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mars 2024

L'Arabie saoudite a annoncé dimanche qu'elle prolongerait la réduction de sa production de pétrole jusqu'en juin, pour soutenir les prix du brut.Ryad "prolongera sa réduction volontaire d'un million de barils par jour (bpj), mise en oeuvre en juillet 2023, jusqu'à la fin du deuxième trimestre de 2024", a rapporté l'agence de presse officielle saoudienne (SPA), citant une source du ministère de l'Energie.

février 2024

Les Etats-Unis ont sanctionné vendredi 14 pétroliers d'une "flotte fantôme" utilisés par Moscou pour contourner le plafond imposé par les pays occidentaux au prix du pétrole russe, à la veille du deuxième anniversaire de l'invasion de l'Ukraine.Les sanctions annoncées dans un communiqué du Trésor américain visent la compagnie maritime nationale russe Sovcomflot, lui donnant 45 jours pour décharger le pétrole ou autres cargaisons des 14 navires.

février 2023

Le géant espagnol de l'énergie Repsol a vu ses profits bondir en 2022 grâce à l'envolée des cours du pétrole dans le sillage de la guerre en Ukraine, à un niveau toutefois inférieur aux attentes du marché.Le groupe énergétique a engrangé au total 4,25 milliards d'euros de bénéfice net, soit une hausse de 70% par rapport aux 2,5 milliards d'euros dégagés en 2021, selon un communiqué du groupe publié jeudi.

décembre 2022

La Russie devrait être confrontée à partir de lundi au plafonnement du prix de son baril de pétrole à 60 dollars, après l'accord scellé par les pays de l'Union européenne, du G7 et de l'Australie, afin de limiter les revenus de Moscou pour financer le conflit en Ukraine. "Le G7 et l'Australie (...) sont parvenus à un consensus sur un prix maximum de 60 dollars américains le baril pour le pétrole brut d'origine russe transporté par voie maritime", ont annoncé ces pays dans un communiqué commun publié vendredi.

novembre 2022

Le groupe du G7 a appelé vendredi les pays producteurs de pétrole à augmenter leur production pour contribuer à faire baisser les prix, un mois après la décision de l'Opep+ de réduire drastiquement ses extractions d'or noir. Augmenter la production doit contribuer à "réduire la volatilité des marchés de l'énergie" dans le contexte de la guerre en Ukraine, indiquent dans un communiqué les ministres des Affaires étrangères du groupe réunis en Allemagne, à Münster. Le G7 entend également finaliser "dans les semaines à venir" la mise en oeuvre du mécanisme de plafonnement du prix du pétrole russe.

octobre 2022

Le temps de la pandémie, quand une chute de la demande et une production qui n'arrivait plus à trouver ses débouchés avaient fini par faire passer (brièvement) le prix du baril sous la drôle de barre des zéro dollar, semble loin: ainsi que l'explique Bloomberg, l'ère actuelle du pétrole cher est partie pour durer et, le cas échéant, vos pleins d'essence risquent de plomber de plus en plus lourdement votre budget.

septembre 2022

La Russie ne livrera plus de pétrole ou de gaz aux pays qui plafonneraient les prix des hydrocarbures vendus par Moscou, a prévenu mercredi le président Vladimir Poutine, au moment où les Occidentaux travaillent à une telle mesure. Plafonner les prix "serait une décision absolument stupide", a lancé M. Poutine lors d'un forum économique à Vladivostok (Extrême-Orient russe). "Nous ne livrerons rien du tout si c'est contraire à nos intérêts, en l'occurrence économiques. Ni gaz, ni pétrole, ni charbon (...). Rien", a-t-il ajouté.
"Nous allons affronter cinq à dix hivers difficiles, mais nous pouvons également faire un bond de 20 ans en avant en rompant avec les énergies fossiles, malgré toutes les difficultés." Voici ce qu'a déclaré le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) dans l'émission De Zevende Dag sur la chaîne One. Il a également mis en garde contre la limitation à la discussion sur le maintien de deux centrales électriques supplémentaires ouvertes dans le contexte actuel de crise.
Ne plus payer sa facture d’énergie. Un million de Britanniques ont rejoint le mouvement "Don’t pay" face à la flambée des prix de l'électricité et du gaz. Partout en Europe, la tension monte, contenue par les différents boucliers gouvernementaux. Mais c’est la "pertinence du marché de l’énergie" qui doit être remise en cause. Seule solution à suivre : la réduction de la consommation d’énergie.
Porter un nouveau coup à la manne énergétique de Moscou : les pays du G7 ont décidé vendredi de plafonner "urgemment" le prix du pétrole russe, un mécanisme complexe à mettre en place. Une "large coalition" de pays est invitée à mettre en oeuvre cette décision, finalisée vendredi lors d'un sommet virtuel des ministres des Finances des sept pays les plus industrialisés. "Aujourd'hui, le G7 a franchi une étape essentielle dans la réalisation de notre double objectif, à savoir exercer une pression à la baisse sur les prix mondiaux de l'énergie tout en privant (Vladimir) Poutine de revenus pour financer sa guerre brutale en Ukraine", a immédiatement salué la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen.

