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2024

Des espèces sont au bord de l'extinction, un déclin notamment favorisé par des phénomènes comme le braconnage et le réchauffement climatique.
Victime notamment de la déforestation, le plus petit éléphant de la planète est désormais classé «en danger» dans la liste des espèces présentant un risque d’extinction de l’Union internationale pour la conservation de la nature.
La disparition de ces écosystèmes capables de piéger le CO₂ serait “catastrophique pour la nature et les populations”, alertent les experts qui ont mené la toute première évaluation des mangroves dans le monde.
La liste rouge des espèces menacées en France s’allonge ce mercredi 3 avril en intégrant pour la première fois des champignons, victimes de la destruction des habitats naturels et du changement climatique.
Des associations environnementales ont toutefois regretté, jeudi, que certains changements effectués en 2019 par le président républicain aient été laissés intacts.
L’économiste Mathias Reynaert observe, dans une tribune au « Monde », que la loi européenne sur la restauration de la nature adoptée le 27 février est moins ambitieuse qu’il n’y paraît. La politique de protection n’explique en rien le verdissement progressif de l’Union européenne.
Une étude pionnière publiée ce jeudi 11 janvier montre que plus de 80 % des espèces d’arbres endémiques d’une des forêts tropicales les plus riches du monde sont menacées d’extinction, principalement à cause de la déforestation.

2023

L’Union internationale pour la conservation de la nature a mis à jour ce lundi 11 décembre, à la veille de la fermeture de la COP28, sa «liste rouge» des espèces menacées dans le monde.
La liste rouge mondiale des espèces menacées mise à jour lundi met en lumière les conséquences du réchauffement...
"Garder 1,5°C en vie": menacées de disparition par la montée des océans ou ravagées par les ouragans, les petites nations insulaires sont des personnages centraux à la COP28 dans la bataille pour obtenir la sortie des énergies fossiles.
Selon une nouvelle analyse, il y a environ 2 millions d’espèces menacées dans le monde, soit le double de ce qui a précédemment été estimé par l’ONU.
Face aux risques climatiques, des millions d'Américains ne trouvent déjà plus d'assureurs privés. En cause, des coûts devenus exorbitants et l'abandon par les assureurs de certaines zones. Or selon un rapport de la First Street Foundation, cette situation pourrait s'aggraver. 39 millions d'habitations, soit près d'un quart du pays, ne paient pas encore le coût des risques actuels.
Une étude publiée ce lundi 28 août dans «Nature Climate Change» analyse pour la première fois l’avenir des stations de ski européennes en prenant en compte le coût environnemental de la production de neige artificielle.
À Nouméa, M. Macron parlera-t-il des requins ? Après plusieurs attaques, la capitale de l’archipel a en effet décidé de procéder à des « prélèvements », au grand dam des associations écologistes.
Des chercheurs de plusieurs universités et instituts de recherche néerlandais et belges, parmi lesquels la VUB, ont averti que plusieurs espèces animales sont menacées de disparition en raison des effets des retombées d'azote dans la nature. Entre autres, les insectes à métamorphose complète comme les papillons, les abeilles et les mouches. "L'augmentation des dépôts d'azote d'origine humaine modifie la qualité des sols dans les écosystèmes naturellement pauvres en nutriments", ont expliqué les scientifiques. En Flandre, ce phénomène est principalement dû à l'agriculture. "En conséquence, les conditions de vie des espèces végétales et animales changent également. Les plantes qui bénéficient d'un surplus d'azote deviennent souvent dominantes, ce qui conduit à l'enherbement des landes ou à la présence de ronces dans les zones boisées."
Des chercheurs de plusieurs universités et instituts de recherche néerlandais et belges, parmi lesquels la VUB, ont averti mardi que plusieurs espèces animales sont menacées de disparition en raison des effets des retombées d'azote dans la nature. Entre autres, les insectes à métamorphose complète comme les papillons, les abeilles et les mouches.
Une ONG allemande appelle les consommateurs et les distributeurs à veiller à ne pas importer de fraises issues de la sécheresse. Il s'agit de fruits qui poussent dans le sud de l'Espagne et qui sont irrigués à partir de puits clandestins. La région pourrait bientôt légaliser ces puits, mettant en danger l'une des plus grandes zones humides du continent, le Parc de Doñona, qui se retrouve au cœur d’une véritable guerre de l’eau.
