les provisions nucléaires était un des points principaux à l'agenda de la ministre de l'Energie Tinne Van der Straeten (Groen). Et elle a lancé la réflexion sur une externalisation du fonds Synatom, cette filiale d'Engie Electrabel chargée de gérer ces provisions. Aujourd'hui, un pas a été fait dans cette direction par Synatom puisqu'un nouveau fonds, baptisé Belgian Nuclear Liabilities Fund (BNLF), a été créé. Cette sicav à actionnaire unique sera supervisée par la Commission des provisions nucléaires (CPN) et l'Etat belge conservera un certain contrôle puisque ses deux représentants au sein du conseil de Synatom exerceront le même rôle pour BNLF.
Une ministre verte à la manœuvre de la prolongation de deux réacteurs nucléaires? La situation est cocasse mais bien réelle. En effet, outre le dossier de prolongation des centrales après 2025, celui du fonctionnement des unités de Doel 1 et 2 jusqu'à cette date butoir fait partie des tâches dont doit s'acquitter la ministre fédérale de l'Énergie, Tinne Van der Straeten.
Engie Electrabel envisage de construire quatre nouvelles centrales gaz-vapeur pour couvrir dès 2025 les besoins en électricité, écrit samedi L’Echo. Elles représenteraient ensemble une capacité de 2.950 mégawatts (MW), soit l’équivalent des quatre centrales nucléaires de Doel.
Les citoyens belges paieront les conséquences de l’arrêt du nucléaire. Nos politiques auront-ils le courage de prolonger l’exploitation de Doel 4 et Tihange 3, et ainsi de privilégier la décision la plus favorable aux citoyens et à la Belgique de demain ?
En juillet dernier, en marge de résultats semestriels fortement impactés par la crise du coronavirus, l'énergéticien français Engie avait annoncé à grand fracas entamer un "recentrage stratégique" afin de se concentrer sur le développement des énergies renouvelables et des infrastructures.
Lundi, Engie a annoncé, en interne, l'arrêt de ses investissements pour la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires en Belgique. Une décision qui agite évidemment le monde politique. Le sujet est clivant et la situation pour le moins complexe.
Le premier réacteur nucléaire a été mis en service en 1954. Pourtant, près de 70 ans plus tard, aucune solution de stockage définitif n'a encore été mise en place pour accueillir les déchets les plus radioactifs. Ceux-ci représentent plus de 60 000 tonnes rien qu'en Europe, dont un quart se trouve en France. C'est ce que révèle le premier Rapport mondial sur les déchets nucléaires, réalisé par une dizaine d'experts internationaux, en partenariat avec la fondation Heinrich-Böll et Les Verts européens.