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GIEC
Emissions de gaz à effet de serre, réchauffement des températures, budget carbone restant, élévation du niveau de la mer, déséquilibre énergétique de la Terre... une nouvelle étude publiée ce jeudi 19 juin par 61 scientifiques participant aux travaux du Giec tire la sonnette d'alarme sur l'état du changement climatique au niveau planétaire.
Le retard des négociations au sein du Giec va fragiliser le prochain bilan mondial climatique qui aura lieu en 2028.
L'IPBES, le Giec de la biodiversité, vient de publier deux rapports majeurs ces mardi 17 et mercredi 18 décembre. Le premier montre la nécessité de traiter les différents sujets ensemble - changement climatique, biodiversité, santé, eau et alimentation, pour une action efficace. Le second s'intéresse aux obstacles à l'action et appelle à un "changement transformateur" de nos points de vue, nos structures et nos pratiques.
Cinq ans après un rapport choc sur l'état de la biodiversité, l'IPBES va publier deux rapports inédits qui se focaliseront sur les solutions.
Le Giec a une nouvelle fois échoué à s'accorder sur un calendrier pour la publication de son 7e rapport d'évaluation.
Le nouveau fonds pour le climat lancé par l'Azerbaïdjan peine à convaincre alors que le pays-hôte de la COP29 est sous le feu des critiques.
Les Nations-Unies travaillent depuis 2022 à la création d'un panel d'experts sur la pollution chimique et les déchets semblable au Giec sur le climat.
Pas de changement en vue. Le Giec ne devrait publier la synthèse de son septième cycle d'évaluation qu'en 2029, soit après le prochain bilan de l'Accord de Paris prévu pour 2028. Un trio de pays s'est vivement opposé à une accélération du rythme. De même, un changement de formats, avec des publications plus spécifiques, a été écarté.
Informer le grand public sur le changement climatique en quelques clics, voilà l’ambition portée par Climate Q&A. La crise climatique peut-elle être enrayée ? Quel est le coût de l’inaction ? Qu'est-ce que le jet stream ? Lancé au début du mois d’avril, ce chatbot gratuit et open source s’appuie sur une quinzaine de rapports scientifiques pour répondre de manière fiable et sourcée à toutes les interrogations des utilisateurs.
La synthèse du 6e rapport d’évaluation du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ne laisse planer aucun doute sur l’urgence climatique face à laquelle nous nous trouvons. Il est temps d’agir, nous n’avons pas d’autre choix. Voici les cinq graphiques à retenir de ce dernier opus qui clôt huit ans de travail.
Le sixième rapport d’évaluation du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, vient d’être publié. Un évènement phare qui, au-delà du symbole, pose questions. Les rapports du Giec sont-ils trop larges et dépolitisés ? Si la nécessité d'un consensus scientifique est saluée, certains experts appellent à repenser les rapports du Giec avec un temps moins long et des sujets plus controversés. Et la critique émane même des rangs des auteurs du Giec.
Du 13 au 17 mars, les scientifiques du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, sont réunis en Suisse afin d’adopter la synthèse de leur 6e rapport d’évaluation, et ainsi clore ce cycle débuté en 2015. Cette synthèse sera ensuite publiée le 20 mars et constituera le dernier consensus scientifique sur le climat à date.
Alors que la pandémie a largement bouleversé l’agenda international de ces dernières années, le retard accumulé est en train d’être rattrapé. La COP15 Biodiversité finalement organisée à la fin de l’année avec deux ans de retard est l’un des événements les plus attendus, après la COP27 sur le climat ou encore la publication du rapport de synthèse du 6e cycle d’évaluation du GIEC. Novethic fait le point sur les évènements à ne pas manquer en cette rentrée.
Alors que nous venons de passer le pic d’une troisième canicule cette année dans l’Hexagone, des scientifiques alertent dans une nouvelle étude sur la mauvaise prise en compte des pires scénarios climatiques. Si le Giec a évalué les impacts d’un monde à +1,5°C et +2°C, il ne l’a pas fait pour un monde à +3°C de réchauffement. Les experts appellent à ce que les changements climatiques extrêmes ou catastrophiques soient évalués dans le prochain cycle de travail de l’ONU.
Climat, limites planétaires, perte de biodiversité… Les rapports scientifiques se multiplient pour nous pousser à agir face à l’urgence écologique, mais peinent à toucher le grand public. Pour changer d’échelle, la culture populaire a un rôle à jouer. Dans une nouvelle étude, l’Ademe et Place to B explore l’influence des films et des séries télévisées sur notre engagement. Spoiler alert : loin des dystopies, ce sont les récits alternatifs qui nous mobilisent.
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Les maisons-mère de Google ou encore de Facebook accélèrent sur les technologies d'élimination du CO2. Au lendemain de la publication du dernier rapport du Giec, qui met notamment en avant ces solutions, elles ont lancé une initiative pour soutenir financièrement les entreprises du secteur. Le marché des équipements de captage et stockage du CO2 pourrait ainsi quadrupler d'ici 2025. Mais attention, ces technologies ne pourront pas fonctionner dans un monde qui continue à émettre toujours plus de gaz à effet de serre.
Trois ans pour agir : le slogan a été repris partout lors de la publication du dernier rapport du Giec, portant cette fois sur les solutions au changement climatique. Si les experts appellent en effet à une action immédiate pour assurer "un avenir vivable", il n'est pas question pour autant de se dire que tout sera fini dans trois ans et que plus rien ne pourra être entrepris. Au contraire, au point où nous en sommes, chaque dixième de degré compte. Plus on agira vite, mieux ce sera, mais chaque action compte.
Le dernier rapport du Giec sur les solutions au changement climatique consacre aussi une partie au coût que représenterait une action ambitieuse. Les experts sont formels : agir pour le climat, en restant sous la barre des 2°C de réchauffement, aurait des bénéfices économiques supérieurs au coût engendré. Depuis de nombreuses années, de nombreuses études démontrent l'intérêt économique à respecter l'Accord de Paris.