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Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a remercié dimanche Donald Trump pour avoir fourni à son pays des "outils nécessaires", après que le président américain a laissé entendre qu'il avait débloqué la livraison à Israël de bombes de 2.000 livres.
On the topic of climate and carbon reduction commitments, corporations like Google, Microsoft, and Shell once positioned themselves as leaders in sustainability, setting ambitious net-zero goals to align with global environmental efforts. However, the rapid rise of energy-hungry artificial intelligence is forcing these companies to reconsider—or even abandon—these commitments as they struggle to balance environmental responsibility and making money from new tech.
L'interdiction couvre plus de 2,5 millions de km² et vise à protéger l'environnement, malgré l'opposition de Donald Trump, qui promet de l'annuler dès son entrée en fonction.
Pourquoi précipiter la transition énergétique quand la demande d’or noir et de méthane augmente encore ? C’est la question qui semble animer les actionnaires traditionnels des compagnies pétrolières, analyse Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Du 11 au 22 novembre, la COP29 s’est donné pour objectif de trouver les financements nécessaires aux pays plongés dans la crise climatique. Aux premières loges, le continent africain subit de plein fouet des changements climatiques désastreux dont il n’est pas responsable, note “Le Djely”. Le titre guinéen appelle dès lors à un sursaut africain sur ces questions, tout en dénonçant l’impuissance de ces grands raouts climatiques.
Le prix d’un Bitcoin a bondi d’environ 20 000 dollars depuis l’élection de l’ancienne star de la télé-réalité. La conséquence logique de la politique pro-cryptomonnaies que n’a cessé de défendre le candidat républicain durant sa campagne.
La 16ᵉ conférence mondiale sur la biodiversité s’ouvre lundi 21 octobre en Colombie, avec comme enjeu central la mise en œuvre de l’accord de 2022, qui vise à mettre un terme à la perte d’espèces et d’écosystèmes d’ici à 2030.
Présenté comme une solution pour décarboner l’économie, l’« hydrogène bleu » consiste à fabriquer ce gaz à partir d’énergie fossile tout en captant les émissions de CO₂. Mais une estimation de ces dernières, réalisée par le média anglo-saxon DeSmog, soulève des doutes sur l’impact climatique réel de cette technologie.
Le terme « biochar » est un néologisme issu de l'anglais, contraction du préfixe « bio » et du début de « charcoal » (charbon de bois en français). Ce produit solide issu de la pyrolyse de biomasse est parfois également qualifié d'« agrichar ».
Les concentrations de méthane dans l'atmosphère ne cessent d'augmenter, à un rythme qui s'est même accéléré ces dernières années, menaçant la trajectoire climatique de la planète malgré la promesse de nombreux pays de réduire drastiquement les émissions de ce puissant gaz à effet de serre, alertent des chercheurs mardi.
L’hebdomadaire britannique “New Scientist” fait sa une sur une promesse enthousiasmante concernant une maladie terrifiante : il s’agit aujourd’hui de vaincre la maladie d’Alzheimer grâce à la vaccination. Des essais sont en cours.
Des modèles d'innovation plus sobres, plus résilients, plus justes sont nécessaires pour l'économie de demain, selon Franck Aggeri.
Si les gains de l’intelligence artificielle pour réduire les émissions restent hypothétiques, les coûts énergétiques, déjà importants, vont devenir, eux, colossaux.
En l’état, les engagements des pays ne remplissent qu’à 70 % l’objectif qui vise à tripler les capacités d’énergie renouvelable dans le monde, un seuil fixé lors de la COP 28 de Dubaï, révèle un rapport de l’AIE ce mardi 4 juin.
"L'élan politique peut s'estomper" et "il faut garder l'esprit de la COP28" en vie, a déclaré mardi son président Sultan Al Jaber, appelant à mobiliser non pas des milliards mais "des milliers de milliards" de dollars pour financer les promesses faites à Dubaï pour limiter le réchauffement climatique.
