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Fruit de l'évolution du missile "Neptune", dont la portée était limitée à 400 kilomètres, le "Long Neptune" ukrainien peut désormais atteindre des cibles situées à 1000 kilomètres. Un changement de donne conséquent dans le conflit opposant Kiev à Moscou, mais aussi un symbole du regain d'autonomie de l'Ukraine vis-à-vis de ses alliés en matière militaire.
Après un sommet virtuel des pays prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie, les contacts se multiplient entre Moscou et Washington.
Le président Emmanuel Macron reçoit mardi à Paris des responsables militaires de 30 pays appartenant à l'UE et/ou à l'Otan pour tenter de définir les garanties de sécurité à fournir à l'Ukraine en cas de cessez-le-feu et réfléchir à l'architecture de défense de l'Europe.
Dans une déclaration commune à l’issue de discussions en Arabie saoudite ce mardi 11 mars au soir, les représentants des Etats-Unis et de l’Ukraine ont fait part de plusieurs avancées notables dans le soutien contre l’invasion russe.
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi à Bruxelles pour pallier l’arrêt de l’aide américaine à Kyiv. Ce qui signe peut-être, enfin, une meilleure politique de défense commune.
C’est l’une des annonces lourde de conséquences de Donald Trump pour mettre la pression sur Volodymyr Zelensky : la...
Alors que le dialogue avec Kiev était déjà tendu, le gouvernement de Donald Trump a décidé de mettre en pause, lundi, l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine, rapporte un responsable de la Maison Blanche sous couvert d'anonymat.
Le président américain a ordonné une pause dans l’aide militaire des États-Unis à l’Ukraine après l’altercation vendredi avec son homologue ukrainien, a indiqué lundi soir un responsable de la Maison-Blanche. Pour la presse américaine, cette décision met Volodymyr Zelensky au pied du mur.
Donald Trump a mis sa menace à exécution et ordonné lundi une "pause" dans l'aide militaire des États-Unis à l'Ukraine en guerre contre la Russie, trois jours après l'altercation à la Maison Blanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Après l’humiliation infligée à Volodymyr Zelensky dans le bureau Ovale, le président américain consolide le rapprochement russo-américain. Alors qu’il lance dans le même temps une guerre commerciale avec le Canada et le Mexique, les alliés d’hier sont devenus des adversaires.
Notre attitude est lâche, honteuse et contreproductive. Il est grand temps de se poser la question de nos priorités.
En déplacement officiel en Europe, le vice-président américain, J. D. Vance, a tenu à souligner que toutes les options étaient encore sur la table pour mettre la pression sur Moscou afin de mettre un terme à la guerre en Ukraine.
Près de trois ans après l’invasion de l’Ukraine, l’économie de la Russie montre des signes de surchauffe. L’inflation explose à cause des dépenses militaires massives et des sanctions occidentales. Si la propagande russe maquille les problèmes, 2025 pourrait être une année charnière pour le Kremlin.
Selon le Financial Times, des documents secrets révèlent des plans militaires russes dans le cadre d'une potentielle guerre contre le Japon et la Corée du Sud.
Washington a annoncé lundi une aide militaire supplémentaire pour l'Ukraine, évaluée à 725 millions de dollars et comprenant notamment des missiles et d'autres munitions, selon un communiqué du secrétaire d'État américain, Antony Blinken.
La Russie a toujours été prête à utiliser l'arme nucléaire. Depuis le premier jour de l'invasion de l'Ukraine jusqu'à aujourd'hui.
Dans la perspective d’un désengagement américain vis-à-vis de Kiev en raison du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, Paris et Londres n’excluent pas de prendre la tête d’une coalition en Ukraine, selon des modalités qui restent à préciser.
"La Troisième Guerre mondiale a commencé", alerte l'ancien commandant en chef militaire de l'Ukraine
(25/11) - Caroline VandenabeelePour l'ancien commandant en chef militaire ukrainien Valeri Zaloujny, la guerre en Ukraine est entrée dans une nouvelle dimension et s'apparente désormais à une Troisième Guerre mondiale.