La "maladie hémorragique épizootique", qui peut être mortelle chez les bovins, a été détectée pour la première fois en Europe: l'arrivée des moucherons piqueurs qui la transmettent est "une conséquence du changement climatique", rapporte vendredi l'agence sanitaire française Anses.
Ets les araignées ne sont malheureusement pas les seules concernées par ce déclin, coccinelles, abeilles ou papillons disparaissent à un rythme inquiétant. Le biologiste britannique Dave Goulson démontre ainsi dans l’article Insectes : s’ils disparaissent, nous disparaissons – Libération (liberation.fr) paru dans Libération cette semaine que l’extinction des insectes menace directement l’espèce humaine.
Une dizaine de villes, dont Casablanca, Rabat ou encore Marrakech et Settat, vont probablement connaître une pénurie d’eau potable l’été prochain. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.
Avec le réchauffement climatique, les villes dont les sols bétonnés contrarient le cycle de l’eau et favorisent les inondations n’ont pas d’autre choix que de s’adapter. Entre « parc climatique » ou quartiers sur pilotis, plusieurs projets sont menés dans le monde.
15 millions de personnes à travers le monde sont menacées par le débordement des lacs glaciaires, favorisé par le changement climatique. Tel est le résultat d’une étude publiée le 7 février dans la revue scientifique Nature Communications. Les populations vivant dans les hautes montagnes d’Asie et dans les Andes sont les plus vulnérables. Plus de la moitié des personnes à risque se trouve en Inde, au Pakistan, au Pérou et en Chine. Les glaciers fondent à cause du réchauffement climatique, rappellent les (...)
Dangers pour les forêts L'Homme défriche les forêts depuis des centaines d'années. Au vingtième siècle, la déforestation a surtout touché les tropiques. L'activité humaine en est encore une cause importante. Les feux qui ont sévi en Amazonie entre 2003 et 2020 ont été provoqués par l'Homme, par la déforestation intentionnelle, plus que par le réchauffement [...]

2022

Le constat des experts est sans appel: la biodiversité est menacée et les humains doivent conclure de toute urgence un nouveau « pacte de paix avec la nature ». Mais quelles sont les données derrière cette conclusion alarmante? Revue des principaux chiffres au cœur des négociations de la COP15 sur la biodiversité qui se tient à Montréal.
La liste des espèces en voie de disparition s’allonge. L’Union internationale de conservation de la nature (UICN) a publié, vendredi 9 décembre, une version actualisée de sa « liste rouge », qui répertorie les espèces menacées d’extinction à l’échelle régionale et dans le monde. Résultat : 2 028 espèces animales et végétales ont été ajoutées à la dernière évaluation de l’UICN, qui datait de 2021. Au total, la survie de 42 108 espèces (a minima) est menacée. Cela représente 28 % des 150 388 espèces évaluées par l’UICN. La situation de millions d’autres espèces vivantes, non-étudiées par l’organisation, reste inconnue.
A la COP 15 biodiversité à Montréal, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a dévoilé ce vendredi une liste actualisée des espèces présentant un risque d’extinction.
La surexploitation des espèces sauvages constitue l’une des causes majeures de disparition de la biodiversité, après la perte d'habitat et le changement climatique. C’est pourquoi la conclusion de la COP sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, vendredi 25 novembre, constitue une avancée majeure. Elle a permis de protéger des centaines d’espèces supplémentaires, parmi lesquelles les requins et les raies. Une première étape avant la COP15 sur la biodiversité qui s’ouvre à Montréal le 7 décembre prochain.
La conférence sur le commerce international des espèces menacées a décidé vendredi de protéger une cinquantaine d'espèces supplémentaires de requins, menacés par le florissant trafic de leurs ailerons en Asie. Une décision qualifiée d'"historique" par le Panama, pays hôte du sommet.
« De plus en plus de plateformes ou de grands magasins vous proposent d’acheter ou de vendre vos livres, vos téléphones portables, vos machines à laver ou vos vêtements. Ces entreprises qui génèrent des milliers de tonnes de carbone en transport, des millions d’euros de bénéfices et qui se fichent pas mal des questions de solidarité et d’emploi sont en train de tuer le don »
Selon l'étude, plus d'un quart (244) des espèces évaluées sont touchées par la dégradation ou la modification de leurs habitats sous l'effet des conséquences du changement climatique, en particulier des incendies devenus plus fréquents.