À travers leurs (in) décisions, nos décideurs forcent une “pause environnementale” – pour ne pas dire régression – et sabotent nos dernières chances de préserver la stabilité de la biosphère, compromettant ainsi à moyen terme l’habitabilité de notre Terre.
À travers leurs (in) décisions, nos décideurs forcent une “pause environnementale” – pour ne pas dire régression – et sabotent nos dernières chances de préserver la stabilité de la biosphère, compromettant ainsi à moyen terme l’habitabilité de notre Terre.
Companies announce climate goals with great fanfare—but all too often, they eventually scale back or fail to implement those pledges. We asked Yale SOM’s Todd Cort how significant these reversals are and what should be done to encourage companies to keep making progress.
COP28 : le 'béton vert' de l’industrie cimentière, promesse d’un bâti plus durable ou greenwashing ?
(05/12) - A. GonzalezLa plupart des constructions belges contiennent… du béton ; c’est d’ailleurs le matériau de construction le plus demandé au monde. Mais pour réaliser du béton, il faut absolument… du ciment. "C’est la production du ciment qui génère du CO2. On fait du béton grâce à du sable, des graviers, de l’eau et surtout de ciment qui est un liant et agit comme une colle pour faire tenir l’ensemble", explique Hervé Camerlynck, directeur de Febelcem, l’organisation professionnelle de l’industrie cimentière belge.
Malgré "leurs promesses", les gouvernements n'en font toujours pas assez pour contenir le réchauffement climatique, qui pourrait toujours dépasser largement les 2°C d'ici la fin du siècle, constate le projet "Climate Action Tracker" dont l'évaluation annuelle a été publiée mardi, alors que la COP28 bat son plein à Dubaï, aux Émirats arabes unis.
Sania est assise devant sa maison de Suralaya, en Indonésie, à moins d'un kilomètre de la plus grande centrale à charbon d'Asie du Sud-Est dont les cheminées rejettent une fumée gris foncé et suffocante. Alors que deux nouvelles unités doivent entrer en service, l'Indonésienne de 37 ans se dit "très inquiète". "Je nettoie déjà le sol deux à trois fois par jour. Le bruit me fait mal à la tête et l'odeur est horrible. Si les nouvelles unités commencent à fonctionner, la poussière ici sera bien pire".
L'Arabie saoudite cherche à "stimuler artificiellement la demande en pétrole" alors même qu'en public le royaume soutient une transition vers l'abandon des énergies fossiles, affirme un rapport quelques jours avant l'ouverture de la COP28 à Dubaï. Le rapport a été publié lundi par la chaîne de télévision britannique Channel 4 et le Center for Climate Reporting, une ONG de journalisme d'investigation spécialisée dans le changement climatique.
Les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter. Les engagements de réduction pris par les Etats ne permettront pas d’atteindre les objectifs de l’Accord de Paris, alerte l’ONU.
Les pays riches ont "probablement" atteint en 2022 leur promesse de financement climatique annuel de 100 milliards de dollars pour les pays plus pauvres, selon l'OCDE, avec deux années de retard qui ont durablement abîmé les relations Nord-Sud dans les négociations climatiques.
Un rapport du PNUE révèle que la production de combustibles fossiles programmée par les États va encore augmenter jusqu’en 2030. On est loin des engagements pris lors de la COP21.
Alors que les pays les plus vulnérables sont frappés de plein fouet par une avalanche de crises, les représentants de tous les pays du monde se sont engagés lundi à l'ONU à relancer leurs promesses déçues d'améliorer radicalement le sort de l'humanité.
Ce ne sont pas les mauvaises nouvelles de cette année sur le front climatique qui semblent empêcher les géants pétroliers de revenir sur leurs promesses de réduire leurs émissions. Coup sur coup, trois des plus gros ont fait des annonces allant dans l’autre direction.
En 2007, lors du Grenelle de l’Environnement, Lionel Vilain négociait pour France Nature Environnement (FNE) au sein du comité opérationnel qui devait définir les contours du label « Haute Valeur Environnementale (HVE) ». Les débats et contestations y furent très vifs. Ils ne le sont pas moins aujourd’hui dans la sphère publique : un collectif d’associations et le Synabio viennent de saisir le Conseil d’Etat, dénonçant une « tromperie »1. Sesame revient sur l’évolution du label quinze ans après son élaboration, avec l’un de ses concepteurs.
