les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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gouvernance

2024

Mis en lumière par la chercheuse Elinor Ostrom à la fin du XXe siècle, les communs sont un modèle de gouvernance à part, évitant les écueils de la propriété privée ou de la gestion publique. Une ressource naturelle, un espace public, une forêt, un service, des œuvres créatives, ou l’information peuvent être gérés de façon originale par et pour des citoyen·ne·s d’horizons divers.

2023

le changement climatique a des répercussions sur de nombreux domaines et compétences impliquant dès lors un grand nombre d’acteurs à différents niveaux politiques dans la mise en œuvre et le suivi de la politique climatique. Cette dernière est en effet de nature transversale et multisectorielle. au niveau fédéral, une coordination efficace entre tous les départements fédéraux et les institutions fédérales est donc indispensable. le gouvernement fédéral a mis en place le 2 avril et le 8 octobre 2021, sur proposition de la ministre du Climat, Zakia Khattabi, un système de suivi de la mise en œuvre des poli- tiques et mesures fédérales. Ce rapport de synthèse est le résultat annuel de ce « cycle de suivi fédéral » pour l’opérationnalisation, l’évaluation et l’ajuste- ment de la politique climatique fédérale. Ce cycle de suivi vise à informer le gouvernement et toutes les parties prenantes de l’état de la politique clima- tique fédérale, de son impact sur les émissions de gaz à effet de serre, de son financement
Il est désormais clair que si nous ne transformons pas nos économies, elles seront les victimes d’événements climatiques extrêmes. Les règles européennes gouvernant la coordination des politiques économiques nationales doivent donc être adaptées à cette nouvelle donne, souligne Isabelle Brachet dans une tribune sur EURACTIV.
Le 26 juin dernier, durant une entrevue sur le parquet de la Bourse de New York, Larry Fink a mentionné qu’il avait cessé d’utiliser l’acronyme ESG (facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance), car, selon lui, celui-ci a été entièrement politisé, voire « militarisé » par l’extrême gauche autant que par l’extrême droite. Le PDG de BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, était pourtant considéré comme le maître à penser et principal porte-étendard de l’investissement responsable fondé sur les critères ESG, une tendance qu’il a lui-même galvanisée par la publication de sa lettre annuelle adressée aux PDG.
Selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, 108 millions de personnes ont été forcées de quitter leur foyer en 2022. Persécutions, conflits, violations des droits de l’homme, les migrations sont le plus souvent liées à des troubles politiques, mais aussi, et c'est de plus en plus fréquent, aux impacts du changement climatique. Gros plan, à l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés, sur le phénomène méconnu et difficilement quantifiable des déplacements environnementaux.
« L’océan : enjeu mondial et solution planétaire », tel est l’intitulé du rapport stratégique 2022-2023 que vient de publier l’IRES (Institut Royal des Etudes Stratégiques). Le titre choisi est significatif et traduit parfaitement les préoccupations du moment. L’Océan recèle des richesses incommensurables qui pourraient être exploitées dans l’intérêt de l’humanité à condition d’en faire un usage rationnel, de les protéger et de les considérer comme un bien commun.
Rejoignez l'équipe du Earth Negotiations Bulletin pour faire le bilan d'une année sans précédent dans les négociations sur le développement durable.
La crise climatique qui s’accélère, doublée de la crise énergétique, place les collectivités au pied du mur : services publics et grands projets doivent être mis en balance avec leur impact sur le climat, quitte à devoir parfois les réviser, voire les abandonner.
olitologue et conseiller politique, Thomas Guénolé a publié le 3 février dernier La fin des haricots ? Le réveil écologique, c’est maintenant (Plon, 2023), un essai dans lequel il identifie « dix révolutions simples et efficaces » à mettre en place sans tarder. Avec son accord, nous publions ici un extrait de cet ouvrage, dans lequel il propose la création d’un « gouvernement écologique mondial ».
The fallout when the industry fails to act is still smaller than the rewards for pumping out more pollution

2022

Si vous suivez l’actualité du changement climatique, il est possible que vous ayez déjà vu passer une figure de ce style : sur une courbe montrant l’augmentation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère, ont été placées différentes étapes de la gouvernance climatique telles que la signature de la convention climat, le protocole de Kyoto ou encore, l’accord de Paris. La plupart du temps, pour des raisons diverses et variées, cette représentation a pour but de démontrer l’inutilité, ou l’échec, de la tentative de gestion du changement climatique par les institutions internationales et les gouvernements. 
La Déclaration de Politique régionale wallonne du 16 septembre 2019 indiquait la volonté du Gouvernement de Wallonie de mettre en place des outils de gestion des risques afin de pouvoir prévenir et réagir rapidement lors des crises et aussi d’aléas climatiques et sanitaires (p. 75). La DPR précisait également que des mesures seraient prises pour protéger les ressources en eau, notamment face aux risques de pollutions, au maintien et au développement des habitats naturels humides ou aux problèmes d’approvisionnement (p. 82). D’autres types de risques devaient également être anticipés comme les risques numériques et sanitaires (exposition aux ondes, p. 90), les risques menant à l’exclusion et à la pauvreté (p. 117), les risques chimiques (phytosanitaires, p. 118), etc. [1]
Lancé en 2021 à l’initiative de Veolia en partenariat avec Usbek & Rica, la REcyclerie et soutenu par le Comité 21, le collectif « +1, pour une écologie en actions » s’est réuni une nouvelle fois le 28 juin 2022 pour entamer un deuxième cycle consacré à l’ouverture de la gouvernance des entreprises et des organisations à leurs parties prenantes. Rythmé par une keynote inspirante et un atelier d’intelligence collective animé par bluenove, ce premier volet portait sur les bonnes pratiques de coopération au service des stratégies de résilience à l’échelle des territoires.
En 2015 à Paris, les Etats se sont engagés à contenir le réchauffement climatique nettement en dessous de 2 °C et à poursuivre les actions pour le limiter à 1,5 °C. Mais comme l’a noté le GIEC, un dépassement—au moins temporaire—de cet objectif est probable. Chaque dixième de degré compte et accroît les graves effets négatifs sur les écosystèmes et les populations, en particulier les plus vulnérables. La poursuite du réchauffement augmente également le risque de franchir des limites planétaires de façon irrémédiables. Les risques d’un dépassement de l’objectif de 1,5 °C auront des effets négatifs sur tous les Objectifs de Développement Durable des Nation-Unies, entraînant des conséquences environnementales et politiques profondes.