En s’appuyant sur les archives historiques des deux derniers millénaires et sur un ensemble de données paléoclimatiques comme les cernes d’arbres ou les stalagmites, des chercheurs ont trouvé qu’avec la poursuite du réchauffement, les méga-sécheresses risquent de devenir permanentes dans certaines régions du globe. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Reviews Earth & Environment ce 4 octobre.
Ce chiffre provient d'un rapport publié mercredi par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM), en parallèle de l'Assemblée générale de l'ONU à New York.
Le niveau de la mer Méditerranée, qui borde l’État hébreu, devrait croître d’un mètre d’ici à 2050, selon une enquête menée par le journal israélien “Ha’Aretz”. Une catastrophe non seulement pour la majorité de la population du pays, qui vit dans la plaine côtière, mais également pour de nombreuses infrastructures vitales.
Les canicules et feux de forêt vont devenir plus fréquents, plus intenses et plus longs sous l'effet du changement climatique, dégradant la qualité de l'air et la santé des êtres humains, a averti l'ONU mercredi.
Fleuves asséchés, récoltes menacées, eau rationnée... Le nord de l'Italie est confronté à une sécheresse historique due au manque de pluie mais aussi à des infrastructures vieillissantes et au sous-investissement.
Le rapport de l’IPBES publié vendredi 8 juillet est à la biodiversité ce que le rapport du GIEC est au climat : un appel à l’action urgente. Fruit du travail de 85 scientifiques qui ont analysé 6 200 sources, le rapport de cette organisation dresse l’état des lieux des menaces qui pèsent sur la biodiversité dont dépend l’espèce humaine pour manger, se soigner, s’habiller… Il permet d’avoir une idée de l’ampleur des risques à ce jour pas vraiment quantifiés sur un plan économique et financier.
Premièrement, nos systèmes alimentaires sont toujours très dépendants des énergies fossiles. Notre agriculture intensive est très gourmande en engrais azotés (NdlR : produits à partir de gaz naturel) et en pesticides. L'agriculture utilise également des machines très énergivores.
Le varroa destructor, un parasite qui s'attaque aux abeilles, a été détecté pour la première fois en Australie en début de semaine. D'abord dans un port situé près de Sydney, puis dans des ruches à une centaine de kilomètres de là. À l'heure actuelle, neuf sites ont été découverts. C'est une très mauvaise nouvelle pour les apiculteurs australiens et leurs ruches, qui y échappaient jusqu'ici.
ces deux espèces patrimoniales des Alpes sont respectivement classées « vulnérable » et « en danger » sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conversation de la nature (UICN) des oiseaux menacés de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Déjà, en 2017, 2019, 2020 et 2021, le tribunal administratif de Marseille avait suspendu ou annulé leur chasse à la demande des deux associations. Les juges avaient alors estimé que la chasse de ces deux gallinacés sauvages était un facteur aggravant de leur déclin. Avec, à l’appui, des études scientifiques confirmant la lente disparition de ces espèces tant en termes de répartition géographique que de population.
Sur les 10.196 espèces de reptiles évaluées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), 21,1 % sont en voie de disparition. Autrement dit, plus d’une espèce sur cinq, soit 1829 espèces. C’est ce qui ressort de la dernière mise à jour de la liste rouge mondiale des espèces de reptiles menacées, rendue publique fin avril 2022. Certains groupes sont plus menacés que d’autres.
Le rythme de disparition des forêts a ralenti de près de 30% entre la première décennie du siècle et la période 2010-2018, selon un rapport publié cette semaine par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Cela étant, les forêts pluviales tropicales de la planète sont toujours les plus menacées, que ce soit par le pâturage du bétail en Amérique du Sud ou par l’expansion des terres cultivées telles que les plantations de palmiers à huile en Asie. Selon l’enquête par télédétection de l’évaluation des ressources forestières mondiales, la déforestation annuelle a ralenti de 29% environ, passant de 11 millions d’hectares par an au cours de la décennie 2000-2010 à 7,8 millions d’hectares par an au cours de la période 2010-2018.
La faible pluviométrie de l’hiver 2021-22 en France menace de déclencher un important épisode de sécheresse ce printemps et cet été. Ce phénomène, amplifié par le changement climatique, génère de plus en plus de dégâts sur les maisons individuelles construites sur des sols argileux. Face à l’augmentation rapide des coûts d’indemnisation et à une couverture assurantielle peu efficace, la législation commence à évoluer.
