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Plusieurs études récentes montrent que la quantité d’eau douce accaparée par le système techno-industriel augmente à un rythme alarmant.L'une de ces études montre que les activités industrielles ont massivement modifié les flux d'eau de surface dans le monde et mis en péril le cycle de l'eau essentiel à des formes de vie aussi variées que les poissons et les forêts. L'autre confirme qu'en de nombreux endroits de la planète, les aquifères et les puits d'eau souterraine sont pompés et exploités plus rapidement qu'ils ne peuvent se reconstituer.
En juillet 2024, l'UNESCO ajoutait à son réseau onze réserves de biosphère dans le but de préserver la biodiversité.
L'Unesco a approuvé la désignation de 11 nouvelles réserves de biosphère dans 11 pays, dont une première en Belgique, rapporte l'agence de l'Onu sur son site internet. Au total, 37.400 kilomètres carrés de réserves de biosphère ont été désignés, en Colombie, en Espagne, en Italie, en Mongolie, aux Pays-Bas ou encore en Gambie. Le Réseau mondial des réserves de biosphère compte à présent 759 sites dans 136 pays.
Il y a quelques années, le Programme pour l’Environnement des Nations Unies (PNUE) a soigneusement élaboré un plan pour sauver la Planète. Les émissions de carbone planétaires devaient être réduites de 7,5% ou 8% par année dès 2020. Si ce plan avait été appliqué, elles auraient aujourd’hui baissé d’un tiers. Le PNUE note malheureusement à la fin de 2023 que les émissions de carbone ont atteint un nouveau record, même si celles de l’Europe diminuaient déjà à la fin de 2022. Il est devenu évident que ces objectifs ne seraient pas atteints et que chaque année nous ajoutons à l’atmosphère trop de CO2. D’autres plans de sauvetage de la biosphère ont donc été développés.
Il existe des technologies et savoir-faire innovants, accessibles à tous et durables pour répondre à nos besoins tels que la production d'énergie, de nourriture ou encore le recyclage des déchets. Depuis près de 10 ans, le Low-tech Laben repère des dizaines à travers le monde. L'association les a documentés et diffusés gratuitement via internet, des livres et des films.
Une expérience de 4 mois pour repenser notre rapport au vivant grâce aux low-tech
Pour Caroline, éco-designeuse, et Corentin, ingénieur, on peut, grâce aux low-tech, ces techniques peu gourmandes en ressources, vivre même dans les milieux les plus arides. Pour le prouver, ils vont bâtir tout un écosystème destiné à vivre en autonomie pendant quatre mois dans le désert. Four-parabole, toilettes-ressourcerie ou dessalinisateurs solaires… une préparation dans les moindres détails pour une mission hors norme.
Présentation de Ted Kaczynski : un ami de la nature Admis à l’Université d’Harvard à l’âge de 16 ans, Ted ne rêvait que de s’évader de la civilisation et d’aller vivre dans un endroit sauvage. Il accomplit quelques temps son souhait : « Je m’étais fixé comme objectif de parvenir à une autonomie complète (…) En vivant au contact de la nature, on découvre que le bonheur ne consiste pas à chercher toujours plus de plaisir. Il réside dans le calme. Une fois que vous avez apprécié le calme suffisamment longtemps, vous développez vraiment un sentiment de rejet à la seule évocation de plaisirs excessifs (…) L’ennui est quasiment inexistant dès lors que vous êtes adaptés à la vie dans les bois. Vous pouvez parfois rester assis pendant des heures à ne rien faire, à écouter les oiseaux, le vent ou le silence, à observer les ombres qui se déplacent avec la course du soleil. Et vous ne connaissez pas l’ennui. Vous êtes seulement en paix (…) Je reste debout pendant quelques minutes à admirer la neige d’une blancheur immac
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La santé humaine dépend de la santé de la planète : le bon état des systèmes naturels – l’air, l’eau, la biodiversité, le climat – est indispensable à notre survie. Or la pollution, la raréfaction des terres arables et de l’eau douce, l’érosion de la biodiversité, le changement climatique et d’autres menaces détériorent ces systèmes. Discipline émergente portée par l’université de Harvard, la santé planétaire vise à comprendre comment l’accélération de ces dégradations structurelles menace notre santé, mais aussi comment soigner les humains et le reste de la biosphère.
À l’heure où notre vieux monde menace de s’effondrer, « Résiliences » a pour objectif d’accompagner ses lectrices et ses lecteurs dans l’invention d’un art de vivre respectueux de la nature. Pour parvenir à accorder notre empreinte écologique aux limites de la seule planète dont nous disposons, il convient de revisiter en profondeur chaque aspect de notre vie quotidienne : alimentation, habitat, énergie, transports, vêtements, santé, travail, loisirs, culture… Dès aujourd’hui, chacun de nous peut s’engager efficacement pour restaurer l’intégrité de la biosphère et transmettre aux générations futures une planète où il fera bon vivre. Faisons de l’indispensable transition écologique, une opportunité pour redonner du sens à notre vie, conquérir notre autonomie et réveiller notre créativité !
Des milliers de chambres d'hôtel, un téléphérique au Guinness des records, une Venise en miniature: l'île vietnamienne de Phu Quoc, qui a rouvert samedi au tourisme international, a profité de la pandémie pour accélérer son développement, un bétonnage à haut risque pour le paradis tropical.
An extreme technologically adapted future has not been defined in the literature. Such a future could be argued to be morally justifiable.However, a highly technologically mediated relationship with the biosphere introduces unique risks. These are likely to endanger humanity and future Earth-originating life-forms as well as creating moral hazard. An extreme technologically adapted future is therefore undesirable compared to restabilising the biosphere.
Préface d'Esmeralda de Belgique. Les catastrophes climatiques et la pandémie de Covid-19 sont analysées comme des manifestations des limites d'habitabilité des écosystèmes de la Terre. Leur irruption sur la scène politique invite à élargir le contrat social à la biosphère en signant un pacte social écologique.
L’afforestation ou la reforestation pourraient capter du CO2 dans la biosphère. Les effets seraient bénéfiques à des nombreux niveaux. La biodiversité, le cycle hydrologique, la stabilité et la composition des sols seraient améliorés. Les forêts émettent aussi des composés qui favorisent la condensation des nuages et changent l’albédo de la Planète.
Une équipe de chercheurs singapouriens s’est lancée dans un projet un peu fou : créer des « robots-plantes », en utilisant les capacités motrices de la dionée. Quentin Hiernaux voit, dans cette démarche, le prolongement d’un présupposé séculaire, jamais remis en question : le « caractère mécanique de la vie végétale ».
Il faut revenir 20 ans en arrière, s'enfermer dans une salle de réunion d’un hôtel mexicain, pour assister à «l'invention» de l'Anthropocène. Une cinquantaine de scientifiques est réunie pour discuter des orientations du Programme International Géosphère Biosphère. Alors que les prises de paroles se succèdent, l'un des participants montre des signes d’impatience. Il s'agit du prix Nobel Paul Crutzen, décédé en janvier 2021.
Tandis que la destruction de l’habitat d’innombrables espèces vivantes et de ces espèces elles-mêmes s’intensifie au niveau mondial, la présente pandémie de coronavirus pourrait n’être que le début d’une ère de pandémies internationales.