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2023

La résurgence d'infections respiratoires communes en Chine est attribuée à un phénomène appelé la dette immunitaire. De quoi s'agit-il ?
Remettre en cause la place de la voiture individuelle en France, c’est parfois comme critiquer une religion. C’est s’assurer un torrent d’insultes, des messages comme “et ma grand mère tu veux qu’elle fasse 60km en vélo !” Et pourtant, il va bien falloir s’y pencher. Les transports représentent 32% des émissions territoriales de notre pays, et les émissions ont augmenté de +2.9% en 2022 (données provisoires). C’est catastrophique. Parmi les principales raisons, l’électrification trop lente du parc automobile, et le poids des véhicules. Les constructeurs continuent de vendre des SUV bien trop grands et lourds, à l’encontre de nos objectifs climatiques et des recommandations des experts sur le sujet.
D'après une étude, un système de courants océaniques régulateur du climat, comprenant une partie du Gulf Stream, devrait atteindre un point de non-retour vers le milieu du siècle.
Une nouvelle étude controversée contredit le dernier rapport du Giec. Qu’en est-il ? Décryptage avec Hughes Goosse, professeur à l’UCLouvain.
Une étude de la revue “Nature” indique que l’interaction des courants marins à l’échelle mondiale, qui intègre le fameux Gulf Stream, pourrait être ralentie dans les prochaines années. Avec d’importantes conséquences, les courants jouant un rôle prépondérant dans la régulation du climat et des températures.
L'un des phénomènes océaniques le plus important pour le climat – l'Amoc, qui englobe le fameux Gulf Stream – serait sur le point de s'effondrer, selon un article paru mardi dans la revue Nature. La disparition de ce système de courants marins aurait des conséquences catastrophiques pour l'humanité. Mais ces nouvelles prévisions d'un effondrement avant la fin de ce siècle restent controversées.
Le ralentissement des courants océaniques profonds, causé par la fonte des glaces de l’Antarctique, est plus rapide que prévu. Voici le résultat d’une étude dévoilée le 25 mai dans la revue Nature. Jusqu’alors, les scientifiques estimaient que cette circulation ne ralentirait de 40 % que d’ici à 2050. Or, les derniers résultats, basés sur des mesures de terrain dans le bassin antarctique australien, couplées à un volet de modélisation informatique, sont plus alarmants que prévu : le processus a en fait déjà ralenti de 30 % entre les années 1990 et 2010.
Selon une étude parue dans « Nature Climate Change », le ralentissement des courants océaniques profonds se produit « en avance sur le calendrier », menaçant la vie marine et risquant d’accélérer le réchauffement climatique.
La fonte rapide des glaces de l’Antarctique risque de ralentir considérablement les courants d’eau profonde dans les océans, avec des conséquences catastrophiques pour les écosystèmes et le système climatique, selon une étude parue le 29 mars dans la revue Nature. Les courants océaniques jouent un rôle majeur pour notre planète. Au niveau de l’Antarctique, de milliards de litres d’eau froide, très salée et riche en oxygène, coulent chaque année vers les profondeurs de l’océan, avant de circuler vers les (...)
L’Agence française de sécurité sanitaire veut interdire les principaux usages du S-métolachlore. Les dérivés chimiques de cette substance ont dépassé le seuil autorisé.