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jeunesse

2024

Jeune et engagée, Salomé Saqué est l’un des nouveaux visages de la lutte contre le dérèglement climatique. Portrait de cette journaliste française de 29 ans qui a réussi à se faire entendre "malgré son âge". "Je suis jeune, donc mon avis compte moins". A 29 ans, la journaliste Salomé Saqué décrit les inégalités que vivent les générations Y et Z dans son livre "Sois jeune et tais-toi – Réponse à ceux qui critiquent la jeunesse" aux éditions Payot. Difficultés pour acheter un bien immobilier, isolement social à cause des confinements, et surtout, menace climatique qui pèse sur nos épaules, elle est devenue en quelques années l’une des représentantes des jeunes et de leurs convictions dans les médias.
Cinq ans environ après la mobilisation des jeunes pour le climat, une grande lassitude s’est installée qui a débouché sur une perte de confiance à l’égard du politique, affirme Adelaïde Charlier, une des porte-parole du mouvement.
L’initiative «pour l’avenir» des jeunes socialistes, déposée ce jeudi à la Chancellerie fédérale avec plus de 140 000 signatures, instaurerait un impôt de 50% sur les successions dépassant un montant exonéré de 50 millions de francs pour un «financement socialement équitable de la protection du climat»

2023

Contrairement à une idée reçue largement répandue, les personnes les plus âgées d'entre nous se sentent concernées par l'avenir de notre planète et ce qui attend les jeunes générations.
Les jeunes, parce qu’ils cumulent les précarités, sont surexposés aux débâcles contemporaines. Ils demeurent pourtant très peu écoutés. Une conférence au Mucem se tient sur le sujet lundi 20 novembre.
Dans un monde qui s’urbanise à toute vitesse, où les plus jeunes passent de moins en moins de temps dehors, les bénéfices d’une connexion des enfants à la nature font aujourd’hui l’objet de nombreux travaux de recherche et sont de mieux en mieux documentés. L’activité en plein air y parait non seulement bénéfique pour la santé des plus jeunes, mais aussi pour leur bien-être global. Les jeux et les moments passés dans la nature – à observer, courir, chanter, écouter et sentir – favorisent également une relation différente à soi-même et à l’environnement.
Le pape François a rappelé jeudi, devant des jeunes, "l'urgence dramatique" du réchauffement climatique, plaidant pour une "écologie intégrale" au deuxième jour de sa visite à Lisbonne pour les Journées mondiales de la Jeunesse (JMJ).
Le Forum des Jeunes va passer un peu plus d’une semaine à New York. Voici ses principales missions.
Un groupe de 12 enfants et adolescents demandaient la révision d’une loi qu’ils estimaient insuffisante face au réchauffement. La justice a déclaré leur plainte irrecevable.
Mettre en pause la restauration de la nature ne met pas en pause ses dégradations mais place une bombe à retardement dans les mains de ma génération.
L’urgence des enjeux climatiques a-t-elle bien été saisie par tous les adolescents et jeunes adultes ? Pas si sûr, contrairement à l’idée reçue. Ce n’est pas exclu non plus. Éléments de réponse avec le sociologue Laurent Lardeux, spécialiste de la jeunesse.
Seize jeunes, âgés de 5 ans à 22 ans, accusent cet Etat du Nord-Ouest américain d’avoir enfreint leur droit constitutionnel à un « environnement propre et sain ». Un contentieux climatique dont l’issue pourrait faire date.
La planète brûle et les jeunes stressent, parfois plus que leurs parents. Pour tenter de régler ce que l’on nomme l’éco-anxiété, le psychologue Yvan-Marc Juillard, auteur d’un livre* sur la question, donne ses conseils.