Alors que les tirs inédits de missiles balistiques par la Russie sur Dnipro représentent un seuil supplémentaire dans l’escalade, les pays occidentaux affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et poursuivront leur soutien à l'Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a signé un décret élargissant les possibilités de recours à l'arme nucléaire. Le document a été publié, rapporte mardi l'agence Tass.
Le chef de la diplomatie russe a promis mardi une réponse "appropriée" aux tirs ukrainiens de missiles américains ATACMS contre la Russie, dénonçant l'implication des Etats-Unis dans ces frappes et y voyant une "nouvelle phase" dans le conflit.
Soumise à d’importants bombardements russes, l’Ukraine redoute de devoir négocier en position de faiblesse. La demande de Kiev d’utiliser des missiles à longue portée ATACMS pour viser des cibles militaires dans les profondeurs du territoire de la Russie a été acceptée par Joe Biden.
Anne Godart (UMons) voit approcher un "moment de basculement", que Vladimir Poutine garde en ligne de mire.
L’essentiel des informations sur la guerre entre l’Ukraine et la Russie ce lundi 30 septembre.
Le Kremlin a déclaré jeudi que le changement de doctrine russe concernant le recours à l'arme nucléaire, annoncé la veille par Vladimir Poutine, devait être considéré comme un "signal" pour les Occidentaux, avec qui les tensions sont au plus haut depuis l'offensive en Ukraine en février 2022.
Au troisième jour de l’offensive ukrainienne dans la région russe de Koursk, la presse internationale reste dubitative sur les objectifs de Kiev.
Moscou a mis en garde samedi l'Europe en affirmant que la décision de Washington de déployer en Allemagne des missiles américains à longue portée risquait avant tout d'exposer les populations du continent, dont les capitales deviennent en retour des cibles pour la Russie.
Le ministre américain de la Défense Lloyd Austin a annoncé mardi un nouveau volet de 2,3 milliards de dollars d'aide à l'Ukraine, incluant des moyens de défense antiaérienne et des armes antichar.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que la Russie devrait commencer à produire des missiles de courte et moyenne portée, auparavant interdits en vertu d’un traité avec les États-Unis qui n’est plus en vigueur.
La Belgique a déjà formé près de 2500 militaires ukrainiens, afin de les aider dans leur lutte contre l'invasion russe,...
L'armée russe a annoncé mardi avoir débuté près de l'Ukraine des exercices militaires sur l'utilisation d'armes nucléaires tactiques, ordonnés début mai par le président Vladimir Poutine, en assurant qu'il s'agissait d'une réponse aux "menaces" occidentales.
Le département d'Etat américain a commenté les récents événements survenus en Russie.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné la tenue prochaine d’exercices nucléaires impliquant notamment des troupes positionnées près de la frontière ukrainienne, a annoncé ce lundi 6 mai le ministère de la Défense.
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé lundi l'organisation d'exercices militaires à proximité de l'Ukraine. Il a par ailleurs menacé de frapper "toute installation ou équipement militaire britannique sur le territoire ukrainien et au-delà", si Kiev utilisait des "armes britanniques" contre des cibles en Russie.
Les services de renseignement britanniques ont comptabilisé une augmentation alarmante des meurtres impliquant des militaires russes en Russie. Il y a près de 900 % de crimes en plus par rapport à l’année 2022 d’avant-guerre avec l’Ukraine.
Les pays occidentaux tentent de relancer leurs fournitures d’aide militaire à l’Ukraine, mais il est probablement trop tard pour inverser le cours de la guerre. L’armée russe s’est réorganisée et s’est solidement implantée dans l’est de l’Ukraine. La Russie a basculé rapidement vers une économie de guerre qui lui permet d’alimenter le front. Désormais, les troupes russes grignotent du terrain face à une armée ukrainienne en position défensive inconfortable. Des négociations s’annoncent dans les prochains mois, et pourraient être l’occasion de concessions douloureuses.
