les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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gisements

2024

Au moins vingt développements de champs pétroliers et gaziers ont fait l’objet d’une décision finale d’investissement en 2023. Ils devraient déboucher sur une production de 8 milliards de barils équivalent pétrole (bep), selon l’édition annuelle du Global Oil and Gas Extraction Tracker, publiée par l’ONG étasunienne Global Energy Monitor jeudi 28 mars.

2023

De l’Ouganda au Kazakhstan, de l’Arctique russe à la Norvège ou au Brésil, le groupe français est lié à au moins vingt-trois sites géants d’extraction d’hydrocarbures.
Une société minière norvégienne affirme avoir découvert un gisement gargantuesque de phosphate qui pourrait alimenter les besoins mondiaux en batteries et en énergie solaire pour les cinquante prochaines années.
Désormais premier fournisseur de gaz naturel à l’Europe, le pays scandinave a validé, ce mercredi 28 juin, l’exploration de nouveaux gisements. Les ONG dénoncent «l’intensification de la crise climatique» portée par le gouvernement.
Le Kazakhstan, important producteur d'hydrocarbures, a indiqué mardi avoir demandé une procédure d'arbitrage international contre les géants pétroliers exploitant des gisements stratégiques, des litiges portant sur 16,5 milliards de dollars de frais déduits. Cité par l'agence publique Kazinform, le ministre de l'Energie, Almassadam Satkaliev, a indiqué viser les majors exploitant les champs de Kachagan et de Karatchaganak, parmi lesquels on retrouve Eni, Shell, TotalEnergies ou ExxonMobil mais aussi le kazakh KazMunayGas.
L'Equateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador.Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'Etat équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".
L'Équateur a repris l'exploitation de deux gisements pétroliers dans la jungle amazonienne qui étaient depuis 1999 contrôlés par l'espagnol Repsol, dont les contrats ont pris fin samedi, a indiqué dimanche la compagnie publique Petroecuador. Elle a précisé dans un communiqué qu'elle "assume l'exploitation suite à la décision légitime et souveraine de l'État équatorien d'annuler les deux contrats de fourniture de services d'exploration et d'exploitation, qui arrivaient à échéance le 31 décembre 2022".

2022

Les ONG de défense de l'environnement BLOOM et The Green Connection dénoncent un projet de TotalEnergies pour exploiter du gaz offshore au large de l'Afrique du Sud, qui menacerait à la fois la biodiversité, la pêche et le climat.
l’urine humaine est présentée comme une ressource, issue du vivant, venant remplacer des ressources souterraines en voie de disparition. Ce discours interroge, dans la mesure où il place l’usage agricole des excrétats dans une logique de substitution vis-à-vis des pratiques de fertilisation actuelles, sans discussion ou remise en perspective de ces dernières.
La Compagnie nationale de pétrole (NOC) en Libye a annoncé dimanche la suspension de la production pétrolière de deux gisements majeurs, causant d'importantes pertes pour ce pays très dépendant de la vente d'hydrocarbures et qui connaît une grave crise politique. La production a été stoppée après qu'un groupe armé a "fermé les vannes acheminant le brut" sur les sites d'al-Charara et al-Fil, forçant la compagnie à "déclarer l'état de force majeure", mesure qui permet une exonération de sa responsabilité en cas de non-respect des contrats de livraison, a indiqué la NOC sur Facebook.