Avions « verts », carburants « soutenables » : autant de voies sur lesquelles travaille le secteur aérien afin de préserver sa croissance. Mais la technologie a ses limites et le trafic doit décroître si on veut réussir la transition climatique, prévient Maxence Cordiez, spécialiste de l’énergie au CEA (France).
Selon l’étude Goodvest,75 % des Français se disent méfiants à l’égard des promesses écologiques des entreprises. 70 % déclarent même qu’elles ne les incitent aucunement à se tourner vers leurs offres de produits et services. Dans le détail, sur le millier de sondés, seuls 16 % estiment que les promesses environnementales relèvent d’un véritable engagement. 25 % les jugent opportunistes tandis que 50 % les considèrent comme des éléments de marketing destinés à soigner son image.
Le gendarme britannique de l'énergie Ofgem a annoncé mercredi l'ouverture d'une enquête sur la compagnie d'électricité Drax au sujet d'affirmations selon lesquelles le bois utilisé pour générer de l'électricité dans ses centrales est renouvelable. L'Ofgem indique dans son communiqué que l'enquête concerne notamment "le régime d'obligation pour les énergies renouvelables", un programme destiné à encourager la production d'électricité de sources renouvelables au Royaume-Uni, qui se traduit par un bénéfice financier pour les entreprises concernées.
Moyen privilégié du dialogue actionnarial, les résolutions climatiques se développent et ne sont pas limitées aux banques ou aux entreprises pétrolières.
Des gestionnaires d'actifs du monde entier, comme le français Amundi, ont des investissements d'une valeur de plus de 400 milliards de dollars dans des producteurs d'hydrocarbures, en contradiction avec leurs engagements climatiques affichés, dénonce l'ONG Carbon Tracker dans une étude parue vendredi.Les auteurs ont analysé les investissements de firmes financières qui comptent parmi les actionnaires de 15 grandes entreprises privées du secteur des hydrocarbures comme le britannique BP, l'américain ExxonMobil ou le français TotalEnergies.
Des gestionnaires d'actifs du monde entier, dont l'américain BlackRock, détiennent plus de 400 milliards de dollars (plus de 360 milliards d'euros) d'investissements dans des producteurs d'hydrocarbures, en contradiction avec leurs engagements climatiques affichés, dénonce l'ONG Carbon Tracker dans une étude parue vendredi.Les auteurs ont analysé les investissements de firmes financières qui comptent parmi les actionnaires de 15 grandes entreprises privées du secteur des hydrocarbures comme le britannique BP, l'américain ExxonMobil ou le français TotalEnergies.
Des gestionnaires d'actifs du monde entier, dont l'américain BlackRock, détiennent plus de 400 milliards de dollars (plus de 360 milliards d'euros) d'investissements dans des producteurs d'hydrocarbures, en contradiction avec leurs engagements climatiques affichés, dénonce l'ONG Carbon Tracker dans une étude parue vendredi.Les auteurs ont analysé les investissements de firmes financières qui comptent parmi les actionnaires de 15 grandes entreprises privées du secteur des hydrocarbures comme le britannique BP, l'américain ExxonMobil ou le français TotalEnergies.
En 2022, le secteur bancaire a continué d’investir dans l’industrie fossile, plus lucrative que jamais. Piétinant au passage ses propres engagements climatiques.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, qui publie ce lundi la synthèse de huit ans de travaux, entretient l’espoir ténu qu’il reste une chance de limiter le réchauffement à 1,5 °C, à condition d’un sursaut international.
L’administration Biden a donné son feu vert à un mégaprojet de forage pétrolier en Alaska sur des terres appartenant à l’État. Durant la campagne présidentielle, Joe Biden avait déclaré : « Plus de forage sur les terres fédérales, un point c’est tout. »
Le 'greenwashing' se porte bien, selon un rapport publié lundi qui s'est penché sur les ambitions affichées de 24...
