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La guerre électronique, cet art complexe de brouiller et d’intercepter les signaux ennemis, vient de franchir un nouveau cap grâce à une percée majeure réalisée en Chine. Des chercheurs chinois viennent de dévoiler une arme électronique révolutionnaire utilisant la technologie 6G, la prochaine génération de communication sans fil, qui promet de changer radicalement la donne sur les champs de bataille modernes.
Avec la prolifération des drones sur les champs de bataille modernes, les armées du monde entier cherchent des moyens efficaces pour contrer cette menace agile, bon marché… et potentiellement mortelle. En France, une nouvelle arme se prépare à entrer en service, et elle promet de faire le ménage dans les airs : le Rapidfire Land, un système de défense anti-aérienne développé par Thales et KNDS France, qui s’attaque aux essaims de drones, aux hélicoptères, aux avions légers — et même aux roquettes et mortiers.
Alors que les tensions explosent au Moyen-Orient entre Israël et l’Iran, une nouvelle révélation jette une ombre encore plus lourde sur la région : le programme nucléaire israélien serait bien plus avancé qu’on ne l’imaginait. D’après des analyses récentes, Israël pourrait posséder non pas 90, mais jusqu’à 300 ogives nucléaires, soit trois fois plus que les estimations précédentes. Et ce chiffre change tout.
Since Donald Trump's presidential election victory, major tech companies have abandoned years of policies restricting military work and sought out lucrative defense contracts and deeper connections with the Pentagon.
Ce matin, Bart De Wever se rend à la Chambre pour évoquer le réarmement de l’OTAN. L’effort demandé par l’OTAN est colossal pour la Belgique. La quasi-absence de débat public sur la question n’empêche pas la cacophonie au sein même de la majorité.
A l’heure où Israël lance une attaque d’ampleur sur l’Iran, dénonçant le fait que la république islamique a atteint un “point de non-retour” vers la bombe atomique, l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) sort un rapport qui alerte : le monde se dirige vers une nouvelle course aux armements nucléaires.
Quand on pense aux guerres de demain, on imagine souvent des robots humanoïdes ou des avions furtifs invisibles au radar. La réalité, pourtant, est déjà là – et elle est bien plus discrète. De petits engins volants, parfois à peine plus grands qu’un modèle réduit, capables de choisir leur cible, de décider d’attaquer… et de tuer, sans qu’aucun humain n’ait à valider la frappe.
Alors que la banquise fond, les tensions montent. En juin 2025, la Russie mettra en service un nouveau mastodonte de sa dissuasion nucléaire : le Knyaz Pozharsky, un sous-marin de classe Borei-A conçu pour opérer dans l’Arctique. Loin d’un simple ajout à la flotte, ce sous-marin symbolise une stratégie plus vaste : ancrer la puissance militaire russe dans le Grand Nord, où les enjeux économiques, géopolitiques et climatiques s’entremêlent.
Alors que les tensions géopolitiques se ravivent et que les menaces deviennent plus technologiques que jamais, une nouvelle génération d’avions de chasse s’apprête à bouleverser l’équilibre mondial. Bienvenue dans l’ère des chasseurs de sixième génération — des machines de guerre volantes, intelligentes, furtives, et connectées à une armée de drones.
Dans l’ombre des conflits modernes, une nouvelle révolution technologique se prépare. L’US Air Force, via son laboratoire de recherche (AFRL), vient d’attribuer un contrat de près de 100 millions de dollars à General Atomics pour développer un drone militaire d’un genre nouveau. Son nom : GHOST. Un acronyme mystérieux pour une machine tout aussi énigmatique, conçue pour être furtive, endurante et redoutablement efficace.
Le monde de l’artillerie vient de franchir un cap décisif. À l’occasion de la Future Artillery Conference à Londres, la jeune entreprise anglo-américaine Tiberius Aerospace a dévoilé une innovation qui pourrait transformer durablement la manière dont les armées opèrent à distance : le Sceptre TRBM 155HG, premier obus supersonique de 155 mm jamais conçu.
D’ici la fin juin, l’Armée populaire de libération (APL) chinoise prévoit de lancer en vol un engin qui semble tout droit sorti d’un film de science-fiction : le Jiu Tian, littéralement « Haut Ciel ». Ce porte-drones géant, le plus grand jamais construit à ce jour, pourrait bien bouleverser l’équilibre des puissances militaires dans les airs — et au-delà.
Et si, dans un futur proche, les drones de guerre ressemblaient à de simples pies ou goélands ? Ce n’est pas un scénario de science-fiction, mais une réalité que la Chine vient de dévoiler lors de la 10e Exposition des technologies intelligentes militaires (CMITE 2025). Parmi une impressionnante gamme d’engins autonomes, un type de drone en particulier a captivé l’attention : les ornithoptères, des drones biomimétiques qui volent, bougent et ressemblent à s’y méprendre à de vrais oiseaux. Et ce n’est pas juste pour faire joli.
D’après une étude publiée par l’Observatoire des conflits et de l’environnement, la course à l’armement observée à travers le monde - de l’Union européenne aux Etats-Unis - «aggrave la crise climatique à long terme». Et renforce encore davantage la probabilité de nouveaux conflits.
Excalibur fait partie du projet triennal Project Cetus, une initiative stratégique britannique visant à intégrer la robotisation dans la guerre sous-marine, domaine longtemps réservé aux sous-marins habités classiques.
Le 27 mai 2025, dans le port militaire de Cherbourg, un géant silencieux a été mis à l’eau. Son nom : De Grasse. Ce n’est pas seulement un sous-marin nucléaire d’attaque de plus — c’est le dernier-né d’un programme de 10 milliards d’euros qui redéfinit la puissance navale française pour les décennies à venir. Ce lancement marque une étape majeure dans la modernisation de la flotte française, mais aussi dans l’équilibre stratégique des forces sous-marines au sein de l’OTAN.
L’intelligence artificielle (IA) révolutionne déjà notre quotidien, de la médecine à l’industrie, mais son impact dans le domaine militaire est en train de franchir un cap inédit. Une équipe chinoise dirigée par le professeur Fu Yanfang, de l’Université technologique de Xi’an, a mis au point un système d’IA capable de générer automatiquement des milliers de scénarios de combat simulés, réduisant drastiquement le temps nécessaire à la planification militaire. Cette innovation, incarnée par le modèle de langage étendu appelé DeepSeek, pourrait transformer les stratégies de guerre et bouleverser l’équilibre mondial.
Le chancelier a annoncé que les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni se joignaient à l’Allemagne dans ce changement de doctrine militaire, mais aucun de ces pays n’a encore confirmé. La Russie a fustigé une « décision assez dangereuse ».
Alors que les grandes puissances militaires peaufinent leurs prochaines générations d’avions de combat, l’US Air Force vient de lever le voile sur certains détails de son futur bijou technologique : le F-47, un chasseur furtif de sixième génération promis à devenir le plus avancé jamais conçu.
À l’ère des tensions croissantes sous les mers, la Royal Navy britannique mise sur l’intelligence artificielle pour surveiller les profondeurs. Son nouveau système baptisé Lura, conçu pour traquer les sous-marins ennemis, promet une révolution dans la guerre sous-marine. Et le tout… sans torpilles ni humains à bord.