Le deuxième plus grand parc naturel du Zimbabwe pourra désormais compter sur le soutien financier d’un fonds allemand afin de préserver sa faune sauvage. Riche en biodiversité, le braconnage exerce une pression considérable sur certaines espèces menacées présentes dans le parc. Sur fonds de crise écologique, cette nouvelle aide financière internationale annonce un nouvel engagement dans la lutte contre l’effondrement de la biodiversité.
Pas de surprise, mais une confirmation inquiétante. Réalisée à l'initiative du SPF Santé publique et Environnement, une note d'orientation publiée mardi confirme que les pesticides contribuent au déclin rapide des populations d'abeilles et d'insectes pollinisateurs en Belgique. Une tendance conforme à ce que de nombreuses études ont mis en évidence en Europe et ailleurs dans le monde.
Treize millions de personnes au Kenya, en Somalie et en Éthiopie sont confrontées à une famine grave alors que la Corne de l'Afrique connaît sa pire sécheresse depuis des décennies, a indiqué mardi le Programme alimentaire mondial (PAM).
Si l’effondrement de la biodiversité est bien réel, cela n’empêche pas la découverte de nouvelles espèces animales et végétales. Souvent d’ores et déjà menacées par les activités humaines.

2021

Au moins 1/6e des espèces de libellules et de demoiselles risquent de s’éteindre, victimes de la disparition des zones humides, alerte l’Union internationale pour la conservation de la nature.
Sur le front de la biodiversité, les nouvelles ne sont pas bonnes. Jeudi 9 décembre, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a tiré une fois encore la sonnette d’alarme. La liste rouge des espèces en danger ne cesse de s’étoffer.
La destruction des zones humides entraîne le déclin des libellules et demoiselles, dont 16% des quelque 6 000 espèces étudiées sont en danger d’extinction, selon la dernière mise à jour de la «liste rouge» des espèces menacées de l’UICN, publiée ce jeudi.
Plus d'une centaine de millions de personnes extrêmement pauvres sont menacées par l'accélération du réchauffement climatique en Afrique, où les rares glaciers devraient avoir disparu d'ici les années 2040, a indiqué l'ONU mardi.
Pour un biologiste confirmé comme pour un naturaliste amateur, la découverte d’une espèce végétale ou animale « nouvelle pour la science », c’est-à-dire non répertoriée ni décrite, représente toujours une grande source d’émotion à la fois scientifique et personnelle.
La hausse de l'exposition aux chaleurs extrêmes dans les zones urbaines, provoquée par leur densité et le réchauffement climatique, risque de priver les populations pauvres d'une vie meilleure dans ces villes, selon une étude scientifique.
Près d’un tiers des espèces d’arbres dans le monde sont menacées d’extinction, tandis que des centaines sont sur le point d’être anéanties, indique un rapport historique publié le 1er septembre par le Botanic Gardens Conservation International (BGCI).
Les changements climatiques auront des conséquences sur les traditions autochtones comme la médecine ou encore les cérémonies, avertissent plusieurs membres de communautés du Nouveau-Brunswick. Cecelia Brooks se souvient d'une époque où la forêt profonde du Nouveau-Brunswick était si froide qu'on pouvait encore trouver de la neige dans ses profondeurs en août.
Près de 30% des espèces étudiées par l'UICN sont "menacées", selon une actualisation de la célèbre "Liste rouge" de la plus grande organisation mondiale de conservation de la nature, rendue publique samedi à Marseille.
À l'occasion du Congrès mondial sur la nature, l'Union internationale de la conservation de la nature a publié, samedi, une mise à jour de la liste des espèces menacées dans le monde. L'organisation avertit que près de 30 % des espèces qu'elle a étudiées sont "menacées".
L’Union internationale de conservation de la nature a dévoilé samedi la liste actualisée des espèces en danger en raison du dérèglement climatique.
Alors que lUnion internationale pour la conservation de la nature (UICN) a dévoilé, samedi, à Marseille, sa nouvelle liste des espèces menacées, un rapport publié cette semaine révèle qu’un tiers des espèces d’arbres pourraient disparaître à travers le monde.