juillet 2022

L’énergéticien est pris entre la baisse de sa production à cause de réacteurs à l’arrêt, et la demande de l’État de baisser ses prix pour alléger la facture des Français. Le groupe pétro-gazier, lui, profite de la flambée des tarifs des carburants.
C'est ce qu'a déclaré le chef de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Fatih Birol, lors d'une conférence sur l'énergie à Sydney.

juin 2022

Les pays du G7 réunis en sommet en Allemagne veulent serrer encore l'étau économique autour de la Russie, en réfléchissant à un "mécanisme pour plafonner au niveau mondial le prix du pétrole russe", selon la Maison Blanche, ce qui s'annonce complexe.
"Nous parlons de plafonds de prix ou d'une exception de prix qui élargirait et renforcerait les restrictions énergétiques récentes et proposées", imposées par les États-Unis et leurs alliés, "ce qui ferait baisser le prix du pétrole russe et contracterait les revenus de Poutine tout en permettant à une plus grande offre de pétrole d'atteindre le marché mondial", a-t-elle expliqué. Un plafonnement des prix "empêcherait les effets collatéraux sur les pays à faible revenu et en développement qui luttent contre les coûts élevés de l'alimentation et de l'énergie", a-t-elle aussi assuré.
L’accès aux énergies se complique avec la guerre en Ukraine. De plus les distributeurs d’électricité annoncent une hausse de 40 à 70 % du prix du kilowattheure (kWh) pour 2023. A long terme, cette tendance ne semble pas fléchir, mais la volatilité des prix du gaz, du charbon et du pétrole rend toute prédiction compliquée. On fait le point avec Laurent Horvath.

mai 2022

Saudi Aramco a annoncé dimanche un bond de 82% de son bénéfice au premier trimestre, porté par la flambée des cours du pétrole qui a propulsé le géant saoudien de l'énergie au rang de première capitalisation boursière mondiale. Le bénéfice net s'est élevé à 39,5 milliards de dollars, contre 21,7 milliards de dollars sur la même période en 2021, "principalement grâce à la hausse des prix du pétrole brut et des volumes vendus, et à l'amélioration des marges en aval" (raffinage et distribution, ndlr), indique Saudi Aramco dans un communiqué.
A Aberdeen, dans le nord-est de l'Ecosse, les éoliennes au large, les travaux d'extension du port et les bus à hydrogène témoignent de la transition climatique. Mais la capitale britannique de l'énergie vit et respire encore au rythme de l'industrie pétrolière. Ici, quand vous évoquez la transition énergétique, on vous répond "boom des renouvelables", mais en aucun cas on évoque une baisse du forage d'hydrocarbures. Du moins tant qu'il y en aura dans les champs vieillissants de la mer du Nord. Il y a seulement quelques mois, le Royaume-Uni, qui vise la neutralité carbone en 2050, accueillait à Glasgow la conférence internationale pour le climat COP 26 et le Premier ministre britannique Boris Johnson assurait vouloir faire du pays l'Arabie saoudite de l'éolien. Mais depuis, les prix de l'énergie se sont envolés, particulièrement avec l'offensive russe en Ukraine, et la flambée du coût de la vie est devenue la principale préoccupation des Britanniques.
Les compagnies aériennes nigérianes suspendront lundi et "jusqu'à nouvel ordre" leurs activités en raison de l'envolée des prix du kérosène, a annoncé l'Association des opérateurs aériens du Nigeria (AON). Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie fin février et les sanctions imposées dans la foulée à Moscou, les cours mondiaux du pétrole se sont envolés, provoquant une flambée des prix des carburants dans de nombreux pays.

avril 2022

ExxonMobil et Chevron ont enregistré un bond de leurs profits au premier trimestre grâce à l'envolée des prix des hydrocarbures mais, pris entre des injonctions contradictoires sur leur production, ne prévoient pas pour l'instant d'augmenter outre-mesure les dépenses pour pomper beaucoup plus.
Le président américain Joe Biden a assuré vendredi que "plus de 30 pays" allaient suivre les Etats-Unis et puiser dans leurs réserves stratégiques de pétrole pour tenter de faire baisser les cours.