La Transnistrie , une région séparatiste prorusse de Moldavie, a affirmé vendredi qu'un drone explosif avait frappé une station radar sur l'une de ses bases militaires, sans faire de victimes, ni de dégâts importants, trois semaines après un incident similaire.
Le soutien militaire belge à l'UKraine depuis le début de la guerre atteint un milliard d'euros, a annoncé mercredi la ministre de la Défense, Ludivine Dedonder, en commission de la Chambre.
L’armée va utiliser la centrale EDF de Civaux afin de produire du tritium pour la dissuasion nucléaire. Patrice Bouveret, directeur de l’Observatoire des armements, y voit un signe de « l’escalade guerrière » d’Emmanuel Macron.
L'explosion a provoqué un incendie sur la base militaire.
Le New York Times a obtenu des informations de la Maison Blanche.
Le président russe Vladimir Poutine a entamé jeudi à 12H13 locales (10H13 en Belgique) son discours annuel à la Nation à Moscou, selon AFP, plus de deux ans après le lancement de son assaut contre l'Ukraine.
Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a appelé vendredi à "une retenue militaire maximale" après une série de fortes explosions survenues ces derniers jours près de la centrale nucléaire ukrainienne sous contrôle russe de Zaporijjia, la plus grande d'Europe. Ce site, pris par les forces russes en mars 2022, dans la foulée du déclenchement le 24 février de l'invasion de l'Ukraine, se trouve dans une zone de combat et Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de compromettre sa sécurité.
L'Ukraine a affirmé jeudi avoir 'détruit' dans la nuit une vedette lance-missiles appartenant à la flotte russe de la mer...
L'Ukraine a mis au jour un détournement de 40 millions de dollars pour l'achat d'armement
Le chef d’état-major du président ukrainien Volodimir Zelenski, Andri Jermak, a mis en garde contre une possible défaite de l’Ukraine face à la Russie en cas d’échec du financement américain.
Pskov, capitale de la région éponyme frontalière de l'Estonie, de la Lettonie et du Bélarus, est située à 800 km au nord de l'Ukraine.
Evguéni Prigojine a accusé l’armée russe d’avoir bombardé ses propres combattants, appelant à une quasi-insurrection contre l'Etat-major russe. En riposte les services de sécurité ont appelé les miliciens de de Wagner à arrêter leur chef.
Faut-il montrer sa capacité nucléaire ? Et comment ! répond Dimitri Trenine. • Une nouvelle intervention du débat en cours en Russie sur l’emploi du nucléaire, –en Ukraine et ailleurs. • Ce débat s’impose parce que s’impose le constat que la dissuasion est morte et que pour que l’arme nucléaire soit efficace, il faut la montrer et il faut montrer qu’on est prêt à s’en servir dès qu’on jugera nécessaire de le faire. • La guerre en Ukraine est une effrayante leçon de travaux pratiques sur la plus terrible des armes de destruction massive.
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
Sergej Karaganov veut faire une attaque nucléaire sur l’Occident.
Les autorités russes ont signalé, lundi, l’« entrée d’un groupe de sabotage et de reconnaissance de l’armée ukrainienne dans le district de Graïvoron » et ont évacué le site de stockage d’armements nucléaires de Belgorod-22. Kiev nie toute implication.
M. Grossi assure avoir constaté en première ligne "des indications claires de préparatifs militaires" autour de la centrale, qui est la plus large d'Europe, lors de sa visite il y a trois semaines.
La Russie a pris le Bélarus en "otage nucléaire", a estimé dimanche l'Ukraine à la suite de l'annonce par le président Vladimir Poutine d'un déploiement d'armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié."Le Kremlin a pris le Bélarus comme otage nucléaire", a écrit sur Twitter le secrétaire du Conseil de sécurité ukrainien Oleksiï Danilov, ajoutant que cette décision est un "pas vers la déstabilisation interne du pays".