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Une procédure a été ouverte contre la Fédération internationale de football car elle se serait livrée à un greenwashing, notamment lors de la récente Coupe du monde au Qatar
Plus de 190 pays, réunis lundi lors de la COP15 à Montréal, sont parvenus à un accord historique pour tenter d’enrayer la destruction de la biodiversité. Mais sans dispositif contraignant, de nombreux engagements pris risquent de rester lettre morte.
Pour la première fois, une réaction de fusion a produit plus d’énergie que celle présente dans les lasers utilisés pour initier le phénomène. Mais ce résultat scientifique important n’augure aucune révolution énergétique à court ou moyen terme.
Il est possible, au moins en partie, de jauger la crédibilité environnementale d’un placement sans être ingénieur financier.
Depuis 1992, les objectifs climatiques sont négociés lors des COP. Après trois décennies de discussions, les résultats ne sont clairement pas à la hauteur. Retour sur l’histoire de la formulation des objectifs climatiques – entre science et politique – et sur le rôle des modèles climatiques et des promesses technologiques dans leur définition.
Le Vietnam s'est fixé des objectifs ambitieux pour le climat, mais le pays asiatique peine à se sortir de sa dépendance aux énergies fossiles, allant jusqu'à emprisonner des militants écologistes qui s'opposent à ses projets de centrales à charbon. Hanoï a promis de suivre le mouvement lancé lors de la COP26 l'an dernier, qui a appelé à la "réduction" de la part du charbon, désigné explicitement pour la première fois comme l'un des principaux responsables du changement climatique.
A l’heure de l’urgence climatique, la FIFA et le comité d’organisation qatari ont tenté de vendre un tournoi « neutre en carbone », mais leurs arguments peinent à convaincre.
Selon une « Evaluation de la déclaration pour les forêts » publiée lundi 24 octobre, réalisée par Climate Focus en partenariat avec des organisations de la société civile, la déforestation a diminué de 6,3 % en 2021 par rapport au taux de déforestation moyen pour la période 2018-2020. Pour mettre un coup d’arrêt au phénomène d’ici à la fin de la décennie, la déforestation globale devrait diminuer de 10 % chaque année.
Nombre de grandes entreprises clament haut et fort s’être engagées à atteindre la neutralité carbone dans les décennies à venir. Ces discours, analyse le “New York Times”, sont de dangereux mensonges qui peuvent nous faire perdre un temps précieux dans la lutte contre le réchauffement climatique.
L’industrie aérienne européenne a profité des aides publiques pendant la crise sanitaire sans pour autant réduire son empreinte carbone comme elle devait s’y engager en contrepartie. C’est ce qu’affirme le rapport de Greenpeace intitulé « Vers le crash climatique ? Analyse des sept plus grosses compagnies aériennes européennes » publié mercredi 1er juin.
Deux instituts d'études spécialisés ont appelé vendredi les pays du G20 à renforcer rapidement leurs engagements climatiques pour tenter de respecter les objectifs de l'accord de Paris comme ils l'ont promis lors de la dernière conférence climat COP26. "Aucun des pays du G20 n'en fait assez pour maintenir l'espoir de limiter le réchauffement à 1,5°C" par rapport à l'ère pré-industrielle, a déclaré dans un communiqué Tom Evans, de l'institut E3G qui publie une analyse des derniers engagements de ces pays conjointement avec le Energy and Climate Intelligence Unit.
Plusieurs fois désigné meilleur économiste africain, Carlos Lopes, ancien secrétaire général exécutif de la Commission Économique pour l’Afrique évoque les promesses non tenues par les pays riches lors de l’accord de Paris.
Dans son document intitulé « Les Avis de l’Ademe, le captage et stockage géologique de CO2 (CSC) en France : un potentiel limité pour réduire les émissions industrielles », l’Agence de la transition écologique (Ademe) avance que cette solution « semble incontournable pour certains secteurs industriels fortement émetteurs et n’ayant pas d’autres solutions de décarbonation ». Et le temps presse car, à eux-seuls, les industriels tricolores émettent, chaque année, 80 millions de tonnes d’équivalent CO2.
