les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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oxyde d’azote

2023

L’absence de moteurs thermiques dans la région capitale a eu un effet immédiat sur la qualité de l’air et le bruit ambiant.
Un nouveau rapport dénonce, ce mercredi 23 mars, les niveaux "suspects" d’émissions des véhicules diesel qui continuent de rouler. Dix-neuf millions de véhicules diesel roulant en Europe présenteraient des niveaux "suspects" d’émissions d’oxyde d’azote (NOx), a alerté, mercredi 22 mars, le Conseil international sur le transport propre (ICCT), une ONG environnementale. En France, trois millions de voitures sont concernées.

2022

Le niveau de ce puissant gaz à effet de serre a fait un bond sans précédent dans l’atmosphère l’an dernier. Le CO2 et le protoxyde d’azote continuant également à battre des records, a révélé mercredi l’ONU.
Les agriculteurs néerlandais manifestent depuis plusieurs semaines contre un plan national de réduction des émissions d’ammoniac et d’oxydes d’azote, censé protéger des zones naturelles.
Les voitures électriques ne sont pas la panacée contre la pollution de l’air. Tel est le résultat d’une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) publiée fin avril. Contrairement aux véhicules thermiques, les voitures électriques n’émettent ni oxydes d’azote, ni dioxyde de carbone, ni composés organiques volatiles. Elles émettent en revanche une quantité importante de particules fines. La cause : le poids important de leurs batteries, qui contraint les constructeurs à utiliser des pneus plus larges. En frottant sur la chaussée, ces derniers émettent des PM10 (des particules d’une taille inférieure à 10 micromètres), qui finissent leur course dans les poumons des riverains au péril de leur santé.
La méthode utilisée est basée sur des calculs « input-output », issus des tableaux entrées-sorties symétriques de la comptabilité nationale, et prend en compte les 3 principaux gaz à effet de serre (GES) : le dioxyde de carbone (CO2) fossile, le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O).

2021

Dans son bulletin annuel, l’Organisation météorologique mondiale révèle que les rejets de CO2, de méthane et de protoxyde d’azote ont été à des niveaux inégalés en 2020. Le taux d’augmentation annuel des gaz responsables du réchauffement de l’atmosphère dépasse désormais la moyenne de la dernière décennie.
Ce phénomène naturel de piégeage par l’atmosphère de la fraction du rayonnement solaire ré-émis par la Terre, l’effet de serre, est amplifié par les rejets excessifs de gaz majeur : gaz carbonique (CO2), méthane (CH4), protoxyde d’azote ou d’oxyde nitreux (N2O), d’ozone (O3) et de gaz mineurs comme l’hexachlorofluorocarbone (HCFC), les perfluorocarbures (PFC) et l’hexafluorure de soufre (SF6). Ou, les concentrations des trois gaz majeurs « ont crû de façon notable du fait des activités humaines depuis 1750 »
L’une des études menées par Brett Jameson et son équipe nous apprend que ces zones mortes peuvent également avoir un effet néfaste sur l’atmosphère terrestre. Car les sédiments produisent du protoxyde d’azote, puissant gaz à effet de serre..