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que Moscou allait déployer des armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié, le Bélarus, un pays situé aux portes de l'Union européenne.
Cette attaque contre un aérodrome près de Minsk aurait été menée à l’aide de deux drones commerciaux, modifiés pour les besoins de l’opération. Elle aurait partiellement détruit un avion de reconnaissance et de commandement russe.
Hadja Lahbib a demandé le retrait des troupes russes présentes en Ukraine, et affirmé que la Belgique soutiendrait l'Ukraine "tant qu'il le faudra".
Les Etats-Unis ont qualifié la décision russe de « très décevante et irresponsable ». Le traité signé en 2010 est le dernier accord bilatéral du genre liant Moscou et Washington.
Le président Poutine a annoncé dans un discours, ce mardi, suspendre la participation de la Russie au traité de désarmement nucléaire New Start. De quoi s’agit-il ?
A l'occasion du première anniversaire de la guerre en Ukraine, le chercheur Nicolas Gosset fait le point sur le conflit auprès de l'agence Belga.
Le constat n’est pas récent, mais le 24 février 2022 lui a donné une tournure nouvelle : nous ne vivons pas la guerre, mais nous ne sommes pas en paix. L’invasion de l’Ukraine par la Russie a déclenché, ici à l’Ouest de l’Europe, un intense enchevêtrement d’affects : choc et sidération face à une guerre qui éclate sur le continent européen ; peur devant la possibilité d’une escalade ; sentiments de solidarité envers les Ukrainiens ; angoisse sourde suscitée par la réapparition de la menace d’une guerre nucléaire sur notre scène géopolitique. Aux premières semaines de la guerre, une grande excitation était également palpable, une atmosphère de survoltage, rythmée par l’emballement médiatique et les appels politiques à la mobilisation. Dans le même temps, nous n’en demeurons pas moins à une certaine distance de la guerre, physiquement et affectivement, à l’abri de ses violences, et priant pour le rester.
Toute attaque nucléaire de la Russie contre l'Ukraine entraînera une réponse militaire des occidentaux "si puissante que l'armée russe sera anéantie", a affirmé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.
L’évocation d’un possible recours à l’arme atomique, menace régulièrement brandie par Vladimir Poutine, ne saurait être réduite à un outil de guerre comme un autre. Une telle banalisation aurait en outre des effets dévastateurs en matière de prolifération.
Le président russe Vladimir Poutine a promis lundi des répliques "sévères" en cas de nouvelles attaques ukrainiennes contre la Russie, après la destruction partielle samedi du pont de Crimée, infrastructure stratégique et symbole de l'annexion de cette péninsule ukrainienne. "Si les tentatives d'attentats terroristes sur notre territoire se poursuivent, les réponses de la Russie seront sévères et leur ampleur correspondra au niveau des menaces posées", a mis en garde Vladimir Poutine en ouverture d'une réunion télévisée du Conseil de sécurité russe. "Personne ne doit avoir le moindre doute", a-t-il averti. En réponse à l'attaque contre le pont de Crimée, le dirigeant russe a indiqué que Moscou avait lancé une campagne "massive" de bombardements dans plusieurs régions ukrainiennes. Il a affirmé que l'armée russe avait utilisé dans la matinée "des armes de haute précision de longue portée" contre "l'infrastructure énergétique, militaire et de communication de l'Ukraine".
Certains pensent que les armes nucléaires créent une stabilité géopolitique internationale par le risque de destruction mutuelle assurée. D’autres, exactement l’inverse : que cette apparence de sécurité est une illusion catastrophique.
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Le président américain a déclaré qu'il existait bien, "pour la première fois depuis la crise des missiles cubains, une menace directe d'utilisation d'armes nucléaire"
L'ancien directeur de la CIA et général de l'armée à la retraite déclare que le président russe est "désespéré" et que la réalité du champ de bataille auquel il est confronté est "irréversible".