mars 2022

L'un des plus importants fournisseurs de carburant du Sri Lanka a augmenté le prix de l'essence de près de 20% samedi, la deuxième augmentation en deux semaines, alors que le pays se bat pour importer du pétrole sans dollars. Lanka IOC, un détaillant de carburant qui représente un tiers du marché, a déclaré avoir augmenté le prix de l'essence à 303 roupies (un peu plus d'un dollar) le litre, contre 254 roupies. Il y a deux semaines, la société avait augmenté le prix de l'essence de 25%.
Selon Jean-Marc Jancovici, nous aurions tout intérêt à être favorable à une taxe carbone plutôt que d'attendre que les prix du pétrole augmentent, une hausse inéluctable.
Alors que l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe fait flamber le prix du pétrole et du gaz, notre addiction aux énergies fossiles est souvent dénoncée (comme ici par des ONG). Mais est-ce le bon mot ? Et donc une bonne façon d’affronter la difficulté ? Question secondaire, la licence journalistique au regard de la précision du vocabulaire est-elle une bonne excuse si le mot n’est pas celui qui convient ? Il faut, malheureusement, répondre un triple non à cette triple question.
Les Etats membres de l'UE pourraient libérer une partie de leurs stocks stratégique de pétrole pour contrer la hausse des prix, ont annoncé lundi à Bruxelles la commissaire européenne à l'Energie et la présidence francaise du Conseil des ministres.

février 2022

Le prix du baril de pétrole brut WTI a bondi de plus de 6% lundi et le Brent de plus de 5%, les opérateurs s'inquiétant de plus en plus d'une crise énergétique après les nouvelles sanctions occidentales à l'encontre de Moscou en raison de son invasion de l'Ukraine.
Il y a eu un coup de chaud, jeudi après le début de l’attaque russe. Mais la guerre a eu un effet limité sur les marchés. Les variations quotidiennes sont surtout dues à de la spéculation. Nous sommes confrontés, cependant, à une montée des prix de l’énergie généralisée qui est surtout due, en résumé, à la diminution des ressources disponibles et à l’augmentation de la demande. Il était attendu, par exemple, que le pétrole passe la barre des cent dollars par baril durant l’été car les producteurs sont incapables d’en extraire assez. L’invasion n’a fait qu’accélérer ce processus.
Les prix du pétrole se sont enflammés jeudi avant de s'apaiser un peu, l'attaque aérienne et terrestre de l'armée russe contre l'Ukraine ayant brièvement propulsé le baril de WTI américain à plus de 100 dollars, et celui de Brent à plus de 105 dollars, une première depuis 2014. Le cours du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, référence de l'or noir en Europe, qui s'envolait de 8,78% à 105,34 dollars en matinée, a clôturé en hausse de 2,27% à 99,08 dollars.
Le prix du baril de pétrole a dépassé les 100 dollars jeudi pour la première fois en plus de sept ans, après que le président russe Vladimir Poutine a annoncé une "opération militaire" en Ukraine. Retour sur les précédents épisodes lors desquels le baril a franchi le seuil symbolique des 100 dollars.
Le président américain Joe Biden a promis jeudi de puiser dans les réserves stratégiques de pétrole des Etats-Unis afin de soulager les Américains, inquiets de la hausse du prix des carburants. Washington "va relâcher des barils de brut supplémentaires si les conditions le permettent", a affirmé M. Biden soulignant que les Américains "souffraient déjà" de la hausse des prix de l'essence à la pompe. Le président américain a aussi indiqué que les Etats-Unis travaillaient avec leurs alliés pour "puiser collectivement dans les réserves stratégiques des grands pays consommateurs d'énergie".
Comme le reste du secteur, Equinor a bénéficié de la nette augmentation du prix du baril de Brent, qui a augmenté de 70% sur un an pour dépasser les 70 dollars, et surtout de l'envolée du prix du gaz qui a quadruplé en Europe.
Les réserves commerciales de pétrole brut aux États-Unis ont enregistré une baisse surprise la semaine dernière, selon les chiffres publiés mercredi par l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA). Durant la semaine achevée le 4 février, les stocks de brut ont diminué de 4,7 millions de barils, pour s'établir à 410,4 millions, alors que les analystes prévoyaient une hausse de 1,5 million de barils. Cette publication a fouetté les cours de l'or noir, qui se sont inscrits résolument en hausse.
Les pays membres de l’Opep se réunissent mercredi 2 février pour discuter d’une nouvelle hausse de la production de pétrole, alors que les prix sont au plus haut depuis sept ans.