ENTRETIEN avec Anne-Laure Delatte, chercheuse en économie au CNRS et autrice de “L’État de droit, Rebâtir l’action publique” (éditions Fayard) paru en en avril 2023. Alors que la défiance envers l’Etat quant à sa capacité à construire des solutions aux crises sociales et écologiques est grandissante, l’autrice pose la question : à qui profite l’Etat ? Une invitation à mieux comprendre la répartition actuelle des moyens, pour mieux les “récupérer”, au service de l’intérêt général.
Un an après les premiers « discours de désertion » dans les grandes écoles, des diplômés bifurqueurs rappellent leur refus de rejoindre « les rangs privilégiés d’une guerre menée par le monde marchand contre le vivant ». La tribune ci-dessous a été rédigée par certains membres du discours d'Agro ParisTech en 2022, les collectifs Les Désert'heureuses et Vous N'êtes Pas Seuls. Elle revient sur le phénomène de désertion des diplômé·es dans un contexte de guerre sociale ravivée par la réforme des retraites.
Ce que l’on pourrait appeler le moment Darmanin en France est la suite logique du moment Trump aux Etats-Unis et du moment Bolsonaro au Brésil. Ce sont les premières occurrences d’une longue séquence encore à venir où responsables politiques et industriels ne se contentent plus de faire le choix cynique d’une économie capitaliste injuste contre celui d’une plus que nécessaire économie écologique et sociale ; acculés par la situation, les uns après les autres déclarent ouvertement la guerre à tous les mouvements écologistes qui, d’une manière ou d’une autre, tentent de préserver une Terre habitable pour toutes et tous.
Un avenir juste, équitable et durable pour tous ne sera pas possible sans l'implication des 1,2 milliard de jeunes dans le monde, a déclaré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, dans une note politique publiée jeudi.
Une majorité d’étudiants franciliens jugent tout à fait prioritaire la lutte contre le réchauffement climatique. Beaucoup y participent en adaptant leurs comportements, et parfois en rejoignant des mouvements collectifs. Leur niveau de préoccupation ne se reflète pourtant pas toujours dans leurs pratiques, en raison d’un manque d’information et, surtout, de la précarité et des arbitrages économiques auxquels ils sont contraints.
Sur les bords de la Loire, le réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux a arrêté de livrer ses megawattheures pour accueillir une armée de travailleurs au service d'un chantier gigantesque: l'heure est au "check-up complet" pour lui permettre de produire dix ans de plus, avec le changement climatique en ligne de mire. Dans la salle des machines, grande cathédrale où l'électricité jaillit de la vapeur au bout du turbo-alternateur, les opérateurs s'affairent au milieu d'échafaudages et de pièces monumentales désossées.
La médiatisation des diplômés des Grandes écoles optant pour une carrière alternative correspond-elle vraiment à une tendance de fond à la fuite vers des aspirations professionnelles écologiques et sociales ? Une enquête récente sur ces étudiants d'élite fournit des éléments de réponse. En 2022, des cérémonies de remise des diplômes – à Agro ParisTech, HEC, Polytechnique, ou encore Sciences Po Paris – ont été le théâtre de nombreuses prises de parole étudiantes ...
Black Mountains College in Wales aims to prepare students for life during a planetary emergency. The college is this year offering a radical new degree course designed to prepare students for a career in times of climate breakdown, and build a generation with the innovative skills and ideas required to tackle the crisis.
Cauchemars, difficulté à se projeter dans le futur, angoisses, etc. Les émotions négatives liées aux problèmes écologiques présents ou futurs touchent de nombreuses personnes. En Bourgogne-Franche-Comté, certaines nous livrent...
Après avoir consulté plus de 1000 jeunes de 16 à 30 ans en Fédération Wallonie-Bruxelles, le Forum des Jeunes publie son Avis sur l’éducation à l’environnement dans l’enseignement secondaire.