Les grandes banques et fonds d'investissement financent toujours des milliards pour l'extraction des énergies fossiles responsables du réchauffement climatique, en contradiction avec leurs engagements de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, selon un rapport publié vendredi.
La banque Crédit Agricole a été attaquée mardi par plusieurs ONG qui l'accusent de ne pas respecter ses engagements sur le charbon. Au-delà de ce cas particulier, c'est la crédibilité des promesses de l'ensemble du secteur qui se joue, estiment les associations.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a a mis en garde vendredi sur l'incapacité "chronique" de l'Opep à produire autant qu'elle le promet, tandis qu'elle a relevé ses prévisions pour la demande pétrolière cette année sous l'effet d'une révision statistique. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole avait limité sa production pour soutenir les cours dans le cadre de son accord avec ses alliés de l'Opep+, mais remet désormais des barils supplémentaires sur le marché.
Le NewClimate Institute a passé au crible les engagements de neutralité carbone de 25 grandes entreprises comme Carrefour, Apple ou encore Unilever. Il conclut que leurs engagements ne permettent de réduire que de 40 % leurs émissions au lieu de 100 %. Un décalage de taille entre leurs promesses et l'impact réel de leurs efforts. Les chercheurs appellent les gouvernements à encadrer ces engagements climatiques.
Assis sur les premières réserves européennes de lithium, minerai essentiel à la transition énergétique, le Portugal attend début 2022 le verdict de l'autorité environnementale sur un important projet minier, qui suscite l'inquiétude des riverains et l'intérêt d'une filière industrielle naissante.
les scientifiques et les ONG s’inquiètent de plus en plus du déferlement de promesses vagues de neutralité carbone qui privilégient les compensations et d’hypothétiques avancées technologiques pour absorber le carbone, à la place de la réduction des émissions de CO2. Les projets de neutralité carbone « ne sont pas adaptés, aucun d’entre eux », estime Myles Allen, directeur du projet « Oxford Net Zero » à l’université du même nom.
Confrontés aux canicules de plus en plus meurtrières, à la montée des océans ou aux récoltes en berne, pays, villes et entreprises affichent des objectifs de neutralité carbone mais les scientifiques jugent ces promesses de compensation des émissions de gaz à effet de serre peu étayées et estiment indispensable avant tout de réduire ces émissions.
Dans son dernier rapport, l’Agence internationale de l’énergie pointe les retards de la France en matière de transition. Elle appelle notamment à plus d’investissements dans les énergies renouvelables et à clarifier ses mesures sur l’après nucléaire.
Les promesses de réduction des émissions de CO2 pour limiter le réchauffement sonnent creux tant que le monde ne sort pas des énergies fossiles, a déclaré jeudi le secrétaire général de lONU à la COP26.
Plusieurs pays et constructeurs ont annoncé mercredi à Glasgow vouloir «faire en sorte que toutes les nouvelles voitures et camionnettes vendues soient zéro émission dans monde d’ici 2040 et au plus tard en 2035 dans les principaux marchés».
Les tout nouveaux engagements climatiques des Etats n’ont que marginalement amélioré les chances de l’humanité de freiner le réchauffement de la planète, a regretté l’ONU mardi, appelant encore à plus d’ambition d’ici la fin de la COP26 sur le climat.
Le Climate Action Tracker (CAT), un consortium de scientifiques sur le climat, tire la sonnette d’alarme dans sa mise à jour mondiale annuelle publiée ce mardi. Il pointe le déficit de crédibilité de la COP26 à Glasgow alors que l’action réelle des Etats ne reflète pas les promesses de réduction des émissions, à moyen ou long terme. Les parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur le réchauffement du climat ne font ni assez fort, ni assez vite pour limiter la hausse du thermomètre de la planète, selon le CAT.