janvier 2022

Le prix du baril de pétrole vient de dépasser les 90 dollars (80 euros). Pour Matthieu Auzanneau, directeur du think tank The Shift Project, ce n’est pas pour autant une aubaine pour les autres énergies. Explications.
Depuis la première fois depuis 2014, le prix du baril de Brent est passé sur la barre des 90$, pour être précis à 90,39$ à Londres. A New York, il est grimpé sur les 88$. Il est à noter que l’année dernière, à la même époque, il ne fallait que 55 billets de 1 dollar pour acquérir les 159 litres d’un baril. Imaginez, un litre de pétrole moins cher qu’un litre de Coca-Cola.
Poussés par un prix du pétrole en hausse, les carburants vont de record en record depuis le début de l'année, avec le gazole qui a dépassé pour la première fois les 1,60 euros le litre. Une tendance qui risque de se poursuivre, tant les tensions sur les marchés de l'énergie restent vives.
Les cours du pétrole s'envolaient mardi, les risques géopolitiques faisant craindre de nouvelles perturbations d'une offre déjà tendue, hissant les prix à de nouveaux sommets plus atteints depuis sept ans.
« La marée baisse, on va voir qui a un slip ». C’est ce que m’a soufflé Laurent Aillet (inspiré par une phrase de Warren Buffet sur un autre sujet) lorsque les États-Unis et la Chine ont commencé à taper dans leurs réserves stratégiques de pétrole.

décembre 2021

Alors que le nouveau variant du Covid-19 met un coup de pression sur le pétrole et ses prix, les débats sur la sortie des énergies fossiles semblent de plus en plus animés à l'aube de l'année 2022.

novembre 2021

Dans une alliance de circonstance inédite, les Etats-Unis et d'autres pays, dont la Chine, vont utiliser leurs réserves stratégiques de pétrole pour tenter de faire baisser les cours de l'or noir, a annoncé mardi la Maison Blanche.

octobre 2021

Or les entreprises qui produisent ces combustibles subissent une pression de plus en plus forte des investisseurs et des gouvernements, qui leur intiment de réduire leur empreinte carbone et leurs investissements. Si l’investissement dans la production pétrolière et gazière diminue plus rapidement que la demande mondiale, on ne pourra pas échapper à une flambée des prix, affirme James Henderson. La pandémie, durant laquelle la production de pétrole et de gaz a été mise à l’arrêt, nous a offert un avant-goût de cette situation.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a relevé jeudi ses prévisions pour la demande mondiale de pétrole en 2021 et 2022, pariant sur un fort appétit pour le brut en remplacement du gaz et du charbon devenus hors de prix.
Le prix du pétrole est à son plus haut niveau depuis des années. Les pays producteurs ne fourniront cependant pas plus de pétrole brut qu'annoncé, malgré la forte demande.
... s’annonce aujourd’hui l’impact sur les prix de la nécessaire décarbonation des systèmes énergétiques dans le contexte de la lutte contre les dérèglements climatiques.

juillet 2021

La fondation finançant et organisant les prix Nobel a annoncé mardi avoir vendu ses participations liées au secteur du pétrole, après s'être également retirée de l'industrie du charbon.

mars 2021

"Aramco a réalisé un bénéfice net de 49 milliards de dollars (41 milliards d'euros) en 2020", contre 88,2 milliards de dollars (73,8 milliards d'euros) l'année précédente, a indiqué la société saoudienne dans un communiqué.
Les cours du pétrole ont de nouveau progressé ce lundi après après que les forces houthies du Yémen ont tiré dimanche des drones et des missiles au cœur de l'industrie pétrolière saoudienne, suscitant des inquiétudes quant à la production. "L'un des parcs de réservoirs pétroliers du port de Ras Tanoura (est), un des plus grands ports pétroliers du monde, a été attaqué ce matin par un drone venant de la mer", a indiqué le ministère saoudien dans un communiqué.

janvier 2021

novembre 2020

septembre 2020

juin 2020

mai 2020

avril 2020

mars 2020

janvier 2019

Il y a quelques années, en particulier entre 2005 et 2008, de nombreuses personnes craignaient que l’approvisionnement en pétrole ne s’épuise. Ce qui les inquiétaient, c’étaient les prix élevés du pétrole, et le fait qu’il puisse y avoir besoin de le rationner. Parmi les éléments de ce récit du pic pétrolier, lesquels sont corrects, et lesquels induisent en erreur, voire sont erronés ?

septembre 2018

mai 2018

janvier 2016