2022

L’année 2022 restera marquée par des discours engagés lors des cérémonies de remises des diplômes. Une situation qui place les établissements de formation en gestion face à leurs paradoxes.
Avec son livre Lettre à un·e jeune écologiste, Karel Mayrand tente de montrer qu’on peut transformer le monde même si on ne détient aucun pouvoir et que les gens qui le détiennent nous ignorent. Ce livre «ouvre une fenêtre sur les nombreuses aventures d’une vie militante» et l’auteur «aborde de front les thèmes de l’écoanxiété et de la difficulté de porter l’avenir du monde sur ses épaules, tout en offrant un optimisme contagieux».
Maja Pfund et Cyrill Hermann sont les premiers à représenter la jeunesse suisse à la COP15 sur la biodiversité à Montréal. La première étudie l’écologie des plantes à l’Université de Berne, le second est militant écologiste zurichois à la Grève pour le climat. Après deux semaines de négociations intenses, ils reviennent sur cette expérience mitigée et leur espoir que la voix des jeunes suisses soit reconnue par la délégation nationale.
C’est le moment de se réconcilier avec la nature et les jeunes sont notre meilleure source d’espoir. Ces mots, ce sont ceux du Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres à l’ouverture du Forum mondial de la jeunesse sur la biodiversité qui a eu lieu en début de semaine à Montréal. Et cela, les 300 jeunes du monde entier présents l’ont bien compris.
En début de semaine, à Montréal (Canada), le Forum mondial de la jeunesse sur la biodiversité a précédé la 15ème conférence des Nations unies (COP15) sur le même sujet. Portraits de trois participant·es engagé·es pour la sauvegarde du vivant.
Un matin de pandémie, au lendemain de la publication d’un énième rapport dévastateur du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), Jacob Pirro s’est sérieusement posé la question. Le militant pour la justice climatique assistait à un cours de philosophie de l’Université de Montréal sur Zoom. Le cours portait sur les paradoxes de Zénon. Alors qu’il peinait à y voir toute application concrète, il a été happé par un autre paradoxe : « Mais qu’est-ce que je fais ici à étudier les paradoxes de Zénon alors que le monde brûle ? 
La Déclaration des droits de l’enfant fêtera son centenaire en 2024. Face à la complexité des crises qui nous font face, l’héritage d’Eglantyne Jebb, autrice de la Déclaration, et son insistance sur la nécessité de placer les droits de l’enfant en priorité dans l’agenda de la communauté mondiale doivent être plus que jamais pris en compte.
Marc-André Selosse, président de BioGée, professeur au Muséum national d’histoire naturelle, et Gilles Bœuf, administrateur de BioGée, professeur à Sorbonne Université appellent à ce que les bases d’écologie et des sciences de l’évolution soient mieux enseignées à l'école.
Lors de la journée de remise des diplômes de la promotion 2022 de l’EDHEC – la Graduation Afternon session -, un discours a retenti par sa teneur et sa sincérité. Tout juste alumna, Anne-Charlotte Sauveplane invite ses camarades à l’action, à l’anticipation et à construire le monde de demain. Ce discours fait écho aux interventions de fin d’année à AgroParisTech, à HEC ou encore à Sciences Po. Vous pouvez retrouver le discours sur ce lien.
Plus de la moitié des répondants à une enquête sur l’éco-anxiété chez les jeunes déclarent ressentir de la colère en réaction aux crises écologiques et aux angoisses qu’elles provoquent. Un sur deux reconnaît à leurs parents un rôle dans la sensibilisation aux enjeux environnementaux tandis que le tiers d’entre eux « datent le début de leur préoccupation au lycée », selon les auteurs d’une étude sur l’éco-anxiété chez les jeunes pour la Fondation Jean Jaurès et le Forum français pour la jeunesse...
avec Sébastien Jodoin, (Associate Professor, McGill University), Tendances et obstacles judiciaires des procès climatiques menés par la jeunesse • Paul Mougeolle (Doctorant et juriste pour Notre affaire à tous et Global Legal Action Network), Le procès des « jeunes portugais » devant la Cour européenne des droits de l’Homme • Clémentine Bladon (Avocate), Le combat des jeunes contre le Traité sur la Charte de l’énergie à Strasbourg • Hélène Leleu (Avocate), Présentation du recours en inaction environnementale mené par les parents d’élèves drômois et le collectif « parents pour la planète » • Laure-Marine Vioujard (coordinatrice diplomatique World's Youth for Climate Justice (WYCJ)) et (sous réserve) Émilie Gaillard (Maîtresse de conférences en droit privé, Sciences Po Rennes, Chaire Normandie pour la Paix), L’activisme des jeunes pour une demande
Quelques centaines de personnes au maximum ont manifesté, vendredi 23 septembre, dans plusieurs grandes villes.
Cette lettre écrite avec cœur ouvre une fenêtre sur les nombreuses aventures d’une vie militante. Il aborde de front les thèmes de l’écoanxiété et de la difficulté de porter l’avenir du monde sur ses épaules, tout en offrant un optimisme contagieux. Un essai sur la crise climatique qui parle des stratégies pour défaire les idées reçues et la désinformation. Karel Mayrand est un auteur et un acteur connu dans le milieu écologique. Il livre ici un témoignage poignant. Une œuvre remplie de citations coup de poing qui encourage les jeunes à continuer leur combat ou à s’engager pour défendre leur écosystème.
Depuis la publication en 2015 de Comment tout peut s’effondrer (Seuil), Pablo Servigne est devenu une figure majeure de la collapsologie, cette « science appliquée et transdisciplinaire de l’effondrement ». Avec Gauthier Chapelle, agronome et biologiste, ils publient L’Effondrement (et après) expliqué à nos enfants et à nos parents (Seuil, 2022), petit livre grand public mettant en scène des échanges intergénérationnels autour de ce sujet angoissant. Une manière de rétablir le dialogue alors que le clivage entre la génération Greta Thunberg et les « boomers » ne fait que s’accentuer.