Près d'un tiers des 60.000 espèces d'arbres dans le monde sont menacées d'extinction, selon une étude du Botanic Gardens Conservation International (BGCI), l'organisation des jardins botaniques, publiée mercredi.
Des espèces menacées de disparition, des paysages ravagés par les flammes ou les pluies, la vie sauvage mise à mal par l'homme: la plus grande organisation de protection de la nature, l'UICN, réunit à partir de vendredi à Marseille son congrès chamboulé par le Covid-19, au moment où la destruction de la nature s'accélère dramatiquement.
Moins présents dans les médias que les incendies dans le Sud de la France, en Grèce ou encore en Algérie, des incendies dévastateurs font également rage en Amérique du Sud. Après le Pantanal en 2020, c’est à présent l’Est de la Bolivie qui brûle. 749 000 hectares seraient partis en fumée entre janvier et juillet 2021 (Fondation Amis de la Nature (FAN)).
Tortues d’Hermann, lynx du désert, oiseaux, amphibiens et reptiles… Les incendies massifs qui ont ravagé la planète cet été mettent en danger la faune sauvage à court comme à long terme. Les associations écologistes s’inquiètent de la fréquence de ces catastrophes, imputables à l’activité humaine.
Environ 11 % des forêts intactes de la planète se trouvent dans des concessions minières et 8 % dans des concessions pétrolières et gazières. Leur perte met en péril les efforts visant à sauver la faune en voie de disparition, à lutter contre le changement climatique et à préserver les communautés autochtones qui habitent ces terres intactes.
Le GIEC a prévu une augmentation des pluies intenses, car le réchauffement accroît la vapeur d’eau dans l’air. La menace est généralisée, dès 2030 les trois-quarts d’Européens courant un risque d’inondation tous les cinq ans. D’autres prévisions indiquent que la moitié des maisons américaines sont menacées par les inondations, je vois aussi qu’au Canada, les 80% du territoire serait dévasté si tous les barrages cédaient.
D’après un texte préparatoire du GIEC, 400 millions de personnes pourraient être confrontées à des pénuries d’eau dans les prochaines décennies si le réchauffement moyen des températures planétaires atteint 2°C.
Un réchauffement climatique durable supérieur au seuil de +1,5°C aurait des "impacts irréversibles pour les systèmes humains et écologiques", avertit un projet de rapport rédigé par des centaines de scientifiques rattachés au Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) et obtenu par l'AFP. Si le réchauffement climatique atteint +2°C plutôt que +1,5°C, 420 millions de personnes de plus sur Terre feront face à des "canicules extrêmes" et jusqu'à 80 millions de personnes supplémentaires seront menacées par la faim d'ici 2050, selon les experts du Giec.
L'administration du président Joe Biden a annoncé vendredi vouloir rétablir des mesures de protection d'espèces menacées ayant été substantiellement assouplies par le gouvernement de son prédécesseur Donald Trump.
Les pertes de récoltes liées à ces épisodes climatiques ont déjà triplé ces cinquante dernières années en Europe.
L’effondrement du vivant est enfin reconnu comme une menace environnementale majeure, nous dit l’auteur de cette tribune, mais l’appauvrissement de la flore, et notamment des arbres, est un sujet qui demeure peu médiatisé. Pourtant, dans le monde, près de quatre espèces d’arbres sur dix sont menacées de disparition.
À l’occasion de la Journée mondiale de la vie sauvage le 3 mars, le Comité français de l’UICN et l’UMS PatriNat (OFB-CNRS-MNHN) partagent dans un rapport 13 années de résultats de la Liste rouge. Ainsi, depuis 2008, 13 842 espèces ont été évaluées en France métropolitaine et en outre-mer. Parmi elles, 2 430 espèces sont menacées, soit 17,6%. Au total, 187 espèces ont disparues ou sont éteintes.
Barrages, produits polluants, algues brunes... L'apron du Rhône tente de survivre tant bien que mal mais figure quand même dans la liste des espèces les plus menacées. Et le même sort risque d'arriver à ses camarades des fleuves.Le travail des scientifiques révèle également que l’on assiste à une augmentation sensible de l’azote. Une étude publiée par Nature en décembre dernier, suggère que l’Europe tout entière est coupable d’agression à l’égard du peuple des fleuves. Un organisme peut difficilement parcourir plus de 1 000 mètres sans être arrêté par de grandes barges ou par une myriade de structures