Les tout nouveaux engagements climatiques des Etats n'ont que marginalement amélioré les chances de l'humanité de freiner le réchauffement de la planète, a regretté l'ONU mardi, appelant encore à plus d'ambition d'ici la fin de la COP26 sur le climat.
Il existe un « risque sérieux » que la Conférence des Nations Unies sur le climat (COP26), qui débute dimanche à Glasgow, en Écosse, n’aboutisse pas au résultat souhaité, a déclaré vendredi le chef de l’ONU à des journalistes à Rome, juste avant un Sommet du G20, qui regroupe les principales puissances économiques.
Le monde de la finance cherche à faire oublier sa dépendance aux énergies fossiles en se donnant une image plus « durable ». Mais, peu encadrés, les mécanismes de la finance verte ouvrent la voie à l’écoblanchiment.
La Nouvelle coalition Biodiversité formule, dans un manifeste, les priorités de la Stratégie Nationale de la Biodiversité et du Plan d’Action que notre pays doit présenter prochainement. La protection et la restauration de la biodiversité doivent être des priorités à tous les niveaux politiques.
Preuve que le climat est un sujet brûlant dans la finance, l’une des salves les plus sévères a été tirée par BlackRock, le plus grand fonds d’investissement au monde. Dans un rapport de 273 pages, commandé par la Commission européenne et publié fin août 2021, il estime que les banques ne sont tout simplement pas en mesure de savoir si les prêts qu’elles accordent aux entreprises financent réellement ou non des investissements verts ». BlackRock se considère lui-même comme un bon élève. Sous l’influence des millions d’Américains qui lui ont confié leur épargne retraite, il vote régulièrement des motions de défiance contre la stratégie de certaines des 17 000 entreprises mondiales où il possède des participations.
La plus grande organisation de protection de la nature, l’UICN, a lancé vendredi son congrès mondial sur des appels à s’attaquer de front aux crises « jumelles » de la biodiversité et du changement climatique.
La production d’énergies renouvelables, par définition intermittente et non pilotable, est contraignante. Elle met en avant la problématique du stockage de l’électricité qui ne peut être adressée efficacement aujourd’hui par les technologies dont nous disposons. C’est dans ce contexte que l’utilisation de l’hydrogène comme vecteur d’énergie est une solution envisagée en réponse à l’augmentation croissante de la part du renouvelable dans le mix énergétique français.
Elle a appelé à accélérer la lutte contre le changement climatique, constatant que les dommages causés par les phénomènes météorologiques extrêmes sont «plus importants que dans le passé». «Nous devons nous dépêcher, nous devons être plus rapides dans la lutte contre le changement climatique», a estimé la chancelière.
Alors que des alertes documentées sur le réchauffement climatique ont été lancées dès les années 1970, les classes dirigeantes en ont organisé le déni afin de maintenir leurs pouvoirs et leurs profits.
Malheureusement, force est de constater qu’après des mois de négociations, la loi Climat européenne ne va pas assez loin pour limiter la hausse de la température mondiale à 2°C, encore moins 1,5°C. Pourtant, c’est, selon les scientifiques, l’objectif que nous devons atteindre. La loi Climat a été édulcorée par les lobbys des énergies fossiles et par les gouvernements de l’Union européenne. Elle ne respecte ni les demandes des scientifiques ni les objectifs de l’Accord de Paris.
L’histoire des technologies qui utilisent l’ARN messager a commencé il y a plus de quarante ans. Et elle ne s’arrêtera pas avec les vaccins développés par Pfizer-BioNTech et Moderna contre le Covid-19. Leur potentiel s’étend bien au-delà. Certains comptent les utiliser contre la grippe saisonnière, le paludisme et même les cancers.
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Alors que le droit est considéré sur la forme comme un ensemble de règles générales et abstraites, les normes contenant des engagements se montrent au contraire plus concrètes, remplies d’objectifs à atteindre, souvent chiffrés et datés.
Transformer nos centrales nucléaires en centrales à gaz d'ici 2030 hisserait la Belgique à la deuxième place du pays le plus polluant d'Europe, juste derrière la Pologne.