[...] Cela fait de la jeunesse africaine l'un des acteurs non étatiques les plus importants du continent en termes de nombre : il faut donner la priorité à leurs capacités intrinsèques, à leur créativité, à leurs compétences et à leurs talents pour mener l'action en faveur du climat tout en débloquant des perspectives pour eux.
L’éco-anxiété, cette angoisse vis-à-vis de l’avenir de notre planète, a gagné la moitié de la jeunesse, dans une dizaine de pays, dont la France. Cette détresse du XXIe siècle reflète des périls environnementaux grandissants. Mais quels sont les mécanismes qui l’alimentent ? France 24 est allée à la rencontre de jeunes éco-anxieux et de psychologues ou thérapeutes confrontés à l’explosion du phénomène.
Gênés par leur cursus en désaccord avec leurs valeurs, des élèves de Polytechnique, HEC ou Centrale appellent à un réveil écologique. Mais les établissements manquent encore de moyens pour y parvenir.
Le collectif « Tous dehors » a signé le 13 juin 2022 une tribune « Nous avons besoin de politiques ambitieuses pour permettre à chacun de vivre des expériences de nature dès le plus jeune âge ». Outre l’importance de ces expériences de nature pour les apprentissages, en notamment de la biodiversité, de nombreuses recherches récentes soulignent l’importance du contact avec la nature — parc urbain ou milieux naturels tels que forêt, plage … — pour la santé humaine, en particulier celle des enfants (Beery & Jørgensen, 2017). Des études épidémiologiques s’accumulent et révèlent le lien entre l’environnement et la santé. Ainsi, une étude abondamment relayée a montré l’influence positive sur la réduction du stress[1] du temps d’exposition à la nature, concluant à la préconisation d’une pratique libre et choisie de deux heures par semaine dans la nature (White et al., 2019).
Dans la Corne de l’Afrique, des filles âgées d’à peine douze ans sont contraintes de se marier et de subir des mutilations génitales féminines (MGF) à des « taux alarmants », alors que la sécheresse la plus grave depuis quarante ans pousse les familles au bord du gouffre, a mis en garde mercredi le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).
Démissionner, bifurquer, déserter... pour ne plus alimenter la machine, pour ne pas contribuer à la destruction du monde en cours. C’est le choix que certains ingénieurs ont fait : trahir ce à quoi leurs études les prédestinaient.
En 2021, un article du Lancet révélait que, sur 10 000 jeunes de 16 à 25 ans interrogés dans dix pays, la moitié déclarait que le changement climatique les rendait tristes, anxieux, en colère, impuissants et coupables.
Un groupe de huit diplômés de l’école d’ingénieur AgroParisTech a prononcé un discours très remarqué lors de la dernière cérémonie de remise de diplôme de leur école. Dans leur discours, ils dénoncent les jobs « destructeurs », les « ravages sociaux et écologiques » en cours et la « guerre » au vivant et à la paysannerie menée par l’agro-industrie. Si le complexe agro-industriel est directement pointé du doigt, de nombreux concepts et notions sont aussi critiqués – et mis entre guillemets gestuellement -, comme « défis », transition « écologique », ou énergies « vertes ».
Professeure à l'Université de Lausanne, Julia Steinberger est aussi co-autrice du dernier rapport du Giec. Elle revient sur une journée d'enseignement qui l'a marquée: la jeunesse vit mal son impuissance face au climat. Les adultes ont une lourde part responsabilité. Avec son accord, nous reproduisons son texte, déjà publié sur son blog.
Elle fait partie des experts du GIEC. Coautrice du volet 3 sur les solutions contre le réchauffement climatique, économiste et ingénieure, Yamina Saheb a répondu aux questions de WE DEMAIN.
« À partir d’un exemple, vous montrerez que l’innovation peut aider à reculer les limites écologiques de la croissance ». L' Atécopol et Enseignant·es pour la planète analysent ce sujet du bac SES, qui montre l’inadéquation de l’enseignement des crises environnementales, et les biais de programmes empêchant de penser la sobriété et la sortie d’un modèle croissantiste et productiviste.
Il y a trois ans, nous faisions paraître notre premier appel, signé par plus de 7 000 collègues. Nous, enseignant·e.s, pour la plupart fonctionnaires d’un service public voué au bien de tous et toutes, formé·es à l’esprit critique et résolument à l’écoute de la science et de ses avancées, nous avions déclaré que nous refusions dorénavant de dispenser un enseignement éloigné des conclusions auxquelles étaient déjà arrivés des milliers de scientifiques : enseigner la croissance et la productivité sans enseigner les ravages constatés de l’extractivisme, enseigner l’urbanisation sans enseigner la catastrophe de l’artificialisation des sols et la raréfaction des terres agricoles, enseigner comme si des changements individuels de comportements pouvaient suffire à changer la donne.
Bruxelloise de 25 ans, Nadège Carlier est doctorante en sciences politiques à l’UCLouvain. Elle a également été désignée comme déléguée ONU francophone du Forum des jeunes, organe officiel de représentation de la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles, à la COP 26 qui s’est tenue à Glasgow. Nous l’avons rencontrée pour qu’elle nous fasse part de son expérience.
L’écoanxiété, cette angoisse à l’égard du changement climatique dont témoignent de plus en plus de jeunes, n’est pas une maladie. Ce trouble appelle plutôt à une « réponse sociale », selon la pédopsychiatre Laelia Benoit.

