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2024

La décision, soutenue par vingt Etats sur les Vingt-Sept lors d’une réunion des ministres de l’environnement à Luxembourg, ouvre la voie à l’entrée en vigueur de ce texte destiné à enrayer la perte de biodiversité. Il avait déjà été validé par les eurodéputés.
La loi sur la restauration de la nature a été adoptée aujourd’hui par le Conseil de l’UE, validant ainsi la dernière étape nécessaire pour que cette loi devienne réalité. La Coalition belge pour la biodiversité réagit avec soulagement. Les yeux se tournent à présent vers les États membres, dont la Belgique, qui devront maintenant développer leurs plans nationaux de restauration afin de mettre en œuvre les objectifs fixés par la loi.
Après de longues tractations au Parlement et plusieurs mois de blocage, la loi sur la restauration de la nature a été définitivement adopté.
Le Conseil (États membres) de l'Union européenne a adopté définitivement, lundi à Luxembourg, le projet de règlement européen sur la restauration des écosystèmes dégradés. Ce vote a été soutenu par 20 États membres représentant 66,07% de la population de l'UE, soit une majorité qualifiée. Seuls six pays ont voté contre. La Belgique s'est abstenue. Le vote met fin à deux années de dure controverse politique au sein de l'Union européenne. Projet phare du Pacte vert européen dans son volet biodiversité, cette législation fixe aux États membres l'objectif de restaurer au moins 20% des écosystèmes dégradés (terres et des mers) de l'UE d'ici 2030 et l'ensemble des écosystèmes ayant besoin d'être restaurés d'ici 2050.
La loi controversée sur la restauration de la nature pourrait finalement être adoptée après un revirement inattendu de l’Autriche. Le vote du Conseil de l’Union européenne est prévu ce 17 juin. Adoptée par le Parlement européen à l’issue de débats houleux, la loi sur la restauration de la nature vise à enrayer la destruction des écosystèmes naturels. Cependant, ses détracteurs, comme les Pays-Bas, estiment qu’elle constitue une entrave pour les agriculteurs et les entreprises.
Il y a quelques années, le Programme pour l’Environnement des Nations Unies (PNUE) a soigneusement élaboré un plan pour sauver la Planète. Les émissions de carbone planétaires devaient être réduites de 7,5% ou 8% par année dès 2020. Si ce plan avait été appliqué, elles auraient aujourd’hui baissé d’un tiers. Le PNUE note malheureusement à la fin de 2023 que les émissions de carbone ont atteint un nouveau record, même si celles de l’Europe diminuaient déjà à la fin de 2022. Il est devenu évident que ces objectifs ne seraient pas atteints et que chaque année nous ajoutons à l’atmosphère trop de CO2. D’autres plans de sauvetage de la biosphère ont donc été développés.
Le bras de fer se poursuit autour de la loi européenne sur la restauration de la nature. Le texte rassemble contre lui des élus d’extrême-droite et d’une partie de la droite, ainsi que de nombreux lobbys. Alors qu’un accord semblait entériné, le retrait surprise de la Hongrie bloque l’adoption du texte.
Les ministres de l’Environnement de plusieurs Etats membres ont manifesté lundi leur mécontentement envers ceux qui, actuellement, bloquent l’adoption définitive de la loi européenne sur la restauration de la nature, un important texte du Green Deal portant sur la biodiversité. Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil (Etats membres) étaient parvenus en novembre dernier à un accord provisoire, qui a été validé en plénière du Parlement le mois dernier.
Pascal Canfin, président français de la commission de l’Environnement du Parlement européen, s’inquiète du blocage de la loi sur la restauration de la nature. Et affirme disposer de « beaucoup de signaux » concernant une action en sous-main d’Alexander De Croo contre la loi.
La coalition pour la biodiversité tire la sonnette d’alarme. En dépit d’un large plébiscite populaire, d’un accord négocié avec soin en trilogue et d’un vote favorable au Parlement européen, le pouvoir exécutif des États membres pourrait s’opposer à l’adoption de la loi sur la restauration de la nature lors du vote au Conseil des ministres du 25 mars 2024. Sans raison valable, le soutien de la Hongrie ne serait en effet plus assuré, mettant ainsi la loi en péril. Les récentes allégations concernant les prises de positions partisanes au sein de la Présidence belge du Conseil sont alarmantes. La Belgique doit prendre à cœur son rôle de médiateur impartial et efficace au sein de l’Union européenne.
Les Européens et les gouvernements belges sont toujours divisés sur la loi européenne sur la restauration de la nature. Le vote approche et certains agissent en sous-main pour faire capoter le dossier. Le nom du Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) est cité. Un sondage du WWF suggère que la population en veut pourtant davantage.
Après une âpre bataille politique qui a contribué à l’édulcorer, la législation a fait l’objet d’un accord mi-novembre entre les négociateurs du Parlement européen et des Etats membres. Un compromis entériné ce mardi 27 février en plénière.

