Nucléaire civil

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septembre 2024

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a une nouvelle fois relevé ses prévisions concernant l'expansion de la capacité de production nucléaire, de plus en plus vue comme un levier de décarbonation, selon un communiqué publié lundi."L'élan mondial en faveur de l'énergie nucléaire se poursuit à un rythme soutenu", a déclaré le directeur général de l'instance onusienne, Rafael Grossi, à l'ouverture de la conférence générale de l'instance onusienne à Vienne.
La capacité des parcs belges de batteries va être multipliée par dix, selon une enquête menée par De Tijd, publiée aussi dans L'Echo jeudi. Les promoteurs ont soumis des dizaines de nouvelles demandes pour la construction de grands parcs de batteries, l'objectif étant d'y stocker l'excédent croissant d'énergie renouvelable.
Lancés ce mardi par le biais de l’introduction dans les décombres d’une sonde équipée d’un bras robotique afin de mener de premières analyses, ces travaux de démantèlement de la centrale nucléaire devraient durer plusieurs décennies.
Le débat public sur la construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Gravelines, près de Dunkerque (Nord), dans un contexte de relance du nucléaire, se tiendra du 17 septembre au 17 janvier, a annoncé mardi la Commission nationale du débat public (CNDP), qui espère une "forte participation".Ce débat est le deuxième organisé par la CNDP après celui de 2022-2023 sur le projet d'une première paire de réacteurs à Penly (Seine-Maritime) et plus généralement sur la relance de l'atome en France souhaitée par Emmanuel Macron.
La réaction nucléaire a repris dans le réacteur EPR de Flamanville (Manche), qui avait connu un "arrêt automatique" mercredi au lendemain de son démarrage, a annoncé samedi EDF."Le réacteur de Flamanville 3 est divergé et stabilisé à 0,2% de puissance depuis 08h21", a indiqué à l'AFP un porte-parole du groupe. La "divergence" est le terme technique pour la réaction nucléaire."Les équipes reprennent les activités et essais nécessaires à la préparation du couplage", soit la connexion au réseau électrique, "qui aura lieu d'ici la fin de l'automne", a-t-il ajouté.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a fait part vendredi de son inquiétude pour la sécurité des centrales nucléaires de Koursk en Russie et de Zaporijjia en Ukraine, menacées par les combats et les bombardements.
Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche) a connu mercredi un "arrêt automatique" au lendemain de son démarrage, et les équipes d'EDF procèdent à des contrôles techniques et à des analyses avant de pouvoir relancer sa "divergence", c'est-à-dire la réaction nucléaire.
Au lendemain de son redémarrage, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville s'est arrêté automatiquement mercredi, a annoncé EDF, qui assure que cet arrêt est la preuve que "le système de sécurité fonctionne bien". Des contrôles sont en cours.
Tout juste démarré, l'EPR de Flamanville tant attendu depuis 12 ans s'est mis en arrêt automatique mercredi, un aléa qui ne surprend guère les experts en énergie tant le processus de mise en route d'un réacteur peut être complexe.Le réacteur nouvelle génération d'EDF, objet d'un chantier émaillé de déboires, avait franchi un jalon important la veille, avec la réalisation de la première fission nucléaire (ou divergence). Mais plusieurs étapes sont encore prévues avant qu'il puisse alimenter le réseau en électricité, "d'ici la fin de l'automne" selon EDF.
La centrale nucléaire de Barakah aux Émirats arabes unis, la première dans le monde arabe, est devenue pleinement opérationnelle avec la mise en service de son quatrième réacteur, ont annoncé jeudi les autorités de l'État du Golfe.40 TWh de production attendue par anElle "produit désormais 40 TWh d'électricité par an (...) et couvre jusqu'à 25% des besoins en électricité" de ce riche pays pétrolier, a affirmé l'opérateur public Emirates Nuclear Energy Corporation (ENEC).
L'arrêt automatique du réacteur EPR de Flamanville peu après son démarrage fait suite à "une erreur humaine" dans la configuration de systèmes électroniques, le mode opératoire n'ayant "pas été strictement respecté", a expliqué jeudi l'autorité de sûreté nucléaire (ASN) à l'AFP.
Viser l’allume. Le dernier né des réacteurs nucléaires français a (enfin) produit ses premiers électrons dans la nuit de lundi à mardi, mais le rythme de croisière est encore loin d’être atteint. En pleine relance de l’atome, ce chantier, qui continue d’être marqué par une interminable série de déboires techniques et financiers, est un symbole embarrassant.
Après 12 ans de retard, le premier réacteur français est inauguré ce 16 mai dans la Manche. S’il est dérivé d’une technologie qui équipe les 18 centrales nucléaires d’EDF, sa taille, ses équipements de sureté et sa puissance sont inédits.
Entre le début des travaux en 2007 à Flamanville et le chargement du combustible préalable au démarrage du réacteur prévu cet été par EDF, il se sera écoulé dix-sept ans… au lieu des cinq prévus à l’origine pour le construire.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a déclaré avoir évoqué la sécurité de la centrale nucléaire russe de Koursk avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi, en pleine incursion ukrainienne dans cette région russe. Kiev a lancé le 6 août une incursion sans précédent en territoire russe, dans la région de Koursk, déclenchant des combats à moins de 50 kilomètres de la centrale nucléaire.
L'EPR de Flamanville a « divergé » (opération qui initie la réaction en chaîne dans le cœur du réacteur) ce 3 septembre à 15h54. S'ensuivra un programme de tests qui doit permettre d'atteindre un niveau de puissance de 25%, palier à partir lors duquel l'EPR « sera connecté au réseau électrique national pour la première fois et produira alors de l'électricité », une échéance attendue « d'ici la fin de l'automne 2024 », indique EDF.
Nouveau retard pour l'EPR de Flamanville : EDF a annoncé lundi qu'il faudrait attendre trois mois supplémentaires pour voir son nouveau réacteur alimenter le réseau électrique, lequel ne recevra pas ses premiers électrons avant "la fin de l'automne", alors que l'électricien tablait jusqu'ici sur la fin de l'été.L'énergéticien a annoncé de manière concomitante avoir reçu le feu vert de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour lancer la production des premiers électrons de l'EPR, avec douze ans de retard sur le calendrier initial.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui a reçu lundi le feu vert pour commencer à produire ses premiers électrons, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -

août 2024

EDF a déposé vendredi sa demande d'autorisation pour procéder à la première "divergence", c'est-à-dire la première fission nucléaire, du réacteur EPR de Flamanville (Manche), a indiqué à l'AFP l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).L'ASN "a reçu aujourd'hui la demande d'EDF pour la divergence de l'EPR", a indiqué le gendarme du nucléaire, qui doit l'examiner "dans les prochains jours".
Le gouvernement suisse s'est dit mercredi favorable à un éventuel retour du nucléaire à long terme, face aux évolutions du marché de l'électricité et aux incertitudes géopolitiques.Les Suisses ont approuvé par référendum en 2017 la sortie progressive du nucléaire en votant une loi interdisant la construction de nouvelles centrales. Cette loi était alors le résultat d'un long processus engagé après l'accident nucléaire de Fukushima, provoqué par un gigantesque tsunami, en mars 2011, au Japon.

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