2021

Quels sont les véritables enjeux en terme d'énergie & climat ? Quel sera notre avenir à court et moyen terme ? La jeunesse face à la surconsommation compulsive ? les modèles de réussites ?
Adélaïde Charlier, coordinatrice de "Youth for Climate", admet qu’il "y a eu des avancées" mais regrette qu’il n’ait pas été décidé d’arrêter complètement les subsides aux énergies fossiles et au charbon
La plupart des pays ont manqué d'"ambition" pour mettre en œuvré l'accord de Paris sur le climat, a regretté lundi l'ancien président américain Barack Obama, appelant à "faire plus" et louant la "colère" de la jeunesse sur la crise climatique.
À mi-parcours de la cruciale COP26, l'ancien président américain Barack Obama, en déplacement à Glasgow, a regretté lundi le manque d'ambition de la plupart des pays et salué la "colère" de la jeunesse.
La Conférence de la jeunesse (COY) réunit des jeunes âgés de moins de 30 ans, venus du monde entier pour s'accorder sur des demandes à transmettre aux dirigeants.
Issus de tous les continents, sept militants sont devenus membres du «groupe consultatifs de la jeunesse sur les changements climatiques» au sein de l’organisation internationale, afin d’accélérer l’action internationale.
From October 28-31, 2021, public hearings has been held in the 'Court for Intergenerational Climate Crimes' (CICC) against various transnational corporations ...
La COP 26 qui se tient du 31 octobre au 12 novembre sera un rendez-vous important pour l’avenir des futures générations d’adultes. Confrontées à de plus en plus de vagues de chaleur, d’inondations et de feux de forêts, et submergées d’informations sur une planète en pleine crise, celles-ci voient leur santé mentale décliner. Témoignages.
Le mouvement "Jeunesse pour le climat" appelle les jeunes à retourner dans les rues de Louvain-la-Neuve et Gand le 22 octobre prochain, lors de la Grève mondiale du climat, un jour où les jeunes du monde entier s'arrêtent pour le climat, indique samedi le mouvement.
La détérioration irréversible de l’environnement nimbe d’une ombre d’apocalypse et obscurcit l’avenir de l’humanité. Elle suscite chez une partie de la jeunesse occidentale un désarroi qui tient à la fragilité des institutions de l’Europe et à la pusillanimité de ses dirigeants.
Pour cette « génération climat », l’année 2018 marque un tournant. Les 15-25 ans s’éveillent à la lutte écologiste : grèves scolaires, marches mondiales et actions de désobéissance civile à grande échelle se multiplient. Désormais, plutôt que de servir un capitalisme mortifère, ils refusent les places qui leur sont promises et partent en quête de modes de vie alternatifs. Tout en s’inventant de nouvelles vies professionnelles en accord avec leurs convictions, ils investissent les ZAD, construisent des cabanes et cultivent des potagers dans une joyeuse mais radicale remise en cause du « système » qui détruit la planète.
Assez de jolies promesses et de mots vides de sens: des ambassadeurs de la jeunesse ont appelé mardi les dirigeants du monde à "se réveiller" et à prendre au sérieux la crise climatique, à un mois de la cruciale conférence climat COP26.
Les jeunes du monde entier sont descendus dans la rue vendredi pour exiger une action urgente pour éviter un changement climatique catastrophique, lors de leur plus grande manifestation depuis le début de la pandémie de COVID-19.
À cinq semaines de la COP26, des milliers de jeunes militants écologistes se mobilisent, vendredi dans plusieurs dizaines de pays, afin de réclamer une action urgente contre le changement climatique en accentuant la pression sur les gouvernements. Des manifestations sont prévues dans plus de 1 500 sites à travers le monde. Il s'agit de la mobilisation la plus importante depuis la fin 2019.