Les Etats-Unis seraient très probablement au courant de préparatifs russes pour une attaque nucléaire contre l'Ukraine, et Moscou pourrait aussi vouloir que cela se sache, estiment des experts.
Les États-Unis ont demandé via des canaux privés à la Russie de mettre fin à son discours agitant la menace nucléaire dans la guerre en Ukraine, une arme dont l'utilisation aurait, prévient Washington, des conséquences "catastrophiques".
Evguéni Prigojine, un homme d'affaires proche du Kremlin, a reconnu lundi avoir fondé en 2014 le groupe paramilitaire Wagner pour combattre en Ukraine et reconnu sa présence notamment en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique latine.
Conseiller à la sécurité nationale du président Joe Biden, Jake Sullivan a déclaré dimanche 25 septembre que “les États-Unis [avaient] prévenu la Russie qu’il y aura [it] ‘des conséquences catastrophiques’ si elle utilis[ait] des armes nucléaires en Ukraine”, rapporte The Wall Street Journal.
Dans son allocution de ce mercredi matin annonçant une «mobilisation militaire partielle», Vladimir Poutine ne parle plus de l’Ukraine comme ennemi, mais de «l’Occident collectif». Un aveu d’échec devant l’avancée de la contre-offensive ukrainienne.
Au moins quatre explosions ont secoué jeudi soir les abords de la base aérienne russe de Belbek, près de Sébastopol, en Crimée, tandis qu’un incendie s’est déclaré dans un dépôt de munitions près de la frontière ukrainienne, dans la région de Belgorod.
Les explosions survenues mardi sur un aérodrome militaire russe en Crimée auraient détruit au moins huit avions de chasse, contrairement aux dires de la Russie.
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Les Etats-Unis ont appelé lundi la Russie à cesser toute activité militaire dans et autour des centrales nucléaires en Ukraine dont celle de Zaporijjia, la plus grande d'Europe et tenue par l'armée russe. "Nous continuons à appeler la Russie à cesser toutes ses opérations militaires dans et autour des centrales nucléaires ukrainiennes et à en redonner le contrôle à l'Ukraine", a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean Pierre, lors d'un point presse à bord d'Air Force One. "Combattre autour d'une centrale nucléaire est dangereux", a-t-elle dit tout en soulignant que, selon les données recueillies, "heureusement, nous n'avons aucune indication d'une augmentation anormale des niveaux de radioactivité".
Russie: des saboteurs de trains tentent d’empêcher le transfert de matériel militaire vers l’Ukraine
(24/07) - Aude DejaifveEn Russie, des activistes essayent de saboter les voies ferrées pour empêcher les trains d'emmener des équipements militaires vers l'Ukraine. Sur Telegram, ils publient des photos de rails endommagés, ainsi que des instructions pour réaliser soi-même des actes de sabotage. Un membre d’une organisation anarchiste ayant revendiqué des opérations de sabotage raconte à la rédaction des Observateurs comment ils conduisent leurs activités.
On a donc laissé grandir une bête monstrueuse depuis 20 ans et on n’arrive plus à la maîtriser. Tous les scénarios sont (déjà) perdants pour les démocrates, partout dans le monde et pour longtemps. La démocratie elle-même est menacée. La marge de manœuvre semble se résumer à devoir évaluer le sacrifice d’un bien existentiel (la démocratie et la liberté d’autodétermination ukrainienne) pour en sauver un autre (au mieux la vie de plusieurs millions de citoyens membres de l’Union européenne, au pire la vie humaine sur Terre en cas de guerre nucléaire mondiale, les scorpions survivront).
La Russie va livrer "dans les prochains mois" au Bélarus des missiles capables de transporter des charges nucléaires, a annoncé samedi Vladimir Poutine en recevant le dirigeant bélarusse Alexandre Loukachenko, en pleines tensions entre leurs pays et l'Occident autour de l'Ukraine.