2023

La coalition belge pour la biodiversité se dit vendredi déçue que de nombreuses exceptions figurent dans l’accord...
Ce 9 novembre, les institutions européennes se sont réunies pour décider d’un accord préliminaire sur le texte final de la loi européenne sur la restauration de la nature. La Coalition Biodiversité a des sentiments mitigés : « Nous sommes heureux que l’accord reprenne tous les écosystèmes qui étaient initialement inclus dans le projet de loi, mais les articles sont affaiblis par rapport à la proposition de la Commission européenne et à la position du Conseil. Il est décevant de constater que de nombreuses exceptions ont été incluses et que les obligations des États membres sont trop souples. »
Le Parlement européen vote ce mercredi sur un texte important pour l’avenir du continent : la loi sur la restauration de la nature, texte phare du Pacte vert de l’Union européenne, joue son va-tout dans l’hémicycle de Strasbourg. Son objectif : la neutralité carbone en 2050 et ramener 20% des terres et des mers dégradées du Vieux Continent à leur état d’origine d’ici à 2030. Mais la loi est mal partie. La droite européenne, Parti populaire européen en tête, y est opposée, face à la gauche, aux écologistes et au centre qui dénoncent un calcul électoraliste avant le scrutin européen de l’an prochain. Jusqu’ici le débat a été explosif, et sans compromis en vue.
En session plénière ce mercredi 12 juillet, les eurodéputés ont validé le texte du Pacte vert européen destiné à «enrayer la perte de biodiversité et remettre la nature en bonne santé».
Le Parlement européen a adopté à une courte majorité, mercredi en plénière, une position commune sur le projet...
La loi sur la restauration de la nature, texte emblématique du Pacte vert de l'UE, a finalement été adoptée mercredi malgré l’opposition de la droite et de l’extrême droite, qui dénonçaient une menace pour la souveraineté économique européenne.
Un vote décisif avait lieu ce mercredi 12 juillet au Parlement européen. Les eurodéputés devaient se prononcer sur la restauration de la nature, une loi très critiquée par la droite et l'extrême-droite qui ont bien failli réussir à la faire enterrer. Finalement, c'est à une courte majorité que les députés européens ont adopté le texte, sauvant au passage le Green Deal. Place désormais aux négociations en trilogue.
Tous les députés francophones ont voté pour la proposition législative sur la restauration de la nature. Y compris Benoît Lutgen (Les Engagés) qui s'est écarté de la ligne dure tracée par son groupe, le Parti populaire européen. Du côté des élus néerlandophones, les élus CD&V, la libérale Vautmans et le Vlaams Belang ont voté contre.
Au coeur d'une bataille au Parlement européen, le projet de loi de l'UE sur la restauration de la nature vise à enrayer le déclin de la biodiversité et à mieux contrer le changement climatique en imposant de réparer les écosystèmes abîmés.Pollution, urbanisation, exploitation intensive... selon Bruxelles, plus de 80% des habitats naturels dans l'UE sont dans un état de conservation "mauvais ou médiocre" (tourbières, dunes et prairies tout particulièrement), et jusqu'à 70% des sols sont en mauvaise santé.- Réparer les écosystèmes abîmés -
Un vote sur la loi de restauration de la nature aura lieu au parlement européen la semaine prochaine. Des activistes et des personnalités de la société civile soulignent l’importance du rôle que peuvent jouer certains des eurodéputés belges et les invitent à orienter leur voix en faveur de la préservation de la biodiversité.
Le sort du projet de loi européen pour la restauration de la nature est en suspens. Le 27 juin, les eurodéputés de la commission Environnement n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur ce texte visant à rétablir 20 % des écosystèmes terrestres et marins dégradés d’ici à 2030 et 100 % d’ici à 2050.
Le texte arrivera en plénière en juillet avec la proposition de le rejeter.
Tous les samedis, « Le Soir » publie la chronique d’un ou plusieurs membres de Carta Academica. Cette semaine : le projet de règlement sur la restauration de la nature donne lieu à une foire d’empoigne au Parlement européen où les eurodéputés conservateurs ne sont pas parvenus à rejeter un projet qui met notamment en cause l’agriculture intensive. Or, cette mesure phare du Pacte vert pour l’Europe est essentielle pour garantir sur le long terme la qualité de l’environnement et atteindre la neutralité climatique.
Bruxelles, le 20 juin 2023 - Lors du Conseil “Environnement” de l'UE de ce matin, la majorité des ministres européen·nes de l'environnement ont marqué leur accord avec la proposition de compromis pour une loi européenne sur la restauration de la nature. Le texte a été approuvé par 20 États membres - représentant 66,13% de la population de l'UE. La Belgique s'est abstenue. Cette proposition de compromis avait été préparée par la Suède, qui assure actuellement la présidence du Conseil de l'UE. Et maintenant ? C’est cette proposition de compromis qui sera présentée comme point de départ du Conseil de l'UE lors des discussions ultérieures pour la loi européenne sur la restauration de la nature qui auront lieu avec la Commission européenne et le Parlement européen.
Les ministres de l'Environnement des 27 États membres de l'UE ont trouvé mardi à Luxembourg une approche commune.
Le vice-président de la Commission européenne en charge du Pacte vert a appelé le Conseil de l'UE à réfléchir.
N'ayant pas réussi à se mettre d'accord, les ministres belges de l'Environnement se sont donc abstenus de soutenir cette loi européenne mardi.
La ministre flamande de l'Environnement Zuhal Demir représentera la Belgique ce mardi à Luxembourg pour la réunion du Conseil (États membres) qui doit permettre aux ministres de l'UE d'adopter une position sur le règlement controversé de restauration de la nature, en vue des négociations avec le Parlement européen.
Les instituts de sciences naturelles de six pays d’Europe se sont dits mardi "très inquiets" du possible rejet de la proposition de règlement européen pour la restauration de la nature, qui sera mise au vote ce jeudi à Strasbourg en commission de l’Environnement du Parlement européen.
Certes, certaines mesures s’avéreront couteuses. Mais, comme on l’a vu par le passé, une politique communautaire ambitieuse porte ses fruits. Alors que l’Escaut figurait parmi les fleuves les plus pollués du continent dans les années 80, la qualité de ses eaux s’est améliorée du fait que les États riverains ont été obligés d’atteindre un bond écologique des eaux en 2015.
Après des claquements de portes et d’interminables palabres, les gouvernements belges semblent sur le point de trouver un accord à propos du règlement européen sur la restauration de la nature.
Le vrai débat n’est pas de savoir si la restauration de la nature est une bonne affaire ou non. Personne ne conteste la valeur de la restauration de la nature. La vraie question est de savoir s’il faut imposer une loi européenne uniforme sur la restauration de la nature à 27 États membres différents avec des régions très diverses.

2022

La positive attitude. À Montréal (Canada), où se tient la 15ème conférence mondiale (COP15) sur la biodiversité, un terme fait florès : « nature positive » (c’est en anglais). Tour d’horizon d’un concept-parapluie qui abrite le meilleur comme le pire.
À l’heure des mégafeux et des inondations, de l’érosion du littoral, de la pollution des sols, est-on capable de restaurer des écosystèmes ? Une telle action n’est-elle envisageable qu’en faisant le deuil de la pureté ? Réponse avec l’écrivaine Lucie Taïeb et la philosophe Marion Waller.
L’économie régénérative renvoie à l’idée d’un renouvellement des ressources, mais aussi à une capacité de réparation ou de restauration de la nature (« restorative economy »). Dans un dossier consacré à la biodiversité réalisé il y a quelques années, nous rappelions que l’idée de réparer la nature n’était pas nouvelle, et qu’elle faisait déjà l’objet de nombreuses pratiques dans le domaine de l’ingénierie écologique.
À la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, des voix se sont élevées pour demander l’arrêt des propositions phares de l’Union européenne en matière de biodiversité et de durabilité. « L’heure est venue de produire plus de nourriture, pas moins ». Si l’on laisse de côté l’idée erronée selon laquelle la production durable serait synonyme de rendements plus faibles et de moins de nourriture, ces arguments négligent totalement le fait que les plus grandes menaces pour la sécurité alimentaire sont le changement climatique et la perte de la biodiversité.
Pendant les 30 dernières années, nous nous sommes principalement concentrés sur la protection et la sauvegarde des zones naturelles. C'était et ce sera toujours crucial, mais cela ne suffit plus pour inverser la tendance à la perte de biodiversité en Europe", a annoncé d'emblée Virginijus Sinkevicius, Commissaire chargé de l'environnement, des océans et de la pêche.
La COP15 qui s'est achevée vendredi à Abidjan s'est engagée à "accélérer la restauration d'un milliard d'hectares de terres dégradées d'ici à 2030", indique la déclaration finale publiée à l'issue de la conférence.
La 2e édition du rapport de l’ONU « Perspectives foncières mondiales », en appelle à remettre les terres en bon état. Les techniques d’agriculture non durable vont dégrader une surface équivalente à celle de l’Amérique du Sud d’ici le milieu du siècle avertit l’ONU.
L’IRSN présente ci-dessous une appréciation des risques, pour les différentes installations du site, associés à la perte des alimentations électriques externes ainsi qu’à la perte totale de ces alimentations, situation qui pourrait survenir rapidement en l’absence de restauration de l’alimentation électrique du site du fait de l’épuisement des réserves de carburant des groupes électrogènes.
Les forêts tropicales comptent parmi les meilleurs outils au monde pour lutter contre le dérèglement climatique et le recul de la biodiversité : elles emmagasinent d’énormes quantités de carbone, abritent des milliers de plantes et d’animaux et constituent le lieu de vie des peuples autochtones qui les entretiennent. Toutes ces raisons éclairent l’engagement pris lors de la COP26 de Glasgow fin 2021, par plus d’une centaine de dirigeants mondiaux, de mettre fin à la déforestation d’ici à 2030.

2021

Une telle diminution réduirait non seulement les émissions de CO2 et serait donc bénéfique pour le climat, mais aurait également d'autres avantages pour l'environnement. Par exemple en termes d'azote (et d'impact sur les eaux souterraines et les eaux de surface), de pollution de l'air, d'espace disponible, de santé ou de restauration de la biodiversité.
La Nouvelle coalition Biodiversité formule, dans un manifeste, les priorités de la Stratégie Nationale de la Biodiversité et du Plan d’Action que notre pays doit présenter prochainement. La protection et la restauration de la biodiversité doivent être des priorités à tous les niveaux politiques.
Les « solutions fondées sur la nature » désignent depuis les années 2010 les projets et initiatives qui cherchent à bénéficier à la fois à la biodiversité et au bien-être des sociétés humaines. Elles font appel à la nature dans les projets d’aménagement, qu’ils soient urbains, périurbains ou ruraux, tout en assurant la préservation ou la restauration de la biodiversité.
les incendies hors des zones tempérées sont nettement plus préoccupants, selon Marc Dufrêne. "Pour tout ce qui relève de la taïga, en Sibérie, ou des forêts tropicales qui brûlent, notamment en Amazonie et sur l’Equateur, les conditions de restauration sont extrêmement plus difficiles parce que l’habitat n’est pas du tout habitué à subir ce type de dévastation sur des surfaces très importantes",
L’écologie de la restauration vise à faire retourner à leur état originel des écosystèmes dégradés. En apparence simple pratique issue de l’écologie scientifique, elle recèle des enjeux politiques importants.
D’après le PNUE et la FAO, face à la triple menace du changement climatique, de la pollution et de la perte de la nature, le monde doit respecter son engagement de restaurer au moins un milliard d’hectares de terres dégradées au cours de la prochaine décennie. Cette surface représente la superficie de la Chine.
dix produits en plastique représentent à eux tout seuls 75 % de l'ensemble de ces déchets. On retrouve en grande majorité des produits issus de la nourriture à emporter, comme des sacs plastiques à usage unique, des bouteilles en plastiques, des emballages et des récipients pour contenir des repas, ou des couvercles en plastique (ainsi que des équipements de pêche).
Audrey Azoulay livre ce qu'elle perçoit comme "l’ADN" de l’Unesco : lier le développement scientifique à la dignité humaine. Elle exhorte les États à mettre l’éducation "plus haut dans leur agenda", pour soutenir la paix "sur le long terme", comme par exemple à Mossoul, où l'Unesco œuvre à la restauration d’un patrimoine détruit par la guerre.
Le 5 juin est la Journée mondiale de l’environnement, le thème de cette année est “restauration des écosystèmes”. À cet effet, l’ONU a lancé la Décennie pour la restauration des écosystèmes. Un objectif qui demande des moyens. Et le temps presse. « La perte de biodiversité coûte déjà à l’économie mondiale 10 % de sa production chaque année....
À l'occasion de la Journée de l'environnement, ce 5 juin, l'ONU lance la Décennie pour la restauration des écosystèmes. Un objectif qui demande des moyens. Quelques jours auparavant, un rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) alertait l'insuffisance des financements destinés aux solutions fondées sur la nature. Les investissements devraient tripler d'ici 2030, et les auteurs appellent le secteur privé à multiplier les efforts, alors que plus de 80 % des financements sont actuellement issus du secteur public.
Depuis le début de la révolution industrielle, la relation de l'humanité avec la nature a été célébrée comme un triomphe. Grâce à l'innovation, nous illuminons les pays, construisons des industries et voyageons outre-mer à une vitesse sans précédent. Grâce aux progrès de l’agriculture, un nombre record de personnes sont nourries, et dans certaines régions du monde, l’espérance de vie a plus que doublé. De plus en plus, cependant, cela ressemble à une victoire à la Pyrrhus.

2020

Depuis longtemps, les êtres humains croient que planter des arbres, n'importe quel arbre, n'importe où, serait bénéfique, quelque chose que Mère Nature réclamerait à cor et à cri et qui pourrait même résoudre notre crise climatique. Les initiatives de plantation d'arbres ne cessent de se multiplier, au point qu'il serait impossible de toutes les citer.