L’anxiété des jeunes liée aux changements climatiques est un phénomène global, partagé par la jeunesse de pays du Nord comme du Sud de la planète. C’est le résultat inquiétant d’une vaste étude de l’Université de Bath (UK), approuvée pour publication dans la revue The Lancet Planetary Health et relayée par Le Monde. Les auteurs ont collecté des données auprès de 10.000 jeunes gens de 16 à 25 ans. Les jeunes ont été invités à intervalle régulier à compléter des enquêtes, entre le 18 mai et le 7 juin 2021. Ils étaient au courant de la durée de l’enquête, mais n’en connaissaient pas le sujet.
La crise climatique est une réalité et les phénomènes climatiques extrêmes se multiplient aussi en Belgique. Chaque dixième de degré compte et nous devons tout faire pour limiter les dégâts. Après un an et demi, le mouvement climatique est de retour avec une énorme marche pour le climat à Bruxelles. Plus de 80 organisations de tout le pays y participent dont Greenpeace, le CNCD-11.11.11, Oxfam, syndicats, mouvements de jeunesse et citoyens, ...
Nearly 60% of young people approached said they felt very worried or extremely worried. More than 45% of those questioned said feelings about the climate affected their daily lives. Three-quarters of them said they thought the future was frightening. Over half (56%) say they think humanity is doomed.
À l'occasion de la présentation de son documentaire "Animal" au Festival de Cannes, France 24 reçoit Cyril Dion. Le réalisateur français aborde la question écologique, alertant le public sur les problématiques de biodiversité et d'extinction de masse. Il s'intéresse également à la prise de conscience de la "génération climat" et de la jeunesse, qu'il met en avant dans son film avec deux jeunes activistes.
Du CP à la classe terminale, les enjeux environnementaux sont au cœur de nombreux enseignements et sont aussi traités par les approches interdisciplinaires et transversales. Ils sont complétés par des actions et des projets pédagogiques qui visent à informer les élèves mais aussi à leur permettre de s'engager pour un développement durable.
Un des arguments des tenants du revenu de base (ou revenu universel) consiste à souligner son ouverture aux jeunes de moins de 25 ans, permettant ainsi de lutter contre leur précarité. En effet, aujourd’hui, le revenu minimum (RSA) n’est pas ouvert aux moins de 25 ans.
Fousseny Traore, ou quand la jeunesse malienne parle d'écologie et de paix.

2020

2019

Foutu pour Foutu, c’est l’histoire de deux jeunes paumés de 25 ans qui sortent des études supérieures, qui n’ont pas commencé à construire leur vie qu’on leur dit que le monde s’effondre. Quand on sait que notre modèle de société actuel est en bout de course, qu’on a conscience du désastre écologique en cours, des risques d’effondrements et des enjeux que nous réserve l’avenir... Comment est-ce qu’on vit ça ?
Trois groupes identifiés Si les médias dépeignent l’opposition classique entre « une jeunesse » idéaliste et « des adultes » inconséquents sur la question climatique, il convient de réaffirmer que LA jeunesse, en tant que groupe social homogène et uniforme, est une illusion.

2017

Le climat de demain se décide aujourd’hui. Preuve à l’appui avec trois scénarios climatiques pour imaginer ce qui résultera de nos choix énergétiques actuels. Compte tenu de l’inertie du stock, il faut de vingt à trente ans, le temps d’une génération, pour que la baisse des émissions impacte significativement le stock. C’est pourquoi le réchauffement climatique est une affaire générationnelle. Examinons d'abord le cas de la génération née en 2020, durant l